Gennaro Gattuso en conférence de presse a dressé un constat plus sombre après le match perdu sur la pelouse de Lens 1 à 0, avec ce but de Gradit dans les dernières minutes du match.
Après quatre défaites consécutives en Ligue 1 à l'extérieur, les défauts semblent avoir été analysés.
Mais maintenant, il faudra passer la vitesse supérieure au risque de se retrouver totalement décroché de la course aux places européennes...
Retrouvez la conférence de presse en intégralité de Gennaro Gattuso, qui charge un peu plus ses joueurs après ce revers à Lens qui fait mal à l'Olympique de Marseille.
...
Vidéo publiée le : 13/11/2023 à 01:59:00
Lien vers l'article de Maritima.info :
https://www.maritima.info/depeches/om/marseille/90252/rcl-om-gattuso-on-revient-trop-souvent-les-mains-vides-c-est-pas-suffisant-ce-qu-on-fait-.html
Après quatre défaites consécutives en Ligue 1 à l'extérieur, les défauts semblent avoir été analysés.
Mais maintenant, il faudra passer la vitesse supérieure au risque de se retrouver totalement décroché de la course aux places européennes...
Retrouvez la conférence de presse en intégralité de Gennaro Gattuso, qui charge un peu plus ses joueurs après ce revers à Lens qui fait mal à l'Olympique de Marseille.
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Vidéo publiée le : 13/11/2023 à 01:59:00
Lien vers l'article de Maritima.info :
https://www.maritima.info/depeches/om/marseille/90252/rcl-om-gattuso-on-revient-trop-souvent-les-mains-vides-c-est-pas-suffisant-ce-qu-on-fait-.html
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00:00 Comment vous ressortez de ce match ? Comment vous analysez cette défaite ? Est-ce que vous la trouvez injuste ? Est-ce que vos joueurs ont tifé suffisamment ce soir ?
00:12 Quand on a des défaites, elles peuvent être injustes, mais je pense que nous savions ce genre de match.
00:22 C'était un match que nous avons souvent fait, mais on le savait.
00:27 Lens est la équipe qui a le plus de victoires en France.
00:31 C'est une équipe très forte physiquement.
00:35 Nous savions que les hommes étaient pressés contre les hommes.
00:39 C'était un match qui a été très difficile, mais nous savions que nous devions faire ce genre de match.
00:46 Je pense qu'à un niveau agonistique, technique, nous devons faire de plus.
00:56 C'est la vérité. Nous ne pouvons pas permettre de jouer avec tant de joueurs sous tonneau.
01:01 Je pense que c'est le problème de ce match.
01:04 Nous avons fait de très mauvaises erreurs techniquement, et physiquement, nous avons payé un peu.
01:10 Si nous allons analyser les résultats, je pense que le pari était le bon résultat.
01:15 Mais c'est ce que le foot fait. Je n'aime pas parler de malheur, car la malheur fait partie des faibles.
01:22 Ce n'est pas un cas que nous perdons les dernières minutes.
01:27 Je pense que la parole pour terminer ce que j'ai dit est la même.
01:32 Pour la manière dont nous nous portons et ce que nous faisons, ce n'est pas assez.
01:38 Je ne pense pas que ce soit qu'il n'y ait pas de défaite juste ou injuste.
01:44 On savait à quel match nous devions s'attendre ce soir.
01:47 Nous avons dépensé énormément d'énergie.
01:49 Nous avons rencontré une équipe de l'OM qui court le plus dans le championnat de Ligue 1.
01:53 Nous savions à quoi s'attendre.
01:55 Nous avons eu énormément de duels homme contre homme. Le match était très physique.
01:59 C'est un match durant lequel nous avons relativement souffert, aussi bien sur le plan technique que physique.
02:04 Nous devons faire beaucoup mieux.
02:07 Nous devons évidemment penser au match suivant.
02:12 Si vous me demandez quel était le résultat exact pour ce match, je dirais que c'était un match nul.
