• l’année dernière
Transcription
00:00 "Ah maintenant, elle va marcher beaucoup moins bien forcément."
00:03 "J'ai glissé, chèque."
00:05 Figurez-vous que Thérèse n'est pas moche, elle n'a pas un physique facile. C'est différent.
00:09 "J'ai du mal à parler parce que j'ai les dents qui poussent."
00:12 "Je suis ancien combattant, militant socialiste et bistrot.
00:16 C'est de dire si dans ma vie j'ai entendu des conneries, mais des comme ça jamais."
00:20 "Quand on parle pognon, à partir d'un certain chiffre, tout le monde écoute."
00:23 "Tu me fars le coeur, hein."
00:25 "A quoi c'est un terrain de golf alloué au golf, un corps de tennis alloué au tennis ?
00:28 Un camp de prisonniers, ça c'est assez évadé."
00:31 "Ne pas reconnaître son talent, c'est faciliter la réussite des médiocres."
00:34 "C'est de la merde."
00:36 "Garder un secret consiste à ne le répéter qu'à une seule personne à la fois."
00:40 "Je me suis enraflé dernièrement."
00:42 "C'est bien fait, t'as qu'à prendre tes gants, fais voir."
00:44 "On sait rien, ça coûte."
00:46 "Je suis pas sûr. J'ai connu un mec qui s'est enraflé, ça s'est infrité, il est devenu sourneux."
00:49 "Où nous emmenez-vous ?"
00:51 "A un réveillon surprise."
00:52 "Un 30 juillet ?"
00:53 "Ouais, c'est ça la surprise."
00:55 "Comment ça, le monde, vous êtes juif ?"
00:57 "Vous picolez, ils picolent, si tous les gens qui picolent étaient votre fils, vous auriez une bande de famille."
01:02 "Si je connaissais le camp qui a fait ce tempo."
01:05 "Vous avez de la pâte, vous avez du sucre, alors avec la pâte vous faites une crêpe, puis vous mettez du sucre dessus."
01:10 "Il y a des jours comme ça, on ne rencontre que des abrutis."
01:14 "On commence à se regarder soi-même dans une glace, et à douter de soi."
01:20 "Le plaisir d'un vrai vendeur, c'est de vendre à des gens qui n'ont absolument pas besoin de ce qu'on leur propose, ou qui n'ont pas de quoi se le payer."
01:30 "2 milliards d'impôts nouveaux."
01:32 "Moi j'appelle plus ça du budget, j'appelle ça de l'attaque à main armée."
01:37 "Il y a des patrons de gauche, je tiens à vous l'apprendre."
01:40 "Il y a aussi des poissons volants, mais qui ne constituent pas la majorité du genre."
01:44 "Je pensais que l'enquête serait faite par un imbécile, manque de chance, tombé sur moi."
01:48 "Le fil vert sur le bouton vert, le fil rouge sur le bouton."
01:54 "Messieurs, mon vélo..."
01:56 "Un jour c'est nous que tu tueras, ton père et moi, de chagrin."
01:59 "Et bien comme ça on ne trouvera pas l'arme du crime."
02:01 "C'est de mon collègue ou de moi que vous vous foutez ?"
02:03 "Ah des deux, je me fous des deux."
02:04 "C'est les turales d'amoureux, ça vous êtes mariés, vous n'êtes jamais disputés avec votre femme vous ?"
02:07 "Oui, mais jamais un coup de fer à souder."
02:09 "C'est parce que vous n'êtes pas bricoleurs, c'est ça ?"
02:11 "Dégager les quotidiens du soir, c'est plein de demandes."
02:16 "Offre d'emploi, qu'ils appellent ça, leur piège à bagnards."
02:18 "Si la connerie n'est pas remboursée par les assurances sociales, vous finirez sur la paille."
02:24 "Travailler quand on ne sait rien faire, c'est prendre la place d'un autre."
02:27 "Et l'empêcher de gagner sa vie, c'est très vilain."
