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NewsTranscription
00:00 [Musique]
00:16 Et donc je vais donner la parole à Marc Noyer, qui est là et qui est membre du collectif Verity.
00:23 Bonjour, bonsoir.
00:28 Tout d'abord, bon ça va peut-être vous paraître bizarre, mais je vous remercie d'être là,
00:32 parce que ça fait plaisir de voir qu'il y a encore des gens qui se mobilisent.
00:37 Alors vous savez, moi il y a deux ans, j'ai été parmi les premiers à témoigner de ce qui m'arrivait,
00:44 et puis directement dans mon salon.
00:48 Et aujourd'hui en fait je suis assez fier de voir que ça a servi à quelque chose,
00:52 parce qu'il y a de plus en plus d'associations, il y a de plus en plus de gens qui ont la démarche
00:57 de faire des témoignages sur les effets secondaires.
01:00 Et c'est un peu paradoxal parce que vous avez vu il y a quelques jours,
01:06 Pfizer, ils ont reconnu eux-mêmes qu'il y avait des gros problèmes cardiaques avec les vaccins ARN,
01:14 alors que huit jours auparavant, le ministre de la Santé ici en France disait tout simplement
01:21 qu'il n'y avait pas d'effets secondaires.
01:24 Alors vous savez, je pense que ce n'est pas la peine de le siffler, on voit bien,
01:28 ils sont complètement en eau libre, parce que rien que pour ça, aujourd'hui déjà,
01:32 ils devraient démissionner quoi en fait.
01:35 C'est complètement incroyable qu'un ministre de la Santé puisse dire
01:39 qu'avec un vaccin il n'y a pas d'effets secondaires.
01:42 C'est encore plus incroyable que la journaliste qui est en face de lui,
01:45 lui dise pas "mais vous êtes sûrs parce qu'avec n'importe quel médicament,
01:49 avec n'importe quel vaccin, il y a des effets secondaires ?".
01:52 Ah non. Donc moi ça m'interpelle, je me dis que le combat est loin d'être gagné,
01:59 ça va encore prendre du temps.
02:02 J'ai aussi envie de vous parler d'Eva Musso par exemple,
02:10 dont la maman, il y a quelques jours, a eu les résultats d'une autopsie
02:16 qui dit clairement que le décès de sa fille est lié au vaccin.
02:20 Donc là encore une fois, je voudrais interpeller le ministre de la Santé,
02:24 les autorités françaises, parce que c'est Michèle Musso,
02:30 il y a quelques temps quand elle se battait pour essayer de faire reconnaître ça,
02:34 elle était comme moi, comme d'autres, comme vous, tout simplement insultée,
02:38 on la traitait de complotiste, on disait que ce n'était pas possible.
02:41 Aujourd'hui, il y a une autopsie qui dit que c'est bien possible.
02:44 Et vous avez quand même aussi un ministre de la Santé qui vous dit derrière
02:47 "Je suis désolé, mais je pense qu'il faut le marteler, le rappeler,
02:50 expliquez-le aux gens que vous rencontrez".
02:52 C'est-à-dire qu'il y a 8 jours, il a quand même dit, et moi je vous assure
02:55 qu'en tant que proche famille de victime, ça m'a fait terriblement mal.
03:00 Frédéric Beltras a lui aussi fait terriblement mal,
03:03 parce qu'il a vu son fils mourir dans son salon le soir même de la vaccination.
03:08 Donc entendre quelqu'un qui fanfaronne comme ça,
03:11 et qui dit simplement "il n'y a pas d'effet secondaire",
03:13 pour nous, famille de victime, je peux vous dire que c'est très compliqué.
03:16 Maintenant, en général, dans ce genre d'affaires,
03:19 c'est où on se pend, où on s'en sort.
03:22 Et nous, on a décidé de s'en sortir et de se battre.
03:25 Il y a des procédures qui sont engagées, il y en a de plus en plus.
03:29 Vous le savez, moi il y a quelques semaines, moi-même, j'ai essayé,
03:33 alors c'était un petit peu symbolique,
03:35 j'en avais assez d'entendre Jean Lassalle,
03:38 et aujourd'hui je vais vous parler de Jean Lassalle.
03:40 Parce que, moi c'est un homme que je respectais,
03:43 c'est un élu qui me plaisait, en qui j'avais confiance,
03:47 et je peux vous dire que je l'ai eu au téléphone.
03:50 C'est la première fois que je vais m'exprimer là-dessus.
03:52 Mais il faut que vous le sachiez aussi,
03:54 parce qu'on ne peut plus faire confiance à ces gens
03:56 qui donnent une image dans les médias, à la télé,
03:59 et qui en réalité, dans la vraie vie, sont complètement différents.
04:01 Moi j'ai eu un homme au téléphone,
04:03 qui au bout d'une conversation m'a raccroché au nez,
04:07 en me disant que ce n'était pas le moment de révéler les preuves
04:10 que Macron n'était pas vacciné.
04:12 Alors si c'est le moment, parce que moi je pense
04:14 aux soignants, suspendus, qui pendant deux ans...
04:18 Parce qu'en France quand même, on a réussi cet exploit
04:20 de mettre des hommes et des femmes chez eux, sans salaire.
