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TOUCHE PAS À MON POSTE : 100% médias, 100% darka ! 


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Transcription
00:00 - J'ai paniqué et j'espère que ça ne verra jamais.
00:02 - Toi franchement, de toute façon, tu ne seras plus là.
00:04 (Rires)
00:06 - 82% des cas sont résolus par l'intelligence artificielle qui trouve la maladie.
00:12 Et les 18% restant immurs, vous vous rendez compte Cyril, c'est l'erreur médicale assurée.
00:17 Mais c'est l'erreur médicale assurée, l'intelligence, elle fait n'importe quoi.
00:20 5 minutes, 25 questions pour trouver une maladie.
00:23 Vous connaissez bien la médecine.
00:24 - Oui, c'est vrai.
00:25 - Exactement. C'est n'importe quoi.
00:27 - C'est l'homme, c'est le médecin qui doit diagnostiquer, rencontrer son patient.
00:30 - Jean-Michel, dis-lui là, dis-lui.
00:32 - Qui dit de la merde ? Il le sait, je le sais depuis le temps quand même.
00:35 - Non mais attends.
00:36 - Non, non, mais moi je trouve ça incroyable parce que c'est l'avenir.
00:39 Toi, tu veux toujours, tu refuses au progrès.
00:41 - C'est vrai.
00:42 - T'es un homme du Moyen-Âge, dès qu'il y a quelque chose qui va dans le sens de l'avenir,
00:45 tout de suite, t'es les pieds sur les freins.
00:47 Tout le monde sait, c'est pour ça qu'on s'en effraye d'ailleurs,
00:50 que l'intelligence artificielle va ouvrir plein de nouvelles portes, etc.
00:54 Mais toi, tu veux rester calfeutré derrière ton truc.
00:56 - Et les médecins pensent quoi ?
00:57 - Ils existeront toujours, comme les ordinateurs n'ont pas remplacé les écrivains,
01:02 comme les fusées n'ont pas remplacé les avions.
01:05 Voilà, on avance.
01:06 Mais laisse-moi avancer à notre...
01:07 - Comme les sextoys n'ont pas remplacé Rocco Cifredi.
01:10 Voilà, c'est le moindre que tu aies.
01:13 - Le projet, c'est quand même de remplacer l'humain, en l'occurrence.
01:15 - Qui t'a donné la parole ?
01:16 - Personne.
01:17 - Merci.
01:18 - Alexandre, vous voulez parler ?
01:20 - Moi, je parle pour mon cas.
01:21 Mon accident, c'était une erreur médicale.
01:23 C'est une négligence fauteuse d'un hôpital.
01:25 Donc moi, je vois l'IA comme une solution hyper positive,
01:31 parce que l'IA, elle est contrôlée par l'humain,
01:33 mais elle va pouvoir permettre de réduire, justement, peut-être certaines erreurs.
01:37 Notamment, moi, par exemple, c'était un problème de dosage.
01:41 Du coup, l'IA, j'imagine qu'on peut programmer des...
01:44 Je pense qu'il faut être positif et voir l'amélioration comme du positivisme,
01:48 et pas avoir peur de demain et de l'amélioration.
01:51 - Il a peur de tout, lui.
01:52 - Il a peur de tout.
01:53 Tu vois pas qu'il a peur de tout ?
01:54 - Là où t'as raison, c'est effectivement que c'est formidable, c'est inavancé.
02:00 Il faut pas que ce soit pour remplacer le médecin.
02:02 Il faut que ce soit pour accompagner le médecin.
02:04 Or, là, on veut nous le vendre en nous disant
02:06 que comme il y a des déserts médicaux, on mettra des IA à la place
02:09 et on va pallier l'absence de médecins par ces machines.
02:12 Mais non, en fait, il faut que ce soit...
02:14 - Mais qui vous a donné la parole ?
02:16 - Tout seul, parce que je me suis dit que c'était bien.
02:18 - Non, non, moi, je suis Delphine.
02:20 - Je suis déjà pas content parce qu'il y a la...
