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02:36 [Bruits de marches]
02:56 Alors moi je suis pas RM, je suis Pantorama, mais j'expose dans un stand du Rassemblement National,
03:02 par rapport à mon député qui est de Polynésie. Je trouve qu'il a entièrement raison.
03:07 Macron doit pas être à l'abri, parce que c'est le meilleur du tout, c'est le plus grand et tout.
03:14 Donc ce qui peut lui arriver, c'est comme le chansonnier qui chante à Paris en se moquant des hommes politiques.
03:20 Et ils ont bien raison, et lui il tient a priori son sujet parfaitement, mais je trouve que c'est pas mal.
03:26 On a bien amusé chez Hanouna Lothar. Oui, oui, mais les gens sont ignorants.
03:32 Faut dire qu'en France on a comme on fait pas mal de lois, et de choses qui changent,
03:37 et de mise à niveau et autres, et donc on est pas au courant de tout.
03:42 Les gens qui ont un petit problème avec leur appartement parce qu'ils sont squattés,
03:47 "Ah mais je savais pas moi, ah tout ce qu'ils ont abîmé dans l'appartement, ah c'est moi qui dois payer."
03:53 Ah bah oui. C'est un bon coup de bluff qu'il fait, il a entièrement raison,
03:58 et d'une manière, devant même la justice, qui est pro comme un gouvernement,
04:03 je pense pas qu'il le mettra en prison pour une centaine d'années.
04:08 Poison droite, de gauche, du centre, je l'ai jamais cru.
04:16 En tant que chef d'union des droites, où est la droite ?
04:19 Je suis de la droite, je veux réunir 50% des Français, parce que Marine Le Pen et Jean-Alain de Miseul,
04:24 donc je n'y vois aucune divergence, je vois justement une vraie fidélité dans cette ligne,
04:29 qui aujourd'hui nous a permis d'avoir 82 députés à son échelon, 23 députés parlementariens,
04:33 qui représentent toutes les instances parlementaires, sauf le Sénat.
04:36 Et le 24 septembre prochain, il va falloir que les grands électeurs se rendent à leur bon choix.
04:42 Oui, Mme Le Pen, Mme Le Chat, elle a été dans le mouvement, elle a quitté le mouvement,
04:45 donc elle a pris son sens de l'unité, moi je l'engage plutôt à nous rejoindre,
04:48 si elle souhaite demain la véritable victoire de la France,
04:51 si elle souhaite le redressement de la France, comme elle le dit,
04:53 elle dit que la France est en manche.
04:54 Ecoutez, ce n'est pas à la conquête pour relèver la France,
04:56 ce n'est pas avec 3 ou 4% d'attention de vote pour relèver la France,
04:59 en revanche, je crois que si vous nous rejoigniez, peut-être que ça pourrait porter ses fruits.
05:04 Mais la porte est grande ouverte, vous le savez,
05:07 et François Demardais là, il est largement donné en tête,
05:09 je crois qu'il est le leader idéal pour aujourd'hui rendre sa délection.
05:15 Oui, enfin, peu importe sur qui il mène, c'est une initiative personnelle,
05:22 je ne connais pas personnellement cette personne-là,
05:25 moi je ne leur recherche pas la disposition,
05:27 il y a des institutions en France qui permettent d'élire ou de ne pas élire quelqu'un,
05:31 donc s'ils veulent que Emmanuel Macron soit destitué,
05:34 il a le droit de le vouloir, de le penser, mais Emmanuel Macron a été élu,
05:38 il a perdu en revanche la majorité absolue à l'Assemblée Nationale,
05:42 et nous demandons à Emmanuel Macron, non pas de le démissionner,
05:45 nous demandons à Emmanuel Macron d'écouter les Français qui ont permis à les 89 députés du RN
05:49 de siéger au sein de cette Assemblée parlementaire,
05:54 et surtout d'écouter pourquoi ils ont été portés à l'Assemblée parlementaire.
05:57 Ça veut dire qu'il y a des sujets comme l'immigration,
05:59 il y a aussi le pouvoir d'achat, nous avons des choses à proposer,
06:02 nous avons été élus sur ce projet, et a priori Emmanuel Macron ne nous écoute pas.
