Même si lui n'a pas besoin d’attendre le mois de décembre pour qu’on joue avec ses boules et sa guirlande, Carlos espère que vous avez été bien gâtés !
Retrouvez « Le billet d'Alexandre Kominek » dans la Bande Originale sur France Inter et sur https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/le-billet-d-alexandre-kominek
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AmusantTranscription
00:00 Oui, Alexandre Kominek devait être avec nous aujourd'hui, il s'est cassé la hanche
00:05 en glissant dans un hammam boulevard Sébastopol.
00:08 Heureusement, il nous a envoyé à sa place son invité Carlos.
00:12 C'est ça, hola chicas, buenos dias todos, c'est Carlos.
00:15 Voilà, j'espère que tout va bien pour tout le monde après ces fêtes de Noël.
00:19 J'espère que vous avez été bien gâtés.
00:21 Moi ça va super car comme vous le savez, Carlos il n'a pas besoin d'attendre le mois
00:25 de décembre pour qu'on joue avec ses boules et sa guerre d'eau.
00:28 Les femmes n'ont pas besoin d'attendre Noël pour être gâtées.
00:30 C'est l'avantage avec Carlos, c'est qu'il est à disposition toute l'année.
00:35 Et de tout le traîneau, les circompris, je peux te dire que Carlos, c'est celui qui
00:39 est le mieux monté.
00:40 Bon, je vous sens tous un peu tassés là, qu'est-ce qui se passe ? Je sens que vous
00:44 avez plus bouffé que baissé pendant les fêtes.
00:46 C'est bien de bouffer, mais il faut baisser.
00:49 Parce que si tu fais que bouffer et pas baisser, bientôt tu ne pourras plus baisser.
00:52 C'est ça, c'est mathématique, c'est Carlos.
00:54 Regardez-moi, regardez la forme que j'ai.
00:56 Tu sais pourquoi ? Carlos, c'est un cadeau.
00:58 Tu vois, arrive Noël, les femmes me considèrent comme un régal de p*tain de m*rde.
01:02 Tu veux faire plaisir à ta femme ? N'offre pas des bijoux, n'offre pas des voyages, offre
01:06 Carlos ! Ça n'arrête pas, du 24 au 25, je n'arrête pas.
01:10 Du 24 au 25, je n'arrête pas.
01:11 Je passe de caisse en caisse à part-fouillard, de l'aménagère solitaire, de la femme adultère,
01:16 de toutes les femmes, je fouillard, de toutes.
01:18 Je viens dans les maisons comme le Père Noël, mais Carlos, il ne passe pas par le cheminée.
01:24 Tu vois ce que je veux dire ? Ah, t'es le rouleau qu'à la vida !
01:28 Comme Carlos, il n'y a pas que la dinde qui est fourrée, si tu vois ce que je veux dire.
01:32 D'ailleurs, c'est pour ça que j'ai perdu un peu ma voix, tu entends ? J'aurais pas
01:35 dû me glacer la bûche.
01:37 Non, mais c'était pour faire plaisir à une copine.
01:39 Elle s'était fait opérer des amygdales, il résulte des courses, j'ai attrapé froid,
01:43 et elle a une angine.
01:44 Mais bref, moi j'adore Noël.
01:46 J'adore Noël, j'adore Noël, comme ces histoires des Pères Noël, des petits lutins.
01:51 Si, j'adore, moi j'ai des petites lutines.
01:54 Oui, chaque mois de décembre, je me rencarde avec des toutes petites grossesses, tu vois.
01:58 Oui, des naines, j'adore, j'adore, j'adore les naines, pourquoi j'ai l'impression d'être
02:04 la barbe du baby-foot.
02:06 Tu peux en mettre trois à la suite, faire tourner mes poyas, et bam, gamelle !
02:10 Tu vois ? J'aime pas au baby-foot ou pas ?
02:13 Non, j'adore les naines, parce que c'est vraiment…
02:16 Les mouhéres, elles sont toutes petites, comme un choupito, tu vois ?
02:19 Mais avec un coulasseau, c'est incroyable la disproportion des naines.
02:22 Non mais encore des naines, c'est comme… c'est de l'art, c'est du dali, mais pour les dalleux, tu vois ?
02:26 Tu as remarqué aussi en Navidad, il y a deux écoles, regarde-moi les latins, je te parle.
02:31 Il y a deux écoles, ceux qui sortent les cadeaux les 24 au soir, et d'autres les 25 au petit déjeuner.
02:37 Mais Carlos, il fait les deux, il fait les deux.
02:40 Monsieur Penac, il fait les deux, Carlos, je vous l'ai dit.
02:42 J'ai fait autant du soir que du matin.
02:45 Un petit coup de coude sur mes côtelettes en plein sommeil, et paf !
02:48 Carlos, il te remplit la hôte, tu vois ?
02:50 Je suis comme le bâton de Berger, il n'y a pas d'heure pour en manger.
02:53 Et tu sais pourquoi j'adore Noël ?
02:55 Tu sais pourquoi j'adore Noël ?
02:57 Pourquoi les femmes, quand elles voient Carlos, elles retombent en enfance.
03:00 Tu vois, c'est ça, leurs yeux s'écarquillent, elles se jettent sur le paquet pour le déballer.
03:04 Vraiment, de verdade, j'ai vu des femmes de 70 ans se mettre à courir pour venir jouer conner le monstre.
03:12 Et elles étaient heureuses, elles étaient…
03:15 Tu sais pourquoi ?
03:16 Pourquoi j'ai réalisé leur rêve de gosse, avoir un poney.
03:20 Bref, bonne fête à toutes et à tous.
03:24 Et si pour le 31, vous cherchez un vrai feu d'artifice, vous appelez Carlos.
03:29 Venez ici.
03:31 Bravo, Carlos !
03:33 On en profite quand même pour parler d'Alexandre Kominec, oui, c'est ça, qui est sur scène.
03:39 Dans deux semaines, il sera à l'Européen, à partir du 12 janvier, donc les jeudis, vendredis et samedis pour son spectacle
03:45 "Encore un peu de bûche, maman"