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Transcription
00:00 [Musique]
00:16 Bonsoir, bonsoir à toutes et à tous, ravis de vous retrouver ici même sur le plateau de Sportset.
00:22 Déjà cette semaine, ça filoche ces émissions.
00:24 Déjà les vacances.
00:26 Déjà les vacances à la fin de la semaine.
00:28 Ludo, vous pourrez partir enfin au ski.
00:30 Non parce que je pars pas au ski pendant les vacances.
00:32 Oui, ça la merde.
00:33 Exactement.
00:34 Alors, je vous demanderai de faire un tonnerre d'applaudissements pour notre invité, Véronique Favier.
00:39 Avec vous, on va parler de sport, Véronique.
00:41 [Applaudissements]
00:43 On va parler de Tirelac, qui a eu une compétition sur...
00:46 Une grosse compétition.
00:47 Une compétition régionale avec 160 archers qui sont venus ce week-end à Saint-Etienne.
00:53 Incroyable ça.
00:54 Mais c'est dans quelques instants.
00:55 À côté de vous, celle qui fait danser toute la Loire, on peut l'applaudir bien fort, Catherline Arnette.
01:00 Bonsoir à tous.
01:01 Aujourd'hui, on va découvrir le jazz à MZ Studio à André Zuguteau.
01:05 Exactement.
01:06 Le saisonnier running, il est là.
01:08 On peut l'applaudir bien fort, Ludovic Girard.
01:10 [Applaudissements]
01:11 On va parler de sport avec vous.
01:13 [Applaudissements]
01:14 Nous, on va accueillir un jeune athlète du FAC, qui est champion de la Loire, de cross.
01:18 Voilà, on accueillera M. Samuel Lega.
01:20 Exactement.
01:21 Et à côté de vous, on peut l'applaudir bien fort, Léon Barne.
01:23 Bonsoir. On sera tous, alors, je vous propose deux immersions cette semaine.
01:26 Une première du côté d'Abidjan, parce qu'avec Anaïs Durand, qui va nous rejoindre tout à l'heure autour de la table,
01:31 on va parler de la Cannes, puisqu'elle a travaillé pour la Cannes.
01:33 Et puis dans un second temps aussi, on parlera du dojo à Villars, qui fait ses 50 ans cette année avec Parlons Club.
01:39 Exactement.
01:40 Véronique, vous êtes membre du comité départemental 42.
01:43 C'est ça.
01:44 Et vous l'avez dit, on va voir dans quelques instants ces images, 60 archers qui se seront divisés sur deux jours, c'est ça ?
01:50 Deux fois 60.
01:51 Deux fois, ouais, ça fait 120.
01:52 Ouais.
01:53 Je suis bon en maths.
01:54 Je suis en plein dans les pourcentages avec mon fils en ce moment.
01:57 On peut m'applaudir, ouais.
01:58 On va voir, c'est incroyable, c'est incroyable ce qui s'est passé.
02:03 Justement, comment se...
02:06 Ben, ils arrivent comment ces images, Seb ?
02:08 Seb à la réale, il est long.
02:10 Seb, on met les images.
02:11 Voilà.
02:12 C'est incroyable quand on voit ça.
02:13 Oui.
02:14 Donc il faut tout ça avancer en même temps ?
02:16 Oui.
02:17 Les 60 en même temps, pouf, pouf.
02:18 Ça va, il n'y a pas eu combien de pertes ?
02:20 Zéro ?
02:21 Zéro.
02:22 Personne.
02:23 On a droit à 1%, mais il n'y a eu personne.
02:24 Il vaut mieux minimiser quand même.
02:26 Alors là, on va le voir dans quelques instants sur les images.
02:30 Il y a des cibles de toutes les tailles, c'est normal ?
02:32 Oui, parce que là, c'est les jeunes.
02:34 Et les jeunes, ils sont classés en catégorie.
02:36 Les cibles sont de tailles différentes selon leur âge.
02:39 Plus ils sont jeunes, plus les cibles sont grosses.
02:42 Et plus on est mûrs, comme Ludo et moi ?
02:44 Plus on tire sur des petites cibles.
02:46 D'accord.
02:47 Alors là, on parle de la cible, mais il y a aussi une histoire de distance ou non ?
02:50 Non, pas forcément.
02:51 Là, on est en salle, donc c'est tout le monde à 18 mètres.
02:54 C'est une règle nationale, c'est tout le temps ?
02:56 Quand on est en salle, c'est 18 ?
02:57 C'est ça.
02:58 D'accord.
02:59 Ça fait le moins quand même.
03:00 Il faut s'habituer quand même à 18.
03:01 En extérieur, c'est 50 ou 70 mètres.
03:04 Ce n'est pas pareil.
03:05 Pour les jeunes, ça peut être 30.
03:06 Mais pour apprendre, on peut commencer à 2-3 mètres, non ?
03:10 Non, tout au début, on commence à 5 mètres.
03:14 Quand on apprend, on commence à 5 mètres.
03:16 En parlant de cette compétition et des résultats,
03:18 comment se porte le tir à l'arc dans la Loire ?
03:21 Combien ? On a deux clubs ?
03:22 Alors, on a 14 clubs.
03:24 Ce n'est pas mal.
03:25 Oui.
03:26 Non, je ne sais pas.
03:27 Et on a 606 archers.
03:29 606, elle était précise.
03:31 Selon les organisateurs ou la police ?
03:33 Les deux.
03:34 Il y a plus de garçons ou de filles ?
03:36 Il y a plus d'hommes.
03:37 Il y a 412 hommes et 114 femmes.
03:40 Je pensais que c'était plus un sport féminin.
03:42 Eh bien non.
03:44 Vous avez dit combien de pourcentage ? J'aime bien les pourcentages.
03:47 Il y a deux fois plus d'hommes que de femmes.
03:49 D'accord. Et les femmes, elles viennent chercher quoi ?
03:52 Les hommes.
03:54 Non, non, non.
03:56 Elles les embrochent.
03:58 Après, je pense que ça...
03:59 Moi, personnellement, je vais me chercher...
04:01 Là, le travail sur la concentration...
04:05 La précision.
04:06 La précision et puis...
04:08 La science aussi, peut-être.
04:09 Le calme, parce que c'est un sport qui est calme, en fait.
04:12 Ah, mais ce n'est pas fait pour moi.
04:14 Quand on tire, personne ne parle.
04:17 Il y a du silence, on doit se concentrer.
04:19 C'est comparable au golf, on peut dire, dans le...
04:22 Oui.
04:23 Oui, oui, c'est un geste précis.
04:25 Il nous faut de la concentration.
04:26 Un geste très précis qu'on doit répéter à chaque fois, à chaque entraînement.
04:28 Plus le geste est régulier, plus après, on est régulier en compétition.
04:33 On va voir, si vous voulez bien, parce que là, on fait les malins, etc.
04:38 On va se lever et il nous manque un arc, mais il y avait trois arcs représentés.
04:42 Il y a les arcs Compount...
04:44 Celui de Robin Desbois, il est où ?
04:45 Ou arcs à Pouli.
04:46 À moins que Romain...
04:47 Il faut prendre le micro, sinon ça ne marche pas.
04:48 Il y a les arcs Compount ou à Pouli.
04:51 Ah, Pouli !
04:52 Pouli ou Compount.
04:53 Compount.
04:54 Oui.
04:55 Bien sûr, Compount.
04:56 Je peux le prendre ou pas ?
