• l’année dernière
"Fin d'Année Époustouflante au Pôle France de Gymnastique de Saint-Étienne"
L'évènement cette fin d'année au Pôle France de Gymnastique de Saint-Étienne. Nos talentueuses gymnastes vous offriront un spectacle de haut vol, agrémenté de la présence de nos médaillées de bronze stéphanoises. Yacine vous emmène dans les coulisses de cette transformation magique du pôle gym en une scène artistique. Préparez-vous à quatre jours de métamorphose et vivez un moment unique de grâce et d'excellence gymnastique."

"Seuls deux experts sont agréés par SPECIALIZED"
Bienvenue dans un monde où l'art et le sport s'unissent ! Explorez la personnalisation unique avec Mathieu d'ÓTIMODesigns, l'un des deux maîtres à métamorphoser la marque Spécialized. Vivez une expérience visuelle extraordinaire, où chaque coup de pinceau raconte une histoire unique sur votre équipement sportif. Découvrez sur Sport 7 la fusion parfaite entre l'authenticité et le style, redéfinissant ainsi votre expérience sportive. Ne manquez pas cette aventure artistique inédite. Rendez-vous sur Sport 7 pour être témoin de la naissance d'un style qui vous est propre.

"Portrait - Studio 7, l'excellence de la danse "
On explore l'héritage de danse du Studio 7 Dance Complexe (S7DC) avec son directeur Anthony Nicosia. Depuis 2000, Anthony a propulsé le S7DC, formant plus de 15 000 danseurs en plus de 25 ans d'existence. En tant que chorégraphe pour des artistes comme will.i.am et David Guetta, et champion de renom en hip-hop et street dance, Anthony Nicosia incarne l'excellence dans le monde de la danse, de l'amateur au professionnel.

"Basket - L'étoile sportive baldomérienne de Saint-Galmier"
Après une montée de division en seniors filles la saison passée, le club continue avec un bon début de championnat, et ce dans toutes les catégories. Un club familial où il fait bon jouer.

"Démo - Grâce au Coquelicot 42 le sprint excite depuis plus de 65 ans"
Cette semaine, nous continuons notre série autour des disciplines olympiques des JO 2024 à Paris. Je vous propose aujourd'hui de découvrir la discipline reine : l'athlétisme. Je vous propose de sprinter comme un pro, ou presque, puis de sauter en longueur. Deux disciplines mélangeant concentration.

"Equitation - Bilan d'Excellence à Saint-Just-Saint-Rambert "
Retour sur la Prestigieuse Soirée des Assemblées Générales du Comité Départemental de la Loire et des Récompenses des Champions. Plus de 80 Cavaliers et Clubs Honorés, avec une Plongée dans les Actions Passées et Futures de la Fédération Française d'Équitation, Présentée par Thierry Grange, Président du CDE 42."

"L'ÉNERGIE SENSUELLE DE LA POLE DANCE À ROCHE-LA-MOLIÈRE"
Découvrez l'univers audacieux de la pole dance à Roche-la-Molière, où la grâce rencontre la force, brisant les codes traditionnels de la danse pour une expérience artistique et physique unique.

"Choc des Générations en 32e de Finale de la Coupe Gambardella à Andrézieux-Bouthéon"
Plongez au cœur de l'excitation sportive à Andrézieux-

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Transcription
00:00 *Musique*
00:16 *Musique*
00:40 *Musique*
01:02 *Musique*
01:21 *Applaudissements*
01:50 C'est un repas de fin d'année que nous avons autour de la table et je pense que toute la Loire nous envie d'avoir ces personnes autour de la table.
01:58 Je vous demanderai d'ailleurs de faire un tonnerre d'applaudissements pour notre chroniqueuse, et oui, équitation, Maria Chiroua !
02:04 *Applaudissements*
02:05 Comment ça va ? On parlait de quoi avec vous ?
02:07 On a vu que tu te servis, Sarah Amber, pour une exceptionnelle soirée de gala.
02:11 Exactement, à côté de vous, la boule à facettes, celle qui fait danser la Loire, Katharina Bales !
02:17 Bonjour à tous, aujourd'hui on va plonger dans l'énergie sensuelle de la pole dance à Roche-la-Molière.
02:22 Exactement, alors, cherchez l'intrus, il est là, c'est Féné de la Merde !
02:26 *Applaudissements*
02:28 C'est vous qui avez insisté !
02:30 Non, non, ok, nous on va parler de basket forcément et on va parler du club de Saint-Gamier.
02:36 Exactement, et celle qui est... en fait, la mère Noël s'est inspirée d'elle, ou l'inverse, je ne sais pas, Fiona Ligonet !
02:42 *Applaudissements*
02:47 Un peu particulier parce qu'en effet, la mère Noël est là et j'ai pensé au cadeau de Noël avec Otimo Design.
02:51 On va découvrir un petit peu ce créateur qui nous a un petit peu aussi décoré notre table.
02:56 Sacrée entrée dans Sports 7, est-ce qu'on va tenir 42 minutes ?
03:01 Bien sûr que non, on le sait !
03:03 Alors, sans plus tarder, on ouvre le bal avec vous, Fiona Ligonet, pas d'invité, ça change...
03:08 En fait, je suis spectateur d'émission, je n'ai pas d'invité, tout va bien !
03:12 C'est ça, pas d'invité, vous m'avez juste invité pour profiter avec vous de ce bon moment.
03:15 Très jolie décoration d'ailleurs !
03:17 Voilà, pour la décoration mais aussi, voyez, pour tous ces accessoires de sport qui ont été personnalisés.
03:22 Parce que voilà, c'est bientôt Noël comme vous l'avez dit et on a encore le temps de faire nos cadeaux.
03:26 Et nous, les sportifs, on aime personnaliser justement nos accessoires de sport.
03:31 Et j'ai découvert Mathieu Bigaud qui, justement, avec Otimo Design, qui a créé...
03:36 Regarde, il est beau !
03:39 Qui a créé et qui permet justement de customiser...
03:42 Hein Julien ?
03:43 Oui, mais je suis tout doué, je le connais ça avec mon public !
03:46 Regarde comme il est beau !
03:48 En tout cas, il a customisé...
03:50 Je pourrais le mettre sur toi parce que c'est du vert.
03:51 En fait, attention, parce que je pense que ça vaut très cher, vous verrez.
03:53 Non, on aime la personnalisation, parce que j'ai pensé à vous, à votre sujet.
03:56 Vous êtes prêts, attention, s'il vous plaît, c'est légendaire !
03:58 Ça, on ne voit rien.
03:59 C'était l'année dernière.
04:00 Mais je ne veux pas plus, hein !
04:01 C'était il y a deux ans !
04:02 Non, l'année dernière !
04:03 Il faut suivre un peu, hein, Marielle Charmoiseau !
04:05 Il y a deux ans, j'étais un petit peu trop loin.
04:07 Mais oui, c'était l'année dernière, parce que nous, on aime justement personnaliser, customiser.
04:11 Et je vous avais ramené ces magnifiques baskets.
04:14 Et vous en avez trouvé un autre, encore ?
04:15 Et j'en ai trouvé un autre.
04:16 Ils sont deux, en France, à faire ça !
04:18 Ah oui, avec une marque, une grande marque.
04:21 Tant qu'ils ne me payent pas, je les citerai pas !
04:23 C'est ça !
04:24 Mais c'est une grosse marque de vélo !
04:26 C'est ça, c'est-à-dire que le vélo est garanti.
04:28 C'est-à-dire que vous avez une égratignure, vous avez quoi que ce soit avec le vélo, il est garanti à vie.
04:33 Ah non, c'est-à-dire que vous peignez le vélo, il n'y a pas d'égratignure !
04:36 Il peint sur le vélo.
04:37 Ou si on n'a pas sur le vélo, vous perdez la garantie.
04:40 Alors cet homme peint sur le vélo.
04:42 Mais c'est ça, mais en fonction de vos envies, de vos souhaits.
04:44 Vous avez vu, elle m'a fait ça avec le doigt.
04:45 C'était pour vous dire que c'était vraiment...
04:47 Direction, ça ?
04:48 Direction Saint-Etienne, chez Othimo Design.
04:50 Comment vous dites ?
04:51 Othimo Design !
04:53 Bonjour à toutes et à tous, je suis ravie de vous retrouver sur Sports 7.
04:56 Et en cette période des fêtes, j'ai le plaisir de vous présenter un artiste ligérien
05:00 qui a su allier sa passion pour le sport, sa passion pour le design et toute sa créativité.
05:05 Il est encore temps de faire votre liste au Père Noël.
05:07 Alors venez, on va découvrir Mathieu Bigaud avec Othimo Design.
05:11 Et venez avec moi, je crois que ça travaille déjà.
05:14 Bon, il est temps d'aller voir Mathieu à l'œuvre.
05:18 Alors oui, je porte un masque parce qu'il faut se protéger.
05:20 Vous voyez, tous ces produits, c'est comme chez le carrossier, la peinture.
05:23 Et bien sûr, la protection oblige.
05:25 Allez, vous entendez déjà ?
05:27 Salut !
05:33 Donc là, on est dans votre atelier, où vous faites votre travail.
05:39 Là, tu es en train de faire quoi exactement ?
05:41 Je suis en train de peindre le casque en argenté.
05:43 Comme ça, après j'ai d'autres étapes qui suivent.
05:46 Et toi, tu utilises quoi ?
05:48 Là, tu vois, j'ai un pistolet comme ça.
05:50 J'ai juste à passer comme ça.
05:52 C'est un matériel 20 mètres tard.
05:54 Ok.
05:55 Il faut poser le papier du Père Noël.
05:56 D'accord.
05:57 Allez, viens.
05:58 Allez, vas-y.
05:59 Merci Mathieu de nous recevoir dans votre atelier.
06:07 Donc là, on est dans l'entreprise Othimo Design que vous avez créée en 2019.
06:11 Est-ce que déjà, vous pourriez un peu nous présenter tout votre travail ?
06:14 Moi, je peins des vélos et des casques.
06:16 Voilà.
06:17 Donc, ça a commencé principalement par les casques.
06:19 Puis avec le temps, ça s'est un peu étoffé.
06:21 Et quel a été votre parcours pour en arriver là ?
06:23 J'ai commencé par faire une école de design à Tours.
06:25 Je ne suis pas stéphano à la base.
06:27 Donc, ma femme était stéphanoise.
06:28 Après, je suis parti pas mal bosser à l'étranger en tant que graphiste,
06:31 direct artistique dans différentes boîtes.
06:33 Et puis en fait, arrivé à 37, 38 ans, la vie fait que j'ai voulu changer aussi.