02:31 Je n'aime pas parler de défaite car la défaite est un terme pour les faibles.
02:35 En conclusion, je dirais qu'il faut qu'on travaille pour le match suivant.
02:39 - Bonsoir coach. Est-ce que par rapport à la situation de comptabilité, même si vous avez un match à retard ce soir, vous êtes inquiet ?
02:48 - Si il y a des préoccupations, malgré le fait que vous avez une partie encore en arrière dans le championnat.
02:56 Je suis tranquille. Un coach n'est jamais... Les résultats sont fondamentaux, spécialement dans une place où je traîne.
03:04 La tranquillité dans ma vie est une parole que je n'ai jamais reçue.
03:10 Je n'ai jamais reçu de tranquillité d'un joueur, ni d'un coach, spécialement aujourd'hui où je suis seul.
03:17 Comme je l'ai dit avant, il nous faut quelque chose de plus que ce que nous faisons pour pouvoir porter les matchs à la maison.
03:29 Il nous manque certainement un peu de cativité agonistique, il nous manque au niveau technique.
03:35 Nous faisons des erreurs, spécialement aujourd'hui.
03:39 Il y a des préoccupations, mais je ne peux pas seuls penser à la préoccupation.
03:45 Je dois trouver la solution pour améliorer les résultats, et au niveau mental.
03:50 Parce que, je le répète, si nous pensons que nous avons pris la 90ème place parce que nous avons été malheureux, ce n'est pas bien.
03:56 Je serais hypocrite et trop réductif pour dire cela.
04:00 Il y a quelque chose que nous devons faire de plus, parce que ce n'est pas un cas où il arrive toujours quelque chose.
04:08 C'est comment on fait. On fait ça en travaillant, en s'assumant les responsabilités, et en essayant de faire mieux.
04:20 Et ne pas penser à jouer à 50 ou 60%, parce que la vérité est que ces joueurs peuvent faire beaucoup plus que ce qu'ils font.
04:31 En tant que coach et joueur, je n'ai jamais été tranquille.
04:36 Il est clair que le résultat est primordial pour un club, et surtout pour un club comme Marseille.
04:40 On doit faire beaucoup mieux pour gagner des points et pour ramener toujours les points à la maison.
04:45 On doit faire beaucoup d'efforts sur le plan technique, gagner plus de duels.
04:49 On est un peu en retrait au niveau physique.
04:52 Si vous me demandez si je suis préoccupé, oui, je le suis tout de même un peu.
04:55 Mais il faut qu'on travaille chaque jour pour trouver une solution.
04:58 Et également au niveau mental, car on vient de perdre un match à la 90ème minute.
05:03 Ce n'est pas normal. Il faut qu'on travaille davantage, qu'on assume nos responsabilités.
05:08 On peut mieux faire. Et on a surtout des joueurs qui ne jouent pas au maximum, qui ne prestent qu'à 50 ou 60% de leur capacité.
05:16 Donc on va travailler pour essayer de résoudre ces problèmes.
05:19 (Propos en allemand)
05:41 Il est bien aujourd'hui que vous pouvez payer au niveau physique.
05:44 Vous avez joué le dimanche, ils ont joué le mercredi, mais ils étaient aussi fatigués.
05:49 Mais ce sont deux structures de team totalement différentes.
05:53 Lens est structuré d'une manière, Marseille d'une autre.
05:57 Et on savait qu'au niveau physique, on pouvait payer quelque chose.
06:01 Le problème, en ce moment, n'est pas seulement un problème physique.
06:04 La partie d'aujourd'hui, à mon avis, au niveau technique, nous avons fait beaucoup de erreurs.
06:08 Mais beaucoup.
06:10 La préoccupation est la frénétisme que nous avons eu dans cette partie.
06:16 Au moment où nous avons été entre-combats, nous avons eu la frénétisme.
06:27 Mais aujourd'hui, on a vu que nous pouvions jouer.
