Passer au playerPasser au contenu principalPasser au pied de page
  • 04/09/2023
LDC.News protège notre liberté d'expression. Vous pouvez aussi la financer par vos dons. Tout financement participatif même modeste, permet d'élargir nos capacités afin de mieux protéger notre liberté à tous.
Click on : https://www.paypal.com/donate?hosted_button_id=2ZNQG6E93YWVN

Ces images sont disponibles à l'achat. Pour plus d'informations : administration@agence-ligne-de-conduite.com COPYRIGHT AGENCE LDC.NEWS ©2018. ATTENTION TOUTES LES UTILISATIONS COMMERCIALES OU NON COMMERCIALES SONT STRICTEMENT INTERDITES. AUCUNE REPRODUCTION PARTIELLE OU PLEINE DE VIDÉOS ET DE PHOTOGRAPHIE SONT LIBRE DE DROIT. POUR TOUTES ACQUISITIONS PARTIELLES OU TOTALES, VEUILLEZ NOUS CONTACTER SUR NOTRE SITE WEB DAILYMOTION.

AGENCE DE COPYRIGHT LDC.NOUVELLES ©2018. ATTENTION, TOUT USAGE COMMERCIAL OU NON COMMERCIAL EST STRICTEMENT INTERDIT. AUCUNES REPRODUCTIONS VIDÉOS ET PHOTOS PARTIELLES OU INTÉGRALES NE SONT LIBRES DE DROIT. POUR TOUTES ACQUISITIONS PARTIELLES OU INTÉGRALES, MERCI DE NOUS CONTACTER VIA NOTRE SITE DAILYMOTION.

Catégorie

🗞
News
Transcription
00:00 [Musique]
00:16 [Applaudissements]
00:24 Bonjour mes amis et s'il y en a, bonjour mes ennemis.
00:28 [Rires]
00:29 J'espère qu'ils sont plus nombreux que mes amis.
00:32 Je voudrais bien sûr remercier Florian Philippot de m'avoir permis d'être présent parmi vous,
00:39 de remercier également les patriotes qui me permettent pour une fois d'être dans un pays patriotique
00:47 et de ne pas être dans l'Union Européenne. Merci.
00:50 [Applaudissements]
00:55 Je vais vous demander en raison d'une circonstance très particulière d'être très indulgent pour moi.
01:03 Écoutez-moi. J'ai pris des notes, j'ai travaillé, ça m'arrive rarement,
01:10 et mon petit chien Théodore était assis à mes pieds et mes notes étaient par terre.
01:16 [Rires]
01:18 Donc il les a mâchonnées. Alors si je me mets à bafouiller, ne me prenez pas pour Biden.
01:26 [Rires]
01:28 Prenez-moi pour le maître d'un chien qui a beaucoup de culture
01:32 [Rires]
01:33 et qui sait se nourrir de mes modestes œuvres.
01:36 [Rires]
01:38 Voilà mes amis. Qu'est-ce qu'on entend aujourd'hui ?
01:42 Deux mots, deux phrases qui reviennent tout le temps.
01:47 La première, c'est "je ne comprends pas ce qui se passe".
01:52 Je ne comprends pas.
01:54 La seconde, c'est "j'en ai assez".
01:58 J'en ai assez.
02:01 Et tout cela parce que maintenant on est arrivé au pied du mur.
02:07 Le pied du mur de la soumission, de la renonciation, de la désertion et de l'oppression.
02:15 Oui, on est au pied du mur.
02:19 Alors il est arrivé que des murs s'effondrent.
02:22 Il s'agit de savoir si nous allons arriver, nous, à faire tomber le mur qui enmure la France.
02:30 Le mur qui étouffe la France.
02:33 Le mur qui fait mourir la France.
02:36 [Applaudissements]
02:40 Quel est notre monde d'aujourd'hui ?
02:44 Quel est notre monde français d'aujourd'hui ?
02:48 On est gardé à vue.