06:39 Ça fait bientôt 4 ans que ça dure.
06:41 Et d'ailleurs, ça a tellement bien marché qu'il y a une grande marque que vous citerez vous,
06:45 qui vous a choisi et vous êtes seulement deux à pouvoir travailler en France avec cette entreprise.
06:50 Oui.
06:51 La marque en question, je suis assis dessus, c'est Specialized.
06:54 C'est une grosse marque de vélo américaine.
06:56 En gros, n'importe quel peintre pourrait peindre un vélo pour eux.
06:58 Mais la différence, c'est que c'est moi qui le peins
07:01 ou les autres personnes qui sont accreditées.
07:03 Vous gardez votre garantie.
07:04 Et quels sont vos projets à venir ?
07:06 Un truc cool, de toute façon, il y a les JO qui arrivent chez nous.
07:09 Alors, à valider, mais normalement, ça va se faire avec…
07:12 J'ai l'équipe de kayak de France.
07:14 Et puis après, toujours pareil, les athlètes pros en triathlon longue distance
07:17 pour les championnats du monde qui partiront à vélo avec mes casques.
07:20 Et là, d'un seul coup, ça brille comme un petit diamant.
07:23 Merci Mathieu !
07:24 Et oui, vous voyez, je ne repars pas les mains vides.
07:26 J'ai mon casque avec l'archipel d'Hawaï, mon vélo.
07:29 N'hésitez pas, si vous voulez personnaliser vos matériels sportifs,
07:32 vous contactez Mathieu sur Instagram, @autimodesign.
07:35 Bye bye !
07:36 Merci, merci Julien de…
07:41 De quoi ?
07:42 De vous railler comme moi, comme d'habitude.
07:44 Vous avez une tête à casque.
07:46 J'ai une tête à casque.
07:47 Mais toi, il est pas de ton style.
07:49 Il est là.
07:50 Il était très beau, voyez, il y a même l'archipel d'Hawaï qui est dessiné.
07:53 Et c'est pas un pote comme vous l'avez dit.
07:56 Il y a un pote, vous l'avez dit.
07:57 Bref.
07:58 Voilà, en tout cas, il a fait des sacrés projets,
08:04 comme par exemple avec le World Trade Center,
08:07 justement avec les Tours jumelles, où il a réussi à reproduire tout ça sur un casque,
08:10 ou encore avec un champion de descente suisse,
08:13 qui était même stressé qu'il n'avait pas dormi de la nuit,
08:16 parce qu'il allait le rencontrer justement pour customiser…
08:19 Des Fendis.
08:20 Dites-moi, Julien.
08:21 Non mais c'est important.
08:22 Quand on est sportif de haut niveau, parce que moi, je n'étais pas…
08:24 Moi, si ça se fait.
08:25 J'étais régional.
08:26 Mais quand tu es loin de ta famille, c'est important d'avoir ce genre de…
08:28 Non, mais sûr.
08:29 Ça fait sourire, mais…
08:30 Non, mais surtout sur les sportifs de haut niveau, c'est vrai qu'ils s'attachent,
08:32 ils ont un peu leur objet porte-bonheur aussi,
08:36 ou avant un match, avant une compétition, c'est important.
08:38 Jean-Marc, tu le dis souvent dans Portrait Sportif.
08:40 C'est vrai, souvent sur les questions, voilà,
08:42 est-ce qu'il y a un rituel avant la compétition,
08:44 ou même un objet, et je trouve ça…
08:46 Ou même customiser des baskets de sport.
08:48 Mais la plupart des basketeurs aujourd'hui ont leur logo,
08:51 ou leur marque, ou leur nom même, qui se font customiser.
08:54 Marielle Charroix, ça ne se fait pas beaucoup en équité sur scie ?
08:56 Ça se fait sur les tapis, surtout,
08:59 où on met le logo des Centré-Caistre, également peut-être sur les vestes,
09:02 mais non, c'est moins développé que dans certains sports.
09:04 Écoute, vous me surprenez d'année en année.
09:07 Parce qu'à chaque fois, c'est ton truc. L'année prochaine, j'ai hâte.
09:10 Oui, mais en tout cas, c'est un super défi, j'ai 365…
09:13 C'est un cadeau, c'est un cadeau.
09:15 Voilà, voilà, pas là, pas là, pas cette année.
09:18 Non, non, non, vous aurez des surprises à venir.
09:20 On renégociera votre contrat.
09:22 Alors très bien, sans plus attendre.
09:24 Eh, il y en a qui gèle, il est dehors.
09:26 Damien Seydoux, vous savez que 2024, on est en 2023,
09:28 mais c'est les Jeux Olympiques, ça y est.
09:30 Il nous a fait les troupes.
09:31 Mais le gars s'est préparé depuis septembre.
09:33 Et là, on attend des médailles, c'est forcément…
09:35 Il a mis des multisports, lui.
09:37 Un athlétisme.
09:38 Comment vous dites ?
09:39 Un athlétisme.
09:40 Exactement, c'est ça, Damien.
09:42 Alors oui, effectivement, vous reconnaissez,
09:46 nous sommes au Conclico 42, à l'étivalière,
09:49 pour continuer la série autour des disciplines olympiques
09:52 présentes au JO 2024 de Paris.
09:55 Et donc, je remercie Naël.
09:58 Merci de nous accueillir ici pour évoquer,
10:00 finalement, des épreuves reines,
10:02 le sprint et le saut en longueur.
10:04 Bien sûr.
10:05 Oui, du coup, aujourd'hui, on va faire du sprint.
10:07 Déjà, il faut savoir que dans le sprint,
10:08 il y a plusieurs disciplines.
10:09 Il y a le 100 mètres, le 200 mètres, le rollel,
10:11 et même du sprint long, avec le 400 mètres.
10:14 Ici, on va plutôt parler de l'épreuve reine,
10:16 qui est le 100 mètres.
10:17 Du coup, on connaît toute la star Usain Bolt.
10:20 Effectivement, je me suis préparé pour ça, Damien.
10:22 Ici, on a aussi nos propres stars,
10:25 comme Odin Schorter, qui a couru 10.9,
10:29 donc c'est déjà des temps qui vont assez vite.
10:31 On va aussi faire de la longueur juste après.
10:33 Donc la longueur, qui est une discipline
10:35 qui se rapproche beaucoup du sprint,
10:36 car ça demande à courir quasiment à 95%,
10:39 à 98% de la vitesse max, du sprint.
10:43 Donc un bon sauteur en longueur
10:44 et aussi un bon sprinteur.
10:46 Et du coup, l'anecdote, finalement,
10:48 c'est quand même qu'aux Jeux Olympiques,
10:50 quand on fait le décathlon,
10:51 on commence par le sprint et ensuite le saut en longueur,
10:53 c'est ça ?
10:54 C'est ça.
10:55 Exactement.
10:56 Les décathloniens, lorsqu'ils ont leur décathlon en été,
10:58 ils commencent par un 100 mètres.
11:00 Bien sûr, ils ont droit à une petite pause juste après,
11:02 et après ils enchaînent avec trois essais de saut en longueur.
11:05 C'est pour ça que c'est très rapproché.
11:07 Du coup, il faut travailler aussi l'enchaînement des deux
11:09 pour des athlètes qui font des épreuves combinées.
11:11 Donc du coup, si j'ai bien compris,
11:13 tu m'as prévu un 100 mètres à bloc.
11:15 J'ai compris 10, 89, c'est ça, le record du club ?
11:20 Et ensuite le saut en longueur, c'est ça ?
11:22 Alors le record du club, il est encore beaucoup plus bas.
11:24 Il y en a eu des athlètes qui vont très, très vite.
11:26 Déjà, on va essayer de le finir le 100 mètres
11:28 sans se faire mal.
11:29 Ça marche, oui.
11:30 C'est vrai qu'il fait très, très froid.
11:32 Bon, je m'équipe et je vous dis à tout à l'heure.
11:34 Il a peut-être s'échauffé.
11:36 C'est ce que je voulais dire.
11:37 Parce que lui, de la cage, quand il fait très froid comme ça,
11:39 on connaît.
11:40 Je ne fais pas de sport extérieur, mais on connaît.
11:42 Alors juste avant de faire une petite...
11:44 Déjà, je vous remercie Fiona pour la décoration.
11:46 Oui, c'est magnifique.
11:47 Je vous remercie, une amie incroyable.
11:49 Et il y a un peu de nourriture quand même.
11:54 C'est vrai qu'on a été gâtés avec Globe Réception
11:56 qui nous a proposé un menu scintillant.
11:58 Vous voyez, avec plein de petits...
12:00 Je vais les chercher.
12:01 Mais vas-y, parle, parle, parle.
12:02 C'est bien.
12:03 Mais viens, regarde ce que je t'ai préparé.
12:04 C'est ça, pour qu'on soit en famille ou à un événement.
12:06 Mais avance, n'aie pas peur.
12:08 Qu'on soit en famille ou à un événement,
12:10 on peut les contacter justement pour confectionner
12:12 des petits mets, un dîner.
12:15 Un dîner aux chandelles, par exemple, Julien.
12:17 Bientôt pour l'anniversaire de votre femme.
12:19 À Saint-Valentin.
12:20 Ça peut être une idée.
12:21 Ouh là là, c'est trop long.
12:22 C'est bien, là, Saint-Valentin.
12:23 Déjà, laisse-moi passer les cadeaux de Noël.
12:26 C'est le Père Noël, ça, qui s'enchaîne.
12:28 Ah oui, c'est vrai.
12:29 C'est Papa au Noël.
12:30 Très bien.
12:31 Et il y en a un qui est sur le starting blog, aussi,
12:33 depuis tout à l'heure.
12:34 On le sait, il attend.
12:36 C'est Léonard Bard avec Portrait Sportif.
12:38 Ah oui, il y avait un gigole.
12:41 Bonsoir à tous, et à la réfection,
12:47 à Portrait Sportif.
12:48 Un peu particulier, ce soir,
12:49 on accueille Anthony Nicodia.
12:51 Bonsoir.
12:52 Bonsoir, Yann.
12:53 Bonsoir à tous.
12:54 Ça fait plaisir de t'avoir.
12:55 Et si on a eu cette intro d'émission assez incroyable,
12:59 c'est grâce à toi, avec toute ton équipe de danseuses
13:01 qui s'est déplacée.
13:02 Écoute, on a voulu respecter la thématique,
13:04 donc on a fait un truc sur mesure.
13:06 Alors, tu es chorégraphe,
13:07 et c'est toi qui gères l'école Studio 7 Dance Complex
13:11 depuis plus de 25 ans.