02:21 - Il y a la gueule.
02:22 (Rires)
02:24 - Alors, pour moi, justement, la médecine, c'est de la science.
02:26 Et de la science, c'est A + B + C, voilà.
02:29 Symptômes + symptômes + symptômes + symptômes = maladie.
02:32 Et donc, du coup, pour moi, une machine, s'il y a beaucoup de questions,
02:35 peut vraiment se rapprocher de la bonne maladie,
02:37 pourra donc donner des ordonnances, par exemple, dans les déserts médicaux.
02:41 Commençons par mettre ces machines-là dans les déserts médicaux,
02:44 comme ça, toute la surface française est recouverte par des médecins
02:48 et comme ça, on peut avoir ces ordonnances.
02:50 - Et puis après, sur une jambe de bois.
02:51 - Et après, non ? Et après ?
02:53 - Elle sort des phrases, elle.
02:54 - Bah si, c'est vrai.
02:55 - C'est un pansement sur une jambe de bois.
02:57 (Rires)
02:58 - C'est un hôpital qui se moque d'elle.
02:59 - Regarde, Delphine, quand Delphine part...
03:02 - Ah, on se tait, oui, pardon, j'avais oublié la chouchou.
03:04 - C'est vrai.
03:05 - Et après, par la suite, c'est vrai qu'on aime...
03:07 - Elle a laissé parler Delphine.
03:08 - Delphine a raison.
03:09 - En fait, on aime aussi...
03:10 - Delphine Alexandre, c'est mes chouchous,
03:11 avec Jacques Cardos également et Pascal Tourdupin.
03:13 - J'ai accusé moi, quoi.
03:14 - Merci, oui.
03:15 - Donc c'est vrai que quand on va chez le médecin aussi,
03:17 jusqu'à présent, on aime le contact humain,
03:19 parce qu'on aime raconter ses bobos,
03:20 il y a un petit côté aussi un peu psychologique.
03:22 Pour ça, il existe d'autres médecins,
03:24 et ça, on pourra jamais se supplanter par la mécanique,
03:26 qui s'appelle le psychologue.
03:29 - C'est trop long.
03:31 - Non, le psychologue.
03:32 - Delphine a raison.
03:33 - Elle a raison, elle a raison.
03:34 - C'est bon, allez, retourne.
03:36 - Elle a raison, mais je ne suis pas d'accord avec elle.
03:38 - Oh, il est sympa.
03:39 - Delphine a raison, mais je ne suis pas d'accord avec elle.
03:41 Parce que je pense que ce sera un mix entre les deux.
03:43 Alors pourquoi pas l'intelligence artificielle,
03:45 mais que fais-tu de la palpation ?
03:47 Que fais-tu d'auscultation ?
03:49 Que fais-tu des plaies qu'une intelligence artificielle
03:51 ne pourra pas voir ?
03:53 Malgré tout, je pense que ce sera quand même très, très limité.
03:56 Quand les femmes vont se faire palper, je ne sais pas,
03:58 par exemple le bas du ventre, ou les seins,
04:00 ou des ganglions et tout ça,
04:01 l'intelligence artificielle, pardon,
04:02 ce n'est pas une question de psychologue,
04:04 c'est une question de médecin et d'aptitude d'un médecin.
04:06 Et je suis sûre que votre papa, il est tout à fait d'accord avec moi.
04:08 Mon papa, il n'est pas d'accord avec vous, il est d'accord qu'avec moi.
04:10 Peut-être que vous êtes d'accord avec moi.
04:12 Je suis tellement...
04:14 Oui, c'est ça l'histoire.
04:16 Il nous retarde dans l'avancée technologique, on pourrait être déjà bien plus loin.
04:18 Est-ce qu'il n'y avait pas des gens comme Gilles et Géraldine ?
04:20 Alors, c'est Géraldine.
04:22 C'est incroyable.
04:24 Un toucher rectal, tu vas le faire par quoi ?
04:26 Avec la machine.
