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NewsTranscription
00:00 Il y a quelque chose qui tourne par rond.
00:02 Et on se rappelle, vous savez, c'était pas il y a si longtemps.
00:06 Il n'y a pas si longtemps, on nous disait des choses.
00:09 Et on cotait, vous savez, à la chanson d'Alain Souchon,
00:12 "Il faut voir comment on nous parle, comment on nous parle".
00:14 Rappelez-vous comment nous parlait le premier ministre de l'époque, Jean Castex,
00:19 le 27 décembre 2021, il n'y a même pas deux ans.
00:23 C'est tout proche, tout ça.
00:26 Et on écoutait, on écoutait à la télévision à 20 heures,
00:30 voici ce que disait le premier ministre de l'époque.
00:34 Pour freiner au microbe, les grands rassemblements seront limités
00:38 à une jauge de 2000 personnes maximum en intérieur
00:42 et 5000 personnes maximum en extérieur.
00:46 Les concerts debout seront interdits.
00:50 La consommation de boissons et d'aliments sera interdite dans tous les cinémas,
00:55 les théâtres, les équipements sportifs et les transports collectifs,
01:00 y compris longue distance.
01:02 La consommation dans les bars et cafés ne pourra plus se faire seulement debout,
01:07 mais seulement de manière assise.
01:10 Voilà, vous vous rappelez ?
01:12 Attention, il est hors de question que vous consommiez debout devant le zinc.
01:18 Hors de question, pourquoi ?
01:20 Ça, c'était pas dit par Jean Castex,
01:22 mais ça voulait dire que le virus attaque à un peu plus de 1,5 m.
01:26 Donc, si vous êtes debout, vous risquez évidemment d'attaper Covid-19
01:30 et de disparaître, ou d'être très malade, mais assis, rien.
01:35 Et on écoutait ça, et on écoutait ça, et on se disait "mais oui, mais oui".
01:39 Et on nous répétait "mais oui, mais non".
01:41 Si vous pensez autrement, c'est que vous êtes de sulfureux,
01:45 marginaux, évidemment d'extrémistes, etc.
01:51 Alors, qu'est-ce qui s'est passé ?
01:53 Eh bien, écoutez, il n'y a pas si longtemps,
01:55 il y a eu une conférence en novembre, novembre dernier,
01:58 à un collectif de youtubeurs,
02:00 et il y avait une psychologue,
02:02 Johanna Mikou.
02:04 Johanna Mikou, et on lui a proposé la question
02:07 "comment on peut réduire comme ça le quotient intellectuel d'une population ?"
02:11 "Comment on peut croire des choses qui manifestement sont d'une imbécilité notoire,
02:16 debout, assis, de toute façon, quoi qu'on pense des vaccins, de protéger, etc.
02:21 Qu'est-ce que ça voulait dire qu'un premier ministre,
02:24 et pas l'idiot de service, venait dire "debout, non, assis, oui" ?"
02:31 Eh bien, voilà ce que répond, auditeur résistant, tous les amis de Sud Radio.
02:36 Écoutez, comment explique cela Johanna Mikou ?
02:39 Je crois que c'est assez clair.
02:42 Alors Johanna, comment on fait pour réduire le QI de la population
02:46 au niveau de celui d'une étoile de mer ? Quel est le processus ?
02:49 Belle entrée en matière, ça résume bien la situation.
02:53 Comment on fait ? On fait peur aux gens, on les effraie,
02:57 on les isole, on les monte les uns contre les autres,
03:01 du coup on active vraiment des systèmes de protection en fait.
03:05 On est tous câblés pour gérer du stress,
03:08 du coup on les isole, on les effraie, on leur dit qu'ils vont mourir ou qu'on va tous mourir,
03:13 et du coup ça fait disjoncter leur cerveau tout simplement,
03:16 et avoir des réactions ensuite de déconnexion et d'obéissance.
03:23 Eh oui, gouverner par la peur, gouverner par le chaos, ça marche bien.
03:27 Alors ça ne veut pas dire qu'il ne faut pas faire attention,
03:29 ça ne veut pas dire qu'il ne faut pas prendre des précautions,
03:32 ça ne veut pas dire qu'il ne faut pas se soigner.
03:34 Mais à un moment donné, quand les discours deviennent complètement délirants,
03:40 eh bien ce n'est pas la réalité qui délire,
03:42 c'est les gens qui veulent effectivement gouverner par le chaos, gouverner par la peur.
03:47 Il faut faire quand même attention, encore une fois, esprit critique,
03:50 esprit critique, esprit critique, question à tout, question à tout, question à tout,
03:55 je ne le répéterai jamais assez.
03:58 - Sud Radio, de Pierre Bachelet, "Sans abri, sans un toit".
04:03 Ben New York, New York, New York, l'Amérique, la plus grande puissance du monde, tout ça.
04:09 Eh bien, vous savez-vous qu'aujourd'hui, il n'y a jamais eu autant de sans-abri à New York
04:14 que depuis la grande dépression de 1930, oui,
04:16 depuis la fameuse "Great Depression".
04:19 Il n'y a plus les refuges pour sans-abri de la ville de New York,
04:22 manque d'espace, ils n'ont jamais connu ça,
04:25 encore une fois, pratiquement 100 ans.
04:28 D'où ça vient ?
04:30 Eh bien, afflux de migrants de la frontière sud du pays disaient "oui, ils vont rester en Floride,
04:34 au Texas, au Nouveau-Mexique, etc.", chez les gueux, les fameux, qui passent,
04:39 parce qu'on a dit "oui, oui, il faut ouvrir maintenant, allez, open bar, open bar, open bar".