02:30 "Bon, ben regardez-le, François, il est affreux."
02:33 "C'est un singe, il est fulgaire, il est content de lui, il est un culte, il est râleur, il est satisfait."
02:38 "Et il est français."
02:40 "Écoutez, Thérèse, je n'aime pas dire du mal des gens, mais effectivement, elle est gentille."
02:45 "My flowers are beautiful."
02:47 "T'as de beaux yeux, tu sais."
02:49 "La première impression est toujours la bonne, surtout quand elle est mauvaise."
02:55 "Je sens que ce soir, je vais conclure."
03:00 "Qu'est-ce que vous nagez bien, chère ?"
03:05 "Oh là !"
03:07 "Je n'ai jamais volé, sauf une écoeule et un chien qu'on avait deux."
03:11 "Comment ça m'énerve alors ? Le taleur du war french."
03:14 "Est-ce que ça vous chatouille ou est-ce que ça vous gratouille ?"
03:17 "Si vous y allez aussi vite que je vous emmerde, pour une fois, vous serez en avance sur l'oreille."
03:21 "Quand les types de 130 kilos disent certaines choses, ceux de 60 kilos les écoutent."
03:26 "Ouais, ben si je buvais moi, je serais un autre homme. Et j'y tiens pas."
03:30 "Maintenant que je sais que vous asseyez sur mon honneur, permettez-moi de m'asseoir sur vos conseils."
03:34 "Pour le monde que je t'empaie."
03:36 "Pour ça, vous ne craignez personne."
03:38 "Ah ben, mon vieux, si j'y aurais su, j'aurais pas venu."
03:41 "On est gouverné par des lascars qui fixent le prix de la métro et qui seraient seulement pas foutus de faire toucher des rallies."
03:48 "Un marchand de tableaux est un voleur inscrit au régiste du commerce."
03:52 "Je m'absente cinq minutes et tu prends une intérimaire ?"
03:54 "Ah, tu t'absentes pas, tu te tires. Pas cinq minutes, deux jours. Je peux pas vivre au sol, tu le sais. Je cafarde."
04:01 "A tomber du jour, j'ai des spasmes."
04:03 "Tu vas prendre ta palette au saut et tu vas nous faire un pâté maintenant."
04:06 "Engagez-vous, qu'il disait. Rengagez-vous."
04:10 "Les plus beaux voyages se font par la fenêtre."
04:15 "J'ai lu un livre une fois, ça m'a rien fait."
04:17 "J'emmène pas des saucisses quand on va à Francfort."
04:20 "Une paella sans coquillage, un gigot sans ail, un escroc sans rosette."
04:24 "Dois-je vous appeler Super ou Régistant ?"
04:26 "Appelez-moi Super, pas de chichi."
04:28 "A droite, c'est la piste. Mais à gauche, j'ai l'impression que c'est raccourci."
04:31 "La connerie à ce point-là, moi, je dis que ça devient gênant."
04:36 "La vérité, c'est que tu es mou et paresseur."
04:38 "Mou et paresseur, tu es tout le portrait de ton oncle Ibille."
04:41 "Celui-là, il passait jamais au soleil parce que ça le fatiguait de traîner son ombre."
04:44 "Citoyens, la rue principale."
04:48 "Pour moi, la rue principale, c'est celle où il y a le plus de bistrots."
04:54 "Moi, je suis pas Laurence d'Arabie, je traverse pas le désert sans boire."
04:57 "Vous savez quelle différence y a entre un con et un voleur ?"
05:00 "Un voleur, de temps en temps, ça se repose."
05:04 "Un ministre qui tient à ses promesses, ça sera à part juste."
05:08 "Ils peuvent me tuer, je parlerai pas."
05:10 "Mais moi non plus, ils peuvent vous tuer, je ne parlerai pas."
05:13 "Je savais qu'on pouvait compter sur vous."
05:15 "Un gosse qui est né dans une étable à Bethléem, franchement, tu crois que ça va changer la face du monde, toi ?"