13:12 C'est quoi, l'histoire ?
13:13 C'est ça, l'histoire, pour la faire courte,
13:15 ma maman a créé l'école qui...
13:18 Voilà, il y avait le Studio 13, c'était mes grands-parents.
13:20 Elle a créé le Studio 7.
13:22 Et trois ans après...
13:23 Pourquoi on a perdu six points ?
13:24 On n'a pas perdu six points.
13:26 On était au 13 rue de la République,
13:28 on est passé au 7 rue de la Badoyère,
13:30 on a voulu garder les chiffres, j'aimais bien le 7 aussi,
13:32 donc on est resté sur le Studio 7.
13:34 Et moi, ça fait plus de 20 ans que je dirige,
13:36 j'ai repris trois ans après.
13:38 Et donc, en termes de palmarès,
13:39 parce que tu as insufflé quand même
13:41 une toute nouvelle dynamique à l'école,
13:42 et surtout l'objectif challenge.
13:45 Oui, complètement.
13:46 On s'est lancé à fond dans les compétitions dès le départ,
13:48 donc sans vouloir en faire trop,
13:50 mais voilà, multiples fois,
13:51 champion de France, d'Europe et du monde,
13:53 en hip-hop, en street dance,
13:54 ou même en danse de couple,
13:55 tout ce qui est rock acrobatique, etc.
13:57 Donc voilà, aujourd'hui, Studio 7,
13:59 c'est 600 à 700 adhérents,
14:01 25 ans d'existence.
14:03 Comme un danseur qui a vu le passer.
14:05 Franchement, je dirais,
14:08 en 20 ans, on a formé plus de 15 000 personnes.
14:11 15 000 danseurs.
14:12 15 000 danseurs, oui.
14:13 C'est tout.
14:14 Oui, c'est tout.
14:15 C'est cool, c'est une fierté.
14:16 Alors, on a vu aussi d'énormes résultats
14:18 sur des grosses scènes,
14:20 du Timbaland, du IAM,
14:22 du David Guetta.
14:24 Oui, on fait des cours loisirs pour n'importe qui.
14:27 Après, il y en a qui font des compétitions.
14:29 Puis, on a fait aussi,
14:30 en tant que chorégraphe,
14:32 on travaille aussi des fois pour des artistes.
14:34 Donc j'ai des danseurs qui ont dansé
14:35 avec Will IAM, David Guetta,
14:37 quelques artistes.
14:38 Donc ça permet de faire des...
14:39 Des grands noms dans l'école de danse
14:41 qui se sont révélés,
14:42 qui peut-être aujourd'hui sont encore avec toi,
14:43 ou alors coach chez toi.
14:44 Oui, la fierté, c'est que j'ai une équipe
14:46 de professeurs, pour la plupart,
14:48 que j'ai vu grandir,
14:50 qui ont été formés.
14:51 Non seulement je les connais bien,
14:52 on est une grande famille,
14:53 mais surtout, il y a des perspectives d'avenir
14:54 aussi au niveau du travail.
14:56 Donc je pense notamment à Lauriane, à Carla,
14:58 Noam, des anciens élèves
15:00 qui sont professeurs, entre autres,
15:02 mais pas que, ils sont chorégraphes,
15:03 ils sont sur plein de projets aussi.
15:05 Donc voilà, ils font beaucoup de choses.
15:06 On est encore un peu en retour Covid,
15:08 où les compétitions se sont calmées.
15:10 Oui, tout à fait.
15:11 Là, il y a des projets pour la suite.
15:12 Oui, on a fait une pause.
15:13 On a fait une pause pendant la période du Covid,
15:14 mais même après,
15:15 le temps de redémarrer un petit peu les choses.
15:17 Et là, on est sur une grosse saison,
15:18 puisqu'on a fait des auditions
15:20 et on a recréé trois énormes groupes de compétitions
15:23 qui vont aller matcher
15:24 pour les championnats de France, d'Europe et du monde.
15:26 Et l'idée, c'est d'aller reprendre les places
15:28 qu'on avait avant.
15:29 Très bien.
15:30 Est-ce que j'ai encore une petite place
15:31 pour poser une question à Anthony ?
15:33 Ah, j'ai cru pour aller danser.
15:34 Non, on n'est pas loin.
15:36 Anthony, vraiment, tout le monde peut danser ?
15:38 Parce que moi, j'ai une sacrée dyslexie du corps.
15:40 Je veux dire.
15:41 Alors, pour répondre simplement,
15:43 souvent, les moins bons au départ
15:45 sont les meilleurs à la fin.
15:46 Merci de me donner de l'espoir.
15:48 Merci, merci.
15:49 T'as vu ça, Julien ?
15:50 Eh, David Guetta, j'arrive.
15:52 Non, mais c'est vrai, c'est vrai.
15:53 C'est-à-dire qu'il ne faut pas bloquer dès le départ.
15:55 Merci à vous, en tout cas.
15:56 Merci à vous.
15:57 Merci à toi, Guillaume.
15:58 Et puis, merci à ton équipe, également,
15:59 de cette excellente histoire.
16:00 Merci à vous.
16:01 Avec plaisir.
16:02 Eh bien, écoutez, dans quelques instants,
16:04 c'est très simple.
16:05 On va dans la danse
16:06 avec celle qui fait danser depuis le début de l'année
16:08 toute la Loire.
16:09 Mais tu brilles.
16:10 Aujourd'hui, c'est une boule à facettes.
16:12 Je vous le dis.
16:13 Attention, il ne faut pas qu'elle soit au bord de la route,
16:15 parce que vous allez vous éblouir.
16:16 Vous vous faites flusher.
16:17 C'est qu'à la veille, dans quelques instants.
16:19 Catherine, vous nous avez réservé ça sur la fin.
16:27 J'ai dit, mais c'est bizarre,
16:28 on aurait pu le mettre sur la semaine l'an dernier,
16:29 parce qu'on en parlait.
16:30 Mais tu as dit, non, j'ai vu.
16:31 Autre chose.
16:32 Je t'ai mit mal, mais ouais.
16:33 Chaque chose en son temps.
16:34 Et oui, pour terminer l'année,
16:36 j'ai décidé de découvrir cette discipline inclusive, artistique,
16:40 qui va au-delà des stéréotypes et des préjugés.
16:43 Non, la pole dance.
16:44 La pole dance.
16:45 Pas un bruit dans le public.
16:48 La pole dance, vous allez voir une démo.
16:51 Et oui, une démo juste après.
16:52 Elle est magnifique.
16:53 C'est une discipline qui a émergé dans les clubs de strip-tease
16:57 dans les années 1960-1970.
16:59 Et c'est vrai qu'elle souffre un peu de cette image stéréotypée, égotique.
17:04 On a des fans sur le plateau,
17:05 donc je vais leur laisser la parole.
17:06 Est-ce que c'est vrai ou pas ?
17:07 Je pense qu'il y a vraiment cette image.
17:10 Par contre, après, je pense que c'est une vraie discipline
17:12 qui demande de solliciter tous les muscles.
17:15 Absolument.
17:16 Et du coup, qui est extrêmement sportive.
17:18 C'est pas comme si tu connaissais.
17:19 Tu le connaissais ?
17:20 Je connaissais.
17:22 Elle est très sportive.
17:23 Non, mais en toute...
17:25 Vous en avez fait ?
17:26 Non, j'ai jamais tenté, par contre.
17:27 Et vous, Marianne ?
17:28 Non, mais par contre, je vois souvent des démonstrations
17:30 dans les incroyables talents et choses comme ça.
17:33 Et je peux dire qu'avant de faire mon appôt...
17:35 Ah, c'est vrai que...
17:36 J'ai pas les pieds en vulgaire âge, à moi.
17:38 C'est clair.
17:39 T'as un nouveau regard, toi.
17:40 Non, mais ça demande énormément de force physique.
17:42 Vous allez voir, les bras de Charlène, ça rigole pas.
17:44 Et vos bras, vous avez testé, quand même ?
17:45 Alors, moi, j'ai testé.
17:46 J'ai testé.
17:48 Et c'est vrai que...
17:49 J'ai eu mal.
17:50 Ça fait très mal.
17:51 Parce que, comme dit, il faut une force mentale
17:52 parce que ça crée des bleus, les frottements.
17:54 Enfin, franchement, c'est...
17:55 Oui, mais...
17:56 Faut souffrir en silence.
17:57 En fait, elle était toute bleue ?
17:58 Oui.
17:59 Vous avez testé, Julien ?
18:01 Oui.
18:02 Ah.
18:03 Eh ben, on a eu tous les deux très mal de partout.
18:05 Il y a des vidéos ?
18:07 Oui, mais c'est entre nous.
18:08 En allant, mais en interne.
18:10 En regard.
18:11 En best-of.
18:12 On regarde ou pas ?
18:13 Eh ben, attendez, j'ai pas fini.
18:14 Ah, non.
18:15 Merci d'avoir posé la question.
18:16 Je voulais juste dire...
18:17 Je voulais juste dire, merci d'avoir posé la question, Julien.
18:18 Je voulais juste dire qu'aujourd'hui,
18:19 c'est important de dire que dans les années 2000,
18:20 ça a été reconnu comme une forme de fitness
18:22 et d'expression artistique à part entière
18:24 et qu'on est passé de l'érotique au sensuel.
18:27 Et ça, c'est important de le refaire.
18:28 Ouais, franchement.
18:29 Quand on voit Ifendi sur le bar...
18:31 C'est pour femme, à la base, non ?
18:32 Non, pour vous, Ifendi.
18:33 Bah, écoutez...
18:34 Non, j'ai jamais essayé.
18:35 Je me demande, tu sais.
18:36 Toutes les personnes peuvent en soi le faire.
18:38 Il n'y a pas de restrictions.
18:39 Parce que t'es un garçon, tu peux pas le faire.
18:40 Mais c'est vrai qu'on a plus l'image d'une femme qui le fait.
18:43 Mais ça existe, des bars pour hommes.
18:44 Ça existe, absolument.
18:45 Et Ifendi ?
18:46 Vous pouvez essayer, Ifendi.
18:47 Regardez, elle est là.
18:48 Elle est là, tout à fait.
18:49 Elle est là, à votre disposition.
18:50 On regarde le sujet ?
18:51 On regarde.
18:52 On trouve que ça a pas de science.
18:53 Bonjour à tous.
18:57 Aujourd'hui, direction Roche-la-Molière
18:58 pour découvrir une discipline qui fait tourner
19:00 les têtes et les barres,
19:02 la pole dance,
19:03 au programme "Énergie, sensualité et mouvements gracieux".