04:57 Oui.
04:58 C'est le vôtre perso, on ne va pas le faire grand...
04:59 Mais il est où le...
05:01 Ça se tient comment, ce truc ?
05:02 Alors, nous, on ne touche pas, mais est-ce que c'est lourd ?
05:04 Je me suis fait viser par là.
05:05 Il n'y a pas...
05:06 C'est lourd ou ce n'est pas lourd ?
05:07 Ça fait son poids, quand même.
05:09 Oui, il faut le tenir au bout du bras.
05:10 Oui.
05:11 Alors, je suis droitier, c'est comme ça ?
05:12 Oui, ben non, c'est un arc de gauchère.
05:14 Oui, j'ai vu tout de suite.
05:15 Il pèse combien ?
05:17 Je ne sais pas le poids.
05:19 Ah, vous ne regardez pas le poids, vous ?
05:20 Non.
05:21 En fait, on regarde la puissance qu'on tire.
05:23 Et la puissance, ça développe ?
05:24 Là, il tire 33 livres.
05:26 Bien sûr.
05:27 Ça vous parle ?
05:29 Oui.
05:30 33, ben oui, tous les jours.
05:31 Mais dès que je l'ai vu, moi, je me suis dit pareil.
05:32 Ah, j'aime ça, c'est un 33 livres.
05:34 Et ça, c'est quoi, alors ?
05:35 Alors, ça, c'est un arc classique.
05:37 Je ne le touche pas parce qu'en fait, je l'ai touché en répète et en fait, il tient par des flèches.
05:40 C'est ça.
05:41 Voilà, donc je ne le touche pas.
05:42 C'est classique, ça ?
05:43 Oui.
05:44 Eh ben, dis donc, on est bien loin du classique, là.
05:45 Robin des Bois...
05:46 Eh ben, Robin des Bois, c'est l'arc nu.
05:47 Donc, en fait...
05:48 Il y en avait pendant la compétition.
05:49 Oui, il y en avait.
05:50 Il n'y a pas les stabilisateurs, il n'y a pas le viseur.
05:53 Et ça, en livre ?
05:55 Je ne sais pas, c'est Julien.
05:56 Premier juju, vice-président.
05:58 Parlez fort.
05:59 46 livres.
06:00 Ah, mais il est plus puissant, hein.
06:01 Ah, moi, j'avais cru que la poulie était plus...
06:03 Alors, en fait, c'est la puissance qu'on tire.
06:06 Après, le poulie, on fait l'effort au début et après, on est stable.
06:12 Alors que l'arc classique, on fait l'effort tout le temps.
06:16 Eh ouais, vous voyez.
06:17 On peut applaudir, quand même.
06:19 Belle présentation, quand même.
06:23 J'ai récupéré le niveau,
06:24 parce que je vais aller voir le vice-président dans quelques instants.
06:26 Donc, présent, 120 sportifs qui venaient de la région Aura.
06:31 C'est ça.
06:32 Est-ce qu'on peut dire que le niveau était très élevé ?
06:36 Parce que dans quelques instants, on va voir le seul médaille éligé rien.
06:39 Oui, il était très élevé.
06:41 Très élevé ?
06:42 Et on avait 17 représentants de la Loire.
06:44 Et sur 17, une médaille.
06:46 C'est ça.
06:47 Alors, je vais aller voir le vice-président.
06:48 Est-ce que c'est un vice-président heureux ?
06:50 Je peux m'approcher ou pas ?
06:51 Oui ?
06:52 Je peux m'approcher.
06:53 Un seul représentant sur 17.
06:55 Tout à fait.
06:56 Et oh, il va falloir se mettre au boulot, un peu, non ?
06:58 Oui, oui.
06:59 Il faut dire que c'était compliqué.
07:00 Oui, c'est compliqué.
07:01 La région Auvergne-Rhône-Alpes a beaucoup de champions.
07:05 Et ça fait que la Loire n'est pas assez…
07:09 On voit, on peut être fier, quand même.
07:11 Et première place, il n'est pas en bas.
07:13 Il est sur la marche la plus haute.
07:15 Oui, il est sur la marche la plus haute.
07:17 Et je ne suis pas encore sûr,
07:19 mais il peut avoir…
07:20 Ulrich peut être dans les records de l'Auvergne-Rhône-Alpes,
07:24 de la série.
07:25 Il va inscrire son nom là-dessus.
07:26 Mais je ne suis pas encore sûr à 100 %.
07:28 On le saura quand, ça ?
07:29 Après les vacances, vous pourriez me le dire ?
07:30 Ou il faut encore plus de temps ?
07:31 Il faut encore un peu plus de temps.
07:32 C'est long, quand même.
07:33 Il faut vérifier les scores et tout ça, c'est l'homogation.
07:37 Exactement.
07:38 Bon, Véronique, ce genre d'événement, on le voit régulièrement ou pas, ça ?
07:42 Parce que c'est vrai que ça reste pourtant 120 archers,
07:45 120 gars qui se baladent dans le tramway avec des…
07:47 Alors moi, la question que vraiment je me pose pour le coup,
07:49 c'est que quand on voit par exemple du tir,
07:51 comme on voit à André's yeux,
07:53 on a du tir, on est sur des cibles, parfois même électroniques,
07:55 donc on a le résultat tout de suite.
07:57 Là, ça vous demande un nombre de bénévoles,
07:59 mais qui doivent aller chercher les affiches, les petites marchettes ?
08:01 Alors non, on ne va pas chercher les affiches.
08:03 C'est l'archer qui va à la cible.
08:05 OK.
08:06 Donc on est deux par cible.
08:07 Et il ne peut pas faire un petit pic avec un compas ?
08:09 Non.
08:10 Non, il y a…
08:11 Non, en fait, on s'auto-contrôle.
08:13 On s'auto-contrôle.
08:14 On est deux par cible et chacun contrôle l'autre.
08:17 Et s'il y a un litige, il y a les arbitres qui viennent.
08:20 D'accord.
08:21 Et qui disent non, c'est un 10 ou non, c'est un 9.
08:24 Très bien.
08:25 Les prochains rendez-vous, Véronique ?
08:26 Vous le savez ?
08:27 Le 26 juin, le concours départemental…
08:33 En plein air ?
08:34 En extérieur.
08:35 Ça, ça va être bien, ça.
08:36 Où ça va, vous le savez ?
08:37 On ne sait pas encore.
08:38 On prendra date, on le mettra sur le site en lien.
08:39 Non, non, Saint-Etienne, mais on ne sait pas encore.
08:41 Bon, très bien.
08:42 On a eu le concours départemental il y a 15 jours, en intérieur également.
08:47 Oui, mais vivement la belle saison, qu'on soit à l'extérieur.
08:49 Oui.
08:50 Après, il y a des gens qui tirent qu'en intérieur et d'autres qui vont tirer qu'en extérieur.
08:54 Et vous, vous êtes une tireuse d'intérieur ou d'extérieur ?
08:56 Je fais les deux.
08:57 Vous êtes en bidex ?
08:58 C'est ça.
08:59 Très bien.
09:00 Est-ce que vous aimez danser ?
09:01 Je sens que vous aviez…
09:02 Est-ce que le fauteuil bouge un peu ?
09:03 Oui, j'ai fait de la danse avant de faire le tir à l'arc.
09:05 Une petite virgule, on va parler danse dans quelques instants.
09:08 C'est son instant, là.
09:10 Le rouge nous va bien, le rouge.
