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La journaliste Véronique Jacquier, à propos des élèves radicalisés à l'école dans l'heure des pros 2 week-end : «Il y a quand même plusieurs niveaux de dangerosité qui ne sont pas pris en compte».

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Transcription
00:00 plus complexe que cela, parce que moi j'ai lu attentivement l'interview de Gérald Darmanin
00:03 dans LogisdD. Et de toute façon, il dit que ce soit les signalements des professeurs ou
00:09 les signalements via la police ou le suivi via les fichiers. Ah oui, il est catalogué
00:17 comme potentiellement dangereux, mais ça n'en fait pas un terroriste. Ah bon, alors
00:21 c'est quand ? C'est quand ? Quand est-ce qu'on décrète que c'est un terroriste ?
00:24 Donc, il y a quand même plusieurs niveaux de dangerosité qui ne sont absolument pas
00:29 pris en compte, que ce soit dans ce cas-là ou dans d'autres, à savoir ce qu'on appelle
00:32 maintenant le djihadisme d'atmosphère, c'est-à-dire qu'il était quand même dans une famille
00:37 qui était pathologiquement mortifère. Que font effectivement ces gens-là sur notre
00:42 sol ? Mais que par rapport à ce que dit Gabriel Attal, c'est-à-dire il y en a 183 qui sont
00:47 exclus, il faut savoir qu'il va y avoir un conseil de discipline et que de toute façon,
00:51 là encore, couïe du djihadisme d'atmosphère dans les familles.
00:55 [Musique]
00:59 [SILENCE]

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