• il y a 11 mois
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00:00:00 France 3, Nouvelle Aquitaine.
00:00:02 Ici, c'est France Bleu Périgord.
00:00:09 A la radio, sur l'appli Ici, tous les réseaux, et sur France 3.
00:00:14 Bienvenue sur France Bleu Périgord et bienvenue aussi aux téléspectateurs de France 3 qui nous rejoignent ce matin.
00:00:19 Bonjour Louis De Vergevin. Bonjour Benachomo. Bonjour Lisa Guinnick. Bonjour Benoît, bonjour à tous.
00:00:24 Nous sommes le 23 janvier, il est 7h, bon réveil avec nous sur France Bleu Périgord et sur France 3.
00:00:29 Le journal Louis De Vergevin. On commence par faire un point sur la météo Benoît, avec du brouillard ce matin.
00:00:40 Oui exactement, c'est ce que vous nous indiquez, notamment sur la route entre Périgueux et Agonac ce matin,
00:00:44 également sur les hauteurs de la Roche-Beaucour et Argentine.
00:00:47 Comment ça se passe chez vous ? Vous nous laissez vos commentaires sur la page Facebook de France Bleu Périgord.
00:00:51 Et en cas de difficulté, vous nous appelez ce matin au 0553538282, c'est Ève qui vous accueille.
00:00:58 La colère des agriculteurs gagne la Dordogne.
00:01:03 Oui voilà, plusieurs jours qu'ils bloquent des routes à Montpellier, Toulouse ou Perpignan.
00:01:08 Mais ce matin, la coordination rurale, la FNSEA et les jeunes agriculteurs de Dordogne
00:01:13 appellent aussi à des rassemblements sur les routes du Périgord.
00:01:17 On est en direct justement avec le président de la coordination rurale en Dordogne.
00:01:21 Bonjour Éric Chassagne. Bonjour.
00:01:24 Vous allez bloquer quelle route ce matin en Dordogne ?
00:01:28 Alors sur le circuit de Bergerac, pour le moment la National 21.
00:01:32 Sur Thivier également, voilà pour les points de blocage aujourd'hui.
00:01:37 Qu'est-ce que vous allez faire ? L'objectif c'est d'arriver de mettre vos tracteurs au milieu de la route,
00:01:42 déverser du fumier, mettre des pneus, c'est ça ?
00:01:45 Voilà, tout à fait. L'objectif c'est d'entraver la circulation,
00:01:49 pas de blocage total définitif de façon à ne pas pénaliser non plus les gens qui circulent sur cette route,
00:01:55 mais manifester notre mécontentement et faire savoir que les agriculteurs sont étouffés à petit feu
00:02:00 et qu'on veut des solutions pour le revenu des agriculteurs.
00:02:04 Et ça va commencer à partir de 10h, c'est ça l'objectif ?
00:02:07 C'est de ne pas forcément pénaliser les gens qui vont au travail ?
00:02:10 Voilà, tout à fait.
00:02:12 Quelles sont les revendications que vous portez pour ces actions ?
00:02:17 Les revendications émanent de compression des prix et de hausse globale des charges de l'agriculture.
00:02:25 Les agriculteurs ont le sentiment d'être étouffés à petit feu
00:02:30 et veulent des mesures qui leur permettent de vivre dignement de leur métier.
00:02:36 En fait, ce qui a mis le feu aux poudres globalement, c'est une modification,
00:02:41 une énième modification de la PAC, avec des engagements de la part de l'État qui n'ont pas été tenus en termes de compensation de prix.
00:02:49 Donc la PAC c'est la politique agricole commune ?
00:02:52 Oui, pardon, la politique agricole commune.
00:02:54 Et également une surtaxation du gasoil non routier,
00:02:59 donc le gasoil qui sert pour nos tracteurs et nos outils.
00:03:03 Donc qui prévoit de multiplier par 6 l'éco-taxe qui frappe ce taxe de gasoil.
00:03:10 Donc des augmentations de charges, des pénalisations écologiques
00:03:15 face auxquelles nous n'avons pas de solution, parce que nous sommes contraints d'utiliser notre matériel
00:03:20 et nous n'avons pas de solution de tracteurs électriques ou d'hydrogène par exemple.
00:03:25 On a l'impression que ces revendications, vous les portez depuis des années, que c'est un petit peu toujours les mêmes ?
00:03:31 Tout à fait, ce sont les mêmes.
00:03:33 Et malheureusement, j'en veux pour preuve un rapport sénatorial qui a été commis il y a un an ou deux ans,
00:03:40 en l'occurrence par le sénateur de la Dordogne Serge Mériou,
00:03:44 qui apporte la preuve du manque de compétitivité, de la perte de compétitivité de l'agriculture française.
00:03:50 Donc rien n'est mis en place pour donner à la France,
00:03:55 ou redonner à la France cette capacité de production et de souveraineté alimentaire.
00:04:00 Parce qu'il faut quand même rappeler que les agriculteurs nourrissent la population
00:04:04 et qu'on s'est rendu compte, à la période Covid, que quand on était interdépendant des autres pays,
00:04:12 il était urgent, et que c'est une arme alimentaire, que de disposer de sa propre alimentation.
00:04:17 Donc il faut pouvoir mettre en œuvre des moyens qui permettent aux agriculteurs de vivre et de nourrir sa population.
00:04:24 Merci beaucoup Eric Chassagne, président de la coordination rurale en Dordogne.
00:04:30 Vous allez donc bloquer à partir de 10h, plusieurs routes, notamment la N21 au niveau de Bergerac,
00:04:36 et une route à Thivier. Et puis ce matin, on vous pose la question à vous auditeurs sur ce sujet.
00:04:42 Est-ce que vous comprenez la colère des agriculteurs ? Est-ce que vous les soutenez ?
00:04:46 Vous pouvez nous appeler dès maintenant pour réagir au 055353828282.
00:04:51 L'inflation alimentaire a augmenté plus vite que pour les autres produits.
00:04:54 On est plus 11,9% sur l'année 2023, selon l'observatoire de l'association de défense des consommateurs familles rurales.
00:05:01 C'est plus que l'inflation générale qui s'est établie à 4,9%.
00:05:05 L'association note également que de nombreux produits, des produits sains pour notre santé, ont été particulièrement touchés par l'inflation.
00:05:12 Le riz a par exemple pris 20%. Les carottes ont augmenté de 40%.
00:05:18 La ministre de la Culture a visité Nontron. Rachida Dati était en périgord vert hier,
00:05:23 pas pour faire des annonces, mais pour montrer qu'elle n'est pas seulement candidate à la mairie de Paris,
00:05:28 c'est la culture populaire qui l'intéresse, a-t-elle déclaré.
00:05:31 Alors elle a tout visité, la médiathèque, le cinéma, le pôle des métiers d'art.
00:05:35 Marc Bertrand, elle s'est même arrêtée à la boulangerie de Nontron.
00:05:38 Rachida Dati remonte la rue au pas de charge, sous la pluie battante,
00:05:42 bras dessus, bras dessous, avec la mère de Nontron, comme deux copines sous leur parapluie.
00:05:46 C'est un lundi, vous n'avez pas choisi la meilleure journée, il pleut.
00:05:50 Impeccable sur toutes les photos, la ministre est comme en campagne,
00:05:53 elle salue les gendarmes trempés, les gens aux fenêtres.
00:05:56 Bonjour, bonjour, bonjour, bonjour.
00:05:59 Elle aperçoit les boulangères qui la regardent passer depuis la boutique.
00:06:03 On n'a pas le temps, mais bon, je vais dire bonjour aux boulangères.
00:06:06 - Elles sont bien ou bien bien ? - Un quinze.
00:06:09 - Un quinze ? Ah oui, la tradition. - Le boulanger tout rouge, dans ses crocs blanches.
00:06:13 - Elle est très très charmante. Vous voulez vélico ? - Enchanté de la connaître.
00:06:16 La visite prend du retard, les conseillers s'affolent, pas la ministre.
00:06:19 Rachida Dati choisit le petit cinéma de la ville pour passer un message.
00:06:24 Voilà, la culture, c'est pas Paris, même si je suis élue parisienne.
00:06:27 Et moi, vous me connaissez, je ferai le job.
00:06:30 Elle n'a rien annoncé ou presque, mais dans la salle, tout le monde est ravi.
00:06:33 - Elle est parfaite. - Elle est parfaite.
00:06:36 Même pas le temps de manger, les voitures noires de la ministre repartent,
00:06:39 le responsable du cinéma peut souffler.
00:06:41 C'est la force des politiciens, ils sont très très convaincants en très peu de temps.
00:06:44 Bon, après, on parlera un peu de nous, mais non, ce ne sera pas un changement radical.
00:06:49 Rachida Dati est repartie avec un couteau de montron en cadeau,
00:06:53 mais rien des ateliers Hermès de la ville.
00:06:55 Il n'y a pas eu d'incident pendant la visite,
00:06:57 seul un homme qui s'est présenté avec un panneau sur lequel il était marqué "culture casserole".
00:07:01 Il a été éloigné par les gendarmes.
00:07:04 Va-t-il y avoir du changement dans les hôpitaux de Dordogne cette année ?
00:07:07 Ça fait maintenant 8 mois qu'on doit appeler obligatoirement le SAMU avant de se rendre aux urgences.
00:07:12 La régulation qui aurait dû se terminer cet automne est toujours active.
00:07:16 On en parle donc avec notre invité.
00:07:18 A 8h moins le quart, c'est le directeur de l'agence régionale de santé en Dordogne,
00:07:21 Didier Couteau, qui sera dans les studios de France Bleu Périgord.
00:07:25 La France est déjà qualifiée en demi-finale de l'Euro 2 en deballe.
00:07:28 Déjà parce qu'elle n'a pas encore joué son dernier match dans le premier tour.
00:07:31 Hier, les Bleus ont battu l'Autriche 33 à 28,
00:07:35 ils sont assurés de finir premiers de leur groupe.
00:07:38 Ils affronteront la Suède tenant du titre en demi-finale vendredi.
00:07:42 Plus de 61 kilos de truffes apportées hier au marché contrôlé de Saint-Alvers.
00:07:46 Ils ont été vendus à un prix moyen de 700 euros le kilo, dont 38 kilos en première catégorie.
00:07:51 La maturité des truffes qui est jugée très bonne par les spécialistes.
00:07:55 Il paraît qu'elles ont un beau parfum cette année, ces truffes.
00:08:00 On est encore dans la saison.
00:08:01 Pour la météo, Benoît, aujourd'hui c'est du brouillard et de la pluie.
00:08:04 Oui, exactement. Non, pas de pluie.
00:08:07 Du brouillard et de la grisaille, je voulais dire.
00:08:09 Oui, c'est ça. On est tellement habitués à avoir de la pluie tous les jours.
00:08:13 On n'en remet pas. Du brouillard effectivement ce matin.
00:08:16 Prudence sur la route, il fait 7 degrés à Mialet avec un ciel assez chargé chez Stéphane,
00:08:21 11 degrés avec un ciel couvert chez Gislain.
00:08:24 C'est nuageux à Colis-Saint-Amant avec 7 degrés, 8 chez Patrick ce matin.
00:08:28 A Saint-Médard-de-Mucydan, on a 10 degrés chez Christian pour l'instant.
00:08:31 Et puis 8 degrés à Sarla ce matin chez Françoise.
00:08:36 Vous aussi, vous nous rejoignez sur la page Facebook de France Bleu Périgord.
00:08:38 En cas de difficulté sur votre trajet ce matin, un petit coup de fil au 05 53 53 82 82.
00:08:44 Pour la suite de la journée, de la grisaille effectivement,
00:08:47 mais ça devrait rester sec selon les prévisions de Météo France,
00:08:50 avec 9 degrés attendus à Sarla cet après-midi, 11 degrés à Nontron, 12 à Périgueux et à Ribérac,
00:08:57 12 degrés également à Verre et à Neuvique.
00:08:59 Et puis 13 degrés, ce sera la maximale aujourd'hui pour Bergerac et Montpont-Ménestérole.
00:09:04 La météo 100% locale avec Cerise Technique.
00:09:07 Experts depuis 30 ans en pompe à chaleur, climatisation, photovoltaïque, chaudière bois,
00:09:11 électricité et bande de recharge à Ménesplet et sur cerise-technique.com.
00:09:15 7h09, bon réveil avec nous sur France Bleu Périgord et sur France 3.
00:09:25 On va entrer dans la grotte de France Bleu Périgord ce matin à 7h20
00:09:29 pour vous offrir un pass spécial 40 ans de la fabrique de Saint-Astier.
00:09:33 C'est l'anniversaire de la fabrique avec un gros week-end organisé avec pas mal de représentations.
00:09:38 On va vous offrir des places pour deux spectacles ce matin,
00:09:41 je vous en dirai plus dans les prochaines minutes et vous pourrez jouer avec nous au 05 53 53 82 82.
00:09:48 Mais d'ici là, j'ai un chiffre à vous proposer.
00:09:50 Notre chiffre du jour, c'est 80% des touristes étrangers qui ont eu envie de venir visiter la France pour une raison bien précise.
00:09:59 80% des touristes étrangers qui viennent en France pour ça.
00:10:03 Je vous laisse réfléchir et vous me faites vos propositions dans les prochaines minutes.
00:10:06 C'est une raison qui est à Paris ?
00:10:07 Pas que.
00:10:08 Cette année ? C'est une raison qui est intéressante cette année ?
00:10:13 C'est pas sur les JO.
00:10:14 Je pense qu'on avait la même idée avec lui.
00:10:16 Ça a marché il y a 5 ans, ça marchera dans 5 ans. 80% des touristes étrangers qui viennent en France pour ça.
00:10:21 On réfléchit pendant encore quelques minutes et on débriefe ça dans les prochaines minutes après.
00:10:25 Jamy Rocquaille pour la musique à 7h10 sur France Bleu et France 3.
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00:13:51 Un gros succès de 1995, Jamy Rocquaille avec Space Cowboy sur France Bleu, Périgord et France 3.
00:14:02 À 7h13, l'heure de parler emploi avec Christophe Tasté qui nous rejoint chaque matin. Bonjour Christophe !
00:14:07 Bonjour Benoît, bonjour à tous !
00:14:09 Et avec d'abord une offre d'emploi dans la région du Landais ce matin.
00:14:12 L'entreprise Short Bâtiment Plâtrerie au Laiche recrute des plâtriers en bâtiment dotés d'une expérience confirmée et du permis B.
00:14:22 Ses postes, offerts donc à diverses personnes en peinture et en plâtrerie, sont à pourvoir immédiatement.
00:14:29 À Perigueux, Thermic Services recherche un technicien de maintenance chauffagiste pour un CDI temps plein avec deux ans d'expérience et un CAP ou BEP
00:14:42 ou bien encore un diplôme équivalent en installation thermique et sanitaire.
00:14:47 Enfin, la ville de Bergerac recrute actuellement un secrétaire médical pour le centre municipal de santé,
00:14:55 un cuisinier polyvalent, un gestionnaire de la commande publique et un archiviste.
00:15:02 Merci Christophe ! On retrouve ces offres d'emploi sur le site internet de France Bleu Perigord et sur l'application ici.
00:15:08 L'emploi avec la CAPF d'Ordogne, première organisation professionnelle du BTP, défend, représente, forme et accompagne les entrepreneurs du bâtiment.
00:15:16 Vous restez avec nous, le 6/9 continue dans quelques instants sur France Bleu et France 3.
00:15:20 Ici Matin, revient dans un instant.
00:15:25 À six mois de la cérémonie d'ouverture de l'événement sportif le plus suivi au monde,
00:15:29 Dimanche en Politique vous propose une émission spéciale Jeux Olympiques de Paris.
00:15:33 Alors que Bordeaux sera la seule ville de Nouvelle-Aquitaine à accueillir des épreuves, comment se préparent les athlètes ?
00:15:39 Quels sont leurs rêves avant la plus grande compétition de leur vie ?
00:15:42 Sans oublier les retombées des Jeux mais également le coût que cela représente.
00:15:47 Dimanche en Politique, émission spéciale Jeux Olympiques 2024 depuis le Crépus de Talence, dimanche à 10h35 sur France 3.
00:15:57 Chaque samedi à 12h30 sur France 3, Rugby Magazine.
00:16:02 Chaque semaine, vivez au rythme du ballon ovale.
00:16:05 Depuis les pelouses du Top 14 jusqu'aux plus petits clubs amateurs, partez à la rencontre des passionnés de l'ovalie.
00:16:12 Rugby Magazine, pour plonger dans la mêlée, samedi à 12h30 sur France 3.
00:16:18 7h16 sur France Bleu Périgord et France 3, bienvenue si vous nous rejoignez.