04:44 Eh bien, il y a aujourd'hui à New York, plus de 100 000 personnes dans les refuges pour sans-abri,
04:51 dont 50 000 migrants qui viennent effectivement du Mexique et d'ailleurs.
04:54 Et attention, ces chiffres n'incluent pas les gens qui dorment dans la rue,
04:59 on parle simplement des gens, déjà à 100 000, qui sont dans des refuges.
05:03 Et la ville, le maire Eric Adam, s'est dépensé plus d'un milliard de dollars
05:07 pour l'agir des migrants depuis qu'ils ont commencé à arriver en grand nombre au printemps 2022.
05:11 Eh oui, avant on ne connaissait pas, alors on pouvait en parler, oui,
05:14 ces salauds qui refusent effectivement les flux migratoires,
05:18 bande de salauds de réac évidemment à la droite d'Adolf.
05:23 Et puis voilà, ça va arriver à dépenser 4 milliards de dollars d'ici l'année prochaine.
05:30 Qu'est-ce qui se passe ? Eh bien, il se passe que quand on ne maîtrise pas,
05:34 quand on ne contrôle pas, il ne s'agit pas de fermer le robinet, surtout pas,
05:38 il ne s'agit pas de n'accueillir personne, surtout pas,
05:41 mais il s'agit de réculer, il s'agit de contrôler, il s'agit effectivement d'apprendre à gouverner,
05:48 d'apprendre simplement à gouverner.
05:50 Et voilà, ça se passe aujourd'hui à New York.
05:53 Bravo New York, New York, New York, ce qu'on chantait, vous savez, entre Sinatra et compagnie,
05:59 l'Amérique, je veux la voir et je l'aurai, oui,
06:01 mais peut-être pas sans toi et peut-être pas comme ça, dans des conditions aussi dramatiques.
06:07 Eh oui, c'est Ursula, notre Ursula von der Leyen,
06:11 notre patronne, la patronne de la Commission européenne,
06:15 notre patronne à tous.
06:17 Voilà, et elle a fait un grand discours, là, tout récemment,
06:20 en disant que tout va pour le mieux, dans le meilleur des mondes,
06:23 on va élargir l'UE à plus de 30 pays, on va accentuer les accords de libre-échange,
06:27 on va, on va, on va, elle a parlé des mentions énergie renouvelable,
06:31 sans prononcer une fois le mot nucléaire, magnifique ce qui se passe avec les éoliennes,
06:35 l'immigration géniale, solution à la pénurie de main d'oeuvre,
06:38 voilà, allez, finissons le travail, pacte à la migration et à l'asile,
06:42 et 50 milliards supplémentaires, évidemment, pour l'Ukraine,
06:45 tout va pour le mieux dans le meilleur du monde.
06:48 Eh bien, il y a un député du Parti travailliste, qui s'appelle Marc Bottinga,
06:52 eh bien, lui, il a réagi, Marc Bottinga,
06:56 et voici ce qu'il a dit, dans l'enceinte du Parlement européen,
07:00 à madame Ursula von der Leyen.
07:02 Madame la présidente de la Commission européenne,
07:04 vous avez exprimé avec vraiment grande éloquence
07:07 tout votre mépris pour la classe travailleuse en Europe aujourd'hui.
07:10 Je sais que vous vous gagnez 30 000 euros par mois,
07:13 mais est-ce que vous savez qu'aujourd'hui, en Europe,
07:16 30 % des gens doivent sauter un repas
07:19 parce qu'ils n'ont pas l'argent pour trois repas par jour ?
07:22 Est-ce que vous savez que 46 % des Européens ont peur de hausser le chauffage,
07:26 ils ne le font pas, restent dans le froid ?
07:29 Que 100 millions d'Européens risquent la pauvreté,
07:32 et qu'est-ce qui est votre bilan ? Votre bilan à vous ?
07:34 Est-ce que vous avez bloqué les factures de l'énergie ? Non.
07:37 Est-ce que vous avez taxé les millionnaires ? Non.
07:40 Est-ce que vous avez taclé les surprofits des multinationales énergétiques,
07:43 pharmaceutiques, militaires ? Non.
07:46 Et que faites-vous aujourd'hui donc ?
07:48 Aujourd'hui, vous inondez, vous garantissez des milliards d'euros
07:51 aux secteurs militaires, aux multinationales d'armement,
07:54 tandis qu'aux travailleurs, vous proposez le retour du pacte budgétaire,
07:58 le retour de l'austérité.
08:01 Madame Van der Leyen, cette Europe, votre Europe,
08:04 ne sera jamais la nôtre, on vous combattra, vous et votre coalition.
08:09 Et voilà, on aimerait d'ailleurs que nos députés, effectivement,
08:12 tiennent un langage comme ça, en tout cas,
08:15 quel que soit ce que vous pensez du discours de M. Bodinga
08:18 et de Mme Moursoul à Van der Leyen,
08:21 mais on aimerait entendre quelques accents un peu forts,
08:24 comme ça, et un peu tenus.
08:26 On va en parler d'ailleurs, avec Philippe Quéré,
08:29 sur notre chère Assemblée Nationale.
08:32 Est-elle devenue, comme disait l'humoriste Lichtenberg,
08:35 un couteau sans lame auquel il manque le manche ?
08:38 On en parle tout de suite.