09:12 C'est vrai, ça change un petit peu.
09:13 C'est vrai.
09:14 J'aime bien commencer ma chronique avec une petite musique.
09:16 C'est parce que c'est la semaine de la Saint-Valentin, c'est pour ça.
09:18 Ah oui, c'est pour son amoureux.
09:20 C'est quoi ?
09:21 Est-ce que ça vous dit quelque chose ?
09:24 Ça vous parle ?
09:25 On va commencer comme ça, chaque chronique, une musique est égale à un thème.
09:27 Et Chirade ?
09:28 Oui, Chirade, on va en suivre un bon début.
09:30 Guitare, guitare, guitare, guitare.
09:32 Et on va commencer avec un petit peu de musique.
09:34 Ça c'est Chirade.
09:35 Oui, Chirade, on va en suivre un bon début.
09:36 Guitare, country.
09:38 Non, pas country.
09:40 Aujourd'hui, on va parler jazz.
09:43 Jazz, avec Ed Sheeran.
09:45 Avec Ed Sheeran, et vous allez voir, il y a une vidéo qui va s'afficher.
09:50 Là, ce que vous voyez, ce sont le club MZ Studio,
09:55 qui a participé à la régionale finale danse aria à compétition,
09:59 dans un lieu emblématique, le théâtre des gymnases,
10:02 le 3 février dernier à Lyon.
10:03 Et ça, c'est du jazz ?
10:04 Et oui, c'est du jazz.
10:06 Tenez-vous bien, ils vont être qualifiés le 6 juillet,
10:09 enfin, ils sont qualifiés le 6 juillet prochain au National à Paris.
10:13 Alors, j'ai aucun doute pour votre...
10:14 On peut l'applaudir ?
10:15 J'ai aucun doute pour votre niveau.
10:16 Vous allez me dire, mais quel est le rapport entre le jazz qu'on connaît, la musique, etc.
10:22 Du coup, t'as jusqu'au 6 juin pour te former.
10:24 C'est ça.
10:25 J'ai quand même un petit peu de boulot, parce que là, il y a du niveau, je peux vous dire.
10:29 Donc, vous allez me dire, mais quelle est la différence entre le jazz qu'on connaît...
10:33 C'est ce que je viens de te dire.
10:34 J'ai cru qu'il y avait un saxophone dans ton truc.
10:36 Mais non.
10:37 Vous saurez que le jazz vient des Amériques, des champs de coton,
10:41 d'une culture afro-américaine, et donc, il est né le jazz, le blues, etc.
10:46 Et il faut savoir qu'à l'époque, dans des prestations,
10:48 les Noirs n'étaient pas autorisés à faire leurs prestations,
10:53 et c'était les Blancs qui se maquillaient pour pouvoir faire leur danse.
10:57 Et donc, le jazz a évolué au fur et à mesure des années, avec différentes variétés.
11:01 Donc là, vous avez un jazz contemporain, et il y a exactement le street jazz,
11:05 qu'on va voir tout à l'heure en démonstration, qui est avec des pas de street.
11:09 On a le jazz lyrical, qui est basé sur les émotions, le jazz funk, influence disco,
11:14 et même le jazz Broadway, inspiré des comédies musicales.
11:17 Et vous, vous avez fait lequel, alors ?
11:18 Moi, j'ai fait du street jazz.
11:19 Et vous, vous avez fait du... ?
11:20 Du modern jazz.
11:21 Ah oui.
11:22 Alors, c'est pareil ou pas du tout ?
11:23 Alors, vous allez voir dans le reportage, il va l'expliquer moi-même, mieux que moi d'ailleurs.
11:26 Mais voilà, on peut lancer le reportage.
11:28 On a hâte de voir ça.
11:29 Aujourd'hui, on se retrouve à Andrés du Boutaimont, et je peux vous dire que le niveau, il est là.
11:41 Et on va aller rencontrer Mohamed, qui faisait partie du groupe Melting Force, mais c'est du hip-hop.
11:47 Et aujourd'hui, on va aller voir la danse jazz.
11:50 Faites-moi deux colonnes.
11:51 Donc Mohamed, pouvez-vous nous dire d'où vient la danse jazz ?
11:56 Alors, la danse jazz, c'est une danse qui est née dans les champs de coton, aux États-Unis, en Louisiane.
12:01 Et elle est née au 20ème siècle.
12:05 Donc c'est une danse qui a déjà plus de 100 ans.
12:07 On entend souvent parler de danse moderne jazz.
12:10 Comment ça se fait que vous, vous l'appelez uniquement danse jazz ?
12:13 Alors, la danse jazz, c'est vraiment l'origine de ce style.
12:18 Après, le modern jazz, le street jazz, le jazz fusion, il y a plein d'autres styles qui ont découlé de ce style de danse-là.
12:25 Le jazz, à la base, c'est une danse vraiment très libre et basée sur la syncope, sur le rythme, les changements de rythme,
12:32 et le rapport vraiment avec la terre, avec le sol,
12:34 puisque les esclaves afro-américains utilisaient ce rapport avec le sol pour se rappeler de leurs sources et de la mer-terre.
12:47 - Je sais pas. - T'as plus que le micro.
12:49 - Tiens. - Est-ce que t'es stressée ?
12:51 - Bah un petit peu quand même, il y a du niveau, j'espère ne pas faire tâche.
12:55 - T'inquiète pas, on t'a mis la place de Beyoncé là.
12:58 - Bah oui, je vois ça, je suis au centre, donc j'ai intérêt à pas me louper là.
13:00 - Boum, boum, boum, boum, boum.
13:05 - Attendez, j'ai même personne pour copier là.
13:07 Boum, boum.
13:12 - Le langage c'est boum, boum, boum, boum, boum, boum et boum, boum.
13:16 - En jazz, on utilise beaucoup justement la syncope, la nacreuse, voilà, toutes les onomatopées.
13:22 Toutes les "ska, tsa, boum, ka".
13:25 Ça c'est très jazz, donc...
13:27 - C'est un très bon moyen mnémotechnique, je t'ai un dire.
13:29 Ma petite Sarah, je t'interromps en plein milieu d'une pirouette.
13:32 Qu'est-ce qui te plaît dans cette danse-là ? Pourquoi elle et pas une autre ?
13:35 - Je pense que j'ai choisi la danse jazz parce que déjà il y a plein de variétés.
13:39 Il peut y avoir du lyrical, donc c'est du plus lent.
13:42 Il peut y avoir du jazz Broadway, etc.
13:45 Et je pense que j'ai choisi cette danse aussi parce que je viens de la gymnastique et que c'est...
13:50 - Ça demande beaucoup de souplesse ?
13:52 - Pas mal, oui, quand même.
13:54 *Musique*
14:10 - Ah bah dis donc, on a spoilé la fin, mais...
14:13 - Mince, alors ! C'était la meilleure partie !
14:15 - Non mais c'était bien ! What what what what !
14:17 - Est-ce que vous avez vu quand même mon show de Beyoncé ?
14:20 - Ah bah non, mais là, je ne sais même pas pourquoi tu n'étais pas au Superbowl ce week-end.
14:23 - Moi aussi je ne comprends pas.
14:25 - On arrête de voir la démo à la fin, du coup.
14:27 - Lâche-moi la mollipar.
14:29 Mais vous avez vu, c'est des mouvements très fluides, ça demande beaucoup d'énergie, de souplesse.