05:20 "Ben quoi, j'ai dit une connerie ?"
05:23 "Vaut mieux s'en aller à la tête basse que les pieds de monpe, au vrai."
05:26 "Une phrase formidable de Spinoza que j'ai oubliée, mais il avait raison."
05:30 "Je crois que j'ai eu l'ouverture, là !"
05:32 "Permettez à un admirateur de vous baiser la main."
05:35 "Mais si je vous la foutais à travers la gueule !"
05:36 "Tu m'emmerdes gentiment, affectueusement, avec amour, mais tu m'emmerdes."
05:42 "Vous n'êtes pas mariée."
05:44 "Non, nous n'avons pas encore mêlé l'administration à notre histoire d'amour."
05:47 "À travers les innombrables vicissitudes de la France, le pourcentage d'emmerdeurs est le seul qui n'est jamais baissé."
05:54 "Le boulot c'est un truc qu'il vaut mieux commencer jeune."
05:56 "Quand tu démarres tout môme, c'est comme si t'étais né infirme, tu prends le pli, t'y penses plus."
06:01 "Qu'est-ce que je vais devenir ? Je suis ministre, je ne sais rien faire !"
06:05 "Tu le sens pas, là ? Eh ben le fais pas, t'as raison."
06:07 "C'est pas son jour, dis-le donc."
06:09 "C'est jamais son jour."
06:11 "C'est fin, c'est très fin, ça se mange sans faim."
06:14 "Dans la vie, on partage toujours la merde, jamais le pognon."
06:16 "C'est une habitude bien française que de confier un mandat aux gens et de leur contester le droit d'en user."
06:27 "Oui, ça évidemment, on vous demande de répondre par oui ou par non, alors ça dépend, ça dépasse."
06:30 "Vous avez le vin petit et la cuite mesquine dans le fond, vous méritez pas de boire."
06:34 "Deux intellectuels assis vont moins loin qu'une brute qui marche."
06:37 "Moi quand on m'en fait trop, je correctionne plus, je dynamite, je disperse, je ventile."
06:44 "Si on peut plus péter sous les étoiles sans faire tomber un Martien, il va nous en arriver des pleines rouettes."
06:50 "Les bénéfices, ça se divise, la réclusion, ça s'additionne."
06:53 "Y a pas d'élise, hélas."
06:55 "C'est là qu'est l'os."
06:57 "Quand on fera danser les couillons, on ne te saura pas l'orchestre."
07:00 "Quand on vous regarde, on ne voit pas très bien le papillon, mais on distingue parfaitement la larve."
07:05 "Mange de ta soupe."
07:07 "Et surtout, ne pleure pas de darée, elle est déjà consalée."
07:12 "Tu n'es pas bon à rien, tu es mauvais à tout."
07:14 "On n'est pas bien."
07:16 "Si."
07:18 "Paisible."
07:20 "À la fraîche."
07:22 "Et contracté du gland."
07:24 "Donner de l'argent à un périsseux, c'est donner de la psainte à un alcoolique."
07:29 "Oh, il n'est pas hanté d'être pauvre."
07:31 "C'est pas hanteux, mais c'est fatigant."
07:33 "C'est normal, les pauvres c'est fait pour être très pauvres et les riches très riches."
07:37 "Salaud de pauvre."
07:39 "Si le bon Dieu a qu'à le pastisse, c'est pour le boire."
07:41 "C'est un produit tout ce qu'il y a de plus naturel, ça."
07:43 "Il n'y a que des plantes."
07:45 "Vous faites comme d'habitude, vous promettez tout et moi je ne donne rien."
07:50 "Je pense que quand on mettra les cons sur orbite, t'as pas fini de tourner."
07:54 "Oublie que t'as aucune chance, vas-y fonce."
07:56 "On sait jamais, sur un malentendu ça peut marcher."
07:59 "Les cons, ça ose tout, mais c'est même à ça qu'on les reconnaît."
08:02 Break !
08:02 [Coup de feu]

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