00:16:33 On a un chiffre du jour ce matin, c'est 80% des touristes étrangers qui ont eu envie de venir visiter la France pour une raison bien précise.
00:16:40 Laquelle ? Je vous le demande, Lisa, Louis ?
00:16:43 Je vais pas faire original la Tour Eiffel.
00:16:46 Non, c'est pas ça.
00:16:47 Vous avez dit que c'était pas que Paris.
00:16:49 Non, c'est pas que Paris.
00:16:50 Paris notamment, ça serait pas la gastronomie ?
00:16:51 Non, c'est pas la gastronomie.
00:16:53 Non, c'est pas la gastronomie ni la Tour Eiffel.
00:16:54 Le Mont-Saint-Michel ?
00:16:55 C'est pas un lieu précis, c'est un ensemble d'endroits.
00:16:57 L'élégance française ? Bah non.
00:16:59 Non, c'est pas l'élégance française.
00:17:01 Un ensemble d'endroits.
00:17:02 Les musées ?
00:17:03 C'est plusieurs endroits.
00:17:04 Les supermarchés ?
00:17:06 Des endroits qu'on voit dans des...
00:17:08 Films.
00:17:09 Dans des films ou des séries.
00:17:11 Ce sont des décors de films ou de séries qui ont donné envie à 80% des touristes étrangers
00:17:16 de venir visiter la France.
00:17:18 Vous avez des exemples ?
00:17:19 Effectivement, Amélie Poulain qui cartonne toujours avec des belles images de Paris.
00:17:23 On a le film "Impouchable" qui a été tourné à Paris aussi.
00:17:26 Côté séries, ce sont les séries "Versailles" et "Marie-Antoinette"
00:17:29 ou encore "Lupin" et "Emilie in Paris"
00:17:31 qui ont donné envie à ces touristes de venir.
00:17:33 Et 78% d'entre eux comptent, pendant leurs vacances en France,
00:17:36 aller vérifier si les décors sont réels ou pas.
00:17:40 Mais ils sont pas des films.
00:17:42 Si vous regardez "Emilie in Paris"...
00:17:43 Mais il y a des films qui ont été tournés en Jordogne,
00:17:45 donc c'est-à-dire qu'il y a peut-être des gens qui viennent visiter la Jordogne.
00:17:47 Et on en a pas mal, le film de Ridley Scott notamment.
00:17:49 On en a pas mal aussi de décors de films et de séries
00:17:51 qui attirent les touristes étrangers.
00:17:53 80% d'entre eux viennent visiter la France, notamment pour ça.
00:17:56 Le temps pour aujourd'hui, c'est pas un temps d'Emilie in Paris, par exemple.
00:18:01 C'est du brouillard toute la journée, avec du gris.
00:18:04 Il faut sortir le parapluie quoi !
00:18:06 Presque, effectivement.
00:18:08 Avec des températures qui montent jusqu'à 13°C cet après-midi.
00:18:11 Et pas mal de brouillard ce matin, surtout prudence sur la route.
00:18:14 05 53 53 82 82.
00:18:17 Si vous rencontrez des perturbations sur votre trajet, n'hésitez pas.
00:18:21 7h18 sur France Bleu et France 3.
00:18:25 Si vous êtes en train de refaire un sol ou un mur chez vous,
00:18:28 les codes ici de ce mardi vont vous intéresser.
00:18:30 Et même si vous êtes particulier,
00:18:32 on parle d'un distributeur de béton ce matin.
00:18:35 Et le directeur d'Alpha Béton, installé à Lamotte-Montravelle,
00:18:38 a mis limite avec la Gironde.
00:18:40 Et votre invitée, Lisa Guénique.
00:18:41 Bonjour Alexandrion.
00:18:42 Bonjour.
00:18:43 Vous avez proposé ce nouveau service fin novembre.
00:18:45 C'est quoi déjà un distributeur de béton ?
00:18:47 Alors un distributeur de béton, ça sert à distribuer du béton prêt à l'emploi.
00:18:52 Vous venez, vous avez une bande de commandes,
00:18:55 ainsi qu'un terminal de paiement pour les particuliers.
00:18:58 Et vous passez commande, vous payez,
00:19:00 et vous repartez avec votre béton prêt à l'emploi.
00:19:02 Et ça ressemble à quoi ce distributeur-là ?
00:19:05 Il est fait d'une petite cabane pour passer commande.
00:19:09 Ensuite, vous récupérez un ticket avec un QR code.
00:19:12 Et trois minutes après, la première gâchée de béton arrive.
00:19:16 Le béton est déjà mouillé.
00:19:18 Et en contenant, si vous êtes particulier,
00:19:20 vous venez avec votre petite remorque de particuliers.
00:19:24 Nous commençons à 150 litres,
00:19:26 ce qui vous fait entre 2 et 3 brettes.
00:19:28 Donc vous pouvez venir avec votre petite remorque.
00:19:30 Et pour les pros, la quantité n'est pas limitée.
00:19:33 Au maximum, vous pouvez venir en poids lourd.
00:19:35 Et à ce moment-là, vous avez un badge.
00:19:37 Vous ne payez pas sur place.
00:19:39 Vous avez une secrétaire qui vous envoie votre facture en fin de mois,
00:19:42 avec un tarif professionnel.
00:19:43 Mais c'est quoi l'avantage d'un distributeur à béton ?
00:19:45 Pourquoi venir à un distributeur et pas aller traditionnellement
00:19:48 là où on peut acheter son béton ?
00:19:50 En fait, les autres distributeurs, qui sont les centrales à béton,
00:19:54 n'ont pas le même système de quantité.
00:19:57 L'avantage de ce système-là, il est aussi fait pas mal pour le particulier.
00:20:01 Ça lui évite d'aller chercher sa bétonnière,
00:20:03 ses sacs de ciment, sa grave, sa remorque, l'eau,
00:20:06 et de charger sa bétonnière, bien sûr.
00:20:08 Là, vous avez lancé ce service en Dordogne il y a deux mois.
00:20:12 Ça répond à une demande ? Il y avait un besoin sur notre territoire ?
00:20:15 Alors, nous, étant entrepreneurs, travaux publics,
00:20:18 et particulièrement de sols équestres,
00:20:20 nous avions l'utilité de ce béton près de l'emploi.
00:20:22 On l'utilise pas mal sur nos chantiers.
00:20:24 Après, oui, le concept de la machine a été quand même assez séduisant.
00:20:29 Il faut savoir qu'on nettoie cette machine sans eau.
00:20:32 Nous avons un programme de nettoyage à sec.
00:20:35 Nous réutilisons tout le caillou dans la production de béton le lendemain.
00:20:40 Donc, ce système-là était assez séduisant pour ça.
00:20:43 On a un aspect écologique aussi.
00:20:45 Vous êtes assez fier de ce système de nettoyage interne.
00:20:49 Il y avait une volonté écologique, c'est ça ?
00:20:52 Oui, pour le coup, on est assez fier de ce système qu'a développé Self Béton.
00:20:56 En plus, nous, nous mettons en avant l'aspect recyclé de tous nos matériaux de production,
00:21:01 notamment sable et cailloux, qui sont issus à 100% d'excédents de chantier,
00:21:05 qui ont été lavés et recyclés.
00:21:07 Et je crois qu'ils viennent de pas très loin de chez nous, de la Dordogne.
00:21:10 Il y a aussi une volonté locale en plus de cette volonté écologique.
00:21:13 Oui, bien sûr. Ils sont un petit peu au bout de la Dordogne
00:21:16 parce qu'ils sont fabriqués autour de Bordon,
00:21:18 parce qu'il y a peu d'installations qui permettent de recycler totalement
00:21:21 ces excédents de chantier.
00:21:22 Donc, bien sûr, quand on travaille local,
00:21:24 tout est fait pour favoriser un maximum le local.
00:21:27 Bon, là, ça fait deux mois que vous êtes lancé.
00:21:29 Ça fonctionne bien ? Les gens sont au rendez-vous ?
00:21:31 Alors, les gens sont au rendez-vous.
00:21:33 Il nous manquerait la météo, qui n'est pas au rendez-vous.
00:21:36 Assez compliqué avec le gel et la pluie en ce moment.
00:21:40 Donc, il faudrait que le soleil soit au rendez-vous.
00:21:43 Très rapidement, est-ce que vous pouvez me donner une petite fourchette de prix ?
00:21:46 Savoir si ça vaut le coup d'aller dans un distributeur plutôt que...
00:21:49 Alors, je parle pour les particuliers.
00:21:51 Le prix moyen de TTC d'un mètre cube de béton
00:21:54 est d'environ 170 euros TTC.
00:21:57 Très bien. Merci beaucoup Alexandre Ayon,
00:21:59 directeur d'Alpha Béton.
00:22:00 Vous avez donc lancé votre distributeur de béton
00:22:03 en libre-service il y a deux mois.
00:22:05 C'est à la mode, mon Ravel.
00:22:06 Et bonne journée. Merci beaucoup.
00:22:07 Merci.
00:22:08 Vous retrouverez cette interview sur francebleu.fr
00:22:10 et sur l'application, ici.
00:22:13 Le jeu de la grotte sur France Bleu Périgord.
00:22:16 On joue ensemble sur France Bleu Périgord
00:22:19 avec un pass au spectacle à vous offrir
00:22:21 pour les 40 ans de la Fabrique à Saint-Astier.
00:22:23 La Fabrique qui crée l'événement avec,
00:22:25 à partir de demain et jusqu'au 30 janvier,
00:22:27 7 films, 4 avant-premières, 2 ciné-débats,
00:22:30 2 spectacles à découvrir.
00:22:32 À la Fabrique, on a un pass pour aller voir
00:22:34 2 spectacles à vous offrir.
00:22:36 Ce sera pour le week-end prochain.
00:22:38 Avec d'abord, vendredi soir,
00:22:41 Oceli fait son cinéma.
00:22:43 Oceli, c'est un octuore de violoncelles
00:22:45 qui vient de Belgique,
00:22:46 qui regroupe des violoncellistes
00:22:48 des plus gros orchestres symphoniques
00:22:50 et qui vous propose de revisiter les musiques de films.
00:22:53 Ça va de Verdi à la strada de Nino Rota
00:22:56 en passant par Strauss ou encore Star Wars
00:22:58 de John Williams.
00:22:59 On aura vraiment pour tous les goûts.
00:23:00 C'est vraiment familial.
00:23:01 Et donc ça, ce sera vendredi soir à 20h30.
00:23:03 On vous offre vos 2 places pour ce spectacle.
00:23:06 Et puis, on vous rajoute en plus 2 places
00:23:08 pour aller dimanche après-midi voir le comédien
00:23:10 Bruno Puzzolu qui sera là à la Fabrique de Saint-Astier
00:23:13 pour "Je me suis régalé".
00:23:15 Souvenez-vous, Bruno Puzzolu,
00:23:17 il a fait partie de la comédie française
00:23:18 et puis il a fait pas mal de cinéma, de séries télé.
00:23:20 Aujourd'hui, il est par exemple dans la série
00:23:22 "Ici tout commence" tous les jours sur TF1.
00:23:24 Mais son amour, son premier amour,
00:23:26 ça reste la scène.
00:23:27 Donc il vient pour partager des lectures avec vous
00:23:30 avec Philippe Noiré.
00:23:32 Il a écrit un livre avec lui
00:23:34 et là, c'est une lecture qu'il vous propose
00:23:36 sur la scène de la Fabrique de Saint-Astier.
00:23:38 Ça, ce sera dimanche.
00:23:39 C'est un spectacle à aller découvrir.
00:23:40 2 places à chaque fois.
00:23:41 C'est le pass spécial 40 ans de la Fabrique de Saint-Astier
00:23:44 à gagner maintenant dans la Grotte de France Bleu Périgord.
00:23:46 Vous nous rejoignez.
00:23:47 Tentez votre chance au 05 53 53 82 82
00:23:53 pour gagner les trésors de la Grotte de France Bleu Périgord.
00:23:57 On joue ensemble dans un instant avec un petit "Ni oui, ni non".
00:24:00 Ça faisait longtemps.
00:24:01 Ce sera juste après Teddy Swims pour la musique avec "Lose Control".
00:24:04 [Musique]
00:24:08 [Musique]
00:24:11 [Musique]
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00:26:13 [Musique]
00:26:19 [Musique]
00:26:25 [Musique]
00:26:28 Teddy Swims sur France Bleu Périgord et France 3 à 7h26.
00:26:34 On joue dans la Grotte tout de suite.
00:26:35 Bienvenue dans la Grotte de France Bleu Périgord.
00:26:38 Avec Viviane de Bergerac qui nous rejoint dans la Grotte.
00:26:40 Bonjour Viviane.
00:26:41 Bonjour Viviane.
00:26:42 Oui, bonjour Benoit.
00:26:43 Ça va Viviane ?
00:26:44 Ça va.
00:26:46 Bon, on joue ensemble Viviane avec votre passe 40 ans de la Fabrique de Saint-Astier
00:26:51 à Gagné ce matin pour aller voir deux spectacles vendredi et dimanche.
00:26:55 D'abord le spectacle Ocelli avec ses 8 violoncellistes qui viennent de Belgique.
00:27:00 Les plus grands violoncellistes des orchestres symphoniques qui vont revisiter des musiques de films.
00:27:04 Et puis le comédien Bruno Pizzoli qui sera là dimanche pour la lecture du livre qu'il a écrit avec Philippe Noiré.
00:27:11 Viviane, on va jouer ensemble au Ni Oui Ni Non.
00:27:13 Vous connaissez l'épreuve Viviane ?
00:27:16 Un peu.
00:27:18 Vous êtes en train de faire couler du béton, écoutez Viviane ou pas ?
00:27:21 Elle a été le chercher ce matin en libre-service.
00:27:23 On entend beaucoup de bruit derrière vous Viviane.
00:27:25 Certainement pas.
00:27:27 D'accord.
00:27:28 Bon allez, on joue ensemble Viviane.
00:27:30 Une minute sans dire oui, sans dire non.
00:27:32 C'est le Ni Oui Ni Non.
00:27:33 Et vous tentez votre chance tout de suite Viviane, attention.
00:27:35 C'est parti, je lance le chronomètre, il faut tenir une minute.
00:27:38 Ça va Viviane ?
00:27:40 Ça va.
00:27:42 Qu'est-ce que vous faites ce matin ?
00:27:43 Rien.
00:27:45 Rien.
00:27:46 Vous êtes le béton ?
00:27:47 Non.
00:27:49 Oh bah...
00:27:50 Bah Viviane !
00:27:53 Mais Viviane, il ne fallait pas dire non.
00:27:55 C'est mal.
00:27:56 C'est trop tard.
00:27:57 Bah, c'est trop tard effectivement.
00:27:59 Bon, c'est normal, c'est 7h26, c'était le petit stress du début de journée.
00:28:04 Viviane, vous rejouez avec nous quand vous voulez.
00:28:06 D'accord.
00:28:07 Je vous souhaite une bonne journée, merci d'avoir tenté votre chance.
00:28:10 Oui, merci, merci à vous.
00:28:12 À bientôt sur France Bleu Périgord.
00:28:16 La Grotte de France Bleu Périgord vous réserve de nombreux trésors.
00:28:20 Bon, bah voilà, il y a des jours avec et des jours sans dans la Grotte de France Bleu Périgord.
00:28:24 Mais ce sont les règles, il faut réussir à sortir de la grotte pour gagner le cadeau du jour.
00:28:28 Mais Viviane revient quand elle veut dans la grotte pour retenter sa chance.
00:28:32 On va remettre en jeu ces places de spectacle pour les 40 ans de la Fabrique de Saint-Astier
00:28:37 avec ces deux spectacles à aller découvrir absolument.
00:28:40 Mais pour l'instant, le 6/9 continue sur France Bleu et France 3.
00:28:43 Avec le retour de l'info dans quelques instants avec vous Lisa Guinnick.
00:28:46 Oui, on va revenir sur ces agriculteurs qui sont en colère contre les normes trop importantes,
00:28:52 qui n'arrivent plus à survivre financièrement.
00:28:55 Et on va voir notamment un jeune agriculteur à Israq qui explique ce souci financier, son principal souci.
00:29:03 C'est à suivre dans les infos de 7h30 sur France Bleu.
00:29:06 Et juste après, notre invité, ce sera le directeur de l'Agence Régionale de Santé en Dordogne.
00:29:10 Didier Couteau sera dans le 6/9 à 7h45. Va-t-il y avoir du changement dans les hôpitaux de Dordogne cette année ?
00:29:16 On sait que ça fait maintenant plusieurs mois, 8 mois qu'on doit appeler obligatoirement le SAMU avant de se rendre aux urgences.
00:29:22 Alors est-ce que cette régulation va se maintenir ou pas ?
