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NewsTranscription
00:00 *Bruit de moteur*
00:16 *Bruit de moteur*
00:23 *Applaudissements*
00:49 Merci à tous !
00:55 Merci !
00:57 Madame, Monsieur,
00:59 Chers Patriotes,
01:01 Chers Amis,
01:03 C'est donc en tant que Président réélu des Patriotes
01:07 que j'ai le plaisir de vous parler ce soir
01:09 et de conclure cette journée,
01:11 on en conviendra tous,
01:13 riche en humanité et en résistance.
01:17 Je viens de voir comme vous, ce clip magnifique
01:21 de nos 5 ans, en fait bientôt 6,
01:25 et je crois qu'on peut dire, qu'on peut vraiment
01:28 être très fiers collectivement du chemin parcouru.
01:33 Vous me direz, formule convenue,
01:36 vous auriez raison si c'était faux,
01:38 mais c'est vrai !
01:40 *Applaudissements*
01:42 Regardez ce qu'on crée !
01:44 Regardez cette journée d'Arras !
01:48 Honnêtement, qui aurait imaginé, il y a encore quelques mois,
01:53 tant d'invités si différents, si talentueux,
01:58 et qui pourtant, je crois qu'on le sent au plus profond de nous-mêmes chacun,
02:03 nous donnent déjà le sentiment d'être si proches les uns des autres,
02:06 dans l'union, l'unité et la communion d'un combat.
02:12 Ce congrès, c'est l'oeuvre d'abord d'une équipe dévouée,
02:17 de courageux et de fidèles bénévoles.
02:21 Qu'ils en soient vivement félicités et chaleureusement applaudis.
02:26 *Applaudissements*
02:38 Vous étions déjà venus à Arras, dans cette même salle.
02:44 C'était en 2018, c'était notre premier congrès, fondateur comme on dit.
02:51 Certains nous diront qu'on a le culte de Robespierre.
02:57 On peut dire qu'on a celui peut-être des têtes qui roulent.
03:02 Et entre nous, elles n'ont pas encore toutes fini de rouler.
03:06 Mais on s'en occupe, ensemble.
03:09 *Applaudissements*
03:12 A l'époque, nous étions, oui, dans la même salle, mais nous étions quatre-cents.
03:20 Alors on avait un petit peu tiré les rideaux, on avait un peu plus obscurci la salle.
03:26 Enfin l'ambiance était quand même là, au rendez-vous.
03:29 Mais je vous avoue que je suis quand même, et vous tous, bien dînus heureux,
03:36 quand je nous sais quatre fois plus nombreux, comme aujourd'hui.
03:41 *Applaudissements*
03:44 Oui, quatre-cents à Arras en 2018.
03:48 Mille-cents en 2021 pour notre deuxième congrès à Boran-sur-Oise.
03:53 Et aujourd'hui, je vous l'annonce, plus de mille-six-cents à nouveau à Arras.
03:58 *Applaudissements*
04:07 Entre-temps, grâce à la même énergie humaine qui nous mobilise aujourd'hui,
04:14 et en nous serrant les coudes aussi face aux horreurs qu'on a su traverser ensemble,
04:20 entre-temps, les Patriotes ont organisé plus de 150 manifestations nationales.
04:29 Mais aussi des centaines d'événements locaux, départementaux, régionaux.
04:36 Les militants Patriotes ont distribué des millions de tracts,
04:40 collés des dizaines de milliers d'affiches partout, sur tous les murs de France.
04:45 Notre mouvement, oui, a grandi. Il est même en pleine crise de croissance.
04:51 Mais une heureuse crise.
04:54 A Arras, première époque, nous étions quatre-mille adhérents.
04:58 On est aujourd'hui dix fois plus nombreux, plus de quarante-mille.
05:02 Oui, aujourd'hui, nous sommes le plus grand mouvement souverainiste de France.
05:06 [Applaudissements]
05:16 Plus de trois cents personnalités ont été invitées à nos événements,
05:20 en particulier aux manifestations nationales, de tous bords,
05:24 d'Alexandre Aurienco, d'Avirginie-Joron, en passant par Maître Divizio,
05:30 les navigants libres, des pompiers et des soignants suspendus,
05:34 Jean-Frédéric Poisson, Jacques Cheminade, Charles-Henri Gallois,
05:37 Nicolas Dupont-Aignan, Marion Maréchal, Stéphane Ravier, Gilbert Collard.
05:43 Mais aussi, depuis son Canada, en vidéo, Maxime Dernier,
05:48 l'organisateur des manifestations pour la liberté au Canada et au Québec.
05:52 Et en vidéo également, Steve Bannon, qui a travaillé avec Donald Trump.
