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00:00 Vu du ciel, on peut voir l'ampleur des dégâts.
00:05 Des centaines de maisons ont été éventrées.
00:08 Ce sont les habitants qui déblaient à la main les gravats.
00:11 Des conditions difficiles et pourtant plusieurs escapés ont pu être sauvés.
00:16 Il est aussi ainsi tout de suite mobilisé pour tenter d'organiser l'aide aux sinistrées.
00:21 Jamel Debbouze est à Marrakech.
00:23 Il a donné son sang et salué l'immense solidarité des habitants.
00:27 On l'écoute.
00:29 Je suis très ému d'être ici.
00:32 On a eu l'occasion de voir toute cette solidarité.
00:38 Elle est incroyable, il faut la filmer, il faut la transmettre,
00:40 il faut voir combien les Marocains sont solidaires les uns avec les autres.
00:43 Ce tremblement de terre dévastateur a été déclenché
00:47 parce que les sismologues appellent une compression entre deux plaques tectoniques,
00:51 la plaque eurasienne et la plaque africaine,
00:54 qui remonte vers le nord de quelques centimètres chaque année.
00:58 C'est ce même point de friction qui a provoqué en février dernier
01:02 un terrible séisme en Syrie et en Turquie.
01:04 La mosquée était en cours de rénovation.
01:08 On peut regarder cette catastrophe d'en haut,
01:21 on peut aussi regarder cette catastrophe...
01:24 Excusez-moi.
01:26 On est en train de gagner des centimètres carrés,
01:28 des millimètres carrés, des kilomètres carrés...
01:30 Les secouristes qui sont larguement pieds en France
01:32 et qui ont l'habitude de ce genre de catastrophe disent
01:34 "chaque minute compte".
01:35 Absolument, Patrick.
01:36 Chaque minute qui passe, c'est le risque de voir des victimes s'ajouter aux autres.
01:40 Monsieur Cohen, juste une chose.
01:45 Vous vous rendez compte de ce que vous dites ?
01:47 Est-ce que vous pensez aux sauveteurs qui sont sur le terrain ?
01:49 Est-ce que vous m'entendez Arthur ?
01:51 Merci infiniment d'être avec nous.
01:53 Bonsoir, on vous voit à l'écran.
01:55 Je sais que vous êtes très pris et que ça y est,
01:57 vous avez mobilisé vos réseaux avec Djamal qui était avec nous tout à l'heure
02:00 pour organiser un clip avec des personnalités sur place.
02:05 Situé le drame passé, vous vous êtes dit "il faut agir".
02:09 Je...
02:14 Ah !
02:16 Moi je vais vous dire, je suis pas...
02:18 Moi je... Alors, je dis... Attendez, juste, termine !
02:21 Mais non, personne ne donne des leçons.
02:23 Alors, quand vous vous donnez des leçons, on n'a rien à dire,
02:26 mais si moi je fais une remarque...
02:27 Bah je l'attendais.
02:28 Non, j'attendais, vous attendiez rien du tout.
02:30 Je vous fais juste une petite remarque.
02:32 C'est comme ça devient un débat personnel.
02:34 Non, non, non, c'est pas un débat personnel.
02:36 Monsieur Cohen, pourquoi vous êtes tendu ?
02:38 J'essaye juste de vous expliquer quelque chose.
02:40 On va retrouver Valentin Châtelier qui est lui du côté de Montpellier
02:44 où des habitants, vous allez voir, se sont mobilisés
02:46 pour récupérer un maximum de produits
02:48 pour les acheminer évidemment au Maroc, Valentin.
02:52 Valentin ?
02:54 Vous êtes avec nous ? Vous nous entendez ?
02:57 Voilà, problème de son, mais c'est pas très grave.
03:00 Ah, ça y est, Valentin, bon, formidable.
03:02 C'est les joies du direct.
03:03 Moi je vous parle avec les gens de la société civile,
03:06 avec les bonnes volontés.
03:07 Il y a des endroits, d'ailleurs il y avait certains de vos confrères
03:10 qui disaient "on ne pouvait pas accepter, il y avait des éboulements".