00:29:24 La réponse ce matin avec Didier Couteau, le directeur de l'ARS en Dordogne qui est notre invité.
00:29:30 Ici matin, revient dans un instant.
00:29:33 Inédit, ce soir sur France 3, il était une fois, une nature généreuse et bucolique qui fit la rencontre de la nature humaine.
00:29:46 Il est mort. C'est un loup qui a fait ça. On n'est plus en sécurité ici.
00:29:51 Je vais l'avoir.
00:29:53 Est-ce que votre fils avait des ennemis ?
00:29:56 Des ennemis ? Pourquoi ?
00:29:57 On pense qu'il aurait pu être assassiné.
00:29:59 C'est qui cette fille ?
00:30:00 Quand Annie Dupérez sort les griffes...
00:30:04 Vous savez ce que vous risquez ?
00:30:06 Oui.
00:30:07 Mort d'un berger inédit, ce soir à 21h10 à France 3 et déjà sur la plateforme France.tv.
00:30:13 Ce programme est disponible en audio description.
00:30:16 Quand vous écoutez France Bleu, vous n'êtes pas n'importe où.
00:30:23 Vous êtes chez vous.
00:30:26 France Bleu, au cœur de nos régions, de nos villes, de nos villages.
00:30:29 France Bleu Périgord, ici, on parle d'ici.
00:30:33 Vous écoutez France Bleu Périgord, vous regardez France 3 en Dordogne.
00:30:36 Il est 7h30, le journal d'Isa Guinic.
00:30:38 Et pour la météo, Benoît, c'est gris aujourd'hui.
00:30:40 Effectivement, du gris pour toute la journée avec pas mal de brouillard aussi ce matin.
00:30:44 Prudence sur la route.
00:30:45 Les températures remontent avec de la douceur au programme ce mardi.
00:30:48 On fait un point complet sur votre météo à la fin de ce journal.
00:30:53 Les agriculteurs en Nomar et en Dordogne aussi.
00:30:56 Leur grogne sur l'autoroute A64 près de Toulouse depuis 5 jours s'étend à tout le sud-ouest.
00:31:02 Hier, les tracteurs d'agents ont bloqué l'A62.
00:31:05 Aujourd'hui, les syndicats périgordins appellent aux manifestations chez nous, sur nos routes.
00:31:09 Les agriculteurs étouffent à petit feu, disait le président de la coordination rurale en Dordogne sur notre antenne il y a une demi-heure.
00:31:16 Un manque de revenus notamment que Simon Tarad, installé à Esrac près de Thivier, connaît bien.
00:31:21 Maria Stryd-Guegan, 8 ans d'élevage de vaches limousines, ce syndicat des jeunes agriculteurs ne s'en sort pas.
00:31:27 Simon verse une ration de maïs à ses jeunes limousines.
00:31:30 Ces bêtes-là, il en a plus de 150 mais elles ne lui rapportent presque pas d'argent.
00:31:34 Il faudrait qu'en gros pour une bête, une vache en grasse fin,
00:31:38 il faudrait qu'elle soit rémunérée au moins un euro de plus pour qu'on puisse palier à notre coût de production
00:31:43 et pour qu'on puisse arriver à gagner de l'argent.
00:31:45 Aujourd'hui, on est vraiment à fleurs.
00:31:47 Si on ne perd pas de l'argent, on est vraiment à fleurs.
00:31:48 Les autres productions de sa ferme, de la viande d'agneau et des produits laitiers, il les propose en vente directe.
00:31:53 Vous arrivez à vous tirer un salaire ?
00:31:55 Oui, on y arrive parce qu'on a la vente directe à côté.
00:31:58 Mais ce n'est pas assez.
00:32:01 On vit avec 500 euros par mois.
00:32:03 Ce n'est pas assez, 500 euros par mois.
00:32:04 Qui c'est qui voudrait vivre avec 500 euros par mois en faisant 60-70 heures par semaine
00:32:09 et en étant tout le temps dépendant de nos productions ?
00:32:13 Et même en étant associé avec sa mère et son frère,
00:32:15 Simon n'a réussi à prendre que 4 jours de vacances l'an dernier.
00:32:18 Si on était rémunéré plus cher, peut-être que déjà on aurait un salarié.
00:32:22 Donc ça nous permettrait aussi de compenser un peu la charge de travail.
00:32:26 C'est pour ça qu'aujourd'hui, ce qui nous manque,
00:32:29 c'est un peu plus de valeur ajoutée sur toutes nos productions.
00:32:33 Alors l'agriculteur a déjà préparé son tracteur et sa remorque pour la manifestation.
00:32:37 Il a même prévu des vieilles bottes de foin à déverser sur un rond-point.
00:32:41 Les tracteurs, les bennes remplies, sont appelés à la manifestation à Thivier,
00:32:45 sur la Nationale 21, au rond-point de l'aéroport de Bergerac,
00:32:48 et sur la 89, au niveau de la Bachelerie.
00:32:51 Les blocages doivent commencer à 10h.
00:32:53 Ce sont les syndicats de la coordination rurale, de la FDSEA
00:32:56 et des jeunes agriculteurs qui appellent au rassemblement.
00:32:59 On est d'ailleurs dans le prochain journal à 8h,
00:33:01 avec le président des jeunes agriculteurs de Dordogne.
00:33:04 Le gouvernement n'a pas annoncé de mesures concrètes pour le moment.
00:33:07 Les syndicats agricoles ont été reçus par le Premier ministre
00:33:09 et le ministre de l'Agriculture pendant plus de deux heures hier soir.
00:33:12 Gabriel Attal a promis des annonces dans la semaine.
00:33:15 Marc Fesneau des réponses concrètes aux revendications agricoles.
00:33:18 Le président de la FNSEA, Arnaud Rousseau, a réaffirmé
00:33:21 qu'il ne se contraindra pas de mesurettes.
00:33:24 On vous pose d'ailleurs la question ce matin,
00:33:26 vous comprenez le ras-le-bol des agriculteurs ?
00:33:28 Est-ce que vous soutenez leurs actions ?
00:33:30 On attend vos avis sur notre page Facebook
00:33:32 et appelez-nous au 05 53 53 82 82.
00:33:37 Les agriculteurs qui bloquent aussi les gares ferroviaires à Agin,
00:33:40 ils ont lancé des pneus et du fumier sur les voies hier.
00:33:43 Il y a toujours des manifestants ce matin,
00:33:45 deux trains vers Bordeaux ont déjà été supprimés.
00:33:47 La régulation des urgences la nuit va-t-elle être maintenue ?
00:33:50 Ça fait maintenant huit mois qu'on doit appeler le 15 avant de s'y rendre.
00:33:53 La fermeture de l'accueil des urgences la nuit
00:33:55 devait prendre fin à l'automne,
00:33:57 mais on continue de fonctionner avec ce système.
00:33:59 Alors on se demande si cette régulation
00:34:01 va être maintenue définitivement, Thomas Vichard.
00:34:03 Pour l'instant, elle n'a pas changé grand-chose.
00:34:05 Il y a toujours autant de patients accueillis aux urgences.
00:34:07 Certains passent même la nuit sur des lits dans les couloirs.
00:34:10 Faute de place dans les chambres, c'est ce qui se passe à Périgueux.
00:34:12 La situation reste tendue parce qu'on manque toujours de médecins urgentistes.
00:34:16 Il y en a encore un tiers de moins par rapport à 2022.
00:34:19 Et ce qui augmente forcément en parallèle, c'est le nombre d'appels au SAMU.
00:34:23 Il a doublé en cinq ans puisqu'on est obligé d'en passer par là avant d'aller aux urgences.
00:34:27 Depuis un mois, il y a un quatrième assistant de régulation supplémentaire.
00:34:30 Certes, ça soulage un peu le flux d'appels à gérer,
00:34:33 sauf qu'il n'y a toujours qu'un seul médecin urgentiste
00:34:36 pour répondre au téléphone et envoyer, ou pas, un patient à l'hôpital.
00:34:40 On pose cette question du maintien de la régulation définitive des urgences la nuit à notre invité.
00:34:45 Didier Couteau, le directeur de l'Agence régionale de santé en Dordogne,
00:34:48 est avec nous dans moins d'un quart d'heure.
00:34:50 Rachida Dati n'a pas fait de grandes annonces à Nontron hier,
00:34:54 mais elle s'est arrêtée dans chaque boutique à discuter avec chaque Nontronais.
00:34:58 La ministre de la Culture a tout fait dans la capitale du Périgue Orvert.
00:35:02 Elle a choisi la Dordogne pour sa deuxième sortie officielle, la première vers la campagne.
00:35:06 Elle a d'ailleurs rappelé que la culture populaire, c'était une culture des banlieues,
00:35:09 mais aussi une culture rurale.
00:35:11 Sa visite en Périgue Orvert est à revivre en image sur francebleu.fr.
00:35:15 Une très bonne maturité, un beau parfum, il y avait de la truffe au marché de Saint-Alvers hier.
00:35:20 57 kilos vendus à 700 euros le kilo en moyenne.
00:35:23 Pour la météo, Benoît, on le disait, c'est gris.
00:35:27 Est-ce qu'on a encore un peu de brouillard ce matin, où ça commence à se dissiper ?
00:35:30 Pour l'instant, il est encore de sortie.
00:35:32 C'est ce que vous nous indiquez sur la page Facebook de France Bleu Périgord.
00:35:35 Prudence.
00:35:36 S'il y a des secteurs vraiment compliqués sur les routes à cause de ce brouillard,
00:35:39 où il faut être particulièrement vigilant, n'hésitez pas à nous prévenir.
00:35:42 05 53 53, 82, 82.
00:35:45 Il fait 9 degrés à Sourzac ce matin chez Véronique, à Colis-Saint-Amant 7,8 degrés chez Patrick.
00:35:51 9 degrés au Bug où le brouillard est présent chez Sandrine ce matin.
00:35:56 Brouillard à Thivier aussi, où il fait 8,4 degrés chez Tania.
00:35:59 Et puis, on note ce matin 9,8 degrés à Hautefort, avec un léger vent du sud-ouest.
00:36:05 C'est ce que nous indique Christian sur la page Facebook de France Bleu Périgord.
00:36:09 N'hésitez pas, vous aussi, vous nous rejoignez à tout moment de la journée.
00:36:12 Pour le reste de la journée, ça va rester gris, quoi qu'il en soit, une fois que le brouillard se sera dissipé.
00:36:17 Avec quand même des températures qui remontent.
00:36:19 C'est vraiment de la douceur pour aujourd'hui, avec 9 degrés attendus au meilleur de la journée à Sarla.
00:36:23 Mais 11 degrés à Nontron et à Thivier.
00:36:25 12 degrés pour Périgord, Iberac, Verres et Neuville.
00:36:29 Jusqu'à 13 degrés pour Bergerac et Montpensier-Nesterole.
00:36:31 Sachez que ces températures vont continuer d'augmenter dans la semaine, puisqu'on attend jeudi jusqu'à 17, voire 18 degrés.
00:36:37 La météo 100% locale avec Cerise Technique.
00:36:40 Experts depuis 30 ans en pompe à chaleur, climatisation, photovoltaïque, chaudière bois, électricité et borne de recharge à Ménesplet et sur cerise-technique.com.
00:36:49 Le 6/9 sur France Bleu Périgord. Benoît Chaumeau.
00:36:54 7h36, bon réveil avec nous sur France Bleu Périgord et France 3.
00:36:59 Si vous avez un hébergement touristique en Dordogne, ce qui arrive dans la prochaine demi-heure devrait vous intéresser, puisqu'on va découvrir la nouvelle activité d'Elena.
00:37:07 Elena est Community Manager et Coach Instagram pour les propriétaires d'hébergements touristiques, c'est assez précis.
00:37:13 Son idée, c'est de vous aider à booster vos réservations grâce au développement de votre compte Instagram et de vos autres réseaux sociaux.
00:37:20 Elle va nous expliquer pourquoi elle s'est lancée dans cette voie-là et on lui demandera ses conseils pour se lancer sur les réseaux sociaux.
00:37:27 Ce sera ce matin, juste avant 8h, sur France Bleu Périgord.
00:37:30 D'abord pour la musique, souvenirs avec Johnny Hallyday et le chanteur à Mandonné.
00:37:38 Vous écoutez France Bleu Périgord, vous regardez France 3. Quoi qu'il en soit, on vous souhaite un très bon réveil en Dordogne.
00:37:43 Il y a des flightgates qui traînent sur scène Et on démonte les projecteurs
00:37:51 Quand sa vie n'est plus mise en scène Ça lui fait peur
00:38:01 Tous ses nouveaux amis qu'il aime Seront partis dans la semaine
00:38:09 Dans sa loge des photos des fleurs Une certaine image du bonheur
00:38:20 Il fait le vide dans sa tête Il fait le vide dans son cœur
00:38:34 C'est un chanteur abandonné Qui a vécu sans se retourner
00:38:43 Sûr que le blues est inventé Pour lui cette nuit
00:38:52 A ce qu'il a su s'abandonner A ceux qui ont voulu l'aimer
00:39:01 Il a donné ce qu'il avait Mais lui il se demande qui l'est
00:39:15 Abandonné Oui abandonné
00:39:24 Et la fille qui l'attend Qui l'aime comme un enfant
00:39:33 Tant qu'il parle elle comprend Sa vie
00:39:42 Comme c'est bon d'être heureux Comme c'est bon d'oublier
00:39:51 Que tellement de lumière Ça peut faire mal aux yeux
00:40:01 Et ça fait le vide dans sa tête Et ça fait le vide dans son cœur
00:40:15 C'est un chanteur abandonné Qui a vécu sans se retourner
00:40:24 Sûr que le blues est inventé Pour lui cette nuit
00:40:33 A ce qu'il a su s'abandonner A ceux qui ont voulu l'aimer
00:40:42 Il a donné ce qu'il avait Mais lui il se demande qui l'est
00:40:55 Abandonné Oui abandonné
00:41:04 Tant pis s'il faut payer D'avoir toujours donné
00:41:13 C'est beau et il le fait De s'être abandonné
00:41:23 Vivre c'est comme aimer Vivre c'est partager
00:41:31 Jamais abandonner
00:41:37 Vivre c'est partager Jamais abandonner
00:41:59 Jamais abandonner
00:42:04 Vivre c'est partager Jamais abandonner
00:42:18 Johnny Hallyday avec le chanteur abandonné sur France Bleu Périgord et France 3 à 7h42.
00:42:24 La question ce matin dans le 6/9 c'est comment vont fonctionner les hôpitaux de Dordogne en 2024 ?
00:42:30 On aura un petit peu plus de détails dans quelques instants avec votre invitée Louis de Vergevins.
00:42:34 Oui on reçoit le directeur de l'agence régionale de santé en Dordogne Didier Couteau qui est dans nos studios.
00:42:40 On va lui demander justement comment ça va se passer pour les hôpitaux en Dordogne ?
00:42:44 Les hôpitaux dont les urgences sont régulées depuis la mi-mai.
00:42:49 La nuit en tout cas ça devait être mis en place jusqu'en septembre.
00:42:54 Ça continue pour l'instant donc on va lui demander si ça va être pérenne notamment.
00:42:58 Et puis voilà sur les autres points sur l'organisation des hôpitaux en Dordogne on évoque ça avec lui dans quelques instants.
00:43:03 C'est à suivre dans le 6/9 sur France Bleu et France 3. A tout de suite.
00:43:06 Ici Matin, revient dans un instant.
00:43:10 Samedi dans le goût des rencontres avec Justine Pilluzo découvrez le patrimoine gastronomique de Nouvelle-Aquitaine.
00:43:17 J'ai hâte de savoir ce qu'on va cuisiner.
00:43:19 Moi je le sais mais c'est la surprise.
00:43:21 C'est vrai ?
00:43:22 Et des surprises on vous en réserve depuis l'entrée jusqu'au dessert.
00:43:26 Je suis une machine à faire la compétition.
00:43:29 Le goût des rencontres rien que pour vos papilles c'est samedi à 11h15 sur France 3.
00:43:35 7h43 sur France Bleu Périgord.
00:43:42 Il y a une journée organisée vendredi puis samedi qui s'appelle "Une école, un métier en Périgord noir".
00:43:48 C'est à la plateforme de formation Elysee près de Cordie à Sarla.
00:43:53 Alors vendredi c'est réserve scolaire mais ce sera ouvert à tous samedi de 9h à 13h.
00:43:57 Avec des pratiques de gestes professionnels, des informations sur les formations, échanges, infos, conseils.
00:44:03 Tout ça près de Cordie à Sarla.
00:44:05 Vendredi et samedi "Une école, un métier en Périgord noir".