19:06 C'est parti.
19:07 Charlène, est-ce que tu peux nous expliquer
19:12 d'où vient la pole dance, finalement ?
19:14 Comment a eu lieu cet engouement ?
19:16 Alors, du coup, la pole dance, à la base,
19:18 est partie vraiment des films,
19:20 de tout ce qu'on voyait dans les films.
19:22 Club de strip-tease, quelque chose d'assez vulgaire.
19:24 Au final, on n'est plus du tout sur ce genre de discipline, aujourd'hui.
19:28 On est vraiment sur une discipline gymnique
19:30 qui permet de travailler vraiment la totalité du corps
19:33 au niveau du gainage, de la souplesse,
19:36 au niveau musculaire.
19:37 Et qu'est-ce que tu répondrais aux clichés qu'on peut avoir sur la pole dance ?
19:40 Je dirais qu'ils sont totalement faux.
19:43 Aujourd'hui, on mélange vraiment une partie dansée
19:45 avec une partie gymnique.
19:47 Du coup, on cherche quelque chose d'artistique
19:49 et plus du tout quelque chose de sexy,
19:51 voire limite sexuel, comme il pouvait y avoir avant.
19:53 Aujourd'hui, on est sur quelque chose de beaucoup plus dansé.
19:58 Comment avez-vous découvert la pole dance ?
20:02 Quand j'ai passé le cap des 30 ans,
20:08 j'avais envie de me relever un petit peu un défi,
20:10 de faire quelque chose de sortir de ma zone de confort.
20:13 J'ai par hasard fait un cours d'essai de pole dance
20:15 et je me suis dit que c'était ça, le défi à relever.
20:17 Physique, franchement, tout le corps.
20:20 C'est que du gainage, c'est très sportif,
20:24 de haut en bas, je dirais.
20:26 [Musique]
20:28 Bon allez Julien, c'est parti pour l'open V.
20:36 On y va.
20:38 Comme ça, Charlène ?
20:42 Vous l'aurez compris, la pole dance a cassé les codes.
20:53 C'est un sport à part entière, une danse sensuelle,
20:56 belle et qui vous booste votre confiance en vous.
20:59 Si vous vous retrouvez dans ces valeurs-là,
21:01 je vous invite à ouvrir la porte d'une école de pole dance.
21:03 Il y en a plein dans la Loire, vous allez voir, vous allez adorer.
21:06 On a l'impression qu'elle force pas.
21:11 On est plus loin, plus large de cette discipline justement.
21:14 C'est qu'on a l'impression, alors qu'en réalité,
21:16 ça demande beaucoup d'efforts et de travail.
21:18 Et surtout, ça aide à la confiance en soi.
21:20 Vous allez le voir dans le reportage,
21:22 il y a un homme qui vient de passer les câbles des 30 ans
21:24 et qui dit justement qu'elle a aidé dans un coup.
21:28 Qu'est-ce qu'il fait 30 ans ?
21:30 Qu'est-ce qu'il fait à ses câbles ?
21:32 Vous faites attention, j'ai entendu que je n'ai pas dit.
21:34 Tiens Marielle, on se soutient.
21:36 Ça participe à l'émancipation personnelle de chacun.
21:39 C'est vrai que les femmes se posent beaucoup de questions.
21:41 J'ai envie de dire un peu comme les hommes à la crise de la quarantaine.
21:44 Pas du tout.
21:46 Mais nous on veut juste une Porsche.
21:48 Et une relation.
21:50 Et la femme qui va avec.
21:52 Je ne sais pas.
21:54 Mais oui, franchement, ça ne se suit pas le sel.
21:56 En tout cas, Catarina, vraiment bravo.
21:58 Parce que vous avez quand même vu ce qu'elle a réussi à faire.
22:02 Non, il faudrait que je revoie les images.
22:04 C'est bon.
22:06 C'était si dur que ça, vos impressions ?
22:08 Franchement, c'était vraiment super dur.
22:10 Heureusement que je fais du sport à quotidien
22:12 parce que je ne suis pas sûre que je réussis à me soulever.
22:14 Elle l'a glissée.
22:16 C'est...
22:18 Très bien.
22:20 Ce n'est pas vous qui allez faire la démo quand même.
22:22 On a interdit son toucher la barre.
22:24 Parce qu'elle a des...
22:26 Je ne sais pas.
22:28 Quelque chose en tout cas pour...
22:30 Un truc qui grippe.
22:32 Alors, on change d'origine dans quelques instants.
22:34 Vous savez que fin d'année rime quand même avec trophée dans tous les sens.
22:38 Et forcément, Marielle Charouin était au trophée de sa discipline.
22:42 Sa discipline d'équitation.
22:44 (Musique)
22:46 (Applaudissements)
22:48 Ah oui !
22:50 Trophée, trophée, trophée.
22:52 Pour tous les amateurs d'équitation
22:54 puisque ce vendredi, du côté de Saint-Just-Saint-Humbert,
22:56 on est allés à la place...
22:58 Elle a fait du Bollywood la semaine dernière.
23:00 Ah, Saint-Just-Saint-Humbert ?
23:02 On était pas très loin.
23:04 Donc, Assemblée Générale du CDE,
23:06 Comité Départemental d'Équitation de la Loire,
23:08 mais également la remise des trophées
23:10 des championnats départementaux nationaux
23:12 mais également européens.
23:14 Donc l'occasion de mettre en valeur les cavaliers.
23:16 Mais ça s'est fait un peu en catémini, ça.
23:18 On ne le sait pas souvent, ça.
23:20 Non, il y avait énormément de personnes.
23:22 La salle était vraiment conne.
23:24 C'était vraiment l'événement...
23:26 Ah oui, on voit bien.
23:28 Les chiffres s'intéressent un petit peu moins.
23:30 C'est arrivé.
23:32 Regardez, Julien.
23:34 Donc plus de 80 cavaliers ont été mis à l'honneur,
23:36 mais également tous les acteurs de la filière équine ligérienne.
23:40 Et qui de mieux pour nous en parler
23:42 que Thierry Grange, qui est le président du Comité Départemental de la Loire,
23:44 qui revient sur les actions menées,
23:46 les actions à venir du comité.
23:48 On l'écoute tout de suite.
23:50 Effectivement, on s'en sort plutôt bien
23:52 avec une petite baisse d'un ou deux points
23:54 de jeunes licenciés et de licenciés au global.
23:58 Peut-être parce que la fédération,
24:02 pas seulement le Comité Départemental,
24:04 mais la fédération dans son ensemble a beaucoup d'actions
24:06 envers les jeunes, envers les primos licenciés.
24:08 On en a parlé pendant l'Assemblée Générale.
24:10 Beaucoup d'actions de communication,
24:12 beaucoup de présence sur les réseaux sociaux.
24:14 Je pense que ça joue énormément et que ça a diminué l'effet démographique.
24:18 Notre rôle, c'est d'aider les structures,
24:20 avant tout, même avant les cavaliers.
24:22 Évidemment, les cavaliers en bénéficient indirectement.
24:24 On les aide par l'aspect formation, par exemple.
24:28 On organise beaucoup de formations.
24:30 Le comité régional en organise également.
24:32 On s'associe souvent.
24:34 Ce sont des formations à destination des dirigeants,
24:36 à destination des enseignants,
24:38 des journées de formation,
24:40 mais aussi de découverte, de nouveautés,
24:42 de disciplines innovantes, émergentes.
24:44 C'est un des volets de nos actions.
24:46 On organise également un événement qui s'appelle les Kids' Fun Club,
24:50 qui est là pour rassembler les clubs avec un esprit familial.
24:54 Ça joue aussi. C'est dans nos objectifs.
24:56 Formation, accompagnement des clubs,
24:58 championnat, évidemment,
25:00 organiser les championnats, c'est notre rôle également.
25:02 On a eu une chance, une vraie chance,
25:06 puisque Héla Rinaldi,
25:08 que tous les cavaliers forcément connaissent,
25:10 mais pas les téléspectateurs de sport.
25:12 Fendi, demi-année, ne connaît pas Héla Rinaldi.
25:14 J'ai entendu son nom.
25:16 En réunion tout à l'heure.
25:18 Avant l'émission.
25:20 Héla Rinaldi a seulement 14 ans et elle est vice-championne d'Europe.
25:24 Par équipe, à 14 ans,
25:26 dans la catégorie CCE complet,
25:28 cinquième sur le dernier podium européen.
25:30 CCE complet, les gars !
25:32 Plusieurs disciplines.
25:34 C'est pour ça que c'est extrêmement complexe comme discipline,
25:36 parce que ça allie le dressage, le saut d'obstacle
25:38 et ce qu'on appelle le cross.
25:40 Mais là, Marie-Ale, elle vient d'une famille quand même,
25:42 j'allais dire, de cavaliers.
25:44 Pour être aussi jeune...
25:46 Oui, tout à fait. Et puis à 14 ans,
25:48 elle a récupéré son poney Boston.
25:50 Donc au championnat d'Europe du Mans,
25:52 elle est vice-championne d'Europe par équipe,
25:54 cinquième au niveau individuel.
25:56 Donc on a eu cette chance de la rencontrer.
25:58 On l'écoute tout de suite.
26:00 Cette année, j'ai entamé
26:02 les grosses épreuves avec Boston,
26:04 mon poney.
26:06 Là, on se retrouve en Grand Prix CCE.
26:08 J'ai remporté le championnat de France
26:10 en Grand Prix.
26:12 J'ai participé au championnat d'Europe.
26:14 On a été deuxième en équipe
26:16 et cinquième en individuel
26:18 avec la meilleure performance française.
26:20 Cette année, j'aimerais bien remporter
26:22 toutes mes compétitions
26:24 et reparticiper
26:26 au championnat d'Europe
26:28 et les gagner en équipe et en individuel.
26:30 - A 14 ans, première interview ?
26:32 - Oui.
26:34 - A 14 ans, première interview ?
26:36 - Oui, première interview.
26:38 Et être à ce niveau-là,
26:40 c'est quand même incroyable.
26:42 - Moi, ce que j'aime beaucoup, c'est qu'on a vraiment des pépites
26:44 sur des jeunes talents
26:46 ici sur le territoire ligérien
26:48 qui méritent d'être vraiment en avant.
26:50 Parce qu'on parle souvent un peu des mêmes,
26:52 des cavaliers qui vont aux Jeux Olympiques
26:54 ou des scènes internationales.
26:56 Mais il y a aussi effectivement...
26:58 - Comme dirait Julien, nous sommes un vivier de jeunes talents.
27:00 - Exactement. J'adore.
