Boaz Bismuth, un député israélien du parti Likoud, était en direct ce jeudi dans le Live Toussaint.
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00:00 c'est évident que ce qu'on a eu dans le passé, on n'aura pas demain.
00:04 Je veux dire que tous les cycles de violence que nous avons connus
00:07 les dernières années entre Hamas, entre les terroristes palestiniens à Gaza et Israël,
00:12 des cycles de violence qui ne se sont pas terminés par des victoires claires, nettes et précises pour Israël,
00:17 ce ne sera pas le cas cette fois-ci.
00:19 Israël ne viendra pas dans cette opération, c'est une guerre.
00:22 Déjà, ce n'est pas une opération, c'est une guerre.
00:24 Et dans cette guerre, personne n'aura une montre à la main.
00:27 Ça prendra le temps qu'il faudra, mais le Hamas sera détruit.
00:31 Il est inconcevable même qu'à la fin de cette guerre, le Hamas puisse même tirer une balle d'un pistolet.
00:37 Sinon, après cette tragédie, tragédie historique qui s'est passé samedi,
00:42 aucun des citoyens israéliens ne nous pardonnera pas, ne nous pardonnera si on arrête
00:47 avant d'avoir anéanti, terminé, fini ce groupe qui s'appelle Hamas.
00:51 Par ailleurs, juste si vous permettez, je vous fais une phrase pour que les Français comprennent un petit peu.
00:55 J'en suis allé il y a quelques années, j'étais correspondant à Paris.
00:57 J'ai découvert l'attentat, par exemple, au Bataclan, bien sûr, ou à Toulouse.
01:01 Et imaginez maintenant l'attentat de Toulouse qui a bouleversé la France en terre.
01:04 Trois petits cercueils de trois petits enfants, vous multipliez par 100, par 200.
01:08 C'est ce qu'Israël a vécu. Bataclan fois 10 fois 11, les attentats du 9 septembre.
01:13 C'est contre ça qu'Israël se bat aujourd'hui.
01:15 Des barbares aveugles et la population israélienne n'acceptera plus d'habiter avec une entité terroriste à ses côtés.