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00:00 C'est l'heure du Dimanche Magazine. Notre invité nous a rejoint en plateau, je le disais à l'entame de cette édition.
00:07 C'est le directeur général du conseil EVA, Palmia Hull, que nous recevons aujourd'hui. Merci encore à vous, monsieur.
00:14 Je vous en prie.
00:15 On va y aller tout de suite avec cet élément vidéo que nous propose Lancine Bakayoko, le chef du service économie de la rédaction RTI1.
00:24 C'est un ouf de soulagement pour les acteurs du Palmia Hull, confrontés à une grave crise au niveau de la commercialisation.
00:31 Grâce à la médiation du ministre d'État Kobena Kwasi Adjoumani, les trois collèges composant la filière Palmia Hull, à savoir les producteurs, les premiers transformateurs et les raffineurs, sont parvenus à un consensus sur les prix praticables.
00:45 Sur les trois mois à venir, nous avons pris la décision d'acheter le kilogramme de régime de palme, Borsha, à 65 francs.
01:01 Au niveau de la tonne d'huile, désormais, le prix qui est affecté est de l'ordre de 530 000 francs.
01:11 Pour répondre aux inquiétudes des raffineurs liées aux importations illégales de l'huile de palme, Kobena Kwasi Adjoumani promet qu'un arrêté interministériel sera signé interdisant l'entrée frauduleuse de l'huile sur le marché ivoirien.
01:24 Nous voulons lui dire merci pour son implication personnelle dans la résolution de la crise qui couvait, ce qui va nous permettre d'entrevoir la pointe avec beaucoup d'espoir et d'espérance.
01:41 Toutes les autres huiles déjà entrées illégalement sur le marché seront saisies. Des négociations seront entreprises avec les pays qui ont décidé de tourner le dos au marché de l'huile ivoirien, afin de nouer de nouveaux partenariats.
01:54 Au niveau du palmier à huile, la production ivoirienne s'élève à 600 000 tonnes. Quant à la capacité de raffinage, elle est de 1,2 million de tonnes.
02:04 Monsieur Bakayoko Lancinet, merci beaucoup. Je suis donc avec Monsieur Koulibaly.
02:12 Monsieur Koulibaly, le conseil EVA palmier à huile, dites-nous en deux petits mots. Quelles sont vos missions, vos objectifs ?
02:22 Merci beaucoup, Monsieur Hamza Diaby.
02:25 Je tiens à dire que le conseil EVA palmier à huile est le dernier des conseils. Je pense qu'en Côte d'Ivoire, on a le conseil café-cacao, également le conseil coton à carotte.
02:35 Le conseil EVA palmier à huile vient boucler une réforme des grandes filières agricoles.
02:40 Et donc, depuis 2018, précisément novembre 2018, le conseil EVA palmier à huile est en place. Et parmi nos missions, nous en avons 17.
02:50 Et l'une des missions, justement, c'est de garantir les prix issus des accords interprofessionnels et de veiller au respect des prix.
02:57 J'en parle à l'ADESEN, puisque ça a été l'objet des discussions dernièrement entre le ministre d'État, le ministre Adi Omani, et les représentants de la filière.
03:07 Et le conseil, il se porte bien ? Tout va bien ?
03:12 Alors, on va dire que nous avons fait quand même un petit bout de chemin. Aujourd'hui, les choses vont nettement mieux.
03:19 Je dois rappeler qu'en 2018, quand le conseil s'installait, nous avions des crises. Dans la filière EVA, il y avait la crise de la surproduction.
03:29 Et les plantes ne arrivaient pas à écouler. Aujourd'hui, je pense que cette crise est derrière nous.
03:34 Et d'ailleurs, avec les mesures prises par l'État, de nouvelles usines sont installées. Et en 2024, au grand maximum 2025, nous aurons plus de capacités industrielles installées que de productions disponibles.
03:46 Donc je pense que les choses vont bien se passer dans le bon sens. En 2018 également, quand le conseil s'installait, le palmier à huile, la graine, s'achetait à 35 francs le kilo.