00:44:09 Le temps pour aujourd'hui que ce soit en Périgord noir ou ailleurs,
00:44:12 on a des risques de brouillard assez épais ce matin sur les routes de Dordogne.
00:44:16 Donc soyez prudents, vous nous passez un petit coup de fil si vous rencontrez des difficultés.
00:44:19 Pour la suite de la journée, ça va rester plutôt gris dans l'ensemble
00:44:25 mais avec de la douceur pour les températures puisqu'on attend au meilleur de la journée jusqu'à 13°C.
00:44:31 Pour aujourd'hui, sur la route pour l'instant, ça a l'air de plutôt bien se passer.
00:44:34 On vous rappelle quand même la mobilisation des agriculteurs à annoncer à partir de 10h,
00:44:38 notamment sur la Nationale 21 à Bergerac, à Thiviers également.
00:44:43 Donc vous risquez d'avoir quelques perturbations dans la matinée.
00:44:45 Tenez-nous au courant pour nous dire comment ça se passe chez vous au 055353828282.
00:44:51 Sur France Bleu Périgord ce matin, on reçoit Didier Couteau, le directeur de l'agence régionale de santé en Dordogne.
00:44:59 Huit mois après la fermeture de l'accueil des urgences de Dordogne la nuit,
00:45:03 on fait le point avec lui sur le fonctionnement des hôpitaux pour cette année 2024.
00:45:08 Bonjour Didier Couteau.
00:45:09 Bonjour.
00:45:10 La régulation, vous l'appelez comme ça, des urgences la nuit, ça veut dire que l'accueil est fermé, il faut appeler pour y aller.
00:45:16 Ce système a été mis en place en mai dernier en Dordogne.
00:45:19 C'est un système qui est adopté définitivement aujourd'hui ?
00:45:22 Alors, effectivement on peut le craindre, on va dire ça comme ça.
00:45:26 Bon, effectivement c'est une orientation qu'on prend pour cette année 2024.
00:45:29 Ce n'est pas forcément une orientation que de l'ARS, puisqu'on travaille évidemment avec les urgentistes.
00:45:33 Donc ça fait partie des propositions.
00:45:35 Alors si on revient un petit peu, et pourquoi on a simplement mis en place cette expérimentation jusqu'au mois de septembre ?
00:45:43 C'est qu'on voulait regarder les choses, on voulait voir comment évoluaient aussi les effectifs médicaux dans les hôpitaux.
00:45:48 Et aujourd'hui, force est de constater qu'il nous manque des urgentistes et qu'on va devoir faire avec.
00:45:55 Donc c'est aussi pour ça qu'on va travailler, qu'on travaille sur plusieurs pistes.
00:45:59 La régulation en est une, mais l'objectif derrière cette régulation, c'est bien de faire en sorte que les urgences se concentrent sur les urgences vitales
00:46:08 et qu'il y ait d'autres modalités de prise en charge par les médecins généralistes, par un décalage des prises en charge à chaque fois que c'est possible.
00:46:15 Alors, on va revenir sur tous ces points, sur la fermeture de l'accueil des urgences la nuit.
00:46:21 Ça veut dire que là, c'est mis en place, il n'y a pas de date de fin ?
00:46:25 Vous ne voulez pas dire définitivement, mais en tout cas, c'est mis en place jusqu'à ce qu'il y ait un changement ?
00:46:31 Voilà, exactement. C'est-à-dire qu'aujourd'hui, encore une fois, du fait de l'absence de médecins,
00:46:38 on est obligé d'innover, de prendre en compte ce qui existe.
00:46:42 Et donc, tant qu'on n'a pas d'évolution positive sur ces effectifs, puisqu'il nous manque quand même un tiers des effectifs,
00:46:48 c'est absolument important, c'est aujourd'hui 36 médecins qu'on a sur une cible de 57.
00:46:54 Pourquoi il manque des médecins ? C'est qu'on n'arrive pas à recruter ?
00:46:59 On n'arrive pas à recruter. La loi RIST n'a pas permis de revenir à un niveau important.
00:47:06 Il y a aussi des souhaits, comme dans d'autres métiers, de pouvoir faire autre chose, de travailler différemment, d'avoir moins de garde.
00:47:12 Donc c'est pour ça qu'on a du mal à recruter. Et je voudrais en profiter aussi pour lever, pour tirer mon chapeau à toute la profession,
00:47:21 à tous les médecins, à toutes leurs équipes, parce que malgré tout, en 2023, on a fait autant de passages,
00:47:27 ou quasiment autant de passages, avec un tiers des effectifs en moins.
00:47:31 7h47 sur France Bleu et France 3. Notre invité ce matin, c'est Didier Couteau,
00:47:35 le directeur de l'Agence Régionale de Santé en Dordogne. On s'intéresse à l'organisation des hôpitaux pour cette année 2024.
00:47:42 Louis de Bergevin.
00:47:43 Vous dites "autant de passages" l'an dernier aux urgences que d'habitude, alors que le but c'était d'avoir moins de passages.
00:47:49 Vous dites que c'est pour éviter les passages qui n'ont pas besoin, les moments où on pourrait aller plutôt chez le médecin généraliste,
00:47:56 la bobologie, c'est ce que vous dites. Mais ça, ça n'a pas diminué ?
00:47:59 Alors effectivement, aujourd'hui, on constate qu'on est sur une baisse vraiment très très légère de quelques pourcents,
00:48:06 donc vraiment quasiment insignifiante.
00:48:08 Mais ça veut dire que ce n'est pas un échec ?
00:48:10 Alors, si on parle de la nuit, effectivement, on a quasiment le même niveau d'activité.
00:48:14 Certains ont fait le choix d'une régulation plus dure, c'est-à-dire avec la prise en compte de moins de pathologies.
00:48:22 Là, nous, ce qu'on demande, c'est vraiment laisser la possibilité aux médecins régulateurs, il y a deux médecins régulateurs,
00:48:29 un médecin généraliste libéral et un médecin urgentiste, c'est eux qui orientent.
00:48:35 Donc c'est aussi un choix qu'ils font, mais en tout cas, il y a ce filtre.
00:48:39 Et sans doute que si on n'avait pas ce filtre, peut-être qu'on aurait encore plus de passages,
00:48:43 et plus de passages spontanés, ce qu'on veut éviter.
00:48:45 Mais il y a moins de passages inutiles aux urgences ?
00:48:48 Voilà, peut-être, c'est ce qu'on peut retenir, oui.
00:48:51 Vous parlez aussi d'une meilleure organisation, notamment avec les différents hôpitaux de Dordogne.
00:48:57 Par exemple, pour les transports, vous proposez aux SDIS, aux pompiers, de faire parfois les transports d'urgence.
00:49:02 Ça, ils veulent bien le faire ou ils n'ont pas envie ?
00:49:04 Ce sont des propositions qu'ils nous font, effectivement.
00:49:07 C'est eux qui vous ont proposé ?
00:49:08 Oui, tout à fait. Si on a moins de médecins, il faut faire en sorte que ces médecins puissent être là où on en a vraiment besoin.
00:49:18 Ça veut dire qu'aujourd'hui, avec certaines technologies, avec des systèmes d'information, avec de la téléconférence, visioconférence,
00:49:24 on est en capacité de pouvoir armer d'autres véhicules, les véhicules des pompiers, des véhicules aussi hospitaliers.
00:49:31 Je voudrais vous poser une question importante là-dessus, parce qu'on peut se poser la question des pertes de chance pour les patients.
00:49:37 Il y a notamment des parents de Lanouaille qui ont porté plainte contre l'hôpital et contre un médecin régulateur du SAMU.
00:49:44 En mi-décembre, ils ont dû conduire eux-mêmes leur fils de 6 ans qui faisait une hémorragie interne jusqu'à l'hôpital de Périgueux.
00:49:49 Ça, c'est un risque quand même ?
00:49:51 Je ne peux pas me prononcer évidemment sur une plainte comme celle-là.
00:49:56 Mais la perte de chance, c'est un risque ?
00:49:58 C'est peut-être un risque, mais aujourd'hui, avec moins de médecins, on a aussi moins d'équipages,
00:50:04 donc moins d'équipages tels qu'ils étaient avant, c'est-à-dire des SMUR.
00:50:07 Donc on se doit de toute façon de l'innover pour faire en sorte qu'il y ait justement une perte de chance évitée.
00:50:14 Donc il y a d'autres formules qui se mettent en place.
00:50:16 Mais vous dites que vous n'avez pas le choix, parce qu'il y a moins de médecins, on arrive moins à les attirer.
00:50:20 Ça veut dire que les habitants de la Dordogne, finalement, par la force des choses, seront moins bien pris en charge, moins bien soignés ?
00:50:26 C'est difficile de répondre à ça.
00:50:28 Comme on l'a dit, c'est aussi faire en sorte que les médecins ne sortent pas pour rien,
00:50:33 ce qui peut arriver parfois sur des transports SMUR, où finalement les pompiers sont déjà intervenus,
00:50:38 ont pu intervenir, ou des ambulanciers ont pu intervenir, en disant "bon, écoutez, non, le patient est sécurisé, retournez".
00:50:45 C'est ce qu'on appelle la levée de doute.
00:50:47 Aujourd'hui, la levée de doute, si elle peut être faite en proximité des habitants, c'est une nouvelle formule.
00:50:52 C'est des formules qui existent aussi en Europe, où il n'y a pas forcément un médecin qui sort d'emblée sur des équipages.
00:50:59 Donc c'est quelque chose qu'on met en place progressivement et qui se mettra en place.
00:51:02 Merci beaucoup Didier Couteau, directeur de l'Agence Régionale de Santé en Dordogne.
00:51:06 Merci d'être venu dans les studios de France Bleu Périgord ce matin.
00:51:09 Merci à vous.
00:51:10 Une interview à retrouver sur francebleu.fr et sur l'application ici.
00:51:14 Vous restez avec nous à 7h51. Dans un instant, on va s'intéresser aux propriétaires d'hébergements touristiques en Dordogne
00:51:20 qui souhaitent développer leurs réseaux sociaux. Ce sera juste après The Weeknd avec Save Your Tears.
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00:54:19 Save Your Tears sur France Bleu Périgord et France 3 à 7h54.
00:54:25 Le 6/9 sur France Bleu Périgord, Benoît Chaumot.
00:54:29 Notre invitée est en pleine reconversion professionnelle.
00:54:32 Elle est désormais coach Instagram et Community Manager pour les propriétaires d'hébergement touristique en Dordogne.
00:54:39 On découvre son activité. Bonjour Helena Florenti.
00:54:42 Oui, bonjour Benoît, bonjour à tout le monde et merci pour cette invitation.
00:54:47 Avec grand plaisir. Alors première question, est-ce que c'est indispensable aujourd'hui pour un hébergement touristique de développer ses réseaux sociaux ?
00:54:53 Eh bien en fait, alors j'ai envie de dire à l'ère du numérique en 2024, c'est très intéressant pour toute entreprise.
00:55:02 Il faut savoir qu'Instagram par exemple, puisque ma spécialité c'est Instagram, c'est une plateforme qui a un potentiel très important pour le tourisme en général déjà.
00:55:14 Et puis donc, comme la communication pour les hébergements touristiques passe beaucoup par la promotion du terroir en fait, du tourisme local,
00:55:24 donc c'est très important pour eux d'être présents sur les réseaux sociaux parce que ça leur permet d'être plus visibles déjà,
00:55:31 de se faire connaître par de nouvelles personnes, montrer leurs services, leur installation, leur environnement en fait.
00:55:38 Et puis, voilà, je parle toujours d'Instagram avec une bonne stratégie.
00:55:43 Donc ça permet aussi de se démarquer sur ce marché qui est assez concurrentiel quand même, donc le marché des hébergements touristiques.
00:55:50 Ça permet aussi de créer une relation forte avec ses clients, déjà des clients existants, donc créer une communauté en fait,
00:55:59 une communauté engagée, de fidéliser ces clients existants ou d'attirer de nouveaux, de se faire connaître.
00:56:07 Et puis aussi grâce aux différentes fonctionnalités, notamment de Instagram, ça permet également de générer les réservations indirectes.
00:56:16 Oui, c'est ça, puisque l'objectif de toutes ces manœuvres, pour spécifiquement l'hébergement touristique, la finalité c'est de booster les réservations.
00:56:24 L'objectif final, c'est canoniser les réservations et c'est très important pour beaucoup d'hébergements touristiques
00:56:30 parce qu'en fait, la plupart d'entre eux, que ce soit les gîtes, les hôtels, les chambres d'hôtes,
00:56:36 ils dépendent beaucoup des OTA, c'est-à-dire des plateformes de réservation, et donc ils n'ont aucun contrôle sur les réservations,
00:56:43 sur l'expérience client, et donc en plus les OTA prennent souvent des commissions assez importantes sur les réservations.
00:56:51 Donc ils ont tout intérêt à développer d'autres canaux d'acquisition de réservation, et les réseaux sociaux le permettent, notamment Instagram.
00:57:01 Alors Hélèna, cette spécialisation sur les hébergements touristiques, c'est assez nouveau, puisque vous êtes un petit peu en transition professionnelle,
00:57:08 vous avez de l'expérience dans la gestion de réseaux sociaux pour le tourisme déjà, puisque vous avez développé par exemple
00:57:13 les réseaux du château de Montbasillac. Pourquoi avoir choisi de cibler aujourd'hui spécifiquement les hébergements ?
00:57:20 Et bien, voilà, alors en effet, je travaillais pendant 15 ans au château de Montbasillac, et donc l'une de mes missions, c'était la gestion des réseaux sociaux.
00:57:29 Et puis, justement, la communication, comme je disais, la promotion des hébergements touristiques passe avant tout par la promotion des lieux touristiques,
00:57:40 même de la région, etc. Donc ça c'est le milieu que je connais très bien, donc ça c'est la première chose.
00:57:46 Ensuite, c'est parce que les hébergements touristiques, ils ont cette notion d'accueil, de partage, qui me parle beaucoup,
00:57:52 puisque moi-même j'ai été accueillie par la France, puisque je suis d'origine russe, donc j'ai eu pire accord d'adoption,
00:57:59 donc j'ai été accueillie par ce magnifique pays qu'est la France il y a bien longtemps, et donc j'ai envie de le rendre pareil en fait.
00:58:06 Et puis quand je vois aussi, justement parce qu'ils se donnent beaucoup de mal pour accueillir des personnes, pour leur bien-être,
00:58:13 et puis quand je vois, quand j'entends, il y en a beaucoup qui me disent qu'ils n'arrivent pas à gagner de visibilité,
00:58:18 qu'ils n'arrivent pas à avoir de nouveaux followers, à savoir de quoi parler à leurs abonnés, et puis comment les inciter à révéler chez eux.
00:58:26 Donc tout cela, ça me donne envie de vous les aider en fait, puisque ça compte beaucoup pour moi.
00:58:33 Et bien n'hésitez pas à aller...
00:58:35 C'est une passion en fait, le savoir, de bonne pratique, voilà.
00:58:38 Et on retrouve déjà quelques conseils sur votre compte Instagram, on peut aller découvrir tout ça sur elena.florenti.cm sur Instagram,
00:58:46 et puis ensuite on peut vous contacter si on a un d'hébergement touristique et qu'on souhaite faire appel à vos services.
00:58:51 Merci beaucoup Elena, on vous souhaite plein de succès pour cette aventure.
00:58:54 Allez-y en 10 secondes !
00:58:55 Ce soir à 18h, je vous organise un live sur les hashtags, un sujet qui intéresse beaucoup de personnes,
00:59:01 beaucoup de propriétaires d'hébergements touristiques, et donc vous êtes les bienvenus à 18h ce soir.
00:59:06 Sur votre compte Instagram, n'hésitez pas à 18h, comment gérer les hashtags au mieux.
00:59:10 Vous pouvez aller découvrir tout ça, on vous met toutes les infos sur francebleu.fr et sur l'application ici.
00:59:15 Merci beaucoup Elena Florenti d'avoir été notre invitée.
00:59:18 Vous restez avec nous, le 6/9 ça continue dans quelques instants avec le retour de l'info, ce sera dans le journal de 8h.
00:59:24 Un jour à Savigny, Joseph, un garçon de 18 ans, est parti de sa maison en pleine guerre en disant "je pars, je vais tuer Hitler".
00:59:38 Disparu dans la nuit de l'occupation, son existence est devenue un secret de famille.
00:59:43 Absent des listes de déportation, la seule archive où il apparaît est une photo de famille où il était enfant.
00:59:49 Les souvenirs c'est important, ça fait partie des choses, c'est les traces.
00:59:52 Chez beaucoup de gens c'est les photos, les souvenirs.
00:59:54 Il ne reste plus que ça, quand quelqu'un a disparu, qu'est-ce qu'il reste ? Une image.