06:31 Il n'y avait pas cette pression qui nous a mis en très grande difficulté.
06:37 Mais toujours les balles de la moitié et de la moitié nous ont mis en difficulté.
06:42 Je pense que c'est cet aspect qu'il faut améliorer.
06:45 La tranquillité ne sera jamais là.
06:48 Cette équipe, la tranquillité, jusqu'à ce qu'elle ne fait pas une série de résultats, ne sera jamais là.
06:52 Parce que nous vivons dans une salle qui est exigeante.
06:55 Mais nous le savons.
06:57 Alors nous devons être plus bons à lire le jeu.
07:00 Nous devons être plus bons à ne pas être frénétiques.
07:03 Regardons le but que nous avons eu.
07:05 On a eu un but à la 90ème.
07:07 Sur un but de notre côté, nous pouvons faire un foulon.
07:10 Nous ne le faisons pas.
07:12 Ils nous tirent un but de notre côté et ils ont eu un but.
07:14 C'est pour ça que je dis que ce n'est pas un malheur.
07:16 C'est la malédiction de faire quelque chose de plus.
07:19 Ce qui nous manque, je pense.
07:22 Non, l'OM n'est pas...
07:24 Non, je ne pense pas qu'il y ait eu trop d'expectatives pour l'OM en début de saison.
07:31 On a dépensé énormément d'énergie.
07:33 Lens avait joué mardi, donc on a eu quelques jours à moins pour récupérer.
07:36 Nous avons une structure bien particulière qui est différente du club de Lens.
07:40 Nous n'avons pas souffert uniquement sur le plan physique.
07:44 Ce qui m'embête surtout, c'est qu'on a énormément de déchets techniques.
07:47 On fait preuve de beaucoup de frénésie, ce qu'on a vu également à Athènes.
07:52 On joue énormément en verticale, mais avec trop de frénésie.
07:55 Ce soir, par exemple, il n'y a pas eu énormément de pressing de la part de l'adversaire.
07:58 On a été fort approximatif.
08:00 Comme je vous le disais précédemment, je ne peux jamais être tranquille.
08:04 On doit faire des résultats.
08:06 Un club comme Marseille exige qu'on fasse des résultats.
08:08 C'est un club exigeant.
08:10 Quand aujourd'hui, vous me parlez de malchance,
08:12 je ne peux pas accepter qu'on prenne un but à la 90e minute sur un coup de coin
08:16 en notre faveur.
08:17 On est incapable de faire une faute dans la même action.
08:20 Et on doit faire preuve de plus de malice en conclusion.
08:23 - Au-delà des aspects techniques, l'actif et physique,
08:31 comment vous expliquez ce différentiel d'état d'esprit qu'elle développe ?
08:35 Qui sont les talents de Pierre et d'autres ?
08:38 C'est un peu compliqué de vous l'adresser.
08:40 C'est 50% de ce que vous avez expliqué.
08:42 - La vérité, c'est de ma faute.
08:44 Je pense que je dois prendre la responsabilité sur cela.
08:47 Parce que l'entraîneur, quand il dit que...
08:50 Parce que je vois le valeur des joueurs,
08:53 les joueurs qui jouent à 50-60%,
08:55 je suis responsable de l'entraîneur.
08:57 Je dois pouvoir lui faire prendre le 100%.
09:01 En ce moment, je ne suis pas en mesure de le faire.
09:05 Je pense que ça ne nous aide pas à avoir la rose courte.
09:09 Parce qu'en ce moment, nous avons une rose très courte.
09:12 Nous n'avons pas de centre-campiste,
09:15 et de nombreuses petites choses.
09:17 Mais comment on fait ? On fait ça.
09:19 C'est ma responsabilité.
09:21 C'est ma responsabilité, je l'assume.
09:23 Parce que je dois pouvoir entrer dans la tête,
09:26 et pouvoir éliminer les préoccupations
09:28 et faire jouer les joueurs à 100%.