03:55 Aujourd'hui, on est en train de parler de 105 francs le kilo. Donc je pense que globalement, les choses avancent. Mais c'est clair qu'hier, c'est encore des défis à relever.
04:03 Vous êtes la petite sœur des structures de régulation. Le dernier n'est donc que des conseils. Mais on dirait que c'est chez vous qu'il y a le plus de bruit.
04:11 Alors parce que les autres ont eu le temps de calmer les choses, d'aplanir toutes les choses.
04:16 Ils sont matures.
04:17 Exactement. Et je pense d'ailleurs que si le conseil n'était pas là, imaginez le vide que nous aurions laissé en termes de discussion et de négociation.
04:24 Ça me permet justement de revenir sur une des missions qui confie au conseil. C'est la médiation en second recours de tout ce qui est à comme contentieux possible entre les acteurs des filières.
04:35 Donc le conseil arrive à un point nommé justement parce qu'on avait anticipé déjà qu'entre producteurs et usiniers, parfois les intérêts sont contradictoires.
04:44 Et donc il fallait un arbitre pour aider à aplanir les choses.
04:48 La particularité de ces deux filières qui composent le conseil, c'est un peu, elles sont quasiment détenues par le privé. C'est cela ?
04:57 Oui, je pense que ça part d'une volonté de l'État. Vous vous souvenez que le palmier comme les VA étaient des sociétés d'État.
05:03 Mais à l'issue de la privatisation, c'est des entreprises qui ont été rachetées par les privés.
05:08 Et à côté de cela, il y a eu des programmes publics d'encouragement à l'applantation de palmier et de VA.
05:13 Aujourd'hui, on a des secteurs purement privés avec des entreprises.
05:17 Mais notez également très bien que le planteur, c'est un opérateur économique privé.
05:22 Tout à fait. Pas comme le conseil du café cacao, totalement détenu par l'État, ou le conseil coton à la carte, coton pour le privé, à la carte pour l'État.
05:33 Non, en termes d'acteurs, vous avez affaire à des acteurs purement privés. Mais le conseil, il vient parmi eux, était un organe de l'État.
05:40 Bien sûr, avec des acteurs privés. C'est ce que j'étais en train de dire.
05:45 On a constaté une crise ces derniers temps dans la filière palmier à huile, des mouvements autour essentiellement des prix de vente ou d'achat.
05:53 Monsieur le directeur général, pourquoi cette crise ?
05:56 Alors, vous me donnez là l'occasion de revenir sur comment les prix sont fixés dans la filière palmier à huile.
06:02 C'est un principe qui existe depuis 2008.
06:05 Le principe, donc, c'est de repartir entre les différents acteurs les prix internationaux.
06:11 Et ces principes ont été consacrés par la loi qui met en place le conseil.
06:15 Et c'est à partir des prix internationaux que la matrice détermine le prix d'achat du régime et le prix d'achat de l'huile brute.
06:23 Et je dois rappeler qu'en Côte d'Ivoire, nous consommons près de 70% de l'huile raffinée produite localement.
06:29 Et donc, le marché, essentiellement, c'est le marché local.
06:33 Vous avez 30% à l'export, mais tout est déterminé en réalité par le marché local.
06:38 Et donc, quand vous passez en revue cette matrice, vous vous rendez compte que quand il y a des distorsions sur le marché mondial,
06:46 cette matrice, on ne peut plus l'appliquer. Voyez ?
06:49 Et donc, en appliquant la matrice, on a un niveau de prix, mais qui ne peut pas être appliqué parce qu'on a des acteurs au niveau mondial
06:57 qui ont subventionné fortement leurs huiles et ces huiles-là se retrouvent nettement moins chères.
07:02 Et donc, il y a une distorsion de marché qui nous oblige aujourd'hui à être dans cette démarche de discussion, de négociation.
07:08 Et donc, justement, c'est l'objet pour lequel nous avons demandé l'arbitrage du ministre d'État.