04:24 Il y a eu des suicides, certains ont tout perdu,
04:27 il y en a même encore aujourd'hui qui ont des gros problèmes financiers à cause de ça.
04:30 Et on apprendrait que la personne, c'est-à-dire le chef d'État qui a décidé de ça,
04:34 et là je m'adresse, il y a des policiers qui sont là,
04:36 il faut qu'ils écoutent ça aussi, parce que
04:38 moi j'ai beaucoup de respect pour nos institutions et la police,
04:40 mais est-ce que vous pouvez continuer de respecter un chef d'État
04:43 qui finalement a dit qu'il avait très envie d'emmerder les gens qui étaient non-vaccinés,
04:47 qui a suspendu des femmes et des hommes sans salaire,
04:51 et qui serait lui-même pas vacciné ?
04:53 [Applaudissements]
04:56 Je remets ça encore sur le tapis, parce que c'est primordial,
05:02 c'est-à-dire que c'est un sujet qu'on devrait aborder tous les jours,
05:05 c'est-à-dire que vous avez un ex-élu de la République,
05:08 Jean Lassalle, qui me dit "j'ai les preuves, je ne peux pas les sortir maintenant,
05:12 mais j'ai les preuves", et vous savez que je lui ai envoyé un huissier,
05:15 et il a reconnu devant l'huissier qu'il avait les éléments de preuve,
05:19 mais qu'il voulait protéger ses sources,
05:21 alors ça me fait doucement rigoler, parce que moi quand il me parle de ses sources,
05:24 moi j'aurais bien aimé protéger ma femme,
05:27 Frédéric Beltrat aurait bien aimé protéger son fils,
05:29 mais nous aujourd'hui ils sont au cimetière.
05:31 Donc c'est difficile, très difficile d'entendre un élu comme Jean Lassalle
05:34 dire "je veux protéger mes sources et je ne peux pas révéler",
05:38 et surtout en plus quand il rajoute que "si Emmanuel Macron le convoque,
05:42 il donnera les preuves qu'il n'est pas vacciné".
05:44 Imaginez un petit peu la bêtise des propos,
05:46 c'est-à-dire que vous imaginez Emmanuel Macron appeler Jean Lassalle
05:50 pour lui dire "s'il vous plaît, sortez-moi les preuves que je ne suis pas vacciné".
05:54 On est dans un délire absolu.
05:56 Voilà, tout ça pour vous dire qu'effectivement,
05:59 je crois qu'il faut absolument garder espoir,
06:02 parce que de toute façon aujourd'hui finalement,
06:04 il y a un médecin là, ça va peut-être vous faire sourire,
06:08 mais je pense que notre meilleur allié ça commence à être Pfizer,
06:10 puisqu'ils reconnaissent eux-mêmes qu'il y a plein de problèmes avec leur saloperie.
06:13 Donc voilà, et puis moi ça m'amuse beaucoup parce que,
06:17 finalement ou alors ils deviennent complotistes comme nous, peut-être.
06:21 Mais en tout cas pour être plus sérieux, on le voit bien partout.
06:24 Je crois qu'il y a aussi le ministre de la Santé en Allemagne
06:26 qui a reconnu qu'il y avait beaucoup d'effets secondaires avec les vaccins ARN.
06:29 Donc encore une fois, ça paraît complètement incroyable que,
06:32 voilà, notre ministre de la Santé, qui par ailleurs,
06:35 ce n'est pas péjoratif, mais qui n'est que professeur de géographie,
06:39 donc on ne peut pas trop lui en vouloir,
06:41 bah lui il déclare qu'il n'y a pas d'effets secondaires,
06:44 que le nouveau vaccin est formidable, qu'il est meilleur que celui de l'année dernière,
06:48 mais qu'on a trois ans de recul.
06:50 Donc vous voyez, dans une seule conversation,
06:52 il dit des bêtises, c'est incroyable, mais il est ministre de la Santé.
06:55 Voilà, écoutez, je pourrais vous en parler pendant des heures,
06:59 j'ai encore reçu un témoignage hier d'une dame qui est décédée de la maladie de Crohn's et Jacobs en un mois et demi.
07:06 Alors je veux bien qu'on continue de me dire que ce n'est pas possible,
07:08 qu'il n'y ait pas de lien avec le vaccin,
07:10 mais je peux vous dire qu'aujourd'hui, avec le peu d'expérience que j'ai,
07:15 on ne décède pas de la maladie de Crohn's et Jacobs en un mois et demi.
07:18 On en décède, mais malheureusement, c'est un peu plus long.
07:21 Voilà, moi-même, je dois au mois de novembre me retrouver devant une commission,
07:26 puisqu'il y a une expertise médicale qui a été ordonnée par le tribunal judiciaire de Paris.
07:31 Et je finirai là-dessus, parce que ça doit vous déhausser l'espoir.
07:35 Ça va clouer le bec à mes détracteurs.
07:39 Au ministre de la Santé, c'est que dans ce document,
07:43 il est inscrit que, compte tenu des éléments que j'ai fournis,
07:46 il est probable que la maladie de mon épouse vienne du vaccin.
07:49 Voilà, je ne me suis pas battu pour rien.
07:51 (Générique)
07:56 (...)