05:57 [Applaudissements]
06:00 Des responsables syndicaux, des sportifs, des artistes,
06:05 et tant d'autres, et tant d'autres, et tant d'autres gens formidables.
06:10 Je veux vous dire, entre nous, je n'ai qu'un seul regret.
06:14 Je n'ai pas eu le temps et je n'ai pas pu donner la parole au professeur Montagnier,
06:20 et j'aurais tant aimé lui rendre cet hommage.
06:23 [Applaudissements]
06:34 Nous avons tous ici une pensée pour notre prix Nobel,
06:37 [Applaudissements]
06:41 qui a eu tellement raison, et c'est pour cela d'ailleurs que...
06:44 Et ça, on ne l'oubliera pas non plus.
06:46 Ni le président de la République, ni le gouvernement n'ont eu un mot lors de sa mort.
06:51 Ça, c'est une indignité, une tâche éternelle sur notre drapeau.
06:56 [Public] - Le rassemblement !
06:59 Oui, le rassemblement a toujours été pour nous une doctrine, une évidence,
07:05 même une exigence, et le sera tout autant demain, je vais y revenir.
07:10 [Public] - On a manifesté !
07:13 On a, je le sais, profondément empêché des gens de sombrer.
07:20 On les a aidés à tenir.
07:24 On a peut-être allumé un peu de la flamme de l'espérance chez beaucoup d'entre eux.
07:29 On leur a montré qu'ils n'étaient pas seuls.
07:33 On est, vous n'êtes, vous ne sommes pas seuls.
07:36 Nous sommes des millions, des millions, et maintenant même des dizaines de millions.
07:40 Il y avait tant et tant de moutons et pas assez de lions.
07:44 Oh, il n'y a toujours pas assez de lions.
07:46 Mais beaucoup des moutons se sont transformés en lions.
07:49 Ils bêlaient, maintenant ils rugissent.
07:51 Eh bien ici, depuis le départ, on rugit !
07:54 [Applaudissements]
08:02 Il y a eu des moments durs, et je vous l'ai dit, on n'oubliera rien,
08:07 y compris les calomnies de M. Darmanin et d'autres.
08:10 On n'oublie pas.
08:12 Mais on s'est aussi beaucoup amusé.
08:16 On a eu couler quelques grosses gouttes de transpiration sur le front de certains,
08:20 et ça, c'était drôle.
08:22 Je me rappelle, par exemple, ce matin, quand on s'est dit,
08:24 "Allez hop, on prend nos voitures, nos camionnettes,
08:26 et on va aller bloquer les Champs-Élysées."
08:29 Un petit grain de folie.
08:31 Avec nos drapeaux, et puis on va aller s'avancer vers le palais.
08:38 J'ai encore en tête, parce que j'étais première camionnette devant,
08:43 j'ai encore en tête le visage paniqué du policier qui nous a vu débarquer,
08:50 on était à quelques dizaines de mètres du palais macroniste,
08:54 avec notre portage bleu, blanc, rouge et orange, nos fumigènes,
08:58 et il m'a dit, "Mais qu'est-ce que vous faites ? Vous n'avez pas le droit de faire ça."
09:04 Et il a ajouté, "Vous n'avez pas déclaré ?"
09:07 Je lui ai dit, "Monsieur le policier, on ne peut pas déclarer ce qui est illégal."
09:13 Ça, c'était assez abusant.
09:19 On a revendiqué la vérité et la justice sur les effets secondaires,
09:24 devant le siège de Pfizer.
09:26 Ben oui, pourquoi ne pas aller directement au siège ?
09:30 Et là, c'était leurs agents de sécurité qui ont pris peur.
09:33 Et on a vu débarquer très vite des voitures de police.
09:36 Ça n'est pas tout à fait un pays libre.
09:38 Dès qu'on bouge le petit doigt, ça débarque.
09:42 Je devrais aussi parler de cette opération contre la réforme des retraites,
09:45 devant le siège de BlackRock, le vrai commanditaire,
09:49 de ses drapeaux de l'Union Européenne déchirés,
09:54 devant le siège de la Commission Européenne à Paris.
09:58 En plus, on l'a fait le 9 juillet, le jour de la fête à l'Europe.
10:01 On s'est dit, "Le jour de la fête à l'Europe, on va faire sa fête à l'Europe."
10:04 Voilà, on est cohérents, on est logiques, et on l'a fait.
10:08 De cette manifestation impromptue, sauvage, comme on dit, un soir,
10:13 devant le ministère du Travail, là aussi, contre la réforme des retraites,
10:16 ils n'ont pas trop aimé, ils nous ont même envoyé la brave "M".
10:20 Et notre référent de Dîle-de-France et de Paris, Dominique Bourg-de-Provence,
10:24 a connu à cette occasion la première garde à vue de sa vie.