07:16 Et le 31 octobre dernier, le ministre d'État a donc reçu les opérateurs de la filière pour parvenir à un compromis.
07:25 Et on est arrivé à un compromis.
07:27 Tout à fait.
07:28 Et quels sont les sacrifices qui ont été consentis par chacune des parties ?
07:31 Alors, si on veut chiffrer, ce qui a été consenti par chacun des collèges, le collège des producteurs, c'est autour de 8 francs.
07:39 Entre le prix calculé et le prix qui a été donc accepté, c'est autour de 8 francs, donc 8 000 francs la tonne.
07:45 Le collège des premiers raffineurs, alors ce que nous, on appelle les premiers raffineurs, pardon, les usiniers de la première transformation,
07:51 c'est ceux qui produisent communément ce qu'on appelle l'huile rouge.
07:54 C'est cela.
07:55 Donc l'huile brute, eux, ils ont fait un sacrifice autour de 65 000 la tonne pour permettre à l'ensemble du système d'être en équilibre.
08:04 Et après, les raffineurs ?
08:06 Les raffineurs, comme je le disais tout à l'heure, eux, ils ont en face d'eux le consommateur ivoirien.
08:12 Et vous vous rappelez qu'en 2022, l'État a dû prendre des mesures de plafonnement, justement parce que si on devait répercuter toute la hausse des cours mondiaux,
08:23 le consommateur n'allait pas supporter.
08:25 Donc l'État a plafonné les prix à la consommation.
08:28 Donc on se retrouve avec un plafond de verre qu'on ne peut pas franchir.
08:31 Et dans le même temps, en dessous du plafond de verre, il y a des mouvements de hausse, de baisse, de hausse, de baisse,
08:36 qu'on reflète donc dans la matrice des calculs des prix.
08:39 Est-ce que c'est ce qui explique que des fois, on a constaté que l'huile raffinée coûtait moins cher même que l'huile brute ?
08:45 Sur le marché mondial, oui.
08:47 Mais en réalité, c'est parce qu'il y a des pays gros producteurs qui ont subventionné leur huile.
08:52 Autrement, vous imaginez, vous payez l'huile brute, vous raffinez, il y a forcément des coûts.
08:57 Donc vous ne pouvez pas sortir l'huile raffinée moins chère que l'huile brute.
09:00 Bien sûr. Vous vous êtes accordé sur quelque chose, la calmée semble être donc de mise dans le secteur,
09:06 mais vous nous garantissez que tout le poids ne sera pas supporté par le consommateur final.
09:11 Si vous remarquez bien, j'ai dit tout à l'heure qu'il y a un plafond qui a été mis et on n'est pas autorisé à vendre plus cher.
09:18 En réalité, sur le marché, vous vous rendez compte que le bidon de référence de 25 litres qui était sorti usine,
09:24 plafonné à 25 500, aujourd'hui sorti usine, ce même bidon est entre 21 000 et 22 000.
09:30 Quand vous allez sur le demi-grossiste, vous vous rendez compte qu'il y a une baisse.
09:34 C'est vrai qu'au niveau du détail, la baisse n'est pas sensible parce que c'est moins 50 francs, moins 100 francs,
09:39 mais on ne peut pas aller au-delà du plafond.
09:41 Donc vous avez les moyens de garantir un meilleur prix de vente du palmier et de l'huile de palme.
09:46 Alors, comme je dis, si on met de côté le plafond qui est lié aux contraintes sur le marché intérieur,
09:53 nous avons quand même des excédents exportables.
09:56 On est le seul pays en Afrique qui exporte de l'huile de palme, produit donc par nous-mêmes.
10:01 Et l'accès donc au marché extérieur, nous pouvons capter des hausses de coûts au niveau du marché mondial,
10:09 justement sur les 30 % qui nous restent à exporter à l'extérieur.
10:13 On a noté que le ministre d'État lui-même est monté au créneau.