06:07 C'est là le problème, c'est qu'aujourd'hui on est dans un système démocratique,
06:12 et cette 5ème République, aujourd'hui on a un président de la République
06:15 qui aujourd'hui, sans écouter les Français qui lui ont envoyé,
06:18 pourtant un appel extrêmement fort il y a quelques mois lors de la sélection législative.
06:22 Moi je ne jugerai pas la santé d'Emmanuel Macron,
06:26 je constate en revanche qu'Emmanuel Macron méprise les Français,
06:29 que depuis 2017 il méprise les Français, qu'il n'écoute pas les Français,
06:32 et qu'il fait plus de communication que d'action efficace.
06:39 Il y a eu le mouvement des Gilets jaunes, mouvement historique depuis la dernière guerre,
06:42 jamais on n'a vu un mouvement populaire dans la rue aussi important que celui-là,
06:46 il avait promis des changements, rien n'a eu lieu.
06:48 Il y a eu le sujet des retraites, il n'a pas écouté là non plus les Français,
06:52 et puis les émeutes d'il y a quelques semaines en France ont démontré le chaos
06:57 qui est en train de s'installer en France, Emmanuel Macron n'en tient pas la leçon,
07:00 il perdra aux prochaines élections sévèrement,
07:03 et les Français seront là à lui répondre et lui apporter la réponse qu'ils attendent.
07:09 Il y a 40 ans, ce que nous disions, et juste, depuis de longues années,
07:13 nous dénonçons les problèmes, les maux qui traversent aujourd'hui la France,
07:18 nous avons dit depuis de longues années que l'immigration posait un problème,
07:21 nous n'avons pas dit que toute l'immigration posait un problème,
07:23 nous avons dit que l'immigration pouvait poser des problèmes de la sécurité,
07:25 aujourd'hui tout le monde le dit, le pouvoir d'achat ça fait des années que nous le dénonçons également,
07:29 les prises démocratiques des institutions nous le dénonçons,
07:31 et aujourd'hui tout le monde le vends,
07:32 mais écoutez nous avons gagné la bataille idéologique en Côte d'Ivoire,
07:36 nous avons gagné la bataille des urnes avec des députés qui sont rentrés à l'Assemblée Nationale,
07:40 et nous sommes en train de gagner la bataille de la crédibilité,
07:42 et je crois que lors de les prochaines élections présidentielles,
07:44 les Français sauront faire là encore le bon choix et nous permettre de gouverner en France.
07:54 Il y a des démons autour du Rassemblement National qui est le vaisseau amiral du courant national,
07:59 pourquoi pas des gens arrivent de tous les mouvements,
08:02 notamment des jeunes déçus par Zemmour, par les ermands des Républicains,
08:06 ou par une gauche qui a abandonné ses valeurs, mais qui se reconnaît sans lui,
08:10 tant mieux, je crois que là-dessus Jordan et Marine sont absolument d'accord.
08:14 Si les électeurs de Marion Maréchal veulent que la tête des Européennes soit donnée à Jordan Barbella,
08:22 plutôt qu'à la liste de Emmanuel Macron, il faut se rassembler autour de nous.
08:25 Voilà, clairement, nous sommes les seuls à être en position de représenter une force d'alternance à Emmanuel Macron,
08:30 et on est les seuls à pouvoir le battre.
08:31 Donc il faut s'unir autour de la liste de Jordan, et oui, nous arriverons numéro un dans ces conditions-là,
08:36 et oui, on enverra un signal très fort à Emmanuel Macron.
08:38 Tout signe de division serait une forme de complicité avec la Macronie.
08:42 Que les électeurs s'allient autour de la candidature de Jordan pour les Européennes,
08:47 et demain, de Marine Le Pen, vous savez, c'est des élections mi-mandat, les Européennes.
08:50 Si à mi-mandat, on dit à Emmanuel Macron "Monsieur le Président, votre politique, c'est fini",
08:55 quelle joie, quelle force, quelle belle étape pour les présidentielles.
08:58 Je pense que chacun doit être face à sa conscience par rapport à cet enjeu.