10:28 C'est comme ça. Je veux l'applaudir.
10:31 (Applaudissements)
10:39 Entre nous, ce qui m'a quand même bien plu, c'est en ce début d'été,
10:46 quand je suis allé en Belgique à Liège, pour ne pas manger une gourfe, quoique,
10:52 pour fêter ça, on l'a fait quand même,
10:54 mais déposer auprès d'un juge d'instruction belge une plainte pénale
10:57 contre Ursula von der Leyen pour ses SMS.
11:00 Je l'ai changé avec M. Borla, à Pfizer.
11:03 (Applaudissements)
11:07 Première plainte française sur cette affaire,
11:11 que j'ai déposée au nom des patriotes, en votre nom à tous.
11:16 (Applaudissements)
11:19 Et en la déposant...
11:21 D'ailleurs, j'ai eu une discussion très intéressante,
11:24 je ne la révélerai pas, avec le juge d'instruction belge dans son bureau.
11:28 Je peux vous dire qu'en la déposant, j'ai pensé à ces milliers de familles de victimes.
11:34 J'ai pensé à Marc et Morissette.
11:37 Et je me suis dit que tous ces coupables, tous ces pourris,
11:42 tous ces corrompus, payent qu'ils aillent en Toulon,
11:46 et qu'on revive plus jamais ça, plus jamais ça.
11:49 (Applaudissements)
12:04 Alors oui, je crois qu'on peut le dire, on n'a pas chômé ces derniers mois.
12:10 Je devrais bien sûr y ajouter l'engagement magnifique de nos 420 candidats titulaires
12:14 et suppléants aux élections législatives,
12:18 de nos formidables référents, délégués, départementals, militants sur le terrain,
12:24 et lors des législatives de cette belle alliance.
12:28 Un succès, avec Génération Frexit et avec Debout la France.
12:33 (Applaudissements)
12:40 Ici, c'est certain.
12:42 Ici, là, à Reims, ça n'est pas l'opposition,
12:46 parce que l'opposition n'existe plus.
12:49 Ici, mes chers amis, c'est la résistance.
12:52 Nous sommes, vous êtes, nous sommes tous la résistance.
12:57 Les justes, les braves, les gens debout.
13:01 Pas les gens qui se mettent à genoux, pas les gens dans la comprodition.
13:07 Ici, on se tient debout. La tête droite et on avance.
13:12 (Applaudissements)
13:23 Mais tout ça ne serait pas suffisant
13:26 si on ne portait pas une cause qui nous paraît essentielle,
13:32 qui nous fait vivre, qui nous fait vibrer littéralement, qui nous transcende.
13:38 Notre cause, elle est simple, elle est limpide.
13:42 Ici, on aime la France et on n'en peut plus de la voir dans cet état-là.
13:47 Je crois que ce n'est pas plus compliqué, tout simplement.
13:51 On ne veut pas blanpir du mensonge.
13:55 Pour ça, allumez la télé.
13:58 Enfin, j'espère que vous n'avez plus la télé quand même.
14:02 Il faut juste regarder la radio pour l'instant, pour suivre la radio.
14:07 Ici, on se bat pour la vérité, quoi qu'il en coûte.
14:12 Ici, on ne veut pas vivre sous esclavage, sous QR code, sous masse, sous passe,
14:19 sous identité, sous euro numérique.
14:22 On ne veut pas que notre parole soit écoutée, surveillée, censurée par M. Breton ou par Ursula.
14:30 Ici, on veut la liberté, on veut l'intelligence et la beauté du débat.
14:36 Ici, on veut la liberté d'expression et tous ces risques.
14:40 Ici, on aime la liberté et on déteste l'esclavage.
14:45 Voilà notre combat.
14:47 [Applaudissements]
14:53 Ici, on ne veut pas être dirigé par des corrompus et des malhonnêtes.
14:59 On veut mettre les corrompus et les malhonnêtes en taule.
15:02 Ce n'est pas la même chose.
15:04 On veut remettre le bien commun et l'honnêteté.
15:07 Vous savez ce gros mot-là.
15:09 On veut les remettre au centre de tout.
15:14 Ici, on ne veut pas des médecins de plateau télé.
15:17 Enfin, depuis, ils sont devenus experts de l'Ukraine, vous avez vu, de l'énergie.
15:22 Ah oui, oui, ils sont multipartes.
15:25 Non, non.
15:27 Nous, on veut les médecins de famille, ceux qui soignent.
15:31 On ne veut pas de Karine Lacombe, on veut du professeur Peron, nous.
15:34 C'est quand même simple.
15:36 [Applaudissements]
15:43 On ne veut pas un monde de médiocrité, de wokisme et de laideur.