00:59:58 Il a disparu de l'histoire, la petite comme la grande.
01:00:01 Mais qu'est-il devenu ? Et pourquoi plus personne n'a mentionné son nom ?
01:00:06 "Je vais tuer Hitler", jeudi à 22h50 sur France 3.
01:00:12 [Musique]
01:00:25 France Bleu, connecté à notre région.
01:00:29 Ici c'est France Bleu Périgord.
01:00:32 Bon début de journée avec nous sur France Bleu Périgord et France 3.
01:00:35 Nous sommes le 23 janvier et il est 8h.
01:00:37 [Musique]
01:00:44 Le journal Louis De Bergevin.
01:00:46 On commence par faire un point sur la météo Benoît avec cette journée grise encore aujourd'hui.
01:00:51 Exactement, du gris et pas mal de brouillard ce matin.
01:00:53 Prudence sur la route en cas de difficulté, un petit coup de fil 05 53 53 82 82.
01:00:58 [Musique]
01:01:00 En Dordogne, les agriculteurs vont bloquer des routes ce matin.
01:01:03 Oui, à partir de 10h, ils veulent montrer leur colère en bloquant avec leur tracteur et du fumier.
01:01:09 Par exemple à N21 à Bergerac, la route aussi à Thivier.
01:01:13 Des manifestations ont déjà commencé depuis plusieurs jours autour de Toulouse, de Perpignan et de Montpellier.
01:01:19 Mais ce matin, la coordination rurale, la FNSEA et les jeunes agriculteurs de Dordogne y appellent à des rassemblements.
01:01:25 On est justement en direct avec le président des GIA dans le département.
01:01:28 Bonjour Guillaume Testu.
01:01:30 Bonjour.
01:01:31 Vous manifestez notamment contre la diminution des prix et l'augmentation des charges.
01:01:37 Ça veut dire que ça vous coûte plus cher de produire, mais vous le vendez moins cher.
01:01:40 Certains agriculteurs n'y arrivent plus.
01:01:42 Qu'est-ce qu'on peut faire pour ça ? Qu'est-ce que vous demandez comme mesure ?
01:01:45 Tout simplement, une juste application de la loi EGalim.
01:01:49 Ça fait un moment qu'on prône cette application de la loi.
01:01:52 Ça fait un moment que cette loi est sortie.
01:01:54 Elle n'est toujours pas appliquée.
01:01:56 Aujourd'hui, on voit que la colère monte partout en Europe.
01:01:59 Elle est là depuis plusieurs jours en France.
01:02:02 Donc, sans une juste application de cette loi EGalim, la colère continuera de monter et tiendra dans le temps.
01:02:09 Cette loi, en tout cas, elle suffit selon vous ? Si elle est bien appliquée ?
01:02:13 Elle suffit, déjà, elle réglerait pas mal de problèmes,
01:02:18 et notamment des problèmes de trésorerie que rencontrent beaucoup d'agriculteurs.
01:02:23 Donc déjà, ça serait un très bon début si cette loi était appliquée comme il faut.
01:02:27 Il y a aussi ce que vous dénoncez, ce que vous appelez les pénalisations écologiques,
01:02:34 des normes écologiques qui sont trop sévères selon vous.
01:02:37 Vous avez des exemples pour qu'on comprenne bien ?
01:02:39 Les normes écologiques ?
01:02:42 Tout simplement, on ne dit pas qu'on a trop de normes écologiques,
01:02:45 mais tout simplement, c'est qu'il y a des produits qui rentrent sur notre territoire,
01:02:48 qui ne respectent pas les mêmes normes que les nôtres,
01:02:50 et qui sont directement en concurrence avec nos produits.
01:02:53 Donc c'est surtout cela qu'on dénonce. Après, si tous les pays et tous les produits qu'on importe
01:02:59 se mettent aux mêmes normes que les nôtres, là on sera d'accord pour respecter toutes ces normes-là.
01:03:05 Et aujourd'hui, ce n'est pas le cas. Et c'est surtout ça qu'on dénonce,
01:03:07 une concurrence déloyale qui vient de partout dans le monde, sur notre territoire.
01:03:12 Il y a quelques semaines, vous aviez retourné les panneaux à l'entrée des communes,
01:03:16 notamment en Dordogne, pour protester.
01:03:19 Ça, c'était trop gentil pour être efficace ? Là, vous devez passer la vitesse supérieure ?
01:03:24 C'était trop gentil, apparemment, au lieu du gouvernement,
01:03:27 parce qu'on n'a pas été écouté, encore une fois de plus.
01:03:30 Pourtant, on avait fait un mouvement pacifiste, et qui avait beaucoup plu,
01:03:33 j'ai envie de dire, à toute la population qui était derrière nous,
01:03:36 qui nous soutenait déjà à l'époque.
01:03:39 Donc non, ça n'a pas suffi, parce qu'on n'a eu aucune mesure qui a été mise en place
01:03:46 pour améliorer le revenu des agriculteurs.
01:03:48 Donc là, oui, vitesse supérieure, avec des points de blocage un peu partout sur le territoire national.
01:03:54 Merci beaucoup, Guillaume Testu, président des Jeunes Agriculteurs de la Dordogne.
01:03:59 A noter qu'hier, le président de la FNSEA, qui s'est entretenu avec le Premier ministre,
01:04:05 a encouragé les agriculteurs à poursuivre ses actions, à mener partout en France,
01:04:09 tant qu'il n'y aura pas de décision concrète de l'exécutif.
01:04:12 C'est ce qu'il a déclaré. Les agriculteurs qui vont donc bloquer à partir de 10h,
01:04:17 plusieurs routes en Dordogne, notamment à Bergerac ou à Thivier.
01:04:20 Et nous, on vous pose la question ce matin, on vous demande,
01:04:23 est-ce que vous comprenez la colère des agriculteurs ?
01:04:26 Est-ce que vous soutenez leur mouvement ?
01:04:28 Vous pouvez nous appeler dès maintenant au 0553 53 82 82 pour réagir.
01:04:33 La fermeture des accueils des urgences la nuit est pérennisée en Dordogne.
01:04:36 Oui, ça fait maintenant 8 mois qu'on doit appeler obligatoirement le SAMU,
01:04:41 pour se rendre aux urgences la nuit.
01:04:43 Ce système va se poursuivre, c'est ce que nous dit ce matin
01:04:47 le directeur de l'agence régionale de santé en Dordogne, Didier Couteau.
01:04:52 Il était en direct sur France Bleu Périgord ce matin.
01:04:55 Lisa Guinic, ce qu'il nous explique, c'est qu'il manque des urgentistes et on doit faire avec.
01:05:00 Oui, c'est exactement ce qu'il dit. On manque toujours de médecins.
01:05:02 On en manque encore un tiers en Dordogne. On a seulement 36 médecins sur 57.
01:05:07 Sauf qu'avec la fermeture de l'accueil des urgences la nuit,
01:05:10 le nombre de patients n'a pas diminué.
01:05:13 Certains passent même la nuit sur des lits dans les couloirs,
01:05:16 faute de place dans les chambres, c'est le cas périgueux par exemple.
01:05:19 Le nombre d'appels au SAMU, lui, il augmente.
01:05:21 Forcément, il a doublé en 5 ans parce qu'on est obligé d'en passer par là avant d'aller aux urgences.
01:05:25 Depuis un mois, il y a un quatrième assistant de régulation supplémentaire.
01:05:29 Ça soulage un peu le flux d'appels à gérer, mais ça ne suffit pas.
01:05:32 Alors le directeur de l'agence régionale de santé avance une autre piste de travail aussi.
01:05:36 On a moins de médecins, donc moins de SMUR et moins d'équipage sur les routes.
01:05:40 Il faut innover pour éviter le risque de perte de chance, dit-il.
01:05:44 Il veut donc miser notamment sur les pompiers et les ambulances
01:05:47 pour réussir à réduire ce problème des déserts médicaux en Dordogne.
01:05:51 Voilà Didier Couteau qui était l'invité de France Bleu Périgord.
01:05:54 Vous retrouvez son interview ce matin sur le site internet de France Bleu Périgord.
01:05:59 L'inflation a augmenté de 12% sur l'année 2023.
01:06:04 C'est beaucoup plus fort que l'inflation alimentaire
01:06:07 et vraiment supérieure à l'inflation générale qui était autour de 5%.
01:06:11 C'est ce que déplore ce matin l'association de défense des consommateurs familles rurales
01:06:15 qui publie comme chaque année son observatoire des prix.
01:06:18 Elle note également que les produits sains pour notre santé ont été particulièrement touchés par l'inflation cette année.
01:06:24 Par exemple le riz qui a pris 20%, les carottes qui ont pris 40%.
01:06:28 Ce que déplore donc l'association de défense des consommateurs familles rurales.
01:06:33 On vous parlait hier de ce score complètement dingue dans un match de rugby 132 à 0.
01:06:38 Dimanche les Périgordains d'Issy-Jacques ont écrasé les Corésiens de Mansac en Régional 2.
01:06:43 Le match a même été arrêté un peu avant la fin à la demande du capitaine adverse.
01:06:47 Pas la peine d'en rajouter en quelque sorte.
01:06:49 Une déroute sévère, très sévère pour les Corésiens.
01:06:52 Mais l'équipe ne rougit pas de cette lourde défaite.
01:06:55 C'est ce qu'assure le président du SCR Mansac Patrick Tenez.
01:06:59 C'était un match de rugby, tout est normal.
01:07:01 On fait rigoler certains, mais nous ça nous fait sourire.
01:07:03 Parce que nous on joue le jeu, on n'est pas comme certains qui se déballonnent et qui ne veulent pas se déplacer.
01:07:08 Et nous on y va avec des jeunes qui font ce qu'ils peuvent.
01:07:11 Les joueurs tirent mon chapeau d'ailleurs.
01:07:12 Parce que tout le monde ne le faisait certainement pas de nos jours.
01:07:15 Nous ça ne nous inquiète pas.
01:07:17 Nous on vit avec notre club, on vit comme on est.
01:07:19 On est bien comme on dit parce qu'on sait qu'on ne pourra pas faire mieux.
01:07:22 C'est-à-dire qu'on a des difficultés, qu'on se déplace avec un effectif un peu réduit.
01:07:26 Avec des jeunes qui n'ont pratiquement jamais joué au rugby.
01:07:29 Nous on tient une course, on se déplace.
01:07:32 Ça a donné vachement de monde de prendre 130 de points.
01:07:34 Moi je ne sais pas, moi j'ai 30 ans de gants, j'ai joué pendant 30 ans au rugby.
01:07:37 J'ai déjà pris 100 à 0 et il n'y a pas de soucis.
01:07:40 Dans le même temps, à noter la réserve de Mansac, elle a battu la réserve d'Issijac.
01:07:45 45 à 36 et ça le président de Mansac avait aussi envie de le préciser.
01:07:50 C'est un score sévère, mais c'est du rugby.
01:07:54 Ils ont joué jusqu'au bout.
01:07:55 Ils ont respecté l'adversaire comme on dit.
01:07:58 Pour la météo, aujourd'hui Benoît, c'est une victoire écrasante des nuages.
01:08:02 Effectivement, avec du gris prévu pour toute la journée.
01:08:05 Parfois on ne voit pas les nuages ce matin à cause du brouillard.
01:08:08 Ne vous inquiétez pas, c'est gris devant, c'est gris derrière, c'est gris partout.
01:08:10 Et ça va être comme ça pour toute la journée.
01:08:12 Mais prudence sur la route avec le brouillard qui peut être des fois un petit peu épais ce matin.
01:08:16 Donc prudence et vous nous passez un petit coup de fil en cas de difficulté.
01:08:19 De la douceur pour les températures, souvent au-dessus des 10°C déjà ce matin.
01:08:24 Et ça va continuer de monter cet après-midi avec 13°C attendus au meilleur de la journée.
01:08:30 On attend par exemple cet après-midi 9°C à Sarlat, 11°C à Nontron, 12°C pour Thiviers.
01:08:38 Et puis 13°C la maximale cet après-midi pour Périgueux, pour Ribérac ou encore pour Bergerac.
01:08:45 La météo 100% locale avec Cerise Technique.
01:08:48 Experts depuis 30 ans, pompe à chaleur, climatisation, photovoltaïque, chaudière bois,
01:08:52 électricité et bande de recharge à Ménesplet et sur cerise-technique.com.
01:08:56 8h08, bienvenue sur France Bleu Périgord et France Frec.
01:09:05 Toute l'équipe du 6/9 qui est là. Bonjour Julien Pelé.
01:09:07 Bonjour Benoît, bonjour à tous.
01:09:09 Tout va bien ? Je vous vois courir dans tous les sens.
01:09:11 Oui, pour moi tout va bien. Je vais être totalement transparent.
01:09:14 Mon invité ce matin a eu un petit dégât des os.
01:09:17 C'est pour ça qu'on s'est appelé tardivement, mais on va pouvoir revenir et débriefer sa journée d'hier.
01:09:22 Je vous emmène dans la capitale du Périgord vert dans un instant.
01:09:26 Rejoindre celle qui a passé une partie de la journée avec la ministre de la Culture, Achille Adatis,
01:09:30 et Nadine Erman-Banko, la maire de Nontron.
01:09:32 On va revenir sur cette journée, sur les annonces et puis on parlera également de mobilité.
01:09:36 C'est à suivre dans le 6/9 sur France Bleu et France 3.
01:09:39 Juste après, Jo Coquart pour la musique.
01:09:43 À 8h09, bon réveil.
01:09:44 À l'oeil.
01:09:45 [Musique]
01:10:06 [Musique]
01:10:35 [Musique]
01:10:55 [Musique]
01:11:24 [Musique]
01:11:34 [Musique]
01:11:44 [Musique]
01:12:04 [Musique]
01:12:24 [Musique]
01:12:44 [Musique]
01:13:04 [Musique]
01:13:24 [Musique]
01:13:49 Allez, on se réveille. C'était Jo Coquart sur France Bleu Périgord et France 3 à 8h13.
01:13:54 Votre avis nous intéresse tous les matins. On s'intéresse ce matin à la mobilisation des agriculteurs, Louis de Bergemin.
01:14:00 Oui, les agriculteurs qui se sont mobilisés dans d'autres départements autour de Montpellier, Toulouse ou encore Perpignan ces derniers jours.
01:14:07 Et bien à partir d'aujourd'hui, le mouvement arrive en Dordogne avec des blocages de routes à partir de 10h
01:14:14 à l'initiative de la FNSEA, de la Coordination Rurale et des Jeunes Agriculteurs de Dordogne.
01:14:19 Ce sera le cas par exemple sur la National 21 à Bergerac ou encore à Thivier, ainsi que sur la 89 au péage de la Bachelerie.
01:14:26 Et les agriculteurs qui protestent notamment contre la hausse des coûts de leurs charges et en même temps les prix trop bas,
01:14:34 les revenus trop faibles qu'ils ont de la grande distribution, ils disent qu'ils n'y arrivent plus.
01:14:38 Alors ce matin, on vous pose la question, on vous demande si vous comprenez la colère des agriculteurs.
01:14:42 Est-ce que vous les soutenez ? Vous pouvez nous appeler pour venir réagir.
01:14:45 0553538282, vos réactions à suivre dans quelques minutes.
01:14:49 Après 5 années de découverte culturelle dans la région, votre célèbre magazine de la curiosité a tiré sa révérence au fin 2023.
01:15:02 Mais pour prolonger un peu l'aventure, revivez quelques-uns des meilleurs moments de BIS
01:15:07 en compagnie d'invités passionnants des 4 coins de la Nouvelle-Aquitaine.
01:15:12 BIS, le magazine de la curiosité, le best-of, lundi à 10h10 sur France 3.
01:15:20 Chaque semaine, retrouvez Sophie Rouleau pour votre séance fitness directement chez vous.
01:15:28 Restez bien droit, gardez devant vous.
01:15:32 Que vous soyez passionné de sport ou novice, aucun souci, notre coach s'occupe de tout.
01:15:37 Suivez pas à pas les exercices et profitez de tous les bienfaits du fitness.
01:15:42 Alors on bouge en région, votre rendez-vous sport et bien-être, samedi à 9h30 sur France 3.
01:15:48 8h15 sur France Bleu Périgord et France 3.
01:15:59 Dans le cadre de la journée européenne de la protection des données du 28 janvier 2024,
01:16:04 la LDH à Périgueux, Ligue des droits de l'homme, organise une conférence publique,
01:16:08 vie privée, informatique et liberté pour vous donner toutes les infos sur la protection de vos données,
01:16:14 notamment via la gestion informatique.
01:16:16 Ce sera samedi à 18h à l'amphithéâtre Jean Moulin, avenue Georges Pompidou à Périgueux.