03:12 Quand vous dites "les Français attendent, larmes aux pieds".
03:15 Mais il y a des...
03:16 C'est le cas Aurélie.
03:17 Non, mais attendez, juste pour finir.
03:18 On a entendu les témoignages là-dessus.
03:19 Non, mais les sauveteurs, franchement, ils font un boulot.
03:22 Donc voilà, moi je veux juste qu'on reste...
03:24 Il ne s'agit pas de remettre un...
03:25 La LIF, Association Internationale de Protection du Patrimoine,
03:30 que nous avons créée voici quelques temps,
03:32 apportera sûrement sa contribution aussi
03:34 à la restauration des beaux monuments de Marrakech et de la région.
03:39 Merci beaucoup, Jack Lang, d'avoir été avec nous ce soir.
03:41 Pardonnez-moi.
03:42 Une émotion, un désir de relever le Maroc.
03:48 Et une admiration aussi pour ce peuple qui se bat jour et nuit.
03:52 Jack Lang !
03:53 Jack Lang !
03:54 Et c'est pour ça qu'on l'a acheté.
03:56 J'ai été patient depuis très longtemps.
03:58 Laissez-le parler, monsieur, c'est votre client.
04:00 Déjà il est planté de plusieurs milliers d'euros,
04:02 laissez-le au moins s'expliquer.
04:03 Allez-y.
04:04 Je l'ai appelé à plusieurs reprises, ça a été très difficile.
04:08 Il est très difficile.
04:09 Il est très difficile.
04:10 Il est très difficile.
04:11 Il est très difficile.
04:12 Il est très difficile.
04:13 Il est très difficile.
04:14 Il est très difficile.
04:15 Il repousse tout le temps l'échéance.
04:17 J'entends votre enthousiasme et votre amour du Maroc.
04:21 C'est pré...
04:22 Ah, je vous assure.
04:25 Avec une dignité, avec une force, avec une grandeur
04:29 qui mérite le respect et notre soutien.
04:32 Pas d'un seul jour, mais de plusieurs semaines.
04:34 Merci.
04:35 On va continuer les uns et les autres.
04:37 En tout cas, l'Institut du Maroc...
04:38 C'était une déclaration d'amour au Maroc.
04:40 ... prendra d'autres initiatives.
04:42 Merci d'être là, les chéris, il est 19h41 et 44 secondes.
04:48 On va attendre gentiment 42.
04:50 Non.
04:51 Il va vraiment attendre 42.
04:55 Il attend vraiment 42, le gars.
04:56 Attends, on est loin, 55, 54 secondes encore.
04:59 C'est pour la superposition ou l'argent ?
05:01 Je sais pas, je sais pas.
05:02 Bonsoir à tous, merci de nous avoir attendus.
05:05 Non, j'essaie de rester éveillée.
05:07 Bonjour Jean-Baptiste.
05:08 Ah, bonjour Marie.
05:09 Vous prenez les rites petit à petit, je vois que ça va mieux.
05:11 Voilà, exactement.
05:12 On est bien.
05:13 Allez, encore une petite sieste, vous avez 5 minutes avant Télématins.
05:15 Vous avez vu Marine Le Pen dans sa voiture.
05:18 Oui.
05:19 Bon, alors vous allez voir cette...
05:20 Donc, il se trouve que c'est une Volkswagen
05:22 et elle fait un signe, elle dit "bonjour".
05:25 Bon.
05:26 Eh bien, vous avez le tweet de Mme Rousseau
05:31 qui écrit "je ne peux pas croire que ce soit un hasard".
05:36 Non.
05:37 Bien sûr.
05:38 Il n'y a plus que des poncachiens dans les centres-villes
05:41 et des touristes et des pickpockets qui volent les touristes.
05:44 Et c'est tout ce qui reste dans les centres-villes en réalité,
05:47 tous ces centres-villes piétonniers.
05:49 Je ne veux pas revenir sur la question de Paris.
05:52 Mais c'est irréel.
05:54 Paris est un exemple parmi toutes les gros villes.