02:51 Gardé à vue parce qu'on va dire un mot du Président de la République
02:54 et que malgré ses 75 ans, on va se retrouver en garde à vue.
02:59 Oui, c'est arrivé en France.
03:01 On est inspecté.
03:03 Mais dans tous les coins, dans tous les recoins, on est espionné.
03:07 Partout, tout le temps.
03:09 On est légiféré, réglementé.
03:12 Si vous êtes un poulailler chez vous, il ne faut pas qu'il fasse plus de 5 ou 6 mètres.
03:16 Sinon la police va venir.
03:18 On est parqué.
03:20 Reste là.
03:22 Ne va pas là.
03:24 Ne sors pas d'ici.
03:25 Ne bouge pas.
03:27 Sinon, attention, on va te punir.
03:30 On est masqué.
03:33 Ah !
03:35 Il faut se masquer.
03:37 Attention, sinon l'amende tombe.
03:40 On est bien sûr vacciné.
03:43 Vacciné.
03:45 Sinon on est puni.
03:47 On est ostracisé.
03:49 On est endoctriné tous les jours par les médias
03:52 qui nous disent comment on doit penser,
03:54 comment on doit raisonner,
03:56 comment on doit respirer, pourquoi pas,
03:58 comment on doit aussi mourir à l'heure dite.
04:01 On est contrôlé, estimé, apprécié
04:05 et enfin censuré.
04:09 Mon ami Bercoff le disait et il avait raison.
04:12 On est censuré et maintenant,
04:15 il y a le règlement européen du Breton,
04:19 qui n'est pas breton, mais qui s'appelle breton,
04:22 le DSA, qui va fliquer notre vie sur les réseaux sociaux.
04:27 Ils auront réussi à mettre des menottes au mot.
04:33 Ils y sont arrivés.
04:36 Ils y sont arrivés.
04:38 Il va y avoir maintenant des menottes au mot.
04:42 Et tout ça, c'est fait par qui ?
04:44 Par qui ?
04:46 Par des choses humaines sans titre ni vertu.
04:51 Ils sont là du reste par défaut.
04:53 On les a pas élus.
04:55 Les membres de la Commission européenne ne sont pas élus.
04:58 Et le Parlement qui a été élu,
05:00 est élu par un trafic de connivences de partout électoral
05:04 qui fait que celui qui ne devrait pas y être
05:06 se retrouve dans le lit de celui qui n'en veut pas et ainsi de suite.
05:10 Et on a des majorités partouseuses
05:13 qui font qu'on a finalement des lois adultérides,
05:16 pour ne pas dire bâtardes.
05:18 Eh oui, on en est là.
05:20 [Applaudissements]
05:27 On a des choses humaines
05:30 qui sont vraiment les valets des banques,
05:36 les valets de la finance mondiale,
05:39 les valets de cette Union européenne
05:42 qui n'est que des unions,
05:44 les laquais du mondialisme,
05:47 tous soumis à l'hypnose médiatique,
05:51 à l'hypnose de l'argent,
05:54 à l'hypnose de l'égo,
05:56 à l'hypnose du pouvoir.
05:58 Ils n'aiment pas la patrie,
06:00 ils n'aiment pas le pays,
06:02 ils n'aiment pas l'Europe,
06:04 ils n'aiment que leur conclave,
06:06 que leur enfermement d'intérêts
06:09 et ils nous assassinent jour après jour.
06:12 Il faut en être confiant.
06:15 [Applaudissements]
06:22 Ce sont aussi des choses humaines
06:25 soumises à l'Europe d'Ursula,
06:29 la teutone tyrannique,
06:33 têtue, qui impose tout.
06:36 Moi j'ai eu le culot devant le Parlement européen
06:40 où l'on est écouté, rassurez-vous,
06:42 par 8 personnes les jours de grand vent.
06:45 [Rires]
06:46 Non mais il m'est même arrivé d'avoir la gloire
06:49 de prendre la parole devant 3 personnes.