01:16:21 Le temps pour aujourd'hui, c'est du gris pour toute la journée, avec pas mal de brouillard aussi ce matin.
01:16:27 Soyez prudent sur vos déplacements.
01:16:29 Pour les températures de la douceur, souvent au-dessus de 10°C déjà ce matin.
01:16:32 Cet après-midi, on attend jusqu'à 13°C, au meilleur de la journée.
01:16:36 Si vous êtes en voiture ce matin et que vous rencontrez des difficultés sur votre trajet,
01:16:40 vous nous fassez un petit coup de fil 0553538282.
01:16:44 8h16 sur France Bleu et France 3.
01:16:50 Les grandes chaînes de télévision et de radio étaient à Nontron hier pour couvrir le déplacement
01:16:54 de la nouvelle ministre de la Culture, Rachida Dati.
01:16:57 On y revient ce matin en compagnie de Nadine Erman, banco Julien Pellet.
01:17:00 Absolument, qui est en ligne avec nous. Bonjour Madame Lamère.
01:17:03 Bonjour à tous.
01:17:05 Merci beaucoup d'être avec nous ce matin, parce que je sais que vous avez eu des petits soucis de portable
01:17:09 et d'ordre personnel, rien de grave, mais merci en tout cas d'être là.
01:17:12 Hier, vous avez accueilli et passé une partie de la journée en compagnie de notre nouvelle ministre de la Culture, Benoît Ladi.
01:17:18 Au programme, une rencontre avec les élèves de l'École Nationale Supérieure des Arts Décoratifs,
01:17:22 mais il y a eu aussi une étape au cinéma Louis Deluc, avant un déjeuner dans la salle des fêtes.
01:17:26 Madame Lamère, quelle image, quel sentiment vous allez garder de cette visite ?
01:17:31 Alors, écoutez, d'abord, c'est pour nous et je pense tous les élus du territoire,
01:17:38 je l'ai bien perçu hier au moment du buffet républicain,
01:17:42 c'est quelque part totalement inouï de penser que la première sortie en province de la ministre de la Culture,
01:17:53 soit pour Dantronc, mais est le territoire du Périgord d'Antoinette.
01:17:58 Parce que, vous citez le cinéma Louis Deluc, mais le cinéma Louis Deluc,
01:18:03 c'est un établissement porté par la communauté de communes.
01:18:06 Il y a eu également la médiathèque, et la médiathèque est portée par la communauté de communes.
01:18:12 Donc, tous les élus que nous sommes sur ce territoire, je pense, en tout cas en ce qui me concerne,
01:18:20 j'ai bien vu les réactions des élus présents donc hier,
01:18:25 tous les élus étaient comme très très honorés, très fiers de cette première visite.
01:18:33 La ministre a annoncé une grande concertation sur le rôle de la culture pour dynamiser les territoires,
01:18:38 ça s'appelle le printemps de la ruralité.
01:18:40 Comment vous, à titre personnel, vous la jugez l'offre culturelle à Dantronc ?
01:18:44 - Ecoutez, d'abord, vous me posez une question, c'est pratiquement, je vais me demander une auto-analyse.
01:18:55 - Un peu, oui.
01:18:56 - Parce que j'ai la délégation culture à la communauté de communes.
01:19:01 - Donc, vous pouvez avoir un rayonnement plus large que Dantronc, d'accord.
01:19:04 - Oui, non mais je vais vous dire de toute façon la question qui se pose.
01:19:08 Déjà, pour Dantronc commune, on n'avait jusqu'à présent aucune offre culturelle.
01:19:15 Et donc, cette année, mais c'est le hasard si vous voulez,
01:19:20 lors de mes voeux qui étaient lundi 15, donc une semaine avant la venue de la ministre,
01:19:25 j'ai annoncé une programmation culturelle.
01:19:28 Certes très très modeste, mais on va commencer à avoir une programmation culturelle à Dantronc,
01:19:36 notamment grâce à un partenariat avec le pôle national du cirque de Boulazac,
01:19:42 dont je me félicite et je suis ravie qu'on ait pu passer cet accord
01:19:47 de délocalisation d'un spectacle du pôle cirque sur Dantronc.
01:19:53 Et j'ai vu hier justement le directeur du pôle cirque,
01:19:58 l'intention réciproque c'est d'installer à Dantronc cette délocalisation, de l'installer durablement.
01:20:06 - Monsieur Dürner, c'est ça ? - Oui, exactement.
01:20:09 - Donc, pierre par pierre, l'offre culturelle commence à se développer.
01:20:12 Quand on évoque la ruralité, on parle aussi souvent de l'accessibilité aux services
01:20:16 et de la difficulté pour certains de se déplacer.
01:20:18 Alors, vous n'avez pas attendu, je le précise, la venue de la ministre
01:20:21 pour mettre en place un service sur Dantronc.
01:20:23 Ça s'appelle la navette d'un service de transport gratuit proposé par la mairie.
01:20:27 Vous avez mis ça en place il y a deux ans.
01:20:29 Alors, on peut se rendre dans un lieu culturel, mais aussi chez le médecin.
01:20:33 - Excusez-moi, c'est beaucoup plus ancien.
01:20:36 La navette avait déjà été mise en place sous le précédent mandat.
01:20:41 - Ah, mais alors elle a fait son retour en mars 2022, c'est ça ?
01:20:44 - Oui, exactement.
01:20:46 - Je voulais savoir quel bilan vous faisiez deux ans après son retour de la navette non-tronesque,
01:20:51 justement, en termes de mobilité. Je ne l'ai pas dit, c'est totalement gratuit.
01:20:54 - Oui, écoutez, et d'ailleurs, je me permets de dire que c'est quasiment le premier mot
01:21:01 que la ministre hier a prononcé.
01:21:05 Elle dit "votre offre culturelle, elle est excellente".
01:21:09 Il y a beaucoup de choses dans ce que vous faites là.
01:21:11 Elle n'a pas dit "excellente", j'exagère.
01:21:13 Bon, mais disons, elle a dit "l'offre culturelle",
01:21:16 mais le problème majeur, c'est la mobilité.
01:21:19 - C'est pour ça que je vous pose la question.
01:21:21 Et le bilan alors du retour de cette navette ?
01:21:23 - Bah écoutez, nous on le fait à nos petits moyens.
01:21:27 C'est deux jours par semaine complets.
01:21:30 C'est sur les personnes âgées qui réservent un créneau horaire pour se déplacer.
01:21:38 Ça apporte énormément de satisfaction,
01:21:42 mais elle ne tourne que sur nos troncs.
01:21:46 - Tout à fait.
01:21:47 - Donc, il y a quand même, sur la communauté de communes, 15 500 habitants.
01:21:52 On a une population vieillissante,
01:21:54 et c'est toute la population de la communauté de communes
01:21:58 qui doit pouvoir accéder à l'offre culturelle.
01:22:00 - D'accord. Donc là encore, il faudrait peut-être développer ce service.
01:22:04 On va terminer rapidement, Madame Lamère, s'il vous plaît,
01:22:06 avec notre question du jour, qui n'a rien à voir avec la culture,
01:22:09 ni avec Rachida Dati.
01:22:10 Mais les jours se suivent, et la colère des agriculteurs ne faiblit pas.
01:22:13 Les agriculteurs de Dordogne vont rejoindre justement
01:22:16 ce mouvement national qui se met en place.
01:22:18 À partir de 10h, on sait qu'il va y avoir des points de blocage en Dordogne,
01:22:21 notamment sur la nationale 21 à Bergerac,
01:22:24 dans le secteur de Thiviers, sur l'A89, du côté de la Bachelerie.
01:22:28 Est-ce que vous comprenez la colère des agriculteurs
01:22:31 face au coût de l'énergie, la multiplication des règles et des normes ?
01:22:35 - Alors écoutez, je la comprends d'autant plus que hier après-midi,
01:22:39 après la visite de la ministre,
01:22:42 j'avais un rendez-vous avec une association
01:22:44 qui s'appelle Solidarité Paysan,
01:22:47 que nous soutenons, et qu'on a évoqué justement
01:22:52 la question de la solitude des agriculteurs,
01:22:57 parce qu'ils sont seuls, et souvent,
01:23:00 et c'est là l'objectif de cette association Solidarité Paysan,
01:23:04 c'est de leur apporter du soutien, les aider,
01:23:07 dans toutes les démarches administratives.
01:23:09 Ce sont des bénévoles qui font...
01:23:11 Ils ont quand même trois salariés,
01:23:14 mais ils font un boulot qui est exceptionnel.
01:23:17 Et en discutant avec eux,
01:23:19 on perçoit la grande détresse des agriculteurs.
01:23:22 C'est sûr, et les agriculteurs, on en a besoin.
01:23:25 Sur le territoire de la commune, on a des éleveurs,
01:23:28 on a encore des agriculteurs.
01:23:30 Il faut les protéger, il faut les garder.
01:23:32 - Je vais soutenir, c'est ce que vous dites.
01:23:34 Merci beaucoup Nadine Hermann-Banco
01:23:35 d'être passée par France Bleu Périgord ce matin.
01:23:37 Je vous souhaite une très bonne journée,
01:23:38 et je rappelle que vous êtes maire de Nontran.
01:23:40 - Merci beaucoup, bonne journée à tous.
01:23:42 - Merci à vous Julien Pellet, on vous retrouve demain matin à 8h40.
01:23:44 - À demain.
01:23:45 - 8h23 sur France Bleu Périgord.
01:23:51 Comprenez-vous le ras-le-bol des agriculteurs
01:23:53 et leurs actions sur les routes ?
01:23:55 C'est la question qu'on pose ce matin, Louis de Bergevin.
01:23:57 - Oui, on en parle depuis ce matin sur France Bleu Périgord.
01:24:02 Les agriculteurs qui manifestent désormais aussi en Dordogne.
01:24:05 À partir de 10h, ils vont bloquer des routes.
01:24:08 Notamment, ils manifestent, pour résumer,
01:24:10 c'est pour leurs revenus.
01:24:11 C'est important quand même de préciser cette information
01:24:13 qui vient de tomber, puisque les blocages sont un petit peu partout en France,
01:24:17 notamment dans le sud de la France.
01:24:18 Il y a eu un accident de la route ce matin,
01:24:20 près d'un point de blocage dans l'Ariège,
01:24:22 point de blocage des agriculteurs.
01:24:24 Cet accident a causé le décès d'une femme.
01:24:27 C'est ce qu'a annoncé ce matin le président de la FNSEA, Arnaud Rousseau,
01:24:32 qui l'annonce sur RMC ce matin.
01:24:35 Il y a aussi des blessés, on n'a pas plus de détails sur les circonstances du drame,
01:24:38 mais c'est important de le préciser avant de revenir sur ce mouvement des agriculteurs.
01:24:43 On vous demande si vous comprenez leur colère ce matin.
01:24:45 On reviendra évidemment sur cet accident un petit peu plus tard de la matinée
01:24:48 sur France Bleu Périgord.
01:24:49 On vous tient au courant, mais pour l'instant,
01:24:50 retour sur notre territoire avec Maryse qui nous rejoint depuis Bergerac.
01:24:54 Bonjour Maryse.
01:24:55 Oui, bonjour.
01:24:56 Vous soutenez ce mouvement des agriculteurs, Maryse ?
01:24:58 Tout à fait, parce que d'abord, ça fait plusieurs années
01:25:02 que ça commence à être étriqué pour eux,
01:25:07 notamment pour tous ceux qui travaillaient avec eux.
01:25:10 Et moi, je les soutiens à 100% parce que je suis issue quand même
01:25:15 de mes grands-parents de chaque côté de la campagne.
01:25:19 Et on a bien vu que ça, ça me nuisait de dernier en dernier.
01:25:24 Tout ce qui est petit exploitant, il n'a plus raison de vivre, pour ainsi dire.
01:25:33 Moi, je suis un peu contre les grandes fermes, les grandes exploitations,
01:25:39 parce que d'abord, c'est pas tellement bien pour les animaux qui sont en souffrance.
01:25:45 Et les traitements sont abusifs, antibiotiques, tout ça.
01:25:49 Nous sommes malades, donc voilà.
01:25:51 Il y a vraiment beaucoup de choses à dire, en écologie surtout.
01:25:56 Il faut revenir à des petits exploitants, comme il y a,
01:26:00 avec des produits naturels.
01:26:02 Et qu'on laisse libre choix aux gens, parce que c'est l'Europe qui tue tout ça.
01:26:08 Et vous soutenez les petits agriculteurs, Marie, c'est ce que vous nous dites
01:26:14 ce matin sur France Bleu Périgord.
01:26:16 Merci d'avoir témoigné ce matin.
01:26:18 Vous aussi, vous nous appelez 055353828282.
01:26:21 France Bleu Périgord. Votre avis nous intéresse sur notre page Facebook.
01:26:25 Laurent de Paysac-le-Moustier accepte de témoigner ce matin sur France Bleu Périgord
01:26:29 pour une histoire personnelle, directement avec ce mouvement des agriculteurs.
01:26:33 Bonjour Laurent.
01:26:34 Bonjour Laurent.
01:26:35 Oui, bonjour.
01:26:36 Vous soutenez ces agriculteurs et ça rejoint votre histoire familiale.
01:26:39 Tout à fait. Il y a 10 ans, au mois de mars, j'ai eu un de mes frères
01:26:45 qui s'est suicidé par rapport à l'agricole.
01:26:49 Parce que bon, les problèmes, vous voyez bien,
01:26:54 personne n'y arrive, c'est compliqué, très compliqué.
01:26:58 Du coup, les agriculteurs, il faut les soutenir, parce que le problème qu'il y a,
01:27:03 il faut surtout soutenir quand il y a des décès, les familles.
01:27:07 Parce que vous savez, quand on a un décès, que vous voyez votre frère décédé,
01:27:11 ça ne fait pas plaisir à tout le monde.
01:27:14 Et l'État, il s'engrange plein les poches.
01:27:19 Et voilà, donc à un moment, quand il n'y aura que des ronces dans les prêts, dans les terres,
01:27:26 il faudrait qu'un jour, que quelqu'un les nettoie ou les entretienne.
01:27:30 Laurent, vous avez été témoin, le travail d'agriculteur,
01:27:35 il est très difficile, parfois trop difficile ?
01:27:38 Trop difficile. Vous y êtes en permanence, vous y êtes journée et nuit,
01:27:42 vous êtes avec les bêtes quand elles sont malades, quand il faut les faire veller.
01:27:46 C'est un travail, c'est plaisant.
01:27:49 S'il y avait de l'argent, si les agriculteurs gagnaient un peu d'argent,
01:27:52 maintenant, il faut de plus en plus de terrain pour travailler,
01:27:58 et de plus en plus de tracteurs, de plus en plus de matériel,
01:28:02 et de plus en plus d'emprunts.
01:28:04 Donc pour les rembourser, ils n'y arrivent plus.
01:28:07 Vous comprenez, c'est compliqué, très compliqué.
01:28:10 Donc moi, je soutiens les agriculteurs,
01:28:14 mais ce que je voudrais dire aussi, c'est que là, ils bloquent les routes,
01:28:18 ils font très bien, mais il n'y a pas que ça, il n'y a pas que l'agriculture.
01:28:21 Il faudrait que les commerçants, les artisans, les infirmières,
01:28:25 tout le monde s'y mette, parce que tout le monde en aura le bol.
01:28:29 Pas le pur en parlant poliment, mais là, vraiment, tout le monde en aura le bol.
01:28:35 Laurent, je me permets de vous couper, puisque vous avez vécu cela de près,
01:28:40 votre frère, il n'y arrivait plus en tant qu'agriculteur,
01:28:43 il n'arrivait plus à se verser un salaire, par exemple ?
01:28:45 Ah ben non, c'était très compliqué.
01:28:50 C'était une petite exploitation, on avait une quarantaine de vaches,
01:28:55 mais bon, voilà, c'était vraiment pas facile pour lui et pour les autres,
01:29:03 parce que c'est pareil, quand vous avez une famille à faire vivre, ça ne tombe pas du ciel.
01:29:09 Et merci Laurent d'avoir accepté.
01:29:11 Toutes ces charges, on nous ponctionne, on ne fait que nous ponctionner,
01:29:16 l'État fait que nous ponctionner, c'est sûr, mais bon,
01:29:21 il faut qu'ils en laissent un peu pour que Jean-Guy travaille.
01:29:24 Et on entend au contraire votre colère et ce soutien au mouvement des agriculteurs.