15:49 On veut un monde d'excellence, d'intelligence et de beauté.
15:54 Oh, je vais oser quelque chose.
15:56 On veut même partout, dans le langage, dans l'art, dans l'architecture, dans la manière d'être,
16:06 on veut réhabiliter le beau, avec un B majusculé.
16:10 [Applaudissements]
16:17 Ici, on ne veut pas d'une soi-disant opposition avec des guillemets,
16:20 majoritaire à l'Assemblée nationale depuis 15 mois,
16:22 enfin, ils n'ont pas été fichus de voter ensemble une seule fois une motion de censure,
16:26 ils se sont fait imposer 1749 rois.
16:29 Ils doivent aimer ça.
16:31 Non, nous, on veut la résistance totale,
16:34 la rupture totale avec une oligarchie malfaisante.
16:39 Un chemin d'espérance,
16:41 qui pourra remplacer le tunnel noir du désespoir mondialiste.
16:47 Parce que biaiser, finasser, calculer, patauger,
16:52 dans le petit jeu politicien, le petit marigot, ça suffit, quoi.
16:57 Ce faux semblant dégoulinant de mensonges, de manipulations,
17:03 dégoûte profondément nos compatriotes, et a raison.
17:08 Regardez le spectacle pitoyable de leur rentrée.
17:14 La nôtre, leur rentrée.
17:17 Regardez les spécificités au dîner de com' de Macron.
17:22 Bien sûr, organisé un maître d'histoire.
17:25 Il les siffle, ils arrivent.
17:28 Alors, on a eu le grand débat en 2019,
17:31 vous savez, Macron qui s'est quitté parler pendant 8 heures sur BFMTV, là.
17:35 On a eu le Conseil national de la refondation en 2022,
17:38 on ne sait pas ce que c'est devenu.
17:39 On a eu les conférences citoyens-citoyennes pipo, là, il y en a eu pas mal.
17:43 Et maintenant, Macron nous a tiré de sa poche un nouvel artifice de com'
17:48 et les "oppositions" en sont complices.
17:52 On nous a dit, en compte-rendu, il y a un consensus total, c'est extraordinaire,
17:57 sur l'OTAN, l'Ukraine, la Russie, la politique étrangère.
18:00 Bon, alors c'est le dîner de consensus.
18:02 Ok, on en rassure.
18:04 Je vais vous dire...
18:06 [Applaudissements]
18:09 Je me demande si l'un des invités a amené sa collection de boomerangs ou de Tour Eiffel en allumettes.
18:15 [Rires]
18:17 Ils ont dû se marrer, ces macrons-là.
18:19 [Applaudissements]
18:21 Moi, je vais vous dire, j'y serai allé 10 minutes.
18:25 Pour lui dire, Monsieur le Président de la République,
18:28 je reviendrai discuter sérieusement avec vous,
18:33 quand on pourra parler sérieusement.
18:36 Aujourd'hui, la France ne maîtrise ni sa monnaie, ni son commerce, ni ses frontières,
18:40 ni son immigration, ni son énergie, ni sa politique étrangère et de défense,
18:44 ni sa santé, rien.
18:46 Parce que nous sommes dans l'Union Européenne, dans l'euro, dans la CEDH, dans l'OTAN.
18:52 J'aurais continué, je lui aurais dit, Monsieur Macron, ne faisons pas semblant.
18:58 Je n'ai qu'une seule chose à vous demander.
19:03 Organiser en juin prochain, le même jour que les élections européennes, ça aurait un sens.
19:07 Un grand référendum sur le Frexit.
19:09 Et là, on pourra commencer à parler sérieusement.
19:12 [Applaudissements]
19:17 En attendant, Monsieur Macron, je n'ai nulle envie de partager le homard avec vous.
19:22 Je laisse vos ministres le faire.
19:24 Je n'ai nulle envie de servir votre com', alors bon dîner et bon vent.
19:28 J'aurais claqué la porte et je serais parti.
19:30 C'est ça ce qu'il fallait faire au dîner de com'.
19:32 [Applaudissements]
19:37 Franchement, ça suffit, je l'ai dit, les faux semblants.
19:40 De quoi parle-t-on, là, dans leur rentrée d'Abaya ?
19:43 Des derniers délires wokisto-féministo-viandophobe de Sandrine Rousseau ?
19:49 De la dernière photo Instagram de Bruno Le Maire à la montagne ?
19:53 Des derniers clichés de vacances people entre M. Véran et M. Attal ?
19:57 Du préférendum d'un gouvernement qui ne sait plus comment nous prendre pour des gogos ?
20:02 Du dernier livre de Sarkozy ?
20:05 Des dernières bisbis au sein de la nulle paix ?
20:07 Mais on s'en contrefiche de tout ça !