27:02 - On va le prouver dans quelques instants.
27:04 - On a mis en avant, bien entendu, les cavaliers
27:06 mais également tous les acteurs de la filière équine
27:08 et notamment les centres d'enseignement,
27:10 les structures équestres.
27:12 Estelle Poulard, enseignante
27:14 aux écuries du Richardon à Châteauneuf,
27:16 était présente aussi
27:18 puisque pour la deuxième année consécutive,
27:20 elle classe ses écuries sur le top 5
27:22 au podium de fidélisation de ses licenciés.
27:24 Je suis allée à sa rencontre
27:26 pour lui demander comment elle faisait
27:28 pour... Justement, quelle était sa recette
27:30 magique pour fidéliser ses licenciés
27:32 et puis pour rendre les écuries
27:34 attrayantes. - C'est le foin du foin, mais open foin.
27:36 - Open foin. Pour les licenciés, je ne suis pas certaine.
27:38 On l'écoute tout de suite.
27:40 - Tout d'abord, on essaye
27:42 de les
27:44 amuser,
27:46 de garder un esprit
27:48 de loisir, mais aussi
27:50 cumuler un peu la compétition.
27:52 On arrive à
27:54 faire des groupes
27:56 pas très nombreux non plus, pour pouvoir avoir
27:58 une bonne évolution. Et c'est vrai qu'aussi,
28:00 du coup, on fait différentes disciplines.
28:02 Donc en cours, on essaye de varier.
28:04 C'est peut-être aussi pour ça qu'on garde
28:06 les cavaliers, parce qu'on n'est pas que
28:08 axé sur dressage et obstacles.
28:10 Donc on leur fait découvrir du horseball,
28:12 du pony games, du travail à pied
28:14 également, des kiffons.
28:16 Parfois, je fais du
28:18 poney foot, on monte à crues aussi.
28:20 Donc c'est vrai que ça les intéresse
28:22 beaucoup et les enfants sont tout le temps
28:24 en train de faire de nouvelles
28:26 choses à chaque cours. - Alors je dis
28:28 Cocorico quand même, parce que c'est les écuries où là je monte,
28:30 donc je suis obligée de le placer. Et un petit clin d'œil
28:32 à Adrien Ponçart pour le pony foot.
28:34 Je te mets au défi un jour de venir faire une démo.
28:36 - Oh, méfie-toi !
28:38 Il sera là dans quelques instants.
28:40 - Une soirée de galas,
28:42 justement, ne peut pas passer outre
28:44 l'événement sportif phare de l'année,
28:46 qui sont bien entendu les Jeux Olympiques.
28:48 Elisabeth Treyand, élue à la Fédération
28:50 Française d'équitation, était là aussi.
28:52 Donc on lui a posé la question de savoir comment
28:54 la Loire et les Ligériens allaient être
28:56 représentés au prochain JO 2024 et surtout
28:58 quelles étaient les actions mises en place
29:00 par la Fédération Française d'équitation
29:02 pour aller justement lever ses futurs talents.
29:04 On l'écoute tout de suite.
29:06 - Alors la Loire a le grand honneur d'avoir deux cavaliers,
29:08 Olivier Perrault et Anne-Frédérique Royon,
29:10 qui font partie de la liste
29:12 à cheval pour Paris.
29:14 Donc c'est une liste
29:16 qui regroupe les cavaliers les plus en vue
29:18 pour participer au JO de Paris 2024.
29:20 Olivier en saut d'obstacle
29:22 et Anne-Frédérique
29:24 en paradressage.
29:26 Donc c'est vrai que la Loire a déjà deux cavaliers,
29:28 donc c'est énorme pour la Loire.
29:30 Au niveau de la Loire,
29:32 on va faire des sélections
29:34 de cavaliers,
29:36 on va leur faire faire des stages
29:38 avec des entraîneurs nationaux
29:40 pour justement
29:42 sélectionner ces jeunes
29:44 qui ne sont pas encore dans les équipes de France,
29:46 mais sélectionner avec les clubs
29:48 partenaires,
29:50 bien évidemment ça sera avec les clubs partenaires,
29:52 pour avoir
29:54 déjà repéré
29:56 les petits cavaliers qui ont du potentiel.
29:58 - On attend ça les jeunes.
30:00 - Olivier Perrault, on a fait quelque chose sur lui,
30:02 Anne-Frédérique Royon était venue sur le plateau, je pense qu'on est là.
30:04 - Voilà.
30:06 - Et vous vous laissez.
30:08 - Pour commencer ce poursuite,
30:10 on a un sacré pas de résistance,
30:12 merci à vous mesdames, vous éloignez pas trop,
30:14 Katerina vous voit en fin d'émission,
30:16 je vous demanderai un peu de musique
30:18 et le pas de résistance avec quand même
30:20 Adrien Ponsard qu'on peut applaudir,
30:22 merci à vous Katerina,
30:24 Yacine Daoud et Lilian Bard,
30:26 merci à vous.
30:28 Bonsoir messieurs, comment ça va ?
30:30 - Bonsoir, ça va très bien et vous-même ?
30:32 - Eh bien ça va très bien,
30:34 dans quelques instants avec vous on va parler
30:36 de la Gambardella.
30:38 - On va parler de la Gambardella, super match.
30:40 - On va parler de la gym ?
30:42 - Un show exceptionnel de gym.
30:44 - Mais avant on va parler basket avec vous.
30:46 - On va parler basket par London.
30:48 - C'est Romain, on va applaudir Romain.
30:50 - Alors Romain, vous êtes tellement heureux,
30:52 vous êtes venu un petit peu trop tôt.
30:54 - C'est de ma faute.
30:56 - Vous avez piqué la place à Lilian,
30:58 mais vous restez avec nous, vous aimez le basket quand même.
31:00 - Il y a pas de soucis.
31:02 - On va expliquer pourquoi depuis tout à l'heure
31:04 vous avez des lunettes et fini quand même.
31:06 - J'ai eu une intervention chirurgicale,
31:08 et donc du coup la lumière,
31:10 c'est pour me protéger.
31:12 - Alors la lumière, justement ça tombe bien,
31:14 coup de projecteur sur des clubs,
31:16 des fois on se dit "mais vous êtes sûr,
31:18 pourquoi vous voulez venir chez nous ?"
31:20 - Même quand je suis arrivé du côté de Saint-Galmiers,
31:22 on nous a regardé
31:24 avec les caméras de Télésat,
31:26 le micro, en disant "mais vous êtes trompé de salle".
31:28 Ah non, non, on s'est pas trompé de salle.
31:30 On vient mettre en avant aussi,
31:32 entre guillemets,
31:34 les petits clubs,
31:36 les clubs qui n'évoluent pas forcément en championnat régional
31:38 ou national.
31:40 Et là c'est vrai qu'on a mis l'accent sur
31:42 les filles, les senior-filles
31:44 du côté de Saint-Galmiers.
31:46 Alors, ils ont plusieurs catégories,
31:48 ça va de U9 jusqu'en senior.
31:50 Mais là les filles, pourquoi ?
31:52 Parce que l'an passé, ces filles
31:54 étaient montées d'un niveau,
31:56 elles ont terminé championne
31:58 DF3, et elles sont montées en DF2.
32:00 Du coup on est allé à la rencontre du président.
32:02 C'était un peu titillé, j'ai vu le reportage quand même.
32:04 C'était bien, non c'était pas méchant.
32:06 Franchement, on va regarder le reportage.
32:08 On va avoir deux défaites d'affilée.
32:10 Je pense qu'il va falloir
32:12 mettre les ingrédients cette fois pour
32:14 tout de suite entamer le match
32:16 dans les meilleures conditions.
32:18 Alors cette année, nous avons 200 licenciés,
32:20 14 équipes, de U7 à senior,
32:22 avec une équipe loisir aussi.
32:24 Vraiment un club loisir, un club familial.
32:26 Voilà, tout à fait, plutôt un club familial.
32:28 Là on va axer quand même ce soir sur
32:30 vos senior filles qui ont été
32:32 championnes DF3 l'année dernière
32:34 et qui font un très bon début de championnat.
32:36 Une saison, on va dire,
32:38 mémorable par rapport à ce qui se passe
32:40 dans le club, c'est la première fois que ça arrive.
32:42 Et cette année, elles font un très bon début de championnat
32:44 en DF2 pour une équipe qui monte.
32:46 On sait que c'est compliqué de monter d'un niveau.
32:48 On a les ambitions de remonter deux années de suite ?
32:50 Si c'est possible de le faire, oui !
32:52 Le coach vous dira la même chose.
32:54 Après nous, au niveau du bureau, on était
32:56 plus en retenue, on disait qu'un bon
32:58 combat était très bien cette année.
33:00 Mais on se prive de rien. Tout à fait.
33:02 Qu'est-ce qu'il s'est dit dans les vestiaires ?
33:04 Quel est le mot d'ordre pour avoir
33:06 cette victoire ce soir ?
33:08 L'unité, reproduire
33:10 le jeu qui est le nôtre,
33:12 c'est-à-dire du jeu rapide, faire circuler
33:14 le ballon rapidement et se projeter
33:16 rapidement vers l'avant parce que
33:18 c'est comme ça qu'on arrive à faire des jolis équipes en face.
33:20 Pour l'instant, c'est un début de saison.
33:22 On s'est un petit peu affaibli sur ces derniers week-ends.
33:24 Mais on compte bien
33:26 remporter la victoire ce soir notamment
33:28 et jouer le tableau.
33:30 Cette année, je pense jouer
33:32 les premiers rôles, les premières places.
33:34 La saison sera réussie
33:36 si on monte.
33:38 Tant mieux. Mais si on est dans les trois premiers.
33:40 D'accord. Ça veut dire que même s'il n'y a pas
33:42 le titre, au moins, espérez de monter.
33:44 Oui, parce que le groupe est jeune. Ils découvrent
33:46 la D2.
33:48 L'année dernière, elles étaient pratiquement
33:50 invaincues. Donc, elles n'ont pas pu avoir d'adversité.
33:52 Cette année, il y a quand même un petit peu d'adversité.
33:54 Il y a des filles qui ont du bagage technique,
33:56 qui ont des fois joué
33:58 en région ou en national,
34:00 qui connaissent, qui sont plus matures.
34:02 Moi, mon groupe est jeune. Il faut qu'elles apprennent.
34:04 Après, on fera une bonne saison.
34:06 L'année dernière, vous avez été championne. Est-ce que cette année, on peut
34:08 espérer un nouveau titre ?
34:10 On l'espère.
34:12 Est-ce qu'on l'aura ? Je suis un petit peu moins convaincue
34:14 que l'année dernière, j'avouerais.
