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00:00 -Télé maternelle, vous avez vu, on est une équipe assez atypique ce matin.
00:04 D'abord, non, Agathe n'est pas là ce matin.
00:06 On l'embrasse très fort.
00:08 Elle est juste un peu fatiguée, un peu malade.
00:10 Demain, ça sera votre émission habituelle.
00:12 Puis vous avez vu, il y a du monde aujourd'hui.
00:15 On s'est un peu invitées.
00:17 On a récupéré les invités de Télé mater.
00:19 -C'était une grande maison. -Exactement.
00:22 Sophie rêvait d'être avec nous.
00:24 -Je t'appelle Virginie. -Virginie, pardon !
00:26 -Même si je m'appelais Sophie, j'étais...
00:29 -Je m'appelle Virginie, je suis ravie de la vie.
00:32 -On est tous ensemble.
00:33 Vous allez retrouver le cadre habituel de l'émission.
00:36 On va parler de tous les petits tracas,
00:37 les soucis de la vie quotidienne en famille.
00:39 Ne vous inquiétez pas, tout sera là.
00:42 Dans un instant, vous allez entendre l'histoire d'Aurélie.
00:44 On l'a un peu toute vécue, je pense, sur ce plateau, et tous, d'ailleurs.
00:47 Pas toi encore. -Pas encore.
00:49 -Vous savez, quand vous avez déjà un enfant
00:51 et que vous avez prévu d'agrandir la famille,
00:53 l'arrivée du deuxième, ça perturbe beaucoup.
00:55 Pas le couple, cette fois. L'aîné, on est bien d'accord ?
00:58 La jalousie s'installe. Ouh là là !
01:00 -C'est un cauchemar. Aurélie l'a vécue,
01:02 mais vraiment, elle l'a vécue... C'était un enfer.
01:04 On en parle tout à l'heure. Yasmine !
01:07 -Oui ?
01:08 -Ravie de te retrouver. -Oui, moi aussi.
01:10 -Ca va bien ? T'es très à l'aise avec ton thé ?
01:12 -Comme d'habitude. Je suis chez moi, quand même.
01:15 Dans la deuxième partie de l'émission,
01:17 on continue à parler des enfants qui grandissent, des ados.
01:20 Grande question, ce matin, c'est...
01:23 Est-ce qu'ils croient en leur avenir ?
01:25 C'est difficile, parce que c'est une période de transition,
01:28 et faire les choix, à ce moment-là, c'est le plus compliqué.
01:30 -A vous, Yasmine.
01:31 Jonathan, tu crois encore en ton avenir ?
01:33 -Non, moi, c'est Francis.
01:35 (Rires)
01:36 Je crois en mon avenir.
01:38 En tout cas, j'essaie d'y croire, je m'y accroche.
01:40 Il reste plus beaucoup de temps. -Ca va aller.
01:44 -C'est futile.
01:45 -Marie Perrano, vous inquiétez pas, c'est la sauveuse des enfants.
01:48 -Je suis très déçu par l'escalier.
01:49 -Il y a l'escalier qui ne mène à rien.
01:51 -Je regarde l'émission, je vois le décor que j'adore,
01:54 je vois cet escalier, je me dis où il mène.
01:56 -On ne dévoile pas tout.
01:57 -C'est la chambre. -C'est ma chambre.
01:59 -D'accord.
02:00 -Alors, Marie, de quoi va-t-on parler ?
02:03 -C'est ma chambre où je stocke tous mes petits outils.
02:05 Aujourd'hui, on va aller vers l'apprentissage de la marche,
02:07 comment on peut aider luthiquement, évidemment,
02:09 nos enfants à lâcher notre petit doigt pour avancer.
02:11 -Surtout quand on est en levante.
02:12 -Qu'ils sont tout petits, c'est fantastique.
02:14 -Et en même temps, est-ce que ça sert à quelque chose, de marcher ?
02:16 (Rires)
02:17 -Au temps, on rentre.
02:18 (Rires)
02:19 -Vous, ma vie.
02:21 -Oussem. -Oui.
02:22 -On ne se connaissait pas. Je suis ravie.
02:24 -Enchanté, Eglantine.
02:25 Moi, j'ai toujours gardé quelqu'un près de mon cœur.
02:27 On ne sait jamais auquel jour.
02:28 -Oh là là, mais quel caillou !
02:29 -Ecoutez, c'est comme ça, c'est de l'amour que j'ai pour Agathe.
02:31 On l'embrasse.
02:32 En début de deuxième émission, Xavier Alberti,
02:34 c'est un responsable du Haut conseil à l'égalité,
02:35 qui va revenir avec nous sur ce chiffre qui fait un peu flipper,
02:37 qu'on a vu il y a quelques jours,
02:39 sur la montée du sexisme en France.
02:40 Donc, on fera un petit point là-dessus.
02:42 Et puis, n'oubliez pas le 41555 pour envoyer des messages,
02:44 ou via tous les réseaux sociaux de la Maison des Matins d'Elles.
02:46 Je suis ravi d'être à côté de Magali.
02:48 C'est vraiment...
02:49 -Allez voir Nathalie.
02:50 -On m'appelle tout le temps Clémentine.
02:51 Moi, je ne dis rien, c'est pas grave.
02:53 Allez, Oussem, vous gardez la parole,
02:54 puisque dans un instant, c'est l'actu douce.
02:56 C'est joli, ça, l'actu douce.