• il y a 11 mois

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Transcription
00:00 -Je suis désolé pour les femmes qui se projettent à travers Alain Delon dans le clon des Siciliens ou dans Rocco et ses frères.
00:08 Après, c'est la vie. Je veux dire, à un moment, on ne peut plus marcher. On ne peut plus marcher. On est dans un fauteuil roulant.
00:15 Mais peut-être que, si vous voulez, nous, on est... Enfin, mon frère, il vit à Douchy. Moi, j'y vais 2 fois par semaine.
00:23 Depuis le 3 juillet, là, j'y vais 2 fois par semaine, puisqu'avant, la maison était verrouillée. Mais c'est la normalité.
00:32 Et d'ailleurs, si on regarde bien cette photo, c'est vraiment la normalité, parce qu'il y a des choses qui ne devraient pas être sur cette photo.
00:41 J'aime bien votre regard. -Oui, parce qu'il est interrogatif. Et puis il y a vos filles. On peut savoir quoi ?
00:48 -Hein ? -On peut savoir, par exemple, ce qui ne devrait pas être sur cette photo ?
00:52 Sur la photo où j'ai ma main posée sur les épaules ? Bah regardez. Il faut zoomer un peu. Bon, c'est pas grave, personne ne l'a fait, mais ça se fera.
01:03 -Cette photo-là ? -Oui. -Ah oui. Je crois comprendre. Je crois comprendre, effectivement. Je crois deviner. Vous avez raison.
01:15 Il y a vos filles, également, qui sont d'ailleurs magnifiques, autour de la table. -Ce sont des filles qui sont là, qui s'interrogent en face.
01:23 -Non mais, voilà, vos filles. Alors, c'est vrai que... Et on peut reprendre un petit peu de sourire. Manifestement, les enfants sont très beaux dans la famille Delon.
01:34 On peut le dire comme ça. Et vos filles, qu'on voit sur ces photos, en témoignent.

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