34:16 Mais au moins, la montée, ce serait quand même super chouette.
34:22 Très joli panier.
34:24 Et surtout, c'est un club,
34:26 vraiment comme on l'a dit, un club familial,
34:28 mais qui a des ambitions.
34:30 Vous l'avez bien vu, ils ne se privent de rien.
34:32 Elles ne se privent de rien, surtout cette équipe.
34:34 Ils sont un peu réalistes.
34:36 Mais attention, la surprise, parce qu'elles sont montées
34:38 d'une division, elles ont fait 4 sur 4
34:40 début de campionnat. Après, c'est vrai
34:42 qu'elles ont perdu un petit peu. Il y a eu des blessés.
34:44 Mais le carton du week-end...
34:46 On a du porter chance.
34:48 Le carton du week-end.
34:50 Là, elles ont gagné en Coupe de la Loire.
34:52 On va parler de foot, Coupe Gambardella, tout à l'heure.
34:54 Mais là, elles ont gagné en Coupe de la Loire
34:56 contre une équipe qui avait 3 divisions d'écart.
34:58 3 divisions au-dessus d'elles.
35:00 Et pas sur un petit score.
35:02 90 à 48 ce week-end.
35:04 Elles sont en quarte finale.
35:06 On peut les applaudir.
35:08 Le club de Saint-Gallier.
35:10 Et je me suis engagé pour les suivre
35:12 jusqu'à la fin, jusqu'où elles pourront aller
35:14 dans cette Coupe de la Loire.
35:16 Attention, à tout moment, on peut arriver.
35:18 A tout moment.
35:20 Petit ou grand club. On aime bien les petits clubs.
35:22 Surtout pour la buvette, Effendi.
35:24 Mais bon, il y a des photos qui traînent.
35:26 Exactement.
35:28 Est-ce que vous aimez
35:30 la gym, Effendi ?
35:32 Les petits fuseaux, les petits trucs ?
35:34 La roue !
35:36 On peut dire qu'à Saint-Étienne, quand même,
35:38 on dit toujours qu'on est une terre de basket.
35:40 On parle pas trop de foot dans la Loire.
35:42 Nous, c'est le basket qui prime.
35:44 Mais c'est vrai qu'on est une terre
35:46 aussi de gymnastique.
35:48 On a un gymnaste qui fait ses sujets.
35:50 Vous savez pourquoi tout le temps, je fais des figures ?
35:52 Pour ce point.
35:54 Écoutez, messieurs, le temps d'un petit jingle.
35:56 C'est dans les coulisses d'oeufs.
35:58 Exactement.
36:00 Et cette semaine, dans les coulisses d'oeufs,
36:06 effectivement, l'événement
36:08 gymnastique.
36:10 Événement exceptionnel. Vous savez comment on commence ?
36:12 Avec une petite citation.
36:14 J'ai beau chercher la citation sur le...
36:16 Nous, c'est l'idole de la citation.
36:18 Alors, on est là-dessus.
36:20 Complètement. Parce que là, c'est moi qui l'ai trouvée.
36:22 J'ai rien trouvé. On dirait ce que vous en pensez.
36:24 La vie, c'est comme une poutre de gymnaste.
36:26 C'est dur, mais on peut y faire des belles choses.
36:28 Yacine 2023.
36:30 N'applaudissez pas !
36:32 Non !
36:34 C'est dur à prouver.
36:38 Attention, c'est breveté.
36:40 Ça y est, on est en stampiés.
36:42 Paul Jim France, du coup, de Saint-Etienne,
36:44 pour un show exceptionnel qui s'est déroulé sur...
36:46 deux jours. Tu penses encore ?
36:48 Il vient de comprendre ma citation.
36:50 Donc oui, le club... Il y a quelques chiffres.
36:52 Le club a été créé en 1984.
36:54 C'est plus de 8 participations aux Jeux.
36:56 J'ai trop d'images.
36:58 Vous allez voir sur la proupe tout à l'heure. Vous allez aussi bien rigoler,
37:00 je pense. Une vingtaine de participations
37:02 aux championnats du monde, c'est pas rien.
37:04 Donc, ce Paul Jim, c'est
37:06 une vingtaine de gymnastes,
37:08 avec cinq entraîneurs, un médecin,
37:10 quatre cinquennés, un psychologue
37:12 et une diététicienne. Donc on est sur du haut niveau.
37:14 On est sur l'excellence mondiale.
37:16 25 heures d'entraînement par semaine.
37:18 Moi, je fais quatre heures déjà, je suis au bout de ma vie.
37:20 C'est pour vous dire à quel point. Et bien sûr, on fait un petit coucou
37:22 à nos deux grandes championnes.
37:24 Mélanie de Jésus d'Osantos, donc bronze
37:26 aux championnats du monde, en équipe,
37:28 8 titres de championne de France entre 2017 et 2023.
37:30 Et bien sûr, Lorette Charpy.
37:32 Ta cousine ?
37:34 C'est ma petite cousine.
37:36 Lorette Charpy, attention, alors très gros mental,
37:38 je vais expliquer, Éric Agarre, c'est une petite...
37:40 qui revient, ça se blesse et ça revient.
37:42 C'est des machines.
37:44 Dans cette famille, vous êtes des machines.
37:46 C'est un truc de fou. Donc championne
37:48 d'Europe et médaille de bronze,
37:50 équipe aux championnats du monde.
37:52 Donc franchement, très beau athlète.
37:54 En fait, il faut le savoir, Romain,
37:56 c'est que c'est comme si votre stade
37:58 se transformait en salle de spectacle
38:00 en moins de...
38:02 C'est très rapide, c'est très rapide.
38:04 Vous étiez présent.
38:06 Oh là là, touché les boutons.
38:08 J'ai vraiment aimé ce moment.
38:10 Mais les mecs, ils ne savent pas qui ils auront à faire.
38:12 C'est la quête de voyager, mais ils rougent tout.
38:14 Et on regarde.
38:16 Les amis, on se retrouve aujourd'hui
38:18 au Pôle Gym, où les athlètes du Pôle Gym,
38:20 justement, vous nous proposez un spectacle exceptionnel.
38:22 Et pour les petits curieux comme moi,
38:24 qui aimeraient savoir comment on se prépare à un tel événement,
38:26 je vous propose de me suivre, si je ne tombe pas avant.
38:28 Et on se retrouve avec l'entraîneur national,
38:32 Éric Agarre. Éric, comment vas-tu ?
38:34 Très bien. Alors, qu'est-ce que tu peux nous dire, du coup,
38:36 toi, sur la préparation de cet événement ? Ça va être un show exceptionnel,
38:38 mais ça se prépare. Ah, ça se prépare, effectivement.
38:40 On a déjà fait une répétition
38:42 mercredi avec l'ensemble des gymnastes
38:44 pour caler un petit peu tous les numéros
38:46 dans le timing. Et puis, on a fait
38:48 un filagère avec les lumières,
38:50 avec l'aide d'Audio France. Et donc,
38:52 on est prêts. On est prêts pour ce soir,
38:54 et surtout pour demain, où on est sold out.
38:56 Alors, Monique, on est où ici ? Alors ici, on est là
38:58 où les gymnastes vont se préparer pour le show de ce soir.
39:00 D'accord. Alors moi, j'ai entendu que c'est toi
39:02 qui avais préparé les chorégraphies. Oui, c'est exact.
39:04 Combien de temps de préparation ? J'ai mis
39:06 trois semaines, à peu près. Donc, ça va envoyer du lourd ce soir.
39:08 Ça va envoyer. Parfait. On va où maintenant ?
39:10 Alors, je vais vous emmener là où se passe
39:12 la musique, la lumière.
39:14 Allez, parfait. On y va. C'est parti.
39:16 Moi, je vais tenter d'envoyer les vidéos et le son
39:18 en même temps à l'écran géant en face.
39:20 Et toi, tu fais absolument rien, du coup ? Moi, je fais
39:22 rien du tout. J'appuie juste sur un bouton,
39:24 sur le Ré de Mi, j'appuie sur un bouton de Terminé.
39:26 J'ai compris. Je suis un peu comme toi. De toute la lumière,
39:28 sur le spectacle. Ok, si je fais ça,
39:30 ça fait quoi ?
39:32 Il se passe... Ah, wow !
39:34 C'est fou, là, ce qu'il se passe. Ce soir,
39:36 on est sur un show de deux heures. 22 athlètes,
39:38 cinq compositions chorégraphiques
39:40 avec les tenues qui vont avec. Croyez-moi, ça va être
39:42 un spectacle exceptionnel.
39:44 Bon, les amis, là, je suis sur du
39:46 sérieux. Je suis avec Daniel, 10 ans de
39:48 buvette. Comment ça va, Daniel ? Très bien.
39:50 Alors, Daniel, qu'est-ce que tu peux nous dire, toi, sur la préparation
39:52 d'une telle buvette pour un tel événement ?
39:54 Il faut une journée. Une journée, donc les courses...
39:56 Aujourd'hui, on en
39:58 prépare 100.
40:00 100 sandwiches. Il m'en restera un pour moi, tu penses ?
40:02 Oh, oui. C'est gentil, ça.
40:04 Un peu ferme, quand même, hein ?
40:06 J'aimerais pas tomber là-dessus. C'est un coup à se faire une cheville, ça.
40:08 Show exceptionnel, athlète exceptionnel,
40:10 Laurette Charpy. Salut !
40:12 Alors, Laurette, toi, qu'est-ce que tu peux nous dire sur ce
40:14 show par rapport à une compétition ? Est-ce que c'est différent
40:16 pour toi ? Oui, forcément, il y a des
40:18 petites différences. Les enjeux sont
40:20 différents, mais la concentration
40:22 doit être la même. Il y a un peu plus de
40:24 plaisir et voilà, on s'éclate.
40:26 Ok, parfait. Bon, je vais laisser notre championne
40:28 se préparer tranquillement. Je te souhaite une très belle soirée
40:30 et un très beau show. Merci. Merci beaucoup !
40:32 Bon, j'ai essayé de faire partie du show.
40:38 J'ai essayé une tenue, ça m'allait pas trop.
40:40 J'ai fait une figure et là, ça a été la fin
40:42 pour moi définitive. Ils m'ont mis dehors. Ce soir, c'est le show.
40:44 C'est exceptionnel, mais ça sera sans moi. Ciao !
40:46 Ah ouais !
40:48 Ah ouais ! Ah ouais !
40:50 Le public se trompe pas. Vous applaudissez pas.
40:52 C'est pas grave.
40:54 Arrêtez !