09:01 Si je vous dis Jordan Barbella, Premier ministre ?
09:03 Ce serait une très bonne nouvelle.
09:05 Je pense qu'il en a toutes les compétences de Marine Le Pen, par exemple.
09:09 Ce serait, je crois, un beau duo.
09:12 Jordan a toutes les qualités pour être un homme de pouvoir,
09:14 Marine Le Pen est la candidate naturelle de notre camp à la présidentielle.
09:18 Honnêtement, je sais qu'on nous envie beaucoup, dans beaucoup de partis,
09:21 d'avoir comme ça des gens capables de diriger le pays,
09:24 et nous, on en est conscients, on a beaucoup de chance.
09:26 Je crois, et je ne suis pas un constitutionnaliste,
09:29 mais je crois que l'article 68 ne s'applique pas exactement à Emmanuel Macron.
09:32 Je comprends l'envie qu'on a de se débarrasser de cette Macronie
09:35 qui est néfaste pour la France et qui est même quelque chose qui dissout notre pays.
09:40 En revanche, aujourd'hui, ce sont les élections qui pourront nous permettre de gagner.
09:44 Moi, je crois plus à la mobilisation pour les élections Européennes,
09:47 plus à la préparation de la présidentielle, qu'à ce fameux article 68
09:51 qui, une fois encore, je ne suis pas constitutionnaliste,
09:53 mais lui, ne me paraît pas adapté.
09:55 À nous, et c'est notre responsabilité, à mobiliser ceux qui ne vont plus voter,
09:59 à leur expliquer que ne pas voter, c'est voter Macron,
10:01 et que voter Macron, c'est avoir l'inflation, avoir l'immigration,
10:04 avoir une Union Européenne qui vient s'ingérer dans nos vies quotidiennes.
10:07 C'est un devoir de voter.
10:09 Et voter, c'est avoir Marine Le Pen au pouvoir,
10:11 et dire au revoir à Emmanuel Macron et tout ça, cuit.
10:13 Alors, il faut se mobiliser sur des vrais enjeux.
10:15 Les élections, ce sont des vrais enjeux.
10:17 On peut courir après des chimères, ça n'arrivera pas.
10:19 Alors, mobilisation générale, Macron, ça suffit, il faut sauver la France, on vote.
10:24 - Ça va Muriel ? - Ça va et toi ?
10:26 - Oui, ça va aussi. - Ça va bien ?
10:28 - Ça va.
10:30 - Bonjour. - Ça va Gérard ?
10:32 - Ça va très bien et toi ? - Oui, ça va bien.
10:34 - Bonjour au Chez Brion. - Ça va, Odile ?
10:36 - Ça va, ça va. - Bravo.
10:38 - Hé, ça va Dylan ? - Ça va, ça va.
10:42 - En forme ? - Bah oui, bien.
10:44 - Comment est-ce toujours que vous faites sur les réseaux sociaux en Bretagne ?
10:47 - On essaye, on essaye à s'en aller haut.
10:49 - Et toi, comment vas-tu ?
10:51 - Ça va, merci.
10:53 - Très très bien.
10:55 - Merci. - C'est un très très bon boulot.
10:57 - On essaye de faire au mieux.
10:59 - Je sais qu'il y a beaucoup de Français qui aimeraient la destitution d'Emmanuel Macron,
11:02 mais techniquement, ce n'est pas possible de le faire.
11:05 Donc, voilà, chacun a le droit d'essayer de faire la promotion de ce qu'il souhaite,
11:10 mais on sait que ce n'est pas possible,
11:12 on sait que ce n'est pas comme ça que les choses fonctionnent,
11:14 donc moi je pense qu'il faut plutôt convaincre les Français de voter pour autre chose,
11:17 et c'est le boulot qu'on fait actuellement.
11:19 - Alors, vous allez au Camp du Nord.
11:22 - Entre nous ?
11:24 Alors, à un mot, vous êtes...
11:27 Comment ça va ?
11:33 Donc, à un mot, vous êtes où ?
11:36 - De Nemours. - De Nemours.
11:38 - Oui, Saint-Fargeau. - Saint-Fargeau.