06:52 Mais ce jour-là il y avait du monde
06:54 parce qu'il y avait la représentante
06:56 de ce qu'on appelle des questions morales au Parlement,
06:59 qui est une autorité indépendante.
07:02 Et je lui ai dit "mais demandez donc les SMS à Ursula".
07:06 Et elle m'a fait "ben oui, vous avez raison,
07:10 on ne peut pas les avoir ces fameux SMS
07:13 qu'elle a pu échanger avec Pfizer.
07:16 On est soumis complètement à cette Europe
07:20 qui fait ses contrats, ses normes, ses lois,
07:24 ses guerres, ses lubies, ses genres, ses morales,
07:28 et maintenant ses délires.
07:30 Et on n'y peut rien, on subit
07:33 parce qu'il y a un conglomérat d'intérêts dominants
07:37 qui a pour facteur l'argent.
07:40 La finance invisible, la finance des traçants,
07:44 la finance des lobbies de pouvoir
07:48 guide aujourd'hui le monde,
07:51 la finance et les lobbies.
07:55 Et nous sommes complètement emprisonnés là-dedans
07:58 et celui qui le dénonce doit mourir.
08:02 C'est la raison pour laquelle le combat que vous menez
08:05 est un beau combat, mais que vous allez prendre
08:08 et que nous allons prendre, croyez-moi, des coups.
08:10 Tant mieux. C'est comme ça qu'on fait Valmy,
08:13 c'est comme ça qu'on fait Verdun,
08:15 c'est comme ça qu'un jour on gagne.
08:18 (Applaudissements)
08:24 (Résistance ! Résistance ! Résistance !)
08:38 C'est quoi la démocratie aujourd'hui ?
08:41 C'est quoi cette apparence de démocratie dans laquelle nous vivons ?
08:46 Des électeurs qui ne votent pas,
08:49 des élus qui le sont par défaut,
08:53 des parlementaires qui se font braquer au 49.3
08:57 et qui lèvent les mains pour dire "oui, pardon, on se rend".
09:03 Une soumission policière, épidémique,
09:07 une terreur qu'on peut imposer quand on veut
09:12 pour qu'il sonne le toxin du Covid ou de n'importe quelle épidémie.
09:17 La chasse, rappelez-vous, sur les terrasses,
09:21 l'obligation de s'asphyxier avec le masque,
09:25 l'autorisation de sortir pour se délivre à soi-même,
09:29 ce qui aurait fait délirer un homme comme De Vos,
09:32 "je sors de chez moi parce que je m'autorise à sortir de chez moi"
09:38 et le policier qui me demande si j'ai l'autorisation de sortir de chez moi,
09:44 d'abord je ne lui demande pas, lui, s'il est sorti de chez lui,
09:48 mais je m'oblige, moi, à lui montrer que je suis sorti de chez moi.
09:53 Et comme dirait Pierre Dac, "je sors de chez moi et je rentre chez moi".
09:58 Eh bien voilà, on en est suffisamment cons...
10:02 [Applaudissements]
10:08 On est suffisamment cons, excusez-moi,
10:13 c'est un terme qui est dans le dictionnaire et qui a déjà été utilisé par Rabelais,
10:19 on est suffisamment cons pour l'avoir fait.
10:22 Et ils sont en train de nous préparer,
10:25 non pas les dents de rocane numéro 2, mais le Covid revient,
10:29 numéro 2, préparez-vous, tout le monde va pouvoir s'isoler,
10:33 se masquer, trembler, ça revient,
10:36 eh bien oui, il faut écouler les vaccins, vous comprenez,
10:38 bon, ils en ont tellement commenté.
10:40 Voilà, on en est là.
10:42 Alors, pour conclure, derrière tout cela, il y a quoi ?
10:47 Il y a la bureautechnocratie européenne avec ses concours de tampons,
10:55 avec ses concours de normes,
10:58 avec ses concours de soumissions paporassières.