40:56 Non mais c'est énorme d'être ce qu'ils font.
40:58 Vous avez vu le spectacle ou pas ? C'est exceptionnel. J'ai pas vu
41:00 le spectacle malheureusement. Et là, tu mens. Tu devrais mentir.
41:02 J'ai vu le spectacle !
41:04 Excusez-moi, je n'ai pas compris la question.
41:06 Non mais c'est vraiment très beau. Moi, je l'ai vu.
41:08 C'était un show exceptionnel.
41:10 En très peu de temps, comme quoi...
41:12 Il y a un temps de préparation qui est vachement court.
41:14 Pour préparer tout ça, c'est vraiment agréable.
41:16 Merci à vous, Yacine. Dans les coulisses
41:18 d'homme, vous allez de partout.
41:20 Donc, ne soyez pas surprise.
41:22 Vous voyez, arrive Yacine.
41:24 Je suis là maintenant.
41:26 En quelques instants, on parle de la Coupe Gambardella.
41:28 La Coupe Gambardella, on est 32e de finale.
41:36 Mais pourquoi, Quesaco ?
41:38 Quesaco, ils ont fait un bon petit parcours
41:40 déjà avant pour arriver à ce niveau-là.
41:42 Honnêtement, j'ai vu un match de foot.
41:44 Ça m'a réconcilié avec le football.
41:46 Ça faisait un moment que je n'avais pas vu des jeunes jouer comme ça.
41:48 Quand tu étais à Guichard.
41:50 J'étais à Guichard plusieurs fois cette saison.
41:52 Il m'a envoyé des textos.
41:54 Je te voyais en dessous.
41:56 En dépression.
41:58 Puis je l'ai, surtout.
42:00 J'ai passé un moment. Honnêtement, j'ai passé une heure et demie
42:02 où je me suis réveillé.
42:04 À l'envol, Stadium.
42:06 Entrez au boutillon.
42:08 Malheureusement, il est arrivé
42:10 quelque chose de très triste ce week-end
42:12 avec le décès de notre ancien maire,
42:14 M. Jean-Claude Schalck, qui a oeuvré
42:16 pendant plus de 4 mandats
42:18 du côté de la M.P. et notamment pour le foot,
42:20 pour le basket, pour le stade,
42:22 pour l'envol. C'est vrai qu'il était à l'initiative.
42:24 On m'en attend d'un à deux à plus.
42:26 Il y a eu à la tête plusieurs fois
42:30 une pensée à notre ancien maire.
42:32 On pense à tout ce que sa famille a pensé.
42:34 Mais vous avez eu un beau spectacle.
42:36 On va voir quelques images.
42:38 Franchement, je me suis régalé.
42:40 Certes, on peut pisser les joueurs, mais c'est tout un staff
42:42 qu'il y a derrière. L'entraîneur qui est Romain,
42:44 le préparateur qui est Zizé, les adjoints.
42:46 - Ça va Romain ?
42:48 - C'est un travail magnifique.
42:50 - C'est supportable de rester un petit peu ?
42:52 - Très bien. - Et gentil le camarade ?
42:54 - Très gentil. - Pas de problème.
42:56 - Ça faisait longtemps que je n'ai pas vu des jeunes
42:58 aussi assidus sur un match
43:00 à respecter les consignes d'un coach.
43:02 Et ça a été du début
43:04 à la préparation d'avant-match
43:06 et pendant le match. J'ai vu quelque chose.
43:08 - Romain, il en fait un peu trop quand même, Adrien.
43:10 Ou c'est vrai ? - Non, c'est vrai.
43:12 - Non, sincèrement, c'est vraiment...
43:14 Pendant une heure et demie,
43:16 je ne me suis pas ennuyé.
43:18 De l'attaque, de la défense, du placement
43:20 sur le terrain, c'était un régal.
43:22 Et en plus, à la clé, il y a une qualification derrière,
43:24 c'est vraiment que du bonheur pour eux.
43:26 - Alors Romain, quand on est
43:28 en 32e... - 32e de finale.
43:30 - Exactement, face à une équipe...
43:32 - Nationale. - Nationale.
43:34 - Mon pèlier héros. - Exactement.
43:36 Comment on l'aborde ?
43:38 Parce qu'il y a le championnat, ça c'est en plus.
43:40 - Pour le moment, on n'y pense pas trop.
43:42 Là, on vient de finir la dernière journée de championnat,
43:44 dimanche. Là, il va y avoir
43:46 les fêtes qui vont arriver. Donc, on a mis les joueurs...
43:48 - Pas de dinde, les gars !
43:50 - On les a mis au repos et après,
43:52 on reprendra tranquillement et on
43:54 commencera à se préparer début janvier.
43:56 Mais pour le moment, on essaye de... - C'est quoi les échéances ?
43:58 C'est quand la suite ?
44:00 - La suite, le prochain tour, c'est contre le Montpellier héros.
44:02 Une équipe de national encore,
44:04 mais une équipe de Ligue 1. - Oui.
44:06 Attendez, je n'ai pas compris. Vous m'avez dit Ligue 1 et...
44:08 - Non, c'est une équipe.
44:10 Le club de Montpellier héros joue en Ligue 1.
44:12 Et donc, ils ont souvent des jeunes qui jouent en 18
44:14 qui arrivent à intégrer... - Ah, tu veux dire qu'il faut
44:16 baisser ? - Non, ils risquent de faire redescendre
44:18 des jeunes. - C'est triché, ça.
44:20 - Ça fait partie du jeu.
44:22 - Attends, Adrien, je parlais à mon off tout à l'heure
44:24 avec Romain. Ils ont quand même à Montpellier
44:26 2-3 joueurs qui viennent de faire la Coupe du Monde.
44:28 - Ah bah oui, oui, bien sûr. - La Coupe du Monde
44:30 sur les moins de 18, c'est ça ? - Oui.
44:32 - Ah mais c'est énorme. C'est une grosse école.
44:34 C'est une grosse fierté, oui.
44:36 - Ça joue à l'envol. - Ça joue à l'envol.
44:38 - C'est bien, ça. - Oui. - Les recettes,
44:40 c'est pour vous, déjà. C'est bien. - Pour le club, oui.
44:42 - Pour le club.
44:44 - Moi, j'aimerais savoir, c'est que sur cette catégorie-là,
44:47 combien d'heures d'entraînement ? Comment ça se passe ?
44:50 Y a des séances de muscu ? Y a... - Attends, on va voir
44:52 les buts.
44:54 On peut voir les buts et après. Allez-y.
44:56 C'est combien ? Là, il disait
44:58 Yacine, 25 heures d'entraînement.
45:00 - Bah, nous, on est à 4 séances par semaine.
45:02 - De ? - De 2 heures par jour.
45:04 - Ça va, ce 8 heures ? - Oui, ça va.
45:06 - C'est des footballeurs, hein ?
45:08 - C'est petit, ça. - Y a pas de pause.
45:10 - Oui, c'est vrai. - Y a pas de pause.
45:12 - Non, non, c'est 4 séances par semaine.
45:14 Plus les joueurs ont des abonnements
45:16 dans les salles de muscu, donc ils y vont individuellement.
45:18 Ils ont un à côté
45:20 qui est quand même assez important.
45:22 - On voit, c'est le gardien.
45:24 Elle était solide sur ses appels.
45:26 - Très, très bon. - Adrien, c'est ce qu'on va y anner.
45:28 - Surtout que les 2 arrêts qu'il fait, là, sur ce coup-frein
45:30 et sur la frappe qui est derrière,
45:32 c'est juste après le but.
45:34 Y a le but qui a été marqué peut-être 5-6 minutes avant.
45:36 Et si tu prends un but là derrière, ça te met un coup sur la tête.
45:38 Et là, il est là pour maintenir l'équipe
45:40 encore dans le match.
45:42 - C'est les mêmes maillots que la Coupe de France ?
45:44 - Euh...
45:46 Non, je crois pas.
45:48 - Celui du gardien, c'est le même.
45:50 - Est-ce qu'il y a des passerelles, Romain,
45:52 entre l'équipe 1 et vous ?
45:54 - Alors, nous, oui, on est vraiment sur l'accès à la formation.
45:56 Donc c'est vrai que pendant les périodes scolaires,
45:58 moi, dans ma génération,
46:00 il m'est arrivé d'envoyer 2-3 joueurs avec l'équipe Fagnon.
46:02 Le coach est très basé sur les jeunes.
46:04 - Mais ceux que vous ne vouliez pas ?
46:06 - Non, non, non.
46:08 - Si il ne les veut pas, moi, je les veux bien dans mon club.
46:10 Je vais les récupérer, par contre, tous ces jeunes.
46:12 - Non, non, le coach est très axé sur la formation.
46:14 Donc voilà, c'est vrai que c'est un bon tremplin pour eux.
46:16 Et puis ça leur permet aussi de voir ce qu'est
46:18 le vrai haut niveau.
46:20 - Là, on touche le haut niveau. Est-ce que, mentalement,
46:22 c'est bien ou ça fait trop de compétition dans l'année ?
46:26 - Ah ! Allez-y ! Personne ne regarde.
46:28 - On s'était fixé un objectif
46:30 avec les joueurs.
46:32 On l'a atteint. Moi, le coach,
46:34 je dirais qu'il ne faut pas trop que ça dure
46:36 très longtemps parce que notre priorité, ce n'est pas
46:38 forcément la gambardella. On joue
46:40 tous les matchs pour les gagner.
46:42 Mais après, quand c'est du bonus
46:44 comme ça, c'est que du régal. Et puis les joueurs
46:46 prennent du plaisir. Donc à partir de là...
46:48 - Adrien, pour finir ? - Moi, je dirais que c'est un plus pour les joueurs
46:50 de faire des trucs de gambardella. - On a vu les buts. Je ne sais pas si on a vu les buts.
46:52 - On a vu les buts. On a vu le premier.
46:54 Pour moi, c'est une erreur du gardien
46:56 du Gazalec. Après, le deuxième but est
46:58 magnifique parce que l'attaquant coupe bien la course.
47:00 Mais pour moi, ces matchs-là,
47:02 des matchs de coup de garde et lob, de les passer, ça remplace
47:04 les matchs à bico. - Exactement. - Ça permet
47:06 aux jeunes, en fait, comme on dit souvent
47:08 quand on est entraîneur, ces matchs-là, c'est les vôtres.
47:10 Nous, personnellement,
47:12 pour nous, c'est une séance de plus,
47:14 un entraînement de plus. - Et pas pour gagner du temps de jeu
47:16 parce qu'on met quand même une belle équipe en face. - Non, non.
47:18 Oui, on est face à des grosses écuries comme ça.