04:28 Non, l'humain sera toujours là, important de le savoir.
04:34 J'adore la machine.
04:36 J'ai une question à Gilles.
04:38 Gilles, j'imagine que tu es contre la suppression des pilotes dans le cockpit d'un avion.
04:42 C'est une question.
04:44 C'est une question.
04:46 C'est toi qui incarnes la modernité, mais tu as vu ta gueule ?
04:48 Oui !
04:50 Oui !
04:52 Oui !
04:54 Oui !
04:56 Oui, Jacques.
04:58 Il est arrivé et il l'a enlève.
05:00 Là où je suis totalement d'accord avec Jean-Michel,
05:02 c'est qu'en face, ils sont...
05:04 Ils ont peur de l'avenir.
05:06 Ils ont peur du futur.
05:08 Et vous jouez à vous faire peur.
05:10 A chaque fois qu'on voit des robots, c'est mon Dieu, c'est horrible.
05:12 On va tous mourir.
05:14 Ils vont tous nous remplacer, mais c'est évidemment pas ça.
05:16 Tu es dans la caricature.
05:18 C'est pas ça.
05:20 C'est comme une application.
05:22 Ça, ça va remplacer juste ton application.
05:24 Simplement, ça va être beaucoup plus évolué.
05:26 Ça va permettre de donner déjà un premier avis.
05:28 Voilà, c'est un premier travail.
05:30 Attends, attends.
05:32 Si tu lisais un peu, excuse-moi, voilà.
05:34 On lui regardait que du foot tout le temps.
05:36 Tu saurais que le seul fait
05:38 qu'il y ait encore des pilotes dans un avion,
05:40 c'est pour un problème psychologique.
05:42 Parce que les Français, enfin les gens en général,
05:44 ont peur d'un avion qui n'est pas piloté par des hommes.
05:46 Si c'était des machines qui pilotaient des avions,
05:48 il y aurait 80% de...
05:50 Je peux demander un petit service ?
05:52 Je vais fermer ma gueule.
05:54 Franchement, là, il faut que tu...
05:56 Tranquille.
05:58 J'articule. Elle a fait d'exprès.
06:00 Elle n'a rien compris. Alors répète.
06:02 J'ai dit, on maintient les pilotes dans les avions
06:04 pour un côté psychologique.
06:06 Parce que les gens se disent,
06:08 s'il y a un problème dans l'avion,
06:10 le pilote voudra sauver sa vie et du coup,
06:12 il sauvera la nôtre.
06:14 Alors qu'aujourd'hui, on pourrait...
06:16 Laissez-moi terminer.
06:18 Et si il n'y avait pas de pilotes dans un avion,
06:20 ça supprimerait 80% des accidents,
06:22 des crashs. Tu le savais, ça ?
06:24 Maintenant, tu le sais. Voilà.
06:26 Mais parce que les machines sont bien plus performantes.
06:28 - Mais je lis. - Ça vient d'où, ton chiffre ?
06:30 - Mais tu lis quoi ? Pif-Gagné, ça vient d'où ?
06:32 - Arrête, toi.
06:34 - Bon, ben...
06:36 - Dis-le, la panèque.
06:38 Chez vous, il est 19h58,
06:40 les chéris. Il y a Jean-Michel Maire
06:42 qui vient de dire un truc et je voudrais m'arrêter là-dessus.
06:44 Parce que c'est incroyable, votre chiffre.
06:46 Il n'y aurait moins d'accidents
06:48 s'il n'y avait pas de pilotes.
06:50 - 80% d'accidents de crash, en moins.
06:52 - C'est dans quel magazine ? Dans quelle revue ?
06:54 - Mais vous sortez, vous !
06:56 - Mais attends, dis-donc, vous sortez d'où ?
06:58 - Discuter avec des scientifiques.
07:00 - Et où t'as discuté avec des scientifiques, toi ?
07:02 - T'as discuté avec qui, toi ? Où t'as discuté avec des scientifiques ?
07:04 - Dans quelle boîte d'échange juste ?