11:04 Récemment, il s'est produit un événement très intéressant,
11:08 et je vous demande 30 secondes de bien écouter la petite phrase que je vais vous citer.
11:15 La commission européenne avait décidé de nommer à la direction en chef de la concurrence,
11:23 rien que ça, une américaine du nom de Fiona Scott.
11:28 Elle avait servi dans l'administration d'Obama,
11:31 elle avait des intérêts dans les GAFA,
11:34 mais, comme Ursula l'aime bien, et comme, bon, sa copine pas mal,
11:39 finalement, elle voulait l'imposer.
11:41 Et puis ça a gueulé, on a dit, attendez, quand même, bon,
11:44 il y a un conflit d'intérêts évident, là.
11:46 Donc, elle n'a pas été nommée.
11:48 Elle l'a mal pris.
11:49 Et elle a engueulé, c'est un plaisir,
11:51 elle a engueulé qui ?
11:52 Elle a engueulé Macron.
11:54 Bon, là, on ne peut que la féliciter.
11:58 Mais elle a dit quelque chose d'extraordinaire.
12:00 Écoutez bien ce qu'elle a dit.
12:04 Ce qui se passe à Bruxelles est contraire aux intérêts de la France.
12:10 Maintenant, s'il y a une implication du politique dans les institutions européennes,
12:17 où on va ?
12:22 Non mais si !
12:25 Non mais, si la politique se met à s'occuper des institutions européennes,
12:30 où on va ?
12:32 Non mais, franchement, c'est la philosophie.
12:35 Il y a des employés de cette noble administration,
12:37 il n'y a rien contre eux, mais de l'URSSAF,
12:39 ou de la Sécurité sociale.
12:41 Laissez-nous avec nos tampons, laissez-nous avec nos normes.
12:44 Vous n'allez quand même pas, entre nous, venir nous déranger avec de la politique.
12:49 Vous n'allez quand même pas venir nous déranger avec des hommes ou des femmes
12:53 qui pourraient encore, mais ce n'est même plus le cas,
12:55 représenter les citoyens.
12:57 On est entre nous, dans l'administration,
13:00 et il n'est pas question qu'on vienne nous déranger.
13:03 C'est énorme, non ?
13:04 C'est énorme.
13:05 Voilà, aujourd'hui, mes amis, il faut que je conclue, parce qu'il me reste trois minutes,
13:09 aujourd'hui, on en est là.
13:12 Si je regarde autour de moi, qu'est-ce que je vois ?
13:15 Tout s'effondre. Tout.
13:17 L'industrie, l'armée, l'école, la santé, l'université, la recherche, la défense,
13:24 la sécurité civile, la liberté, tout s'effondre.
13:27 Pourquoi ?
13:28 Parce que le problème, c'est l'Europe.
13:32 Cette Europe de la guerre.
13:34 Cette Europe des intérêts personnels.
13:36 Cette Europe qui nous ment.
13:38 Mais quand on a dit ça,
13:40 on a fait de la médecine légale,
13:43 on a constaté et autopsié le canal.
13:47 Ça ne suffit pas pour vivre dans l'espoir.
13:49 On est d'accord ?
13:50 Quand on a dit ça, qu'est-ce qu'il nous reste ?
13:53 Eh bien, il y a un mot.
13:57 Eh oui, on vit de mots.
13:59 Solzhenitsyn l'a bien dit et redit.
14:02 On vit de mots.
14:04 Il y a un mot qui renferme toute la mesure de notre devoir.
14:09 Toute la mesure de notre engagement.
14:12 Un mot qui renferme, même j'ose le dire,
14:16 toute la mesure de notre espoir de renouvellement.
14:21 Ce mot, il contient un programme,
14:24 il contient une vie,
14:26 il contient un engagement,
14:27 il contient un sacrifice,
14:29 il contient un amour.
14:31 C'est le mot patriote.
14:33 (Applaudissements)
14:43 (Générique)
14:47 ---

Recommandations