01:29:28 Merci beaucoup Laurent d'avoir accepté de livrer ce témoignage avec nous,
01:29:31 ce matin sur France Bleu Périgord, vous nous rappelez quand vous voulez,
01:29:34 pour réagir à l'actualité, c'est comme ça tous les matins sur France Bleu Périgord et France 3,
01:29:38 vous avez la parole, vous restez avec nous sur France Bleu Périgord,
01:29:41 on va continuer de suivre évidemment ce mouvement dans nos différentes éditions
01:29:45 tout au long de la journée, à tout de suite.
01:29:47 Ici matin, revient dans un instant.
01:29:51 Dimanche à 9h55 sur France 3, se réinventer.
01:29:55 L'objectif de cette émission ne sera pas de savoir si j'ai remporté ou non ma partie,
01:29:59 mais plutôt de connaître l'empreinte carbone du secteur des jeux vidéo.
01:30:03 Ce qui pèse lourd dans cette industrie, c'est la fabrication des supports de jeux,
01:30:07 mais vous allez le voir, les professionnels travaillent tous ensemble pour trouver des solutions.
01:30:12 10h15, Noah sur Terre. Cette semaine, Emmanuel Brault s'intéressera à la silviculture.
01:30:18 Comment maintenir la biodiversité forestière dans notre région
01:30:21 et quelles solutions peuvent être envisagées pour préserver cette incroyable richesse ?
01:30:25 9h55, se réinventer. Des jeux écolos, c'est possible.
01:30:30 10h15, Noah sur Terre. La siliculture. Dimanche sur France 3.
01:30:36 [Musique]
01:30:49 Quand vous écoutez France Bleu, vous n'êtes pas n'importe où. Vous êtes chez vous.
01:30:54 France Bleu, au cœur de nos régions, de nos villes, de nos villages.
01:30:59 France Bleu Périgord, ici, on parle d'ici.
01:31:03 Bienvenue sur France Bleu Périgord et sur France 3.
01:31:05 Nous sommes le 23 janvier, il est 8h30, le journal d'Isaac Guinnick.
01:31:08 Et pour la météo, qu'est-ce qu'on va avoir aujourd'hui Benoit ?
01:31:10 Du gris pour toute la journée, avec pas mal de brouillard ce matin.
01:31:14 13 degrés attendus pour la maximale.
01:31:16 On fait un point complet sur votre météo avec vos commentaires sur notre page Facebook à la fin de ce journal.
01:31:22 La régulation des urgences la nuit est désormais définitive en Dordogne.
01:31:28 Depuis mai dernier, on doit appeler le 15 avant de se rendre aux urgences.
01:31:31 Une expérimentation qui devait durer jusqu'à l'automne dernier.
01:31:35 Mais Didier Couteau l'annonce à demi-mot sur France Bleu Périgord ce matin.
01:31:38 La fermeture de l'accueil des urgences la nuit.
01:31:41 Et maintenant, le nouveau système.
01:31:43 Le directeur de l'Agence régionale de santé en Dordogne était l'invité de Louis de Bergevin.
01:31:46 Aujourd'hui, force est de constater qu'il nous manque des urgentistes et qu'on va devoir faire avec.
01:31:53 Donc c'est aussi pour ça qu'on va travailler, qu'on travaille sur plusieurs pistes.
01:31:57 La régulation en est une, mais l'objectif derrière cette régulation,
01:32:00 c'est bien de faire en sorte que les urgences se concentrent sur les urgences vitales
01:32:05 et qu'il y ait d'autres modalités de prise en charge par les médecins généralistes,
01:32:09 par un décalage des prises en charge à chaque fois que c'est possible.
01:32:13 Alors on va revenir sur tous ces points, sur la fermeture de l'accueil des urgences la nuit.
01:32:18 Ça veut dire que là, c'est mis en place, il n'y a pas de date de fin ?
01:32:23 Vous ne voulez pas dire définitivement, mais en tout cas c'est mis en place jusqu'à ce qu'il y ait un changement ?
01:32:28 Voilà, exactement. C'est-à-dire qu'aujourd'hui, encore une fois, du fait de l'absence de médecins,
01:32:35 on est obligé d'innover, de prendre en compte ce qui existe.
01:32:39 Et donc tant qu'on n'a pas d'évolution positive sur ces effectifs,
01:32:43 puisqu'il nous manque un tiers des effectifs, c'est absolument important.
01:32:47 C'est aujourd'hui 36 médecins qu'on a sur une cible de 57.
01:32:51 Donc ça veut dire qu'on est obligé.
01:32:53 Tous les détails de cette fermeture de l'accueil des urgences la nuit en Dordogne sont à retrouver dans notre article sur francebleu.fr.
01:33:01 On l'apprend il y a quelques minutes, le décès d'une femme sur l'un des points de blocage des agriculteurs sur les routes.
01:33:07 Un accident intervenu dans l'Ariège, annonce le président de la FNSEA, Arnaud Rousseau, sur RMC.
01:33:12 Selon le procureur général de la Cour d'appel de Toulouse, c'est un véhicule qui a percuté pour trois personnes qui étaient sur le rond-point.
01:33:19 Le drame se serait produit avant 6h. Le mari et la fille de l'agricultrice décédée adhérente au syndicat sont donc gravement blessés.
01:33:28 Ce sont les premiers éléments. On y revient dans les prochaines éditions d'informations.
01:33:33 Le ras-le-bol des agriculteurs qui gagnent la Dordogne.
01:33:36 Les syndicats périgourdins appellent eux aussi à bloquer les routes chez nous.
01:33:40 La colère des agriculteurs sur l'autoroute A64 près de Toulouse depuis cinq jours s'étend désormais à tout le pays.
01:33:45 Les tracteurs bloquent désormais l'asset entre Lyon et Valence.
01:33:48 Les agriculteurs croulent sous les normes et surtout ils suffoquent financièrement, explique Éric Chassagne, le président de la coordination rurale en Dordogne.
01:33:57 Il était notre invité dans le journal de 7h.
01:33:59 Les revendications émanent de compression des prix et de hausses globales des charges de l'agriculture.
01:34:06 Les agriculteurs ont le sentiment d'être étouffés à petit feu et veulent des mesures qui leur permettent de vivre dignement de leur métier.
01:34:17 Ce qui a mis le feu aux poudres globalement c'est une modification, une énième modification de la PAC,
01:34:22 avec des engagements de la part de l'État qui n'ont pas été tenus en termes de compensation de prix.
01:34:28 Donc la PAC c'est la politique agricole commune ?
01:34:31 Oui, pardon, la politique agricole commune.
01:34:33 Et également une taxation, surtaxation du gazoil non routier, donc le gazoil qui sert pour nos tracteurs et nos outils.
01:34:42 Donc qui prévoit de multiplier par 6 l'éco-taxe qui frappe ce gazoil.
01:34:49 Donc des augmentations de charges, des pénalisations écologiques face auxquelles nous n'avons pas de solution.
01:34:56 Parce que nous sommes contraints d'utiliser notre matériel et nous n'avons pas de solution de tracteurs électriques ou d'hydrogène par exemple.
01:35:03 La coordination rurale, la FDSEA et les jeunes agriculteurs appellent donc à bloquer les routes.
01:35:09 La 89 au niveau de la Bachelerie, la National 21 au rond-point de l'aéroport de Bergerac, à Thiviers aussi,
01:35:15 les tracteurs et leurs bennes emplies de fumier et de pneus sont attendus dès 10h.
01:35:21 Le gouvernement n'a pas annoncé de mesures concrètes pour le moment.
01:35:24 Les syndicats agricoles ont été reçus par le Premier ministre et le ministre de l'Agriculture pendant plus de 2h hier soir.
01:35:30 Gabriel Attal a promis des annonces dans la semaine.
01:35:33 Marc Fesneau des réponses concrètes aux revendications agricoles.
01:35:36 Le président de la FNSEA, Arnaud Rousseau, a réaffirmé qu'il ne se contentera pas de mesurettes.
01:35:41 Rachida Dati n'a pas fait de grandes annonces à Nanteran hier.
01:35:44 La ministre de la Culture s'est arrêtée dans chaque boutique d'art, a discuté avec chaque montronais.
01:35:49 La star du gouvernement a tout fait dans la capitale du Périgord vert.
01:35:52 Elle a choisi la Dordogne pour sa deuxième sortie officielle, la première à la campagne.
01:35:56 Elle a d'ailleurs rappelé que la culture populaire c'était une culture des banlieues mais aussi une culture rurale.
01:36:01 Sa visite en Périgord est à revivre en image sur francebleu.fr.
01:36:05 Une très bonne maturité et un beau parfum.
01:36:07 Il y avait de la truffe au marché de Saint-Alvers hier.
01:36:10 57 kilos vendus à 700 euros le kilo en moyenne.
01:36:13 Pour la météo, j'ai voulu y croire mais non, on a toujours un peu de gris.
01:36:19 On peut espérer passer entre les gouttes Benoît ?
01:36:22 Oui, on peut espérer passer entre les gouttes, ça devrait rester sec.
01:36:24 C'est la seule bonne nouvelle que j'ai à vous apporter aussi, c'est que les températures sont douces aussi.
01:36:28 C'est plutôt agréable ce matin, souvent au-dessus des 10 degrés.
01:36:31 Déjà c'est ce que vous nous indiquez sur la page Facebook de France Bleu Périgord.
01:36:34 Mais sinon, pour la couleur du ciel, pas de suspense, ce sera du gris pour aujourd'hui.
01:36:38 Avec souvent pas mal de brouillard ce matin, notamment sur le sud de la Dordogne.
01:36:41 Donc soyez prudents lors de vos déplacements.
01:36:44 Et cet après-midi, ce sera des nuages pour l'ensemble de la Dordogne.
01:36:48 Avec des températures qui remontent, on attend au meilleur de la journée.
01:36:51 Par exemple, 10 degrés pour Thiviers, 9 degrés à Sarla, 11 à Nontron, 12 à Périgord, Ibérac, Vert et Neuvich.
01:36:59 Et puis la maximale, 13 degrés pour Bergerac et Montpont-Ménesterol.
01:37:02 La météo 100% locale avec Cerise Technique.
01:37:05 Experts depuis 30 ans en pompe à chaleur, climatisation, photovoltaïque, chaudière bois, électricité et bande de recharge à Ménesplet et sur cerise-technique.com.
01:37:14 Bienvenue, bon début de journée avec nous sur France Bleu Périgord et France 3.
01:37:23 Avec des cadeaux à gagner encore ce matin.
01:37:25 On a des places de ciné à vous offrir pour un film "Connaissance du monde" qui sera projeté jeudi au CGR de Périgueux.
01:37:31 Un super documentaire qui nous emmène au lac Baïkal à 4 jours de Moscou quand on empruntait le transsibérien.
01:37:37 Il a voulu revenir sur cette aventure, le réalisateur de ce film, Vasili Durand, qui sera là pour vous rencontrer aussi.
01:37:43 On vous offre vos deux invitations ce matin.
01:37:45 On va jouer avec notre personnalité mystère dans quelques minutes.
01:37:48 Et puis juste avant, on va s'intéresser au retour d'une émission de télé-réalité et culte à la télé, "Secret Story",
01:37:54 qui avait disparu des écrans en 2017, qui s'apprête à faire son retour dans quelques semaines.
01:37:58 On va débriefer ce retour avec un ancien candidat périgourdin de "Secret Story".
01:38:03 Gauthier était finaliste de la 7e saison du programme.
01:38:06 Il nous raconte son aventure, ses souvenirs dans quelques instants.
01:38:09 Ce sera juste après les Beatles pour la musique à 8h38 sur France Bleu et France 3. Bon réveil !
01:38:17 "Yesterday" de The Beatles
01:38:21 "All my troubles seem so far away"
01:38:26 "Now it looks as though they're here to stay"
01:38:30 "Oh I believe in yesterday, suddenly"
01:38:37 "I'm not half the man I used to be"
01:38:43 "There's a shadow hanging over me"
01:38:47 "Oh yesterday came suddenly"
01:38:52 "Why she had to go, I don't know, she wouldn't say"
01:39:01 "I said something wrong, now I long for yesterday"
01:39:12 "Yesterday"
01:39:15 "Love was such an easy game to play"
01:39:20 "Now I need a place to hide away"
01:39:24 "Oh I believe in yesterday"
01:39:30 "Why she had to go, I don't know, she wouldn't say"
01:39:40 "I said something wrong, now I long for yesterday"
01:39:50 "Yesterday"
01:39:52 "Love was such an easy game to play"
01:39:58 "Now I need a place to hide away"
01:40:02 "Oh I believe in yesterday"
01:40:08 Petit souvenir avec les Beatles sur France Bleu Périgord et France 3 à 8h40, l'heure des incontournables
01:40:13 Le 6/9 sur France Bleu Périgord, Benoît Chomot
01:40:18 Avec l'une des plus célèbres des émissions de télé-réalité qui prépare son retour
01:40:23 Après 11 saisons entre 2007 et 2017, Secret Story avait disparu des écrans
01:40:28 Et notre invité ce matin fait partie des candidats marquants de l'émission
01:40:31 Le Périgourdin Gautier Préau qui était finaliste de la saison 7, c'était il y a 11 ans
01:40:35 Bonjour Gautier
01:40:36 Bonjour Benoît
01:40:37 Comment allez-vous suivre le retour de Secret Story ?
01:40:39 Je vais le suivre avec un œil attentif, un œil averti bien évidemment
01:40:44 Parce que ça fait partie de mon histoire
01:40:47 Et donc du coup, ce sera avec plaisir de voir un petit peu comment ils vont se renouveler
01:40:52 Et quelles seront les nouveautés
01:40:53 Est-ce que c'est une bonne idée selon vous de relancer Secret Story 7 ans après l'arrêt de l'émission ?
01:40:57 Une bonne idée, je pense que comme pour la Star Academy
01:41:02 On a tendance à revenir à certaines bases
01:41:04 Parce que peut-être que le concept de télé-réalité se doit d'être réinventé
01:41:11 Et donc peut-être qu'il y aura de nouvelles choses
01:41:14 Et peut-être un nouveau format et des propositions aussi intéressantes
01:41:19 Justement, on a un petit peu de tout comme émission de télé-réalité aujourd'hui
01:41:22 Il y a une émission par exemple qui a fait scandale il y a quelques semaines
01:41:25 Qu'on déconseille vraiment aux plus jeunes, qui s'appelle Frenchy Shore
01:41:27 Avec du trash qui avait été dénoncé notamment par l'ancienne ministre de la Culture
01:41:32 Et d'un autre côté, on a suivi, vous l'avez évoqué, le retour de la Star Academy
01:41:35 Avec là pour le coup des candidats qui prônent plutôt la bienveillance et de bonne valeur dans l'émission
01:41:40 On doit se situer où selon vous dans la télé-réalité aujourd'hui ?
01:41:43 Je pense justement qu'il y a eu un trop-plein
01:41:46 Et une escalade un petit peu de l'audimat trash
01:41:50 C'est vrai que l'audimat va être fait en fonction de ce que propose le programme
01:41:55 Et donc malheureusement, je pense que les productions, plus le trash était là, plus ça faisait de l'audimat pendant un moment
01:42:04 Mais je pense que maintenant, le public n'est pas dupe
01:42:08 Et ils ont besoin de sens, de fraîcheur et de naturel
01:42:11 Et c'est vrai que les jeunes d'aujourd'hui ont grandi avec ça et n'ont plus ce rapport naturel
01:42:19 Et donc du coup, c'est vrai que ça fausse beaucoup le jeu
01:42:24 Parce qu'on est pris comme ça en immersion
01:42:27 Et moi je n'avais pas d'expérience plus que ça
01:42:30 Et je ne regardais pas plus que ça
01:42:31 C'était peut-être ma force justement
01:42:33 Moi je suis rentré déjà dans l'émission à l'époque
01:42:35 Où je voyais bien que certains étaient assez formatés dans leur démarche
01:42:39 Vous avez participé aux grandes heures de l'émission à l'époque
01:42:42 C'était quasiment 2 millions de téléspectateurs par prime
01:42:45 Quand vous avez participé, est-ce que finalement, si on fait le bilan, ça vous a servi ?
01:42:50 Ou est-ce que vous regrettez ce passage à Secret Salon ?
01:42:52 Ah non, je ne regrette pas du tout
01:42:54 Parce que moi, ce n'est pas plusieurs vies dans une vie
01:42:57 Mais je pense que tout est bon à vivre
01:42:59 Après, il faut savoir pourquoi vous le faites
01:43:01 Il faut aussi savoir arrêter quand il est temps
01:43:06 Parce qu'il y a aussi un moment donné où vous n'allez pas exister à tout prix
01:43:13 Et moi, ça a toujours été la limite que je me suis fixée
01:43:18 C'est de rester moi-même tout simplement
01:43:20 Quand j'ai vu que j'avais fait ce que j'avais à faire
01:43:24 Je n'allais pas donner plus que ce que je n'avais
01:43:27 Et donc du coup, je me suis arrêté à ça pour Secret
01:43:31 En continuant des chroniques ensuite sur La 12 avec le Mag
01:43:35 Où là, je mettais en avant mes talents de DJ
01:43:38 Et justement, votre quotidien, il ressemble à quoi aujourd'hui ?