07:06 - Franchement, au tout, chatou, chatou, y a pas de scientifiques.
07:08 Je suis désolé. J'en ai pas vu beaucoup, de scientifiques.
07:10 - Mais ça intéresse beaucoup la chose aéronautique.
07:12 - Quoi, quoi, quoi ?
07:14 - Ça intéresse la chose aéronautique. - C'est la même chose, par exemple,
07:16 pour les voitures. Au Google, il y aura bientôt
07:18 des voitures sans conducteurs.
07:20 S'il y avait 10% dans Paris,
07:22 10% de voitures sans conducteurs,
07:24 il y aurait 50% de bouchons, au moins.
07:26 Tu le savais, ça ? Ça non plus, tu ne le savais pas.
07:28 (Rires)
07:30 (Applaudissements)
07:32 - Hé !
07:34 (Rires)
07:36 - T'as l'autre chose à dire ?
07:38 - Tu les savoues, ces chutes de bouchons ?
07:40 - Hein ? - Tu les savoues, ces chutes ?
07:42 - Non, mais vous plaisantez. Vous les connaissez aussi.
07:44 - Mais d'où ?
07:46 - Mais qu'est-ce que vous faites le soir, quand vous rentrez ?
07:48 - Je bosse sur l'émission, je parle.
07:50 Quand on m'avait parlé de ça, je me suis renseigné.
07:52 J'ai ouvert des livres, des couloirs.
07:54 (Rires)
07:56 - C'est un livre !
07:58 - Mais toi, t'as sorti ça d'où ?
08:00 - Oui, parce que j'adore.
08:02 Je passe beaucoup de temps sur Internet
08:04 et dès qu'il y a du papier scientifique...
08:06 - C'est vrai qu'il adore ça.
08:08 - Et les papiers scientifiques, ça me passionne.
08:10 - Sur YouPorn, par exemple ? - Aussi, oui.
08:12 Parce que ça arrive aussi dans le porno.
08:14 - Non, mais attends. Et donc, tes chiffres sont vrais ?
08:16 - Bien sûr qu'ils sont... Vous croyez que je me permettrais
08:18 de balancer des chiffres ? - Oui !
08:20 - Ah oui, c'est pas faux !
08:22 - C'est vrai ! - Vérifiez ! Faites votre boulot !
08:24 - Mais Gilles, quand il te dit ça, qu'est-ce que tu lui réponds ?
08:26 - C'est invraisemblable, c'est un délire total !
08:28 - Non, non, pas du tout. C'est pas un délire.
08:30 - Il a inventé 5 chiffres.
08:32 Canne flush, breland d'as, tomate poker,
08:34 oui, 50 % des voitures.
08:36 Mais tu te fous de la gueule de qui ?
08:38 D'où ta bossée ? Tu sais même pas ce qu'il y a dans le conducteur, regarde !
08:40 Arrête, Jean-Michel. - Non, mais redis, s'il te plaît.
08:42 - Moi, j'en ai marre. - Gilles, je te dirais quelque chose.
08:44 - Qu'est-ce qu'il y a dans le conducteur ? - Laisse-le, laisse-le.
08:46 - C'est toi. - Einstein.
08:48 - Oui. - Fais compare Einstein, maintenant !
08:50 Arrêtez, c'est bon !
08:52 (Rires)
08:54 (Applaudissements)
08:56 - Le conducteur, après, il a des galeries.
08:58 - Je me suis mis au charme.
09:00 - Vas-y, t'as un miseau.
09:02 - Il est le franc, Einstein.
09:04 - Vas-y, on est avec toi.
09:06 Einstein, Adil.
09:08 - Attends, on reprend tout de puis le début.
09:10 - Gilles, Einstein a dit un jour...
09:12 - Attends, attends, attends, quoi ?
09:14 - Einstein a dit un jour...
09:16 - Si nous n'avançons pas dans la vie...
09:18 - Reprends-la, reprends-la.
09:20 (Rires)
09:22 - Gilles, Einstein a dit un jour...