20:10 On n'en a rien à faire de tout ça ! Rien !
20:13 [Applaudissements]
20:18 Il faut être conséquent, il faut être solide, il faut être sérieux.
20:23 C'est-à-dire 100% anti-système, 100% anti-Macron, 100% anti-oligarchie, 100% pour la vérité,
20:31 la France libre et le peuple de France !
20:34 Voilà ce qu'il faut faire !
20:36 [Applaudissements]
20:44 Je vous ai parlé d'une liste de sujets, ils ont ripaillé avec Macron, ils ne parlent que de ça.
20:47 Moi, je préfère qu'on parle de la guerre d'Ukraine à nos portes.
20:52 Je veux la paix, moi, on veut la paix depuis le premier jour.
20:56 Je veux donc une France qui cesse d'être la remorque des projets de guerre de faucons américains,
21:02 ceux qui ont fait sauter Nord Stream,
21:04 ceux qui agitaient des fioles vides, vous savez, à l'ONU en 2003,
21:07 pour nous dire d'aller attaquer Saddam Hussein, Irak.
21:13 Je veux qu'on mette à terre le projet fou OTAN 2030, qui est un projet de guerre mondiale.
21:17 Et donc, je veux que la France quitte l'OTAN.
21:20 Cette organisation devra être dissoute.
21:24 Parce que tant qu'elle sera là, ce sera la guerre,
21:27 ce sera les coups d'État organisés, les fausses révolutions et le chaos du monde.
21:32 [Applaudissements]
21:38 Je veux qu'on parle de cette inflation dingue,
21:41 cette hausse des prix, notamment de l'énergie,
21:44 on a encore le premier haut, +10% électricité,
21:46 ils nous en réservent une prochaine le 1er février,
21:49 on essaie à étrangler les entreprises qui mettent la clé sous la porte,
21:52 et on continue plus bel.
21:54 Alors, je le dis très clairement,
21:57 nous devons d'abord stopper immédiatement les sanctions anti-russes,
22:00 parce que, oui, monsieur le maire, elles ont bien mis une économie à genoux,
22:04 mais ce n'est pas la russe, c'est la nôtre.
22:08 Champion, monsieur le maire, vous maîtrisez autant la mise à genoux des économies
22:12 que la superficie des hectares.
22:14 [Applaudissements]
22:18 Nous devons quitter immédiatement, immédiatement,
22:21 le marché européen d'électricité,
22:23 qui ne sert que les intérêts allemands,
22:25 et des concurrents parasites d'EDF qui ne produisent rien,
22:27 et on divisera immédiatement par 3 ou 4 les prix.
22:31 Franchement, c'en est assez du grand sabotage national.
22:35 Ceux qui sabotent le pays depuis tant d'années
22:37 doivent être considérés pour ce qu'ils sont,
22:39 les traîtres, et donc être jugés pour ce qu'ils font,
22:42 la haute trahison.
22:44 [Applaudissements]
22:52 Vous voulez parler d'immigration ?
22:54 D'accord, parlons-en.
22:56 Mais commençons par reprendre le contrôle
22:58 en quittant Schengen, la CEDH et l'Union Européenne.
23:02 Parce que sinon, vous pourrez toujours dire des mots très forts,
23:04 taper très fort de votre petit poing sur la table,
23:06 en disant "j'en veux plus, j'en veux plus, j'en veux plus",
23:08 mais vous finirez comme Mélanie,
23:10 fois deux, trahison totale.
23:12 C'est ça, la réalité.
23:14 Vous voulez parler d'agriculture ?
23:16 Vous versez même parfois des larmes de crocodile,
23:19 qu'elle a l'indécence, sur les Suisses paysans.
23:22 Pas grand monde en parle, deux par jour dans nos campagnes,
23:25 souvent au bout d'une corde.
23:28 Alors commencez par combattre,
23:32 comme l'ont fait victorieusement les paysans néerlandais,
23:35 contre les projets de destruction de notre cheptel.
23:38 La Cour des comptes a demandé l'exécution
23:40 de 200 000 vaches françaises.
23:42 Ça vient de l'Union Européenne,
23:44 ils font la même chose, je vous l'ai dit, aux Pays-Bas,
23:46 ils ont demandé la même chose en Irlande,
23:48 au nom de l'écologie.
23:50 Non mais c'est une plaisanterie,
23:52 parce que pendant ce temps-là,
23:54 Ursula von der Leyen va signer à tour de bras
23:56 des accords de libre-échange,
23:58 qui font qu'on importe comme jamais des tonnes de bœufs et de viande,
24:00 du Mercosur, du Chili, de Nouvelle-Zélande,
24:02 d'Australie, demain d'Inde,
24:04 au mépris évidemment de la pollution de la planète,
24:08 et de la condition animale d'ailleurs,
24:10 et de la qualité de ce qu'on a au final dans nos assiettes.