14:33 Vous avez vu. Il y a beaucoup de sauts, de pirouettes au sol.
14:37 - Mais là, vraiment, parce qu'on sait que la télé, il y a du montage, etc.
14:41 En combien de temps ?
14:43 - Là, on a mis...
14:45 - Je ne t'inigre pas à votre niveau, mais il est proche du mien.
14:47 - Oui, oui, mais il est évident que là, je partais de zéro, encore pire,
14:50 face à des personnes qui se sont qualifiées nationalement.
14:52 - C'est pas mal quand même, non ? Ou je m'excite pour rien ?
14:54 - Non, c'est bien.
14:56 - Non, c'est pas mal, ouais.
14:59 - En vrai, en 10 minutes, je te défais de le faire la même chose.
15:02 - On essaiera, on essaiera.
15:04 - T'à l'heure, on verra quoi comme démo ?
15:06 - T'à l'heure, on va voir du street jazz.
15:08 Nous, avec Agna et Sarah, qui vont nous faire un show
15:10 avec le même costume que moi, en paillettes.
15:12 - Exactement. Véronique, merci à vous, Véronique Favier.
15:15 A très bientôt sur les terrains, c'est ce qu'on dit ?
15:18 - Sur les pas de tir.
15:19 - Pas de tir, exactement. On l'applaudit.
15:21 Notre invitée, dans quelques instants, va se mettre en place.
15:24 Elle est là.
15:25 - Elle est toute fraîche. Elle revient de la Cannes.
15:27 - Elle revient de la Cannes.
15:28 - La Côte d'Ivoire, exactement.
15:29 - Exactement.
15:30 - Elle a encore un peu de jet-line, vous allez voir.
15:32 Donc, il va falloir être patient parce qu'elle peut avoir un différé.
15:35 - C'est possible.
15:36 - Anaïs Dior, venez nous rejoindre.
15:43 C'est la chronique foot, exactement.
15:48 On embrasse toujours notre consultant, Adrien Ponçard,
15:50 qui est toujours en convalescence, mais c'est les foot.
15:53 - Il y a toujours un problème.
15:55 - Pour un moment de l'incarner, le mec, il met 4 mois.
15:57 - Ce qui est drôle, c'est qu'on a eu l'habitude d'avoir Anaïs sur le plateau,
16:01 mais pas pour parler foot.
16:02 - Non.
16:03 - Normalement, c'est pour parler basket, en général.
16:05 Et là, aujourd'hui, on a décidé de te faire venir sur le plateau
16:09 pour nous parler de la Cannes, parce que tu reviens fraîchement de la Cannes.
16:12 On va remettre un peu dans le cadre.
16:14 Tu travailles à la Sainte-Étienne.
16:16 - Oui, je suis responsable billetterie à la Sainte-Étienne.
16:18 - Vous êtes ticketing manager.
16:20 - Ticketing manager.
16:22 Oui, c'est ça.
16:24 Du coup, j'ai eu l'opportunité, suite à la Coupe du monde de rugby,
16:27 de pouvoir faire partie de l'équipe billetterie sur la Cannes.
16:31 - Vous avez fait aussi ticketing Coupe du monde ?
16:34 - Oui, Coupe du monde de rugby, à Geoffroy-Guichard.
16:36 - Belle année.
16:37 - C'est une belle année.
16:38 - Très belle année.
16:39 - Il n'y a pas les JO dans quelques mois ?
16:41 - Il y a les JO qui arrivent aussi.
16:42 - Ticketing les JO ?
16:43 - Toujours, toujours.
16:44 Toujours, sur tous les événements.
16:47 J'étais à Abidjan pour les premiers jours.
16:50 - On va voir des photos.
16:52 - C'était génial.
16:53 Et après, sur le stade Laurent Pocou, qui est à San Pedro,
16:56 qui est une petite station balnéaire.
16:58 - C'était le centre d'entraînement...
16:59 - Camp de base du Maroc.
17:01 - J'avais Maroc, Zambie, Tanzanie et Congo.
17:05 Congo qui a perdu en demi-finale.
17:07 Et on a eu deux huitièmes de finale.
17:09 C'était une chouette expérience.
17:11 - Justement, tu disais que tu avais bossé sur le mondial de rugby,
17:15 sur Geoffroy-Guichard.
17:16 - Oui.
17:17 - On voit une grosse différence.
17:18 - Oui, on voit une grosse différence, notamment sur l'anticipation.
17:22 Là-bas, ils appellent ça l'African time.
17:24 Et effectivement, il ne faut pas être trop pressé.
17:26 - Parce que si on rappelle, je veux dire,
17:28 juste au niveau de l'équipe, ils ont viré Laurent entraîneur.
17:30 Il y a un joueur qui ne voulait pas, mais c'est lui qui a marqué en finale.
17:33 Il voulait nous piquer au renard.
17:34 Ils ont dit non, tiens, il reste toi sur le banc.
17:36 Est-ce que c'est la même organisation en ticketing ?
17:39 - Ça a été compliqué, ouais.
17:41 Sur le premier match, on a eu beaucoup de difficulté à se mettre en place.
17:43 - Vous êtes partie avec votre propre imprimante, on a dit.
17:45 - Dans ma chambre d'hôtel, oui.
17:46 J'avais ma propre imprimante avec mes billets.
17:48 J'imprimais mes billets dans ma chambre d'hôtel pour gagner du temps.
17:50 - Incroyable.
17:51 - Vous ramenez un petit souvenir ?
17:53 - J'ai ramené un petit bracelet, un petit souvenir, oui.
17:55 C'est ça.
17:56 Sinon, l'expérience était vraiment géniale.
17:58 - Mais c'est quoi l'ambiance là-bas ?
17:59 Pourquoi c'est bien ?
18:00 A part le soleil et le…
18:01 - C'est l'Afrique, en fait.
18:02 On allait voir des matchs sur le Beach Club de la plage, notamment.
18:06 Et tu avais les équipes.
18:08 Il y avait des Marocains, des Ivoiriens.
18:10 Tout le monde était mélangé.
18:11 C'était vraiment la fête, quel que soit le résultat.
18:13 - Ils s'habitaient en plus.
18:14 - C'est ça.
18:15 Franchement, un peu de musique, tout le monde danse.
18:17 Non, c'était vraiment génial.
18:19 Génial.
18:20 Une vraie bonne expérience.
18:21 - Alors, ce qui n'a pas été dit, je crois encore,
18:23 c'est que tu as fait le choix de poser toutes tes vacances pour partir.
18:26 - Oui, c'est ça.
18:27 J'ai posé tous mes derniers jours de congé pour qu'il fasse…
18:29 - Cinq semaines, au revoir.
18:30 - C'est ce qu'on appelle une passion.
18:31 - … de cette expérience.
18:32 - Donc là, c'est vraiment un métier.
18:33 - C'est la passion.
18:34 - C'est une passion.
18:35 - C'est vraiment une passion.
18:36 - Tu vas travailler en Afrique.
18:37 - C'est ça.
18:38 - Mais ça te laisse combien de temps ?
18:39 Est-ce que tu as pu faire un peu de tourisme ?
18:41 - J'ai pu un petit peu visiter, oui, San Pedro.
18:43 J'ai été un petit peu à la plage, bien sûr.
18:45 - Ça se voit.
18:46 - C'est évident.
18:47 - Je vois comme elle est bourrée.
18:48 - Oui.
18:49 Tu n'as pas eu la même couche de maquillage que nous.
