• il y a 11 mois
Venue, un dimanche, rendre visite à sa petite fille Françoise, en pension à Deauville, Anne Gauthier fait la connaissance de Jean-Louis Duroc, dont le fils, Antoine, est interne dans le même établissement. Ils se revoient le dimanche suivant. Anne, scripte de cinéma, est hantée par le souvenir de son défunt mari, un cascadeur mort dans un accident, tandis que Jean-Louis pense à son épouse, qui s'est suicidée. Sont-ils disponibles pour un nouvel amour ? Une tendre amitié naît entre eux, bientôt relayée par un sentiment plus fort, que chacun devra s'autoriser. Les plages de Deauville vont peu à peu devenir le théâtre d'un amour qu'ils n'osent pas encore dire son nom...
Transcription
00:00 Dans la vie, quand une chose n'est pas sérieuse, on dit c'est du cinéma.
00:04 Pourquoi vous pensez qu'on ne prend pas le cinéma au sérieux ?
00:07 Je ne sais pas moi.
00:12 Peut-être parce qu'on y va quand tout va bien.
00:15 Alors vous pensez qu'on devrait y aller quand tout va mal ?
00:19 Pourquoi pas.
00:22 C'est beau quand même d'envoyer un télégramme comme ça, il faut avoir du culot.
00:25 C'est vrai non ? C'est extraordinaire qu'une femme belle
00:29 vous envoie un télégramme comme ça, c'est merveilleux.
00:32 Quel courage.
00:35 C'est pas du cinéma.
00:37 C'est du cinéma.
00:39 C'est pas du cinéma.
00:41 C'est du cinéma.
00:44 Quel courage.
00:47 C'est du cinéma.
00:49 C'est du cinéma.
00:52 C'est du cinéma.
00:55 C'est du cinéma.
00:57 C'est du cinéma.
00:59 C'est du cinéma.
01:01 C'est du cinéma.
01:03 C'est du cinéma.
01:06 C'est du cinéma.
01:08 C'est du cinéma.
01:10 C'est du cinéma.
01:12 C'est du cinéma.
01:14 C'est du cinéma.
01:16 C'est du cinéma.
01:18 C'est du cinéma.
01:20 [Bruit de la foule]
01:22 [Bruit de la foule]

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