11:40 - Saint-Fargeau, dans le nouvel... - Fronte à l'Amour, comme tu me l'avais dit.
11:42 - Fronte à l'Amour. - Donc, nous, voilà.
11:44 - On est à Fronte à l'Amour. - D'accord.
11:46 - Moi, je viens de Paris, puis je visite avec la Seine-et-Marne.
11:48 - C'est génial. - La France-Chine, la Seine-et-Marne.
11:51 - Ça m'a étonné. - On va faire un tour en Julienne, non ?
11:53 - Ça arrive exactement au même endroit. - On va faire une visite.
11:55 - Ça fait sur des points de vue.
11:57 - Cette rentrée va se passer avec la visite de tous les stands.
12:07 Après, il y aura le discours de Jordan Barbella, à partir de 17h.
12:12 Et le discours tant attendu de Marine Le Pen.
12:16 Mais c'est une bonne démarche, parce que c'est un Français qui défend la France
12:22 et qui en a marre que M. Macron pille la France, met la France par terre.
12:29 Nous sommes l'humiliation internationale. Nous sommes humiliés au niveau international.
12:37 Nous ne sommes plus rien, nous sommes zéro.
12:40 Donc il est grand temps de remettre tout ça en ordre.
12:44 Nous arrivons tranquillement au pouvoir pour remettre de l'ordre.
12:48 Tout à fait. Macron ne garantit pas la sécurité des Français.
12:51 Vous voyez très bien que maintenant, on est en sécurité nulle part.
12:55 Vous pouvez recevoir un tir de kalachinikov à votre domicile.
12:59 C'est normal, on ne dit rien, on laisse faire. Où va-t-on ? Où va-t-on ?
13:06 Il est grand temps que nous arrivions au pouvoir pour remettre de l'ordre dans tout ça
13:11 et redonner l'espoir aux Français. L'espoir d'une France sereine, d'une vraie France.
13:18 La priorité aux Français, c'est ça. Les migrants, il y en a marre.
13:25 Là, vous voyez l'Empedouza, on va être encore envahis. On en a ras le bol.
13:30 Voilà, priorité aux Français, les migrants, c'est no way.
13:35 On va pas nous permettre de s'habiller tout en blanc, à part le sac.
13:46 Oui, Amiens, en début d'année.
14:06 On est ici justement pour soutenir d'une part Mme Marine Le Pen, à savoir qu'elle a des personnes qui sont derrière elle,
14:18 mais aussi pour que M. Bardella sache que nous serons très heureux qu'il soit non seulement au sénateur européen,
14:31 mais aussi qu'il ferait partie bientôt du gouvernement de Mme Le Pen.
14:37 Chacun a les actions qu'il veut. A aujourd'hui, nous, nous suivons Mme Le Pen.
14:44 Mme Le Pen pense que M. Macron effectivement mène la France vers le bas.
14:53 Alors, c'est pas une personne qui peut destituer M. Macron, c'est l'ensemble du pays qui peut destituer Macron.
15:02 Mais à aujourd'hui, ce qu'il faut penser, c'est que bientôt il y aura les élections présidentielles et que là, il faudra réfléchir.
15:11 Et ne plus voter contre Mme Le Pen pour avoir n'importe qui au gouvernement,
15:18 mais pour voter Mme Le Pen pour avoir quelqu'un de compétent au gouvernement.
15:24 Peu importe les gens qui ne veulent pas, qui ne vont pas voter, ce sont ceux qui vont voter qui nous intéressent,
15:30 et qu'ils votent Mme Le Pen.
15:33 Parce que c'est la seule, aujourd'hui, qui peut rendre la place de la France à la place qu'elle doit être.
15:43 (Musique)
15:48 (Bruits de la foule)
15:54 (Bruits de la foule)
16:02 Excusez-moi Monsieur.
16:03 (Bruits de la foule)
16:09 (Bruits de la foule)
16:32 (Bruits de la foule)
16:51 C'est important d'aller partout en France.
16:54 Il se trouve que la Normandie ne ressemble pas aux gares, et ça fait nous rentrer un peu dans tous les coins de France.