18:50 - Non, mais effectivement, c'était génial.
18:53 En fait, ça a laissé le temps de travailler,
18:55 de préparer les huit matchs que j'ai eus.
18:57 Et en trois semaines, d'aller à la plage et de pouvoir…
19:00 - Alors en fait, tu disais tout à l'heure que du coup,
19:02 ce n'est pas parce que tu avais bossé sur le mondial,
19:04 mais parce qu'il y a des chasseurs de tête de petits kittings managers.
19:08 Comment ça marche ?
19:09 - Oui, il y a des cabinets de recrutement, etc.
19:11 Et une des personnes avec qui j'étais sur le site de Saint-Etienne,
19:13 en fait, il était aussi avec moi sur la Coupe d'Afrique.
19:16 Lui, il était vraiment au QG.
19:18 Il gérait en fait un petit peu toute l'équipe billetterie.
19:21 Et il a construit son équipe.
19:23 Donc, il y avait deux autres personnes aussi
19:24 qui avaient fait la Coupe du monde de rugby qui étaient avec moi.
19:27 Et ça permet de rencontrer des gens, d'avoir un bon réseau.
19:30 - Et ça va continuer à priorer le réseau.
19:32 C'est combien de tickets, vous pouvez nous dire ?
19:34 Parce qu'on ne se rend pas compte.
19:35 - Moi, j'avais un stade de 20 000 personnes.
19:37 Et on était en moyenne sur un remplissage à 15 000 à peu près.
19:40 - C'est pas mal, non ?
19:41 - C'est pas mal, c'est vraiment bien.
19:42 Surtout que ce n'était pas la Côte d'Ivoire qui jouait dans mon stade.
19:45 Donc, c'est difficile d'avoir des supporters.
19:47 Après, les Marocains étaient présents et en nombre.
19:49 Ils étaient partout dans la ville.
19:51 Donc, franchement, c'était…
19:53 - Moins heureux au résultat de la CAD, mais…
19:54 - Moins heureux au résultat, oui, carrément.
19:55 Quand ils se sont fait éliminer contre…
19:57 - Mais le pays haute a gagné hier soir combien ?
20:00 - 20.
20:01 - 20.
20:02 - J'ai suivi un petit peu quand même.
20:04 Non, non, mais oui, c'est…
20:06 - C'est un truc de fou.
20:07 - Ils étaient à deux doigts de l'élimination.
20:08 - C'est ça.
20:09 - Ils se sont fait repêcher grâce à la victoire du Maroc, justement.
20:11 - Repêcher grâce au Maroc et du coup, victorieux.
20:14 - Jusqu'au bout.
20:15 - Avec trois anciens Stéphanois.
20:16 - Oui.
20:17 - Tout de coup.
20:18 - Ah, Gradel, Grasso…
20:19 - Gradel, Grasso…
20:20 - Incroyable.
20:21 - Moi, j'ai préféré regarder ça que le Super Bowl.
20:23 Mais chacun son truc.
20:24 - Ce n'était pas la même heure.
20:25 - Ce n'était pas la même heure et ce n'était pas la même ambiance.
20:27 - Exactement.
20:28 On a dit, pour finir, il y a l'IGO.
20:30 Est-ce qu'on se repose ?
20:31 On se calme un petit peu ?
20:32 On mange un peu plus de salade ?
20:34 - On retourne voir du verre.
20:35 - Oui, oui, très vite.
20:36 Mercredi, je retourne voir du verre.
20:38 - Ah, bah oui.
20:39 Tu n'as plus de jours de congé ?
20:40 - Non, je n'ai plus de jours de congé.
20:41 Non, il y a la saison à terminer, la campagne d'abonnement à préparer.
20:44 La saison prochaine, tout ça, c'est parti.
20:46 - J'aimerais juste parler d'une dernière chose.
20:47 C'est la première photo.
20:48 Je vais demander à Seb, en régie, de mettre la première photo.
20:52 Si on peut mettre celle-ci et que tu me l'expliques.
20:55 - C'est un vrai beau clin d'œil.
20:57 C'est mon premier jour à mon arrivée à Abidjan.
20:59 Je voulais faire un petit peu de tourisme et profiter,
21:01 vu que j'avais un jour off avant de débuter la mission.
21:04 Je vais au Grand Marché, à Abidjan.
21:06 Et la première personne sur qui je tombe,
21:08 c'est une petite fille qui a un maillot de la SS.
21:10 Donc, c'est moi qui lui ai demandé de prendre une photo.
21:12 - Ce n'était pas une mise en scène ?
21:13 - Non, c'est un magnifique clin d'œil.
21:15 Franchement, c'était génial.
21:17 - Exactement.
21:18 Et pour finir, vous en pensez quoi des gens
21:20 qui font des câlins à des ballons de basket sur le plateau ?
21:23 - Je pourrais faire pareil.
21:25 - C'est autorisé.
21:27 Merci à vous, Annalise.
21:29 Merci d'être venue.
21:30 On voit, elle est encore un peu fatiguée.
21:32 Des câlins, j'aurais à combien ?
21:33 - Non, il n'y a qu'une heure.
21:34 - Il n'y a qu'une heure.
21:35 - C'est que j'ai été un petit peu malade sur la fin.
21:36 - C'est sur le même fuseau que Londres.
21:37 Donc, c'est easy.
21:38 - Ça va.
21:39 - Exactement.
21:40 Dans quelques instants, on va parler…
21:43 Vous restez un petit peu avec nous ou pas ?
21:45 - Bien sûr.
21:46 - Vous avez fait un peu de combat, des sports, un peu comme ça ?
21:48 - Non, j'habite.
21:49 - Basket, c'est pas pour moi.
21:50 - Basket, c'est pas pour moi.
21:51 C'est pas que la bagarre.
21:53 On va parler d'un pas long club ?
21:54 - Oui, on va parler de karaté, de judo et d'aïkido.
21:57 - Tout ça en…
21:58 - Direction Villars.
21:59 - Ouais.
22:00 - 50 ans.
22:06 - 50 ans, au mois de septembre exactement.
22:08 - Je pensais pas que c'était sûr.
22:10 - Pour le dojo de Villars.
22:11 Donc, je suis allé rencontrer un nom que peut-être nos téléspectateurs connaissent
22:15 un petit peu, puisqu'il s'agit de Laurent Canonico.
22:17 Vous savez, qui était présentateur de club à SS.
22:20 - Exactement.
22:21 - Chez nous, il y a quelques temps.
22:22 Et qui est président depuis 2008 du dojo de Villars.
22:26 Donc, c'est le seul dojo dans la Loire qui…
22:29 Ou en tout cas, c'est la seule association sportive des arts martiaux qui possède le
22:35 karaté, le judo et l'aïkido.
22:37 Les trois disciplines.
22:38 - Je pensais qu'il y avait que du judo.
22:39 - On est sur un…
22:40 Pardon ?
22:41 - C'est la discipline où il y a le plus de licenciés.
22:45 - On est d'accord.
22:46 C'est ma discipline d'ailleurs.
22:47 - Mais il y a également du karaté et de l'aïkido.
22:50 - Que des grands noms qui sont passés, on va voir dans le reportage.
22:53 - On va voir des grands noms, on va voir plein de belles choses.
22:55 On va voir surtout une structure qui…
22:56 Aujourd'hui, on connaît tous le dojo d'Andrézieux qui est très réputé et surtout très neuf.