09:32 En ce moment, je pense que c'est ma responsabilité.
09:37 Je pense surtout qu'en tant que coach,
09:40 c'est ma faute que je ne parvienne pas à tirer 100% des joueurs.
09:44 Nous avons des joueurs de valeur,
09:46 mais je ne parviens pas à lever leurs prestations vers le haut.
09:49 Nous avons également énormément de joueurs indisponibles.
09:52 Il nous manque aussi certains joueurs, notamment au milieu de terrain.
09:55 J'assume complètement la faute et les erreurs
09:58 pour la sélection des joueurs.
10:00 J'espère pouvoir les motiver davantage par la suite
10:03 et tirer le maximum d'eux.
10:06 [Les joueurs sont en train de se déplacer]
10:10 [Au-delà de la table, les joueurs sont en train de se déplacer]
10:15 [Au-delà de la table, les joueurs sont en train de se déplacer]
10:22 Nous avons 12 joueurs de la Sorte Nationale qui partent.
10:26 Nous avons 5 ou 6 joueurs qui restent.
10:28 Il nous reste peu de travail.
10:30 Nous pouvons faire 2 ou 5 ou 6 joueurs.
10:32 Nous acceptons ceci, nous allons de l'avant.
10:34 Mais, je le répète, en ce moment,
10:37 je suis bien clair que ce que nous allons faire n'est pas suffisant.
10:41 C'est clair.
10:43 Je ne dois pas me faire arrêter à penser
10:47 physiquement et qualitativement.
10:50 Nous devons mettre les deux choses ensemble
10:52 pour pouvoir faire des prestations différentes.
10:56 Mieux jolies et un peu plus mouilles.
10:59 Parce que, en ce moment, je pense que les victoires...
11:03 Nous devons donner une continuité.
11:05 On ne peut pas gagner une partie,
11:07 perdre une, paréger une et perdre une autre.
11:10 Je pense qu'en ce moment, nous devons travailler sur la tête.
11:13 Parce que, je le répète,
11:14 si la squadre portait un parége à la maison,
11:17 elle ne l'aurait pas robé.
11:19 Mais nous disons toujours la même chose.
11:20 A Nice, nous avons dit la même chose.
11:22 A Monte Carlo, nous avons dit la même chose.
11:24 Et ça s'est passé trop.
11:27 C'est trop facile de dire, comme je l'ai déjà dit,
11:30 que nous sommes malheureux.
11:31 Non, nous ne sommes pas malheureux.
11:33 Parce que, pour une fois, être malheureux,
11:35 en ce moment, je pense que nous devons...
11:38 Et pour le moment, nous devons faire une analyse approfondie,
11:41 nous assumer nos responsabilités
11:43 et comprendre bien que ce que nous faisons n'est pas suffisant.
11:49 -Durant la pause nationale,
11:51 12 joueurs iront avec le Récuit national.
11:53 5 ou 6 joueurs resteront au centre d'entraînement.
11:57 Donc, ça va être très difficile de travailler avec eux
11:59 pendant cette période.
12:00 On doit accepter notre situation pour l'instant.
12:03 Il faut qu'on avance absolument,
12:04 car ce n'est pas suffisant ce qu'on effectue pour l'instant.
12:08 Aussi bien sur le plan physique que qualitatif.
12:10 On devrait être moins beaux, beaucoup plus concrets.
12:13 Essayer d'avoir de la continuité dans les résultats.
12:17 Car on revient beaucoup trop souvent les mains vides.
12:20 Ce soir, on ne peut pas dire qu'on a été malchanceux.
12:22 On méritait probablement le match nul.
12:24 Mais bon, c'est arrivé ce soir.
12:25 C'était déjà le cas à Nice, à Monte-Carlo.
12:28 Donc, je n'ai pas envie de parler de malchance.
12:30 Il faut vraiment qu'on arrive à se relever.