01:43:40 Toujours en musique ?
01:43:41 Toujours en musique, j'ai commencé à 17 ans
01:43:44 C'était en Périgord, dans une discothèque qui s'appelait La Viannotte au Bug
01:43:49 Et donc, j'ai fait danser les gens
01:43:53 Et aujourd'hui, c'est très marrant parce que je fais danser les enfants des gens que je n'ai plus
01:43:59 Des personnes que vous faisiez danser à l'époque ?
01:44:00 Oui, et donc c'est vrai que le rapport a été très très marrant
01:44:03 Notamment pour le BBD, c'est ça ? Avec les après-matches ?
01:44:05 Oui, les après-matches, c'est un format qui est pour moi super intéressant
01:44:09 Parce qu'on donne l'opportunité au public de venir voir un match
01:44:15 Mais aussi de passer un moment de convivialité
01:44:17 Et je pense que l'humain aujourd'hui est très important
01:44:20 Et si les gens peuvent se rassembler autour de la musique
01:44:23 Et autour d'un repas et puis d'un petit débrief de match
01:44:27 C'est pour ça que j'affectionne tout particulièrement l'événementiel sportif
01:44:31 Dont aussi le football
01:44:33 Vous étiez à Trésac ce week-end
01:44:35 Et le cap rugby aussi
01:44:37 C'est pour moi ce côté troisième mi-temps qui clôture
01:44:42 Qui amène la convivialité à se compter pour un match
01:44:47 Et fait passer tout simplement un bon moment au public
01:44:50 Et je précise aussi que vous avez également créé votre école de DJ
01:44:53 Alors basée à Bergerac, mais on peut aussi suivre en ligne les cours que vous proposez
01:44:57 Voilà, et là j'ai un gros projet aussi qui s'appelle la BAM
01:45:02 J'ai créé une box qui permet tout à chacun avec un système son
01:45:08 Avec des effets de lumière, des effets de fumée
01:45:11 Avec une tablette intégrée, avec des playlists
01:45:15 Où les gens peuvent choisir leur playlist mixée
01:45:20 Le mettre en mode dancefloor
01:45:22 Ou bien bénéficier des 1500 karaokés qui sont intégrés à la tablette
01:45:26 Et donc je lance ce projet en collaboration avec le Sud-Ouest
01:45:30 Qui permet de répondre à un événementiel dans le monde rural
01:45:33 Qui est en peine un peu, et qui est en manque de budget
01:45:36 Et qui permet d'avoir une box prête à mixer, prête à danser
01:45:41 Et donc j'essaye de répondre à certaines nouvelles problématiques dans l'événementiel
01:45:45 Et on va remettre tout ça sur le site internet francebleu.fr
01:45:48 Et sur l'application ici si vous êtes intéressé
01:45:50 Si vous avez envie de suivre Gautier sur ses réseaux sociaux
01:45:52 Pour suivre toute son actualité
01:45:54 Merci beaucoup Gautier d'être passé nous voir
01:45:56 Merci à tous, merci chers auditeurs, à très vite
01:45:58 Et vous restez avec nous sur France Bleu Périgord et France 3
01:46:00 Puisqu'on va jouer ensemble dans quelques instants avec des places de ciné à vous offrir
01:46:03 A tout de suite
01:46:32 8h46 sur France Bleu Périgord et France 3
01:46:34 Le temps pour aujourd'hui c'est principalement du gris
01:46:36 Avec pas mal de brouillard sur les routes ce matin
01:46:38 Ce sera du gris encore cet après-midi
01:46:40 Mais on note la remontée des températures
01:46:43 Avec souvent au-dessus de 10 degrés déjà ce matin en Dordogne
01:46:46 Pour cet après-midi entre 9 et 13 degrés attendus pour les maximales
01:46:51 Si vous êtes sur la route ce matin, vous nous passez un petit coup de fil
01:46:54 Si vous rencontrez des difficultés 05 53 53 82 82
01:46:57 Vous êtes nos yeux sur les routes du département
01:47:00 France Bleu Périgord, vous offre vos plus beaux cadeaux
01:47:05 On joue ensemble sur France Bleu Périgord
01:47:07 On vous parlait de ce film ce matin
01:47:09 Qui sera diffusé dans le cadre de Connaissances du Monde au CGR de Périgueux
01:47:13 Ce sera jeudi, le film "Le lac Baïkal, étape magique sur le parcours du transsibérien"
01:47:19 Le lac Baïkal qui se situe à 4 jours de Moscou
01:47:22 C'est cet angle qu'a choisi le réalisateur Vassili Durand
01:47:25 Pour raconter cette histoire de passion, celle d'amoureux
01:47:28 De ce Baïkal russe et français
01:47:31 Vous allez découvrir tout ça, une histoire qu'il avait commencé avec son père
01:47:34 Et qu'il a décidé d'achever tout seul
01:47:36 Vous pourrez le rencontrer, ce réalisateur sera là à l'issue de la projection
01:47:39 Pour répondre à toutes vos questions
01:47:41 Pour gagner ces deux places, je vous demande d'identifier notre personnalité mystère
01:47:45 C'est hyper facile, elle était à la télé hier soir pour une émission de rencontres
01:47:49 Et écoutez, elle était de passage dans le Berge-du-Raquois pour rencontrer quelqu'un
01:47:52 C'est beau !
01:47:56 J'ai du me planter parce que je suis censée rencontrer un viticulteur
01:48:01 Il n'y a pas une vigne
01:48:03 Je vais mourir dévorée par les loups, saison 19, en plein hiver
01:48:07 Ce n'est pas grave, ce sera deux ou trois articles
01:48:12 J'aurais préféré une autre fin, mourir dans mon sommeil par exemple
01:48:16 Non mais, je me suis plantée ou quoi là ?
01:48:19 Bon, j'ai reconnu cette animatrice de télé
01:48:22 Elle était hier soir pour une émission de rencontres
01:48:24 Avec un agriculteur dans le Berge-du-Raquois
01:48:26 Vous nous appelez tout de suite et vous gagnez vos places de ciné, bonne chance !
01:48:29 La bonne réponse juste après un retour quelques années en arrière
01:48:36 Souvenez-vous, M. Pokora avait incarné sur scène Robin Desbois
01:48:39 Extrait de la comédie musicale avec "Le jour qui se rêve" sur France Bleu et France 3
01:48:43 A 8h48, tes souvenirs ?
01:48:45 Être seul, être sans, et en vingt ans la foule
01:48:51 Être cent, plus de mille, et quelqu'un qui écoute
01:48:57 Il était un jour qui se rêve
01:49:02 Il était un jour qui se rêve
01:49:10 Un sourire, un échange, rien de plus ordinaire
01:49:16 S'engager, toi et moi, ça doit pouvoir se faire
01:49:22 Il est là le jour qui se rêve
01:49:26 Le voilà le jour qui se rêve
01:49:32 Le voilà le jour qui se rêve
01:49:37 Être seul, être sans, au milieu de la foule
01:49:51 Être mille, ou cent mille, et le monde à l'écoute
01:49:56 Il était un jour qui se rêve
01:50:00 Il était un jour qui se rêve
01:50:04 Un sourire, un échange, rien de plus ordinaire
01:50:09 S'engager, toi et moi, on va devoir le faire
01:50:13 Il est là le jour qui se rêve
01:50:17 Le voilà le jour qui se rêve
01:50:21 Aujourd'hui, on dit qu'il est temps, maintenant on fait ce qu'on veut
01:50:26 Aujourd'hui, on va de l'avant, maintenant on va au-delà
01:50:30 Aujourd'hui, on dit qu'il est temps, maintenant on fait ce qu'on veut
01:50:35 Aujourd'hui, le jour qu'on attend, maintenant, c'est que c'est lui
01:50:40 Le jour qui se rêve
01:50:45 Le jour qui se rêve
01:50:49 Le jour qui se rêve
01:50:55 Jamais seul, jamais sans, et toujours dans la foule
01:50:59 Être mille, ou cent mille, et tout le monde qui l'écoute
01:51:03 Il est là le jour qui se rêve
01:51:06 Le voilà le jour qui se rêve
01:51:14 Le voilà le jour qui se rêve
01:51:17 Aujourd'hui, on dit qu'il est temps, maintenant on fait ce qu'on vit
01:51:30 Aujourd'hui, on va de l'avant, maintenant on va de la vie
01:51:34 Aujourd'hui, on dit qu'il est temps, maintenant on fait ce qu'on vit
01:51:38 Le jour qu'on attend, c'est le jour qui se rêve
01:51:42 Je me souviens quand M. Pokora incarnait le personnage de Robin des Bois
01:51:46 avec ce premier single, "Le jour qui se rêve" sur France Bleu et France 3
01:51:50 Patricia est à Boulazac, bonjour Patricia
01:51:57 Bonjour
01:51:58 Comment ça va ?
01:51:59 Bonjour France Bleu, oui ça va bien
01:52:01 Bon parfait, on joue ensemble Patricia, j'ai des places de cinéma à vous offrir
01:52:04 pour un magnifique documentaire qui sera projeté au CGR de Perigue jeudi
01:52:08 Si vous me dites qui est notre personnalité mystère, elle est animatrice télé
01:52:11 Elle était hier soir dans le Bergeracouas sur une exploitation agricole
01:52:14 Qui est elle ?
01:52:15 Karine Lemarchand
01:52:17 Karine Lemarchand, évidemment, qui a rencontré Christian, notre agriculteur perigourdin
01:52:21 qui participe, c'est pas Christian ?
01:52:23 Je crois que c'est Christophe
01:52:25 C'est Christophe, qui participe à "L'Amour et dans le Pré"
01:52:29 C'était hier soir à la télé, la diffusion de son portrait
01:52:31 avant les rencontres attendues pour l'été prochain
01:52:34 que vous pourrez suivre et qu'on suivra évidemment sur France Bleu
01:52:37 Patricia, direction de ciné de Perigue pour vous jeudi, profitez bien
01:52:40 Merci beaucoup
01:52:42 Bonne journée à bientôt
01:52:43 Bonne journée à vous
01:52:44 Au revoir
01:52:45 8h52 tous les matins, on accueille notre médecin pour nos conseils santé
01:52:52 C'est le docteur Kierzek qui nous rejoint
01:52:55 Ce matin, on parle de nos amis à 4 pattes
01:52:57 Une nouvelle étude qui prouve que posséder un animal de compagnie est bon pour la santé
01:53:02 Bonjour à toutes et à tous
01:53:04 Et oui, avoir un animal de compagnie peut transformer notre quotidien de manière inattendue
01:53:08 Ça apporte une dose supplémentaire de bonheur, de réconfort
01:53:10 Tout ça, on le sent, on le savait
01:53:12 Mais figurez-vous qu'il y a maintenant une étude, j'allais dire une de plus
01:53:16 qui prouve qu'il y a des bénéfices pour les personnes âgées notamment
01:53:19 Et pour les personnes âgées qui vivent seules, posséder un animal de compagnie
01:53:23 Chez le chien ou chez le chat
01:53:26 Ça a été étudié avec des données de 7 945 personnes
01:53:30 Attention, c'est précis, c'est une étude anglaise
01:53:32 Et ils sont allés regarder les effets sur la mémoire
01:53:36 L'âge moyen des volontaires, c'était 66 ans
01:53:38 Et pour évaluer les fonctions cognitives, donc la mémoire
01:53:41 Ils ont étudié la mémoire verbale des participants
01:53:43 Et la fluidité d'utilisation des mots
01:53:46 Figurez-vous que sur plusieurs années, en fonction de vous avez un chien ou pas
01:53:50 Posséder un animal de compagnie évite le déclin de la mémoire verbale
01:53:55 Et améliore la fluidité dans l'usage des mots
01:53:58 C'est un constat qui permet de suggérer que chien, chat, mais on pourrait peut-être imaginer
01:54:02 Avec d'autres animaux, un effet protecteur sur certaines fonctions cognitives
01:54:06 Chez des personnes vivant seules
01:54:08 Et c'est intéressant parce que les chercheurs n'ont pas observé cela
01:54:11 Auprès des personnes vivant avec d'autres personnes
01:54:13 Donc il vaut mieux avoir un chien ou un chat
01:54:15 Qu'un compagnon ou une compagne
01:54:17 Et il y a aussi des bienfaits physiques docteur ?
01:54:19 Et oui, parce que d'abord quand vous avez un chien, il faut le sortir
01:54:22 Donc c'est une activité physique obligée, les chiens exigent des promenades régulières
01:54:25 Et donc ça va contribuer à améliorer votre santé cardiovasculaire
01:54:29 A maintenir un poids plus sain et une meilleure forme physique
01:54:33 C'est vrai qu'avec le chat on le sort moins, mais à la limite pourquoi pas ?
01:54:35 Ça va réduire aussi le stress et les interactions avec les animaux
01:54:39 On sait que pour le chat, la ronron-thérapie c'est important
01:54:43 Ça va calmer nos passions et notre stress
01:54:47 Ça libère des endorphines
01:54:48 Et puis ça améliore le système immunitaire aussi
01:54:50 On sait que la présence d'animaux domestiques va renforcer le système immunitaire
01:54:53 C'est valable aussi, particulièrement chez les enfants
01:54:56 Qui sont exposés à des environnements d'animaux
01:54:58 Et puis tout ça, bien-être physique, mental, ça s'entremêle, ça se potentialise
01:55:03 Comme on dit, les animaux c'est une compagnie constante
01:55:06 Et puis ça va éviter la solitude, parce que quand vous promenez votre chien
01:55:09 Vous allez rencontrer du monde, vous allez rencontrer d'autres propriétaires de chiens
01:55:12 Ça crée des opportunités de socialisation
01:55:14 Et le lien social, on sait que c'est capital pour préserver ses fonctions cérébrales
01:55:19 Bref, prenez un animal de compagnie, ce sont des alliés précieux
01:55:22 Pour une vie plus saine et équilibrée
01:55:24 Et d'ici là, portez-vous bien !
01:55:26 C'est noté, merci beaucoup DrFrancebleu.fr pour retrouver tous vos conseils au quotidien
01:55:31 Le 6/9 qui se termine en musique sur France Bleu et France 3
01:55:34 Avec une des révélations de l'année 2023
01:55:36 Voici Zao de Sagazon avec la Symphonie des éclairs
01:55:40 Qui est multinommée aux victoires de la musique cette année
01:55:43 Il fait toujours beau au-dessus des nuages
01:55:47 Mais moi si j'étais un oiseau, j'irais danser
01:55:51 Sous l'orage, je traverserais les nuages
01:55:54 Comme le fait la lumière
01:55:56 J'écouterais sous la pluie la Symphonie des éclairs
01:56:01 Dès sa plus tendre enfance
01:56:05 Elle ne savait pas parler autrement
01:56:09 Qu'en criant tout bas
01:56:12 Pas faute d'essayer de les retenir
01:56:16 C'est crier ces larmes qui les faisaient tant
01:56:21 Il fait toujours beau au-dessus des nuages
01:56:25 Mais moi si j'étais un oiseau, j'irais danser
01:56:29 Sous l'orage, je traverserais les nuages
01:56:32 Comme le fait la lumière
01:56:35 J'écouterais sous la pluie la Symphonie des éclairs
01:56:40 En grandissant rien ne s'est calmé
01:56:43 Petite tempête s'est trouvée
01:56:46 Des raisons de pleuvoir autant
01:56:48 Qui pourrait l'aimer franchement
01:56:50 Personne n'aimerait se retrouver
01:56:52 Au coeur d'une tempête avouée
01:56:55 Il y a des raisons de pleurer
01:56:57 Elle a ses raisons mais
01:56:59 Il fait toujours beau au-dessus des nuages
01:57:03 Et moi si j'étais un oiseau, j'irais danser
01:57:07 Sous l'orage, je traverserais les nuages
01:57:10 Comme le fait la lumière
01:57:13 J'écouterais sous la pluie la Symphonie des éclairs
01:57:18 Quand la tempête a su que des mélodies
01:57:43 Pouvaient s'échapper du vent et se retrouver
01:57:48 Dans le coeur des gens, celle-ci s'est dit
01:57:53 La douce voix de Zao de Sagazan sur la Symphonie des éclairs
01:57:57 Elle est nommée 5 fois pour les victoires de la musique cette année
01:58:00 Le 6/9 c'est terminé, on se retrouve demain dès 6h à la radio sur France Bleu
01:58:03 Et dès 7h à la télé, bonne journée

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