23:00 Mais en revanche, on était sur une structure qui a été pendant très longtemps l'un
23:03 des plus grands dojos de la Loire avec les trois tatamis en bas, le tatami à l'étage
23:08 plus la salle de sport.
23:09 Il a été rénové, on voit que les tatamis sont tout neufs.
23:11 Enfin voilà, c'est une belle immersion en tout cas au dojo de Villars qui fête cette
23:14 année ses 50 ans.
23:16 - Salut à tous, bienvenue au dojo de Villars, la seule association qui réunit du judo,
23:21 du karaté et de l'aïkido et ça fait 50 ans que ça dure.
23:31 - Alors toi Laurent, tu es licencié depuis 1984 mais président depuis 2008.
23:36 Comme tu l'as dit, le club a 50 ans, c'est né d'un karatéka et d'un judoka passionnés
23:40 qui ont créé le club.
23:41 Alors au début, il n'y avait pas le dojo, mais comment ça se passait ?
23:44 - Ça se passait salle de la libération.
23:46 À chaque entraînement, les pratiquants montaient les tatamis, les défaisaient.
23:50 Ça a duré 2-3 ans et puis ensuite, on est allé dans un préfabriqué à côté de l'ancien
23:55 stade de foot où là, les murs tremblaient, ça sentait la chaussette.
23:59 C'est là où on a appris, moi je suis cette génération-là.
24:02 - Ok, donc redis-nous juste, les valeurs du club, d'après toi, c'est quoi ?
24:05 - Former, transmettre, se faire plaisir.
24:07 - Donc la formation est super importante et justement, il y en a eu des grands noms
24:11 qui ont été formés à Villars.
24:12 - Le premier des formateurs et le premier des champions, c'est Christian Veil,
24:15 le professeur emblématique de judo qui a formé non seulement ses enfants,
24:18 mais aussi Philippe Martin qui est aujourd'hui le patron du pôle universitaire à Grenoble
24:22 et qui entre les mains des combattants olympiques à Paris 2024.
24:26 - En karaté, c'est Ruth Soufflet qui est deux fois médaillée par équipe
24:29 aux championnats du monde.
24:30 Et puis en Aïkido, on a Luc Matvey qui lui est 7ème dan, directeur technique régional,
24:35 une sommité, un très haut gradé en Aïkido.
24:37 - Ce dojo, il est quand même emblématique depuis 1988.
24:40 Il est très très grand et on peut dire que ça transpire les arts martiaux, non ?
24:43 - Ça transpire les arts martiaux, une super surface de tapis, un dojo en bois proche du Japon
24:48 et puis comme on est dans les arts martiaux, on a nos maîtres qui nous regardent,
24:52 le judo, le karaté et l'aïkido. Des infrastructures comme les sacs de frappe
24:56 parce que nos disciplines évoluent, on ne fait plus que des arts martiaux traditionnels.
25:00 On a du Jiu-Jitsu brésilien, un petit peu de boxe et de self-défense
25:04 et puis du Taïzo ou alors du karaté et pour les seniors, du karaté yoga également.
25:08 - Je ne comprends pas pourquoi tu me parles de la Star Academy des années 2000.
25:11 - Eh bien sachez que Christophe Pinac était le coach sportif des académiciens
25:15 qui était aussi karatéka et membre de l'équipe de France.
25:18 Il venait régulièrement ici distiller ses cours et transmettre aussi son savoir.
25:22 - Actuellement, les professeurs, il s'agit de qui du coup ?
25:25 - En judo, c'est Violette Ediogo, en karaté, c'est Fred et Hakim et en aïkido, c'est Luc.
25:30 - Parfait et en termes de chiffres ?
25:32 - Le Dojo de Villars, c'est près de 450 licenciés, 50 ans d'existence
25:36 et puis c'est du sourire, c'est de la rigueur, c'est de la modestie, c'est du plaisir.
25:40 Venez, regardez les gamins, ils ne sont pas beaux ?
25:42 - Bien sûr qu'ils sont beaux ! Allez, longue vie au Dojo de Villars !
25:46 - Ah, il a mis un peu de karaté quand même !
25:49 - Il y a beaucoup de karaté !
25:51 Belle histoire quand même de ce Dojo qui finalement, au début,
25:57 s'est monté dans la salle emblématique de la salle de libération de Villars,
26:01 ensuite enchaîné dans un préfabriqué, j'aurais voulu connaître ça !
26:03 J'aurais vraiment voulu avoir des archives de ça.
26:06 - Pourtant, ils ont bien travaillé les archivistes.
26:07 - Les archivistes ont bien bossé, mais on n'a pas vu d'image, ni photo, ni vidéo
26:12 dans le préfabriqué, j'aurais voulu voir ça.
26:14 - Rarement on regarde ce genre de choses.
26:16 - Il a dit que c'était des bons souvenirs.
26:18 - Je pense bien, oui.
26:19 - En tout cas, la fête se fera en septembre pour les 50 ans,
26:22 donc on a hâte d'y être !
26:24 - On est tous invités, bien sûr !
26:26 - Sport7, toujours !
26:28 - Qu'est-ce qui vous a juste surpris pour finir cette chronique ?
26:33 - Ce qui m'a surpris, c'est de voir le nombre de judokas,
26:36 parce que c'est un gros club de judokas, finalement.
26:39 Il y a plus de 300 licenciés en judo, donc je trouve ça assez incroyable,
26:42 avec Violette Vey qui fait un super travail, avec des stages d'été,
26:46 avec plein de belles choses.
26:48 D'ailleurs, je pense qu'on va faire un focus sur la partie judo
26:51 très rapidement à Villars.
26:53 - Merci.
26:54 - C'est vrai que l'aïkido, pour le coup, je n'ai pas eu la chance
26:57 de les rencontrer, mais j'irai à la rencontre de Luc,
26:59 qui a 7 dans aujourd'hui, et un grand passionné d'aïkido,
27:02 une sommité, pour reprendre les mots de Laurent.
27:05 - Alors, si vous voulez bien, on devait avoir aussi quelque chose
27:08 d'un peu exceptionnel, parce que vous avez vu quand même...
27:11 - Vous voulez être raccord ? En fait, j'avais envie d'être raccord
27:13 avec votre invité. - Il m'en manque un.
27:15 - On va parler tenue, vestimentaire, pour les JO de 2024, en judo.
27:20 - Les kimonos, exactement. - D'où le sujet de Parle-au-Club.
27:23 - Vous savez où ils sont faits, les kimonos ?
27:25 J'ai une piste dans la Loire, vous me dites, vous n'avez pas...
27:28 Où ça ? Dans la Loire !
27:30 A Rosy en Donzy, exactement, et ça sera le tissu officiel,
27:35 les kimonos officiels des Jeux Olympiques.
27:37 - C'est l'invité qu'on reçoit tout de suite ?
27:38 - Non, c'est un Lyonnais, et je n'aime pas les Lyonnais,
27:40 et il a décidé de pas venir, donc du coup, on s'est un peu embrouillés.
27:43 Voilà, donc voilà. Mais par contre, en Rosy en Donzy,
27:45 j'ai pas de problème. - Très bien.
27:47 - Exactement. Merci à vous, Annaïlle. Dans quelques instants,
27:50 on a l'invité Ludovic. On reçoit qui ?
27:52 Notre champion de la Loire de ? - De cross, Julien.
27:54 - Il s'appelle comment ? - Il s'appelle Samuel Lug.