12:33 Ça arrive beaucoup trop souvent.
12:34 Il faut qu'on assume nos responsabilités.
12:36 -Vous avez parlé d'Athènes.
12:41 Vous avez eu beaucoup de situations aussi.
12:44 Vous avez un moment déliqué, c'était pour l'Atlantique.
12:47 C'est le troisième match de suite en Ligue 1.
12:49 Vous ne vous marquiez pas.
12:50 Qu'est-ce que vous pouvez faire justement pour traverser la tendance,
12:53 pour redonner confiance à vos attaquants ?
12:55 -Oui, je suis d'accord.
13:05 En Europe et en France, ce sont deux campionnats divers.
13:10 En Europe, c'est une compétition.
13:12 En France, c'est une autre.
13:13 Je pense qu'à ce moment-là, quand je parle au niveau qualitatif,
13:17 c'est quand on fait beaucoup de erreurs.
13:20 Parce que si à la fin, tu vas voir, quand tu fais beaucoup de erreurs,
13:22 tu arrives à 30 ou 40 mètres, tu fais des erreurs,
13:24 tu reviens en arrière et tu dois revenir à défendre.
13:27 Je pense qu'au niveau qualitatif, c'est ce problème.
13:29 Parce que de nombreuses fois, nous réussissons à développer,
13:31 mais nous faisons toujours des erreurs.
13:33 L'ultime passage, c'est simple.
13:35 Je pense que nous devons développer de manière différente.
13:38 C'est pour cela que, selon moi, de nombreuses fois, nous créons peu.
13:42 Parce que nous faisons beaucoup de erreurs.
13:44 Et 30 ou 40 mètres, on fait beaucoup d'erreurs.
13:46 Aujourd'hui, dans la tribune, vous avez vu la partie,
13:50 quand on va en vertical, il semble que la balle n'arrive jamais.
13:54 Elle est toujours courte.
13:55 Si tu as la sensation que le pas est un peu plus fort,
13:58 tu peux faire quelque chose de plus.
14:01 Et tu as la chance de marquer un but.
14:03 Je pense que nous en manquons.
14:05 Mais ce n'est pas ce qui me préoccupe.
14:07 Ce qui ne me préoccupe pas, c'est de mettre les joueurs,
14:11 de créer, de les mettre à disposition et de leur faire faire des buts.
14:16 Le problème, c'est que nous faisons trop d'erreurs.
14:18 Nous faisons trop d'erreurs.
14:20 Et il faut recourir l'adversaire.
14:22 50 ou 60 mètres, il faut recommencer à faire de nouveau.
14:26 Tu comprends ? Je pense que, à un niveau qualitatif,
14:28 c'est pour cela que, selon moi, nous créons peu.
14:30 Mais selon moi, si nous améliorons cela,
14:33 pour comment nous développons, pour comment nous voulons développer,
14:35 c'est mon problème.
14:38 La Coupe d'Europe et le championnat de la Ligue 1 sont deux choses totalement différentes, bien entendu.
14:44 Ce qui m'embête beaucoup, c'est que c'est surtout l'aspect qualitatif.
14:48 On rate beaucoup trop, surtout dans les 30 derniers mètres.
14:51 Une fois qu'on arrive à cette distance,
14:53 on nous voit souvent revenir en arrière et recommencer l'action.
14:57 Vous avez également vu le match depuis la tribune.
15:01 Et on peut voir que quand il y a une action qui se développe vers l'avant,
15:04 en vertical, on a l'impression que cette balle n'arrive pas devant
15:07 et ne met pas en position les attaquants pour pouvoir marquer.
15:11 Je ne suis pas plus préoccupé que cela,
15:14 mais il faut qu'on mette les joueurs dans des bonnes dispositions
15:18 pour pouvoir marquer des buts.
15:19 Et c'est là que nous avons de grosses failles pour l'instant,
15:22 car nous n'arriverons pas à créer la dernière passe.