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La directrice de la rédaction Boulevard Voltaire Gabrielle Cluzel ce lundi 25 septembre à propos de Macron et de la crise des migrants : «Quand on le regarde dans les faits, il y a le Macron diseur et après, il faut s'intéresser au Macron faiseur».

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Transcription
00:00 Écoutez, tout dépend de quel point de vue on se place, parce que si on parle de paroles, s'il s'agit de paroles, de fait, hier, Emmanuel Macron a aigréné les 100 000 demandeurs d'asile.
00:13 En fait, en 2022, c'est plutôt proche de 150 000, 130 000 et quelques, je crois.
00:18 Et il a parlé des 2 milliards d'euros par an que coûtait les coûts d'hébergement. On pourrait encore continuer la description.
00:26 Il a cité Rocart. On ne peut pas accueillir cette fameuse phrase qui date d'ailleurs de plusieurs dizaines d'années.
00:32 Si on l'avait peut-être mise en pratique à ce moment-là et pu l'étudier de plus près, nous n'en serions pas là. Bref.
00:38 Donc il a cité tout cela. Mais quand on le regarde dans les faits, là, il y a le Macron-Dieser. Et puis après, il faut s'intéresser au Macron-Fauseur.
00:44 Et là, pardon, mais c'est toute une autre limonade, si j'ose dire.
00:49 (Générique)

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