05:56 Non, mais c'est irréel ce qui se passe à Paris.
05:58 Moi, j'attends que les Casques Bleus, si tu veux,
06:00 viennent libérer Paris.
06:01 Ce n'est pas possible.
06:02 Je ne reviens pas, je ne pensais pas vous voir en vrai
06:05 parce qu'avec les bouchons, j'avais peur de ne pas arriver à l'heure.
06:07 Voilà, comme ça, celle-ci, elle est faite.
06:08 Il n'y en avait pas.
06:09 Moi, je suis venue en voiture électrique.
06:11 Anne Hidalgo avec Paris, c'est comme un sexagénaire avec sa femme.
06:14 Elle lui offre chaque année une chirurgie esthétique.
06:17 Mais entre l'opération et le résultat final,
06:19 décidément, plus personne n'en veut.
06:21 Ouh là !
06:22 Je ne suis pas si sûre de ça.
06:23 Moi, je ne trouvais pas drôle.
06:24 Il est bizarre votre copain.
06:25 Il doit être copain avec Mme Dati, non ?
06:28 *chante*
06:30 Je ne sais plus qu'un ministre qui disait
06:33 "La France qui roule au diesel"
06:35 Voilà, c'est ça, exactement ça.
06:36 Qui filme des clopes sans filtre ou je ne sais plus quoi.
06:38 C'est exactement la même chose.
06:40 Ils ne se rendent pas compte que ce sont eux les plus...
06:42 En réalité.
06:43 Mais bien sûr, ne pas voir que ça, c'est tout simplement la vie
06:48 et que les gens n'ont pas tous envie d'être des fanatiques
06:53 de restos à la con, parisiens complètement débiles,
06:56 où on bouffe du quinoa immonde.
06:59 Je ne peux pas croire que ce soit un hasard.
07:02 Ça, c'est le premier tweet qu'elle a mis.
07:04 Alors, c'est "Elavols Gzadégen" et le signe.
07:07 Et puis le deuxième tweet, c'est "Comment Hitler impose l'auto au peuple".
07:11 Donc, voilà où on en est.
07:13 On peut lui en sourire.
07:15 On est au niveau, aujourd'hui, du débat politique.
07:18 Bon, les préservatifs, ils sont dans quel rayon ?
07:22 On est embêtés, là.
07:23 Finalement, on va en chercher 24, des préservatifs.
07:25 On va en chercher 24.
07:27 Ah bah, allez, t'avoues ?
07:28 24 pour la nuit ?
07:29 Et t'assumes, gars !
07:31 La prochaine élection est une érection européenne.
07:46 Une érection ?
07:47 Érection.
07:48 T'as dit érection.
07:49 T'as dit érection.
07:50 Mais n'importe quoi.
07:51 Mais vous dites n'importe quoi.
07:52 T'as dit érection.
07:53 T'as dit érection.
07:54 De retour à la ferme, après une ultime sortie de Jean-Paul et Maria.
07:59 C'est pas de ma faute, m'envoie ta culotte.
08:02 Bah, j'en ai pas.
08:04 Je peux plus bouger.
08:05 Ah, j'ai vu que t'avais pas de culotte.
08:07 C'est peut-être la dernière chance du chacal.
08:11 Il doit planifier son attaque à la seconde près.
08:23 En position bancaire, t'imagines ?
08:25 Ah ouais, carrément.
08:27 Oh putain, ouais.
08:28 Oh !
08:29 Oh, regarde !
08:30 Et l'autre, elle est dans la cuisine, avec...
08:32 Oh, punaise !
08:33 Avec les pâtes !
08:34 Angelo !
08:35 Oh, oh, oh, oh !
08:37 Oui, là, ne vide pas les pâtes, t'as le promo, ma gueule !
08:41 Allez.
08:42 Attention, les pâtes vont arriver sur la voiture.
08:44 T'en poues.
08:47 Ce chacal a bien mérité sa récompense.
08:50 Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org
08:53 Ce chacal a bien mérité sa récompense.
08:55 *Bruit de pas*
08:55 *Bruit de coup de feu*