24:14 Ce ne sont pas nos vaches qu'il faut exécuter,
24:17 c'est bien plutôt le cheptel de Bruxelles
24:19 qu'il faut réduire drastiquement.
24:21 (Applaudissements)
24:26 Ce sont les vaches à l'eau de la Commission
24:28 dont il faut se débarrasser.
24:31 Ce ne sont pas nos vignes qu'il faut arracher,
24:34 ce sont leurs pots de vin qu'il faut leur arracher des mains.
24:37 Voilà la réalité.
24:39 (Applaudissements)
24:41 Alors, paysans de France, résistez, battez-vous,
24:44 vous nous trouverez toujours à vos côtés.
24:47 (Applaudissements)
24:53 Je n'entends pas non plus les oppositions du Guinée de Côme
24:56 nous parler de la société de restriction de liberté,
24:59 qui est en même temps une astreuse société de caste,
25:01 ça va ensemble.
25:03 Cette société que les mondialistes veulent nous imposer,
25:06 nos libertés attaquées, vous en avez beaucoup parlé,
25:09 par le règlement européen DSA,
25:11 contre les réseaux sociaux, contre la liberté d'expression,
25:13 on veut au contraire une loi qui punisse sévèrement la censure
25:16 et qui condamne lourdement les censeurs.
25:20 (Applaudissements)
25:22 Et en même temps, je le dis avec force,
25:27 tout ce qui est passe, sanitaire, vaccinal, carbone,
25:30 comme vous voulez, tout ce qui est confinement,
25:32 tout ce qui est euro, identité numérique,
25:34 tout ce qui est toute cette quincaillerie de Davos,
25:37 de l'OMS, de l'Union européenne, de Macron, de Véran,
25:41 tout cela doit être purement et simplement interdit,
25:47 combattu, pourchassé et rendu anticonstitutionnel.
25:52 C'est simple, c'est clair, c'est net.
25:54 (Applaudissements)
25:58 Car il en va, mes chers amis,
26:01 il en va de nos libertés bien sûr,
26:03 mais au-delà, il en va de notre dignité de français libre
26:08 et d'être humain, intègre et debout.
26:11 À l'inverse, l'argent liquide doit être,
26:13 comme en Autriche, comme en Suisse,
26:15 comme demain, par une loi au Royaume-Uni,
26:17 sacralisé par la Constitution et par la loi.
26:20 Le pouvoir infini de la banque et de la grande finance
26:23 doit trouver une limite pleine face à lui.
26:27 (Applaudissements)
26:30 Et puis bien sûr, je ne les entends pas sur ce qui constitue
26:33 le plus gros scandale sanitaire de ce siècle et des années à venir,
26:37 les effets secondaires, peut-être que je devrais dire d'ailleurs
26:39 les effets primaires des injections Covid.
26:43 Alors là, c'est le grand silence.
26:47 Médias, Assemblées nationales, Sénats, Gouvernements,
26:50 Élysées, grand silence.
26:53 Mon cher Aldo, le radar ne capte rien,
26:55 ce n'est pas bon signe.
26:57 La tour de contrôle ne répond plus.
26:59 Ça, ce n'est pas bon signe.
27:01 Alors on va compenser leur grand mutisme
27:03 en faisant un ramdame d'enfer, on le fait déjà.
27:07 Il y a derrière tout cela des incapacités, des blessés,
27:11 il y a des morts, il y a des familles en deuil,
27:14 il y a de la souffrance.
27:16 Et c'est notre devoir sacré d'obtenir vérité et justice
27:21 sur cette affaire, d'aller chercher non seulement
27:24 les SMS d'Ursula avec Bourla,
27:26 mais tous les responsables et tous les coupables,
27:28 d'obtenir justice, de les mettre, je l'ai dit, en taule.
27:32 Car quand on a fait ça, on est capable de refaire ça.
27:37 Il faut les empêcher de dire.
27:39 [Applaudissements]
27:42 On ne lâchera pas l'affaire.
27:44 [Applaudissements]
27:46 Je vais vous dire, si l'hystérie Covid était de retour,
27:49 ou n'importe quelle hystérie qui nous imposerait un masque
27:52 ou un vaccin obligatoire, ou même un couvre-feu,
27:54 un confinement, nous le disons déjà,
27:57 ce serait la désobéissance totale, collective et organisée.
28:02 [Applaudissements]
28:05 Les patriotes ont toujours pris leurs responsabilités
28:08 et les prendront toujours.
28:10 [Applaudissements]
28:12 Alors vous voyez, on a du pain sur la planche.