09:24 Si nous n'avançons pas dans la vie...
09:26 - Reprends-la, c'est la bouchée.
09:28 - C'est toujours le même mot.
09:30 - Reprends-la. - Fais des césures.
09:32 - Gilles...
09:34 Einstein a dit un jour...
09:36 Si nous n'avançons pas dans la vie,
09:38 ce n'est pas à cause des choses que nous ignorons,
09:40 c'est à cause des choses que nous croyons...
09:42 vraies et qui sont fausses.
09:44 Comme quoi...
09:46 T'as des idées en tête ?
09:48 Mais c'est faux ! C'est faux !
09:50 - Oui, c'est Einstein, évidemment.
09:52 Roger Einstein, c'est un pote...
09:54 (Rires)
09:56 - Bravo !
09:58 - À mon avis...
10:00 À mon avis, c'est un Tunisien
10:02 qui l'a vu au Quai de Ponts, c'est bon, chier.
10:04 - Non, mais là, vous me charriez,
10:06 c'est vrai.
10:08 - Et Goethe, il n'a pas dit qu'il n'avance pas recul ?
10:10 - Exact.
10:12 - Non, non, et donc ?
10:14 - Il est muré, d'ailleurs,
10:16 derrière les portes du passé,
10:18 et il ne veut pas écouter,
10:20 il ne veut pas mettre en doute
10:22 ses piètres connaissances.
10:24 Si tu remettais un peu en doute
10:26 ce qu'on t'a appris, peut-être par des gens
10:28 sans mauvaise volonté, mais voilà qu'ils t'ont mis
10:30 des choses fausses dans la tête,
10:32 tu t'ouvrirais à d'autres mondes et tu avancerais.
10:34 - Il est mûr, comme une merde !
10:36 (Rires)
10:38 - Ah oui, il bouge, plutôt.
10:40 - Il y a quelqu'un qui me dit,
10:42 alors je vous dis, c'est contre-intuitif,
10:44 mais ces avions sans pilote seraient plus sûrs que ceux d'aujourd'hui.
10:46 Les erreurs de poliotage sont à l'origine
10:48 de 80% des accidents. On supprime donc
10:50 tout risque de défaillance du pilote en l'air,
10:52 comme le drame de la Gemman Wings
10:54 où un pilote avait foncé volontairement dans une montagne.
10:56 Jean-Michel, les chiffres sont bons.
10:58 (Applaudissements)
11:00 - Par définition,
11:02 tous les crashes que les pilotes ont sauvés,
11:04 on n'en parle pas, puisqu'ils ont sauvé les crashes.
11:06 Donc par définition, un pilote, quand il sauve un crash...
11:08 - C'est vrai aussi. - Tu dis quoi ?
11:10 - 80% des crashes d'avions sont dus à des erreurs humaines.
11:12 - Mais quand le pilote a sauvé le crash,
11:14 t'es pas au courant, puisqu'il n'y a pas eu de crash.
11:16 Tu as des problèmes ?
11:18 - L'ordinateur l'aurait fait aussi.
11:20 - N'importe quoi, puisqu'il n'y a pas eu de crash.
11:22 - La première chose qu'on apprend aux pilotes,
11:24 c'est dès qu'il y a un problème, vous appuyez sur pilote automatique.
11:26 - La mérissage sur l'Hudson River,
11:28 je ne sais pas si un robot l'aurait fait.
11:30 - Je ne suis pas sûr.
11:32 - C'est incroyable.
11:34 - Sur les voitures, il n'a pas dit d'économie.
11:36 - Sur les avions, il a dit vrai.
11:38 - Les voitures aussi.
11:40 - 10% ?
11:42 - 10% de voitures sans conducteur, c'est 50% de bouchons,
11:44 au moins dans Paris.
11:46 - C'est normal, ça coûte trop cher, du coup, il n'y a plus de voitures.
11:48 - Merci. - Je veux bien en parler aussi,
11:50 parce que j'y connais un peu.
11:52 [Musique]

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