10:16 Vous l'avez dit, il s'est entièrement impliqué dans la résolution de cette crise.
10:20 Et vous-même, conseiller VA Palmier à huile, quel rôle vous avez joué dans ce dénouement heureux ?
10:26 Alors, il faut dire que nous, on a fait un premier niveau d'arbitrage qui a consisté en réalité pour nous
10:32 à aligner les prix mondiaux de l'huile brute sur les prix de l'huile raffinée.
10:37 Comme je le disais tout à l'heure, aujourd'hui, quand vous regardez les tendances mondiales,
10:40 l'huile raffinée coûte moins cher que l'huile brute, notamment à cause des subventions faites par certains pays.
10:46 Et donc, quand nous avons fait cet arbitrage, c'était déjà le 10 octobre, il s'est trouvé que de part et d'autre,
10:53 les raffineurs notamment ont estimé qu'à ces coûts, à ces niveaux de prix, ils n'étaient pas compétitifs.
10:58 Donc, il a fallu porter l'affaire à un deuxième niveau de médiation en sollicitant l'appui du ministre d'État.
11:05 Est-ce qu'on peut toujours craindre que le mécanisme de fixation de prix soit toujours mis à mal lorsqu'une des parties ne se sent pas à l'aise avec le prix ?
11:17 Alors, ce n'est pas qu'une des parties ne se sent pas à l'aise. En fait, c'est parce qu'on traverse une crise.
11:21 Et comme je l'ai indiqué, la crise est liée non seulement aux distorsions de marché qui font qu'on n'est plus compétitifs sur le marché régional,
11:29 le marché régional qui consomme les 30 % de nos supplus. Et donc, c'est une situation de crise.
11:33 Et quand vous êtes en situation de crise, naturellement, tout ce que vous avez mis en place comme dispositif qui gère le quotidien, vous êtes obligés de faire de l'entorse.
11:40 Donc, on est exactement dans cette situation-là aujourd'hui.
11:42 On n'est pas à l'abri d'une nouvelle crise.
11:45 Mais heureusement que le Conseil est là. Heureusement que le dialogue n'est jamais rompu entre les acteurs.
11:50 Et donc, vous ne pouvez pas imaginer qu'on puisse aller sur les prochains mois sans qu'il y ait besoin de se rencontrer.
11:58 D'ailleurs, le ministre de l'État a donné rendez-vous fin décembre aux acteurs pour évaluer ensemble la situation.
12:03 C'est-à-dire que tant qu'il y a cette dynamique de concertation, quelle que soit la crise, on trouvera donc les issues nécessaires.
12:10 Monsieur le directeur général, savez-vous qu'il y a des activités de contrebandiers sur nos marchés ?
12:16 Je pense que l'élément tout à l'heure qui a été présenté avant le magazine est revenu là-dessus.
12:22 Les opérateurs nous ont signalé qu'ils ont identifié sur le marché cet inconditionnement qui n'était pas produit en Côte d'Ivoire.
12:29 Qu'est-ce que vous faites pour y mettre fin ?
12:31 Alors, je vais suivre ce que le ministre de l'État a pris comme engagement, de dire qu'avec le ministre du Commerce,
12:37 nous allons faire en sorte que ces huiles-là soient retirées du marché et faire en sorte également que ces huiles ne les rentrent pas.
12:43 Le ministre l'a indiqué clairement qu'un arrêté va être pris pour permettre de clarifier les choses.
12:48 Déjà, pour ce qui concerne l'importation, nous avions publié un communiqué il y a quelques mois pour rappeler qu'il y a des règles.
12:54 Pour importer des huiles de palme en Côte d'Ivoire, il faut être non seulement agréé par le Conseil,
12:58 mais il faut encore que le Conseil autorise l'importation.
13:02 Mais en réalité, est-ce qu'on a besoin d'importer là où nous-mêmes, on n'en sait plus, quand on cherche à écouler sur le marché international ?
13:09 D'accord. Il y va de notre santé et il faut y mettre fin, monsieur le directeur général.