28:15 Mais ça ne nous fait pas peur.
28:17 Ça ne fait pas peur à quelqu'un ici ?
28:19 Rien ne nous fait peur.
28:22 Nos cœurs sont gonflés à bloc,
28:25 nos manches retroussées et nos âmes vaillantes.
28:29 [Applaudissements]
28:31 Alors, il y a bientôt un rendez-vous important,
28:34 en juin prochain, les élections européennes.
28:37 Je sais, beaucoup ici et ailleurs d'ailleurs,
28:40 ne croient plus vraiment aux élections aux urnes,
28:43 à tout ça, comment d'ailleurs ne pas les comprendre.
28:46 Mais je vais vous dire trois choses.
28:49 D'abord, votre horizon des prochains mois
28:51 ne va pas se limiter aux élections européennes, certainement pas.
28:54 Je l'ai toujours dit, je ne varie pas,
28:56 le combat politique avec un P majuscule, sérieux,
28:59 ne se réduit pas aux urnes.
29:01 Il doit être permanent, il doit être quotidien
29:04 et nous serons là à chaque jour, avec vous,
29:07 pour organiser une moulte d'opérations en France,
29:09 dans la rue, dans les tribunaux,
29:12 devant les sièges des grandes banques, des grandes boîtes,
29:14 des grands labos, des ministères,
29:16 pour secouer le coquettier, pour alerter,
29:18 pour réveiller, pour proposer, pour se rebeller,
29:21 pour rassembler et pour tout changer.
29:24 Élections européennes ou pas, on est là, on sera là,
29:32 on a toujours été là.
29:34 Deuxième chose,
29:36 j'aurai l'honneur de mener une liste aux élections européennes
29:39 et j'aurai l'honneur de la faire gagner.
29:49 On ne gagnera pas dans la compromission,
29:51 dans la tchéder,
29:53 dans la soumission ou même la demi-soumission,
29:56 aux politiques bancs corrects, aux prêt-à-penser,
29:59 à l'ère du temps, comme on dit, qui n'est souvent
30:01 que ce que souffle l'oligarchie à l'oreille des médias.
30:05 Non, vous pouvez nous faire confiance,
30:08 je vous le dis,
30:10 vous pourrez retrouver foi en l'engagement politique
30:13 avec un P majuscule,
30:16 parce que dans ces élections,
30:18 on ne sera pas différent de ce qu'on est maintenant,
30:21 on ne dira pas des choses différentes.
30:23 Si je mène une liste,
30:26 c'est pour qu'elles disent les choses,
30:28 sinon je reste chez moi, ça ne m'intéresse pas.
30:31 Sans détour, sans longue de bois.
30:34 On veut le Frexit, alors on défendra le Frexit.
30:37 On veut nos libertés,
30:41 alors on défendra nos libertés.
30:45 On en a marre de l'oligarchie,
30:48 alors on va faire une liste 100% anti-oligarchie.
30:52 Ce sera même sûrement la seule, d'ailleurs.
30:57 100% anti-système.
31:00 On va alors rentrer dans l'art,
31:04 dans l'art de l'Union Européenne,
31:06 dans l'art de la Macronie,
31:08 dans l'art de ces fausses oppositions
31:10 qui trahissent à tour de bras,
31:12 dans l'art des grands médias aussi,
31:14 qui voudraient nous imposer notre manière de penser et de dire,
31:17 dans l'art des corrompus,
31:19 des coïdis, des vattes en guerre,
31:21 de toutes ces cliques,
31:23 des gays, des oursoulas, des bourreaux, des schvab, etc.
31:26 On va rentrer dans l'art.
31:28 100% libération de la France.
31:30 100% souveraineté.
31:33 100% liberté.
31:35 100% vérité.
31:37 100% paix.
31:39 100% résistance.
31:41 100% France.
31:43 Voilà notre liste.
32:09 Et la troisième et dernière chose, je veux le rassemblement.
32:12 Je vis pour le rassemblement.
32:15 Je ne supporte pas les crises d'égo
32:19 qui nous divisent si bêtement,
32:21 de façon si irresponsable.
32:23 La France, le monde vont bien trop mal
32:27 pour qu'on se permette d'être divisé.
32:29 C'est un crime d'être divisé,
32:33 quand on peut faire autrement.
32:35 Un crime contre nous-mêmes,
32:38 contre notre France, notre humanité, notre monde,
32:41 et contre les futures générations
32:43 qui ne peuvent pas encore se battre.
32:45 Et on a le devoir de se battre pour elles.
32:47 Je veux dire, c'est aussi un crime contre nos aïeux
32:50 qui se sont sacrifiés pour beaucoup,
32:52 pour qu'on vive dans un beau pays, qu'on vive libre.