27:57 - Eh ben, tout de suite.
27:59 - Salut Samuel. - Salut.
28:05 - Ça va ? - Ça va, ça va, très bien.
28:07 - Bien. On est pas mal ? Bien installés ?
28:09 - On est parfaits.
28:11 - Donc Samuel, champion de la Loire de cross cadet junior.
28:14 - Tout frais, là ? Ça date de quand ?
28:17 - Non, ça date de... Ça fait un petit mois maintenant, je peux en avoir ?
28:19 - Un petit mois, oui. - Ça va, c'est tout frais.
28:21 - Ouais, c'est pas long. - Dans des conditions, en plus,
28:23 il y avait de la boue, c'était dégueu, non ?
28:24 - Non, c'était bien. C'était beau parcours au parc Jean-Marc.
28:27 - On aime quand ça glisse. - On aime.
28:29 - C'était un vrai cross, c'était bien.
28:31 - On est là avec tes cahiers pour nous dire un petit peu
28:33 comment tu vois ta saison à venir. On est juste au début,
28:35 donc comment tu vois 2024 ? Parce que je vois que t'as touché un petit peu à tout.
28:38 T'as fait un petit peu de montagne, t'as fait un peu de steep,
28:41 t'as fait même un 10 km en 30... 37 ?
28:45 - Ouais, c'est ça.
28:46 - Donc comment tu vois ta saison ?
28:48 - En 37 ou en 30-37 ? - 30, bien sûr.
28:50 - C'est solide, ça. Tu peux faire mieux encore ?
28:52 - Ouais, bien sûr. On peut toujours progresser.
28:54 - Tu vois ta saison comment, ce dessiné, en tout cas, pour ce qu'il fait ?
28:57 - Au début, c'était plutôt axé sur la route.
29:00 Après, on est passé au cross à partir de décembre.
29:03 - Pareil, la route et le cross, on n'est pas...
29:05 - Non, ce n'est pas les mêmes préparations.
29:07 Mais là, du coup, ce week-end, il y a les championnats régionaux de cross.
29:10 Les demi-finales qualificatives pour les championnats de France
29:13 qui se dérouleront en début mars.
29:15 - Ça, ce n'est pas vous, ça, parce que à moins que vous ayez un petit haut...
29:18 Mais quand on dit cadet, c'est juste... Vous avez quel âge ?
29:21 - Un cadet, c'était encore au collège, lycée, je ne sais même plus.
29:26 Mais ça remonte, ça remonte. - Ça remonte, ça.
29:28 - Non, mais non, il est champion de la Loire, je dis, senior.
29:31 - Il y a 20 ans, Samuel. - C'est ça.
29:33 - Et là, du coup, cross, et après, tu enchaînes quoi ?
29:36 Tu vas refaire un peu de la route ou tu vas enchaîner sur la piste ?
29:38 - Je ne sais pas encore. Il y a les championnats de France
29:41 de 10 km qui se déroulent dans la Loire, à Rouen, cet été.
29:44 Donc, je ne sais pas encore, mais sinon, ça sera sur 3 000 m steeple.
29:48 - Et qui ? - C'est quand il y a l'eau.
29:50 - Oui, les barrières, la misère, tout ça. - C'est quand même bien.
29:53 - Et au niveau de ta saison, tu la dessines comment ?
29:55 C'est toi qui dessine ? T'as tes entraîneurs ?
29:58 - Mon entraîneur, c'est Thibaud Nael. - Voilà, c'est ça.
30:01 - Qui est un très bon... - Donc, on voit avec lui en début de saison.
30:04 Pour l'instant, je finis par les championnats de France.
30:07 Après, on verra pour la piste, la programmation, mais on verra ça avec lui.
30:11 - Le FAC, en plus, c'est un très bon club formateur.
30:14 - Ça, c'est sûr. On peut le voir en termes de résultats pour les cross.
30:18 On est le club de la Loire avec le plus de qualifiés pour les régionaux.
30:22 Et je pense qu'aux France aussi. Donc, c'est cool. Très bon club.
30:25 - Et ton papa, au niveau d'entraînement, il t'aide un petit peu ?
30:28 C'est un peu compliqué ou il laisse totalement faire Thibaud ?
30:31 - Non, il laisse faire Thibaud amplement. Il l'a entraîné.
30:34 Je pense qu'il connaît Thibaud. Il sait comment il entraîne.
30:37 - Pourquoi vous parlez du papa ? Parce qu'il court avec le papa ?
30:40 - Oui, il court. C'est sûr, il a couru.
30:43 - Il a quelques chronos à son effectif. - Il y a une histoire de famille là-dedans.
30:48 - Je crois que ça a démarré il y a pratiquement 50 ans.
30:51 - C'est tout ? - Comme le judo.
30:53 - Il était presque plus connu par ta grand-mère.
30:56 En tout cas, notre génération, on connaissait tous très bien ta grand-mère
31:01 qui était déjà athlète à l'époque. - Jeannine.
31:04 - Jeannine, qui a été dirigeante, qui a été au micro aussi longtemps.
31:07 Tu as des souvenirs de ta grand-mère quand tu courais au micro ?
31:10 - Oui, bien sûr. Après, ça remonte quand même.
31:13 Elle est partie en 2015. Mais c'est sûr, il y a énormément de souvenirs,
31:17 d'émotions en y pensant. C'est sûr.
31:20 C'est toujours une personne qui est là. Je pense tout le temps à l'athlète.
31:24 - Et toute la famille a couru après ? - Il y a la maman, la soeur.
31:28 - Il y a la soeur. - Et son papa, qui a fait 2e à Saint-Élion,
31:31 si je ne me trompe pas. C'est quand même toute une famille de "champions".
31:35 - Qui est meilleur, c'est toi ou ton père ? - Je ne sais pas.
31:38 - Il l'a dit. - D'après ton père, tu ne l'as pas rattrapé.
31:42 - Il y a encore quelques chronos. - Ça ne va pas tarder, j'espère.
31:46 - C'est en cours.
31:48 - Les objectifs, juste pour finir. C'est quoi dans ta tête ?
31:52 Tu te laisses aller, tu écoutes ton corps ?
31:54 - En ce moment, la forme est là. Il ne faut pas le cacher, je le sais, je le sens.
31:58 Il y a les régionaux. L'objectif, c'est de faire un beau truc en individuel
32:02 et surtout par équipe. On a une belle équipe sur Crocelon,
32:05 avec les gens de mon groupe. Et après, les France 2 Croce,
32:08 faire la meilleure passe possible en espoir.
32:11 - Avec les résultats qui sont arrivés, qui se sont enchaînés,
32:14 tu sens que ta phase de préparation a changé, ton mode de préparation
32:17 et d'entraînement a changé ? - Oui, c'est sûr.
32:19 Là, on arrive ce week-end, les régionaux.
32:21 On a fait pas mal de blocs d'entraînement.
32:23 On a monté un peu en volume en termes de kilomètres et les séances aussi.
32:27 Et là, la semaine de compétition, on redescend un peu pour faire du jus.
32:30 Après, on repartira un peu sur un autre bloc pour arriver en forme aux France.
32:33 - Ludo fait beaucoup de jus aussi en ce moment.
32:35 - Moi, je fais pas mal de coupures. - Il fait des coupures aussi ?
32:37 - Oui, après, les France, il faudra couper avant de repartir sur la piste.
32:40 - Et qu'est-ce que ça s'appelle une coupure ?