47:20 On est obligé de partir avec la grosse équipe.
47:22 - On sait que... Regarde, t'as le mafieux à côté de toi.
47:24 - Non, moi, je suis
47:26 admiratif et moi, par contre,
47:28 je suis pas forcément d'accord
47:30 avec Adrien parce que je pense qu'il faut
47:32 les jouer à fond, ces matchs.
47:34 J'ai pas de temps de jeu pour perdre. Et tant
47:36 qu'on peut aller le plus loin possible, on dit
47:38 c'est toujours la cerise sur le gâteau. - Bien sûr.
47:40 - Alors, l'inconvénient qu'il y a au basket, c'est pareil.
47:42 C'est les blessures. C'est quand on a des blessures.
47:44 - C'est un peu ça. - Souvent, on peut avoir ça.
47:46 Mais aujourd'hui, on arrive en 32e de finale.
47:48 Peut-être que c'est pas l'objectif premier,
47:50 mais quitte à aller au bout,
47:52 si on peut aller au bout, je pense qu'il faut y aller.
47:54 - Non, mais on va pas se priver, ça, c'est sûr.
47:56 Et certains... - Non, mais je te prie pas.
47:58 Nous, on vous suit. - Non, non, non. Y a pas de problème.
48:00 - Bon. Romain, vous restez avec nous.
48:02 Y en a un qui geste sur le bord de terrain, qui crie dans l'oreille
48:04 "Ah, on est en retard, vous êtes..." - Pas de problème.
48:06 - Et on a à manger, et on a à boire.
48:08 Et on a un public chaleureux, ce soir.
48:10 D'ailleurs, on vous remercie.
48:12 Et attention,
48:14 vous êtes prêts, on lève le doigt en l'air.
48:16 Il va faire en 100 m, est-ce qu'il va y réussir ?
48:18 Parce que c'est notre meilleur chroniqueur.
48:20 - D'accord. - C'est à vous.
48:22 - On s'attendait pas à lui. - Alors, on voit que Damien est dans
48:26 les starting blocks, prêt à partir
48:28 pour 180 m. On va voir
48:30 dès à présent.
48:32 - Prêt ? Hop !
48:40 Allez, les gars, allez, allez !
48:42 Allez, allez, allez !
48:44 Allez, à fond, à fond, à fond !
48:46 Allez, allez !
48:48 - Eh, super.
48:54 180 m de fini.
48:56 C'est déjà pas mal le long, pour une séance
48:58 de 100 m. - C'est quand même pas du jeu, ils sont tous
49:00 20 ans, hein !
49:02 - Ça va ?
49:04 Super entraînement ? - Je suis encore un peu
49:06 loin, quand même. - Un peu loin, ouais. - Ouais, il faut que
49:08 je continue à rentrer, je crois. - Ils vont vite, hein, ça fait déjà
49:10 2 mois qu'ils sont très à la fond, donc... - Ouais, ok.
49:12 - Ils ont l'habitude. - Ouais. - Le sprint,
49:14 c'est quand même... - Ouais, c'est une vraie spécialité,
49:16 quand même, hein. - Ah ouais. Et il faut pas faire
49:18 du sprint, c'est intéressant, il faut faire de la
49:20 musculation, il faut plein de choses, hein, pour développer
49:22 les qualités physiques. - C'est pour Yacine,
49:24 ça. Yacine, je t'envoie ça.
49:26 - Voilà. Du coup, là, on a pu voir un peu que
49:28 tu t'es fait bien dégommer
49:30 dès le début. - Ah ouais. Ah, t'as vu ça ?
49:32 On le voit bien, même de loin. - Même de loin.
49:34 Là, sur les premiers appuis, il en manque
49:36 encore un peu, donc... - Bon, il faut
49:38 que je travaille un peu plus, quoi. - Voilà.
49:40 - Bon. - Là, sur longueur, ouais.
49:42 - Voilà. Donc, je te laisse partir de ton
49:44 plan jaune. - OK.
49:46 - Tu cours à fond. - Le tips. - Ouais.
49:48 - Et tu sautes. - Bon, OK. - Le plus loin possible.
49:50 Voilà. Le but, c'est vraiment la longueur,
49:52 donc j'ai le plan. - Allez, j'y vais, les gars.
49:54 - Ouf.
49:56 - Ouh !
50:00 - J'ai enlevé la casquette.
50:02 - Franchement ?
50:04 - Je suis pas mal, non ? - Ah, il en manque
50:06 encore un peu, mais c'est déjà pas mal pour un débutant,
50:08 franchement. - Bravo. - Attends, on va
50:10 demander la vare. Je suis pas sûr.
50:12 Moi, je trouve que c'est plutôt bien. Non ?
50:14 Bon, je vous embrasse.
50:16 Je vais regarder ça, les gars.
50:18 Il va continuer à me briefer, quand même.
50:20 Bon, merci à tous. Bisous, bisous.
50:22 - Non, mais ce qui me choque... Oh, mais il s'est
50:24 fait déposer. - Tu peux pas parler comme ça ?
50:26 - Franchement, on est...
50:28 - Il s'est fait déposer. - Ah, il s'est fait...
50:30 Ouais, ouais, ouais. - Pourtant, il court, hein.
50:32 - J'avais passé la ligne qu'il était pas à la moitié.
50:34 - On dirait qu'il avait une caravane. - Non, mais il y a quelqu'un qui t'a
50:36 tiré. - T'as quelqu'un qui t'a tiré ?
50:38 - Non, mais c'est vrai que quand on fait du fond
50:40 ou... - Ou de la vitesse du pareil.
50:42 - Peut-être les footers sont peut-être meilleurs. - On travaille plus
50:44 sur la vitesse. - Ouais. - Sur les départs,
50:46 surtout. - Tu dépares le poste que tu veux.
50:48 Un milieu terrain va travailler plus le foncier.
50:50 Un attaquant va travailler la vitesse. - Peut-être pas autant
50:52 d'endurance, mais sur la rapidité de l'explosif.
50:54 - La rapidité. - Messieurs, est-ce que...
50:56 Je vais regarder Adrien pour ça. Vous, la barre,
50:58 ça vous connaît. - Ouais, dans le tram.
51:00 - Exactement.
51:02 Eh ben, c'est justement dans les transports en commun.
51:04 - C'est ça. - C'est la démo.
51:06 C'est la démo.
51:08 Ah, ça annonce la fin. Elle est où, Katharina ?
51:10 Elle est là, Katharina.
51:12 - Nous avons entendu la démonstration de la
51:14 Pole Dance, mais avant, il faut savoir
51:16 que notre Charlène, qui est juste là,
51:18 qui se prépare à faire sa démonstration,
51:20 est aussi la co-créatrice de la marque
51:22 avec Clara de Coco by CC.
51:24 C'est une marque de
51:26 très à portée, Pole Dance. Quel était votre
51:28 ambition quand vous avez voulu créer cette marque ?
51:30 - Alors, on a voulu créer cette marque
51:32 pour pouvoir proposer des tenues qui nous ressemblent
51:34 et qui sont aussi
51:36 inclusives parce qu'on les propose aussi en surmesure.
51:38 Donc, toutes les tailles. - Et les résultats
51:40 sont magnifiques, comme vous pouvez le voir.
51:42 On va passer à la démonstration. - On va passer avec Charlène, derrière.
51:44 Elle m'a dit "Julien, tu ne touches pas là-bas".
51:46 Elle m'a regardé, elle a les yeux révolés.
51:48 Charlène, on vous a vu, c'était vous dans le reportage.
51:50 Et là, ce soir, vous voulez
51:52 nous montrer quelque chose de totalement différent.
51:54 Mais c'est quoi, toute cette fumée ? C'est vous ?
51:56 - Une petite démo, oui, pour présenter un peu la
51:58 Pole Dance.
52:00 Pour présenter un peu la Pole Dance, du coup,
52:02 et donner une autre image que ce qu'on peut avoir en tête.
52:04 - Mais ce qu'on a déjà dit,
52:06 c'est pas mal, quand même. - Oui, c'est bien.
52:08 - C'est poétique. On ne va pas dire qu'on va
52:10 finir, mais un petit peu avec vous.
52:12 - Artistique. - Artistiquement. Ça va durer
52:14 combien de temps ? - Une minute trente.
52:16 - Et après, on invite Effendi à faire.
52:18 - Je suis pas du tout à l'oeil.
52:20 - Allez, on applaudit bien fort.
52:22 - Allez, 3, 2, 1, démonstration.
52:24 - Je vais le dire, rien.
52:26 - La la la la la
52:28 ♪ Leave yourself behind, ♪ ♪ breathe inside me, ♪
52:35 ♪ leave you blind. ♪
52:39 ♪ My heart, you have found peace, ♪ ♪ you were searching for a living. ♪
52:56 ♪ You gave it all, ♪ ♪ you're into the call. ♪
53:03 ♪ You took a chance and, ♪ ♪ you took the fall for us. ♪
53:11 ♪ You kept softly, ♪ ♪ love me faithfully. ♪
53:19 ♪ You taught me honor, ♪ ♪ you did it for me. ♪
53:26 ♪ Today, you sleep again, ♪ ♪ you wait for me, my love. ♪
53:48 - Je ne sais pas si on s'entend, mais... - On l'aime pas dire bien fort !
53:51 - On a l'impression qu'elle ne souffre pas ! - C'est incroyable, ce qu'elle est capable de faire.
53:55 - On a souffert sur cette barre, elle est horrible ! On ne l'aime pas.
53:58 Mais je crois que je connais des pompiers qui descendent la barre comme ça.
54:01 - Disons qu'ils glissent ! - Disons qu'ils glissent !
54:04 - Mais ils vont pas jusqu'à faire de jolies figures.
54:06 - Bon, merci à vous, Charlene, de nous avoir proposé... Il y a des belles figures, hein ?
54:09 - Oui. - Proposées à nous, hein.
54:11 Et cette petite tenue savane, il y en a qui vont pas se coucher tout de suite, hein.
54:15 - Bonne nuit, mon amour ! Bonsoir ! - Bonsoir !
54:18 - Ah, ça y est, je suis mort. Merci, bonsoir !
54:21 Merci d'avoir fini. Allez, c'est la fin de l'année.
54:24 C'est la fin de l'année, exactement.
54:27 Eh ben écoutez, on vous retrouve dès le 8 janvier, ici même, sur le plateau.
54:32 N'hésitez pas à appeler nous, on est présents sur tous les réseaux.
54:35 On vous embrasse, ciao !
54:37 Bye bye !
54:38 (Applaudissements)
54:44 (Générique)

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