13:14 Non seulement de notre santé, mais de l'économie elle-même en sa globalité.
13:18 Il ne faut pas qu'on oublie l'EVA. Comment va la filière, monsieur le directeur général ?
13:22 Alors, la filière EVA, je pense qu'au sorti de la crise de la COVID, on a une légère remontée des cours.
13:29 Mais il reste que, si vous interrogez aujourd'hui les opérateurs, les producteurs, on se réfère toujours aux années 2011 où l'EVA a été achetée à 1 000 francs.
13:38 D'ailleurs, nous avons reçu régulièrement des correspondances qui nous disent « mais pourquoi on ne fixe pas le prix de l'EVA à 1 000 francs ? »
13:44 Mais le mécanisme dans l'EVA est similaire à celui du palmier.
13:48 C'est les cours mondiaux qu'on distribue entre les opérateurs de la filière, donc producteurs et usiniers.
13:55 Aujourd'hui, il y a une légère tendance à la hausse. On pense que, d'après les données que nous avons, 2024-2025, cette tendance va se maintenir.
14:03 Et il y a un aspect quand même important qu'il convient de souligner. La production ivoirienne est reconnue par le marché mondial comme étant de qualité.
14:12 Et pour nous, il est grand temps que cette qualité-là soit payée à son juste prix pour permettre d'améliorer l'auvenue du producteur.
14:19 Et la Côte d'Ivoire est pratiquement le seul pays africain qui produit un caoutchouc naturel d'une aussi grande qualité.
14:26 Je dirais oui. Et en si grande quantité. Parce qu'on est à 1,3 million de tonnes aujourd'hui de caoutchouc.
14:33 Tout à fait. Vous nous rassurez, donc, si le directeur général en a fini. Vous nous rassurez. Il y a de bonnes perspectives pour le binôme EVA palmier à huile.
14:40 Oui, je confirme que l'avenir est prometteur. D'ailleurs, quand vous lisez toutes les projections à 2030, vous vous rendrez compte qu'il y aura un déficit de caoutchouc naturel au niveau mondial.
14:53 Donc, la consommation de caoutchouc naturel ne pourra pas être couverte par la production. Et pour nous, ça, c'est une dynamique positive.
15:01 Au niveau de l'huile de palme, je dois rappeler que même quand vous parcourez la presse, aujourd'hui, on constate bien que la campagne en Europe,
15:09 notamment les pays producteurs d'huile, comment ils appellent, d'huile de soja, d'huile de tournesol et d'huile d'olive, ont subi fortement la sécheresse.
15:19 Et je pense que ça va avoir un effet impactant sur l'écho mondial de nos produits. Donc, l'avenir est prometteur.
15:26 Merci beaucoup. Et le palmier à huile, cette filière qui emploie près de 200 000 personnes.
15:31 Tout à fait.
15:32 Merci beaucoup, M. Koulibaly. Founibe Edmond Koulibaly, directeur général du tout jeune conseil EVA palmier à huile.
15:39 Vous êtes venu nous parler un peu de la crise qui a secoué le secteur du palmier à huile.
15:44 Mais là, tout est rentré dans l'ordre et on prie que ça dure. Merci en tout cas d'être venu nous voir.
15:51 Si vous me permettez, je profite de votre antenne pour dire toute ma reconnaissance aux ministres d'État et également la reconnaissance des acteurs de cette filière aux ministres d'État,
15:59 qui a eu vraiment de son sens de l'écoute. La réunion a duré quasiment trois heures. Chaque collège a eu le temps de s'exprimer.
16:05 Et à la fin, je pense que tous les collèges ont compris qu'on avait intérêt à s'accorder. Autrement, la filière elle-même se serait retrouvée déséquilibrée.
16:13 Merci. Je vous en prie.
16:15 Bon retour chez vous. Merci à vous aussi, chers téléspectateurs. Vous êtes notre motivation. Merci de votre confiance et très bon dimanche chez vous.
16:23 (Générique)