32:42 - On coupe une semaine sans rien et après, on reprend progressivement.
32:46 - Ah, d'accord. - On fait des grosses coupures.
32:48 - Moi, j'ai fait deux mois. - Après, c'est l'été.
32:50 On coupe un peu plus.
32:51 - Il y a une grosse actualité aussi.
32:53 Je sais pas si vous avez suivi un petit peu.
32:55 C'est le retour du marathon de la bière.
32:57 On parle du marathon, mais de la bière, c'est quand même festif.
33:00 - Oui, c'est un très gros événement. - L'affiche a été dévoilée.
33:02 - Ils sont partis très fort. Ils ont dévoilé l'affiche mercredi.
33:05 Et c'est une belle équipe.
33:07 C'est une belle équipe qui, avec un très bon soutien
33:10 de toutes les communes, de la communauté de communes.
33:13 Et puis, ça se passe sur Montbrison.
33:15 Le maire qui, au début, était un peu...
33:17 Puis finalement, après une première édition,
33:19 qui a vu avec plus de 10 000 participants.
33:23 - C'était quelque chose... - Énorme pour une première édition.
33:25 - Alors, il n'y a pas 10 000 sur la course. - Non.
33:27 - C'est pas 10 000 sur la course, mais entre le salon de la bière,
33:29 entre la marche gourmande, c'est 10 000 personnes.
33:31 Donc, c'est un événement qui est...
33:33 - Ça brasse un peu le monde, ça, en mauvais jeu de mots.
33:35 - Il y était. Tu l'as dit.
33:37 - Exactement.
33:38 - On y était avec les clients. En plus, il y avait la chance.
33:40 - Et c'est peut-être pour ça que l'affiche...
33:42 Vous êtes d'ailleurs l'un des organisateurs.
33:44 L'affiche représente forcément la Grèce, la Grèce antique.
33:46 - Oui, G.O. ! C'est un peu...
33:48 On a essayé de jouer un petit peu avec tout ça.
33:50 On peut écouter le directeur de course, Guillaume Bailly,
33:52 et le maire de Montbrison.
33:54 - Le Marathon de la Bière rallume la flamme.
33:56 2024, c'est une année particulière pour tout le monde,
33:58 pour tous les Français.
34:00 On n'a pas trop hésité, à vrai dire,
34:03 pour le thème de l'édition 2.
34:06 Donc, ce sera la Grèce antique, l'olympisme,
34:08 les 12 travaux d'Hercule.
34:10 - On a ramené la distance marathon dans la Loire.
34:12 On a ramené un marathon à Montbrison,
34:14 une distance officielle.
34:16 On a aussi un 10 km, un semi-marathon.
34:18 On fait de la course loisir,
34:20 de la course accessible à tous,
34:22 mais on a aussi un petit côté performance.
34:24 Et voilà, l'année des Jeux, il fallait qu'il y ait
34:26 un lien avec les Jeux olympiques.
34:28 Montbrison va devenir Montbrisono,
34:30 sous le ton d'un week-end.
34:32 - C'est une super nouvelle, un super événement
34:34 qui monte en puissance.
34:36 Plus de 10 000 personnes l'année dernière,
34:38 c'est remarquable.
34:40 L'ambiance est exceptionnelle.
34:42 C'est vraiment une ambiance bon enfant.
34:44 On a une série d'alignements de planètes
34:46 sur des événements où le forêt et la Loire
34:48 sont de plus en plus connus et reconnus.
34:50 Je rappelle que cette équipe est venue
34:52 me rendre visite dans mon bureau
34:54 pour me demander si la ville acceptait de les recevoir.
34:56 C'est un sacré challenge, mais c'est un challenge réussi.
34:58 - L'édition 2 démarre aujourd'hui.
35:00 On a envie que ce soit une belle fête,
35:02 que ce soit 3 jours de fête sur Montbrison,
35:04 mais aussi sur tout le département de la Loire.
35:06 Je pense que ce thème, il plaira à tout le monde,
35:08 surtout avec une année aussi particulière.
35:10 - C'est votre distance, c'est prévu ?
35:12 - 10 km.
35:14 - 10 km, oui.
35:16 - C'est peut-être intéressant.
35:18 - C'est dans la plaine, c'est pas très loin.
35:20 - Non, c'est pas très loin.
35:22 Et puis ça a été un gros événement l'année dernière,
35:24 donc pourquoi pas.
35:26 - En tout cas, bravo à toi.
35:28 - Merci, on peut l'applaudir bien sûr.
35:30 - Après une victoire,
35:32 on ondule, on danse un peu ou pas ?
35:34 - Pas moi.
35:36 - Strait Jazz, ça te parle ?
35:38 - Euh, vite fait.
35:40 - Dans quelques instants,
35:42 Katarina va nous expliquer ce que c'est que le Strait Jazz.
35:44 - Katarina !
35:52 - Vous êtes le créateur de MZ Studio
35:54 avec votre conjointe Céline,
35:56 et vous organisez prochainement
35:58 le concours de danse international
36:00 Nova, le 13 et 14 avril prochain,
36:02 dans lequel il y aura donc des disciplines
36:04 comme le classique, le jazz, le contemporain,
36:06 le hip-hop et d'autres.
36:08 Est-ce qu'il y a des critères de sélection ?
36:10 - Alors, il n'y a pas de critères de sélection,
36:12 étant donné que c'est un concours ouvert à tout niveau.
36:14 On a aussi bien des amateurs
36:16 que des pros.
36:18 Et d'ailleurs, en professionnel, on a Monsieur Rivère
36:20 qui va venir nous rejoindre en invité d'honneur cette année.
36:22 - C'était ma question,
36:24 c'est-à-dire si Julien pouvait s'inscrire dès maintenant du coup.
36:26 - Mais il est déjà inscrit, d'office.
36:28 Il est en finale déjà.
36:30 - Il n'y a pas de critères de sélection.
36:32 - On va voir la fiche qui va s'afficher.
36:34 - Elle est devant vous, la fiche.
36:36 Voilà, elle est là.
36:38 C'est quand les dates ?
36:40 - 13 et 14 avril prochain.
36:42 Si vous souhaitez vous inscrire.
36:44 - On ne va pas hésiter.
36:46 - Donc maintenant, on va voir Ania et Sarah
36:48 qui vont faire une démonstration de jazz-funk,
36:50 inspirée des années disco,
36:52 années 80.
36:54 On va bien commencer, si vous voulez bien ?
36:56 - Allez, très bien, on les applaudit.
36:58 - On va voir.
37:00 (musique)
37:02 (musique)
37:04 (musique)
37:06 [Musique]
37:13 [Musique]
37:38 [Musique]
38:06 Incroyable ! Eh ben on est bien loin de ce qu'on pensait, on pensait ce que c'était le jazz.
38:12 Ah ouais, moi je fais mon Mario avec mon Madison.
38:15 Ah ouais exactement. Bon bah voilà, on s'inscrit la semaine prochaine ou pas ?
38:20 Pourquoi pas.
38:21 Exactement, moi juste corps tout me va. Voilà, merci d'avoir suivi cette émission.
38:25 Si vous voulez revoir cette émission facile et en replay, on est présents sur toutes les box
38:29 et on vous dit dans 15 jours, le 4 mars exactement et vous verrez on a déjà nos invités,
38:34 c'est déjà calé et ça va être du très lourd. Allez, dans 15 jours, bisous, bye bye !
38:39 [Musique]

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