17:01 On les a en tant que fait à Fréjus, à Hénin-Beaumont,
17:04 et en fait comme on a vocation à parler à tous les Français, on a vocation aussi à être partout sur le territoire.
17:11 Donc aujourd'hui c'est un peu différent à Bocquer, on n'avait encore jamais fait notre rentrée à Bocquer,
17:16 et je crois qu'on a bien eu raison si j'en crois le nombre de gens présents aujourd'hui dans les arènes de Bocquer.
17:22 Bien sûr parce que c'est une thématique qui est centrale, parce que c'est un problème qui est devant nous,
17:28 c'est un problème qui est à venir, ce n'est pas un problème du passé l'immigration malheureusement,
17:32 c'est un problème à venir et donc il faut des solutions, il faut pouvoir aborder les problèmes de face,
17:37 et non pas les contourner comme l'ont fait ceux qui nous gouvernent depuis 30 ou 40 ans.
17:41 Il faut aborder les problèmes de face, on a des solutions, on a des propositions,
17:45 et je crois que Jordan Bardella et Marie-Hélène Le Pen les exposeront aux Français, aux militants qui sont au cas là où on est.
17:51 On est aussi une sorte d'autoroute vers la Grande-Bretagne,
17:54 parce que la Grande-Bretagne est une politique différente en ce qui concerne le travail en particulier,
17:59 mais on n'est pas indemne de tout ça, vous savez, nous accueillons légalement et illégalement chaque année
18:07 près de 500 000 personnes sur le territoire français.
18:10 Aujourd'hui nous n'avons plus les capacités d'assimilation, et donc par conséquent on doit trouver des solutions,
18:14 on doit rompre avec certaines logiques, c'est aussi ce que nous portons avec les élus du Rassemblement National.
18:19 Il faut en tous les cas que l'Europe qui est chargée des frontières extérieures se donne véritablement de moyens pour surveiller ces frontières extérieures.
18:26 La seule chose qu'on leur demande finalement à l'Union Européenne, c'est de gérer les frontières extérieures.
18:31 Elle est missionnée pour ça, elle n'est pas missionnée pour autre chose.
18:33 Donc au moins qu'elle fasse ce boulot là et qu'elle laisse les nations faire le boulot des politiques migratoires.
18:38 Choisis qui a le droit d'entrer, qui peut se maintenir, à quelles conditions, qui devient français sur notre territoire.
18:45 Que l'Union Européenne ne se mêle pas de ce qui ne la regarde pas, on ne lui a pas délégué les problématiques migratoires,
18:51 c'est ce qu'on laisse les Etats faire.
18:53 La France, elle a sa spécificité, on a une spécificité parce que chaque pays a des histoires différentes,
18:58 et donc il faut aussi en tenir compte parce qu'on a chacun des équilibres économiques qui sont différents,
19:03 des capacités d'assimilation qui sont différentes, des volontés politiques qui sont différentes.
19:07 Donc moi je pense qu'une politique migratoire française, elle n'a pas vocation à être le décalcomanie d'une autre politique,
19:13 elle a vocation à être cohérente avec les attentes des français,
19:16 car moi je n'oublie pas que nous nous sommes élus pour défendre les français et l'intérêt des français.
19:21 [Brouhaha]
19:24 [Brouhaha]
19:52 [Brouhaha]
20:14 [Brouhaha]
20:17 [Brouhaha]
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21:39 [Brouhaha]
22:05 [Brouhaha]
22:08 [Brouhaha]
22:19 [Brouhaha]
22:22 [Applaudissements]
22:46 Le prix de l'électricité au prix du gaz en Europe empêche notre pays de profiter des tarifs imbattables de sa filière nucléaire,
22:53 pourtant payée par le contribuable français.
22:56 Général De Gaulle, le président Sarkozy, le nucléaire a fait l'objet d'un large consensus de la classe politique,
23:02 conscient alors qu'il représentait un atout pour la compétitivité de la France et pour le pouvoir d'achat des familles françaises.
23:09 [Musique]
23:13 [Musique]
23:16 Merci à tous !
23:18 [SILENCE]