32:55 Alors, je viens de dire,
33:03 vous m'entendez bien,
33:05 je sais que je le répéterai,
33:07 parce qu'il faut toujours que les gens vous demandent de répéter les choses,
33:09 c'est normal, mais je vais vous le dire de la façon la plus claire qui soit.
33:12 Tout souverainiste sincère,
33:14 a fortiori tout fréqueciteur conséquent,
33:20 est appelé et attendu sur cette liste
33:23 et dans ce combat.
33:25 C'est clair, c'est net, c'est dit.
33:28 (Applaudissements)
33:31 Quand votre maison brûle,
33:41 que les pompiers ne sont pas là,
33:44 que vous êtes démunis face aux flammes,
33:49 on ne négocie pas.
33:55 On ne cherche pas mille prétextes.
33:58 On ne s'amuse pas à dire
34:00 "Ah ben non, je ne veux pas que tel voisin vienne m'aider,
34:03 parce que...
34:05 je ne l'aime pas.
34:09 Parce que j'ai acheté ma maison avant lui,
34:12 il a construit une maison plus grande que la mienne à côté."
34:15 (Applaudissements)
34:18 Parce qu'un jour, on s'est fâchés.
34:25 Parce que s'il m'aime et qu'on arrive à éteindre les flammes,
34:28 je devrais partager la gloire d'avoir éteint les flammes avec lui.
34:31 Parce que... j'aime pas sa coiffure.
34:36 J'aime pas sa femme.
34:38 J'aime pas ses amis.
34:40 Je vais vous dire, le temps que vous disiez tout ça,
34:43 votre maison a cramé, vous êtes morts,
34:46 le feu s'est propagé et tout le monde est fichu.
34:49 Donc un peu de sérieux,
34:51 voilà, juste un tout petit peu de sérieux et de maturité.
34:55 (Applaudissements)
34:58 Unité, vérité, responsabilité, amour de la France.
35:07 Si on s'en tient à ça, et c'est déjà pas mal,
35:10 si on est réellement sincère,
35:13 si on n'est pas bouffi d'orgueil et d'égo,
35:16 on comprend immédiatement qu'aucun faux prétexte ne tient.
35:20 Et ne résistera à l'appel au rassemblement
35:23 pour sauver la France, sauver nos libertés,
35:26 nos vies et notre humanité.
35:29 Parce que c'est bien ça.
35:31 (Applaudissements)
35:34 C'est ça, l'esprit des patriotes.
35:38 C'est ça, l'esprit, et ce sera ça,
35:43 l'esprit de notre liste aux élections européennes.
35:46 C'est cet esprit que d'éminentes personnalités
35:51 rejoindront, à n'en pas douter,
35:55 apportant leur expérience, leur force,
35:59 leur conviction, leur sincérité,
36:03 leur amour du pays.
36:05 Je leur dis d'ores et déjà par avance,
36:08 bienvenue, on va faire un boulot formidable.
36:12 (Applaudissements)
36:20 En 2018, à Arras, nous avions planté une graine.
36:24 Là.
36:26 À Beaurent en 2021, nous voyons l'arbuste grandir chaque jour.
36:33 À Arras en 2023, aujourd'hui, les patriotes sont un arbre robuste.
36:39 Ses racines ont profondément pénétré le sol.
36:45 L'arbre tient debout.
36:48 Il est ancré.
36:51 Aucune tempête ne peut plus le faire vaciller.
36:54 C'est fini.
36:55 Son tronc s'est épaissi.
36:57 Il a grandi.
36:58 On peut s'y accrocher comme on s'accroche au roc dans la houle.
37:02 Il est droit comme le sont nos convictions.
37:05 Il fonce vers le ciel comme nous fonçons vers notre avenir.
37:09 Ses branches et son feuillage sont fournis comme le sont les milliers d'âmes et de cœurs
37:16 qui, chaque jour, sont au combat.
37:18 Ses branches et ses feuilles visent le soleil et s'en rapprochent chaque jour un peu plus,
37:24 comme nous visons le meilleur et tentons chaque jour de l'atteindre.
37:30 N'oublions jamais la graine qu'il fut au départ et la somme de labeur qui a été
37:40 nécessaire pour en arriver là.
37:42 Restons fidèles à ce que nous sommes.
37:45 Ouvrons nos bras à ceux qui voudront nous rejoindre.
37:49 Aimons chaque jour davantage la France.
37:52 Soyons chaque jour plus forts, plus sûrs, plus solides.
37:57 Cultivons nos âmes.
38:00 Je vous l'annonce, vous êtes tous les biens venus.
38:04 Rejoignez-nous, aidez-nous, aidons-nous.
38:10 De la racine au ciel, du ciel à la racine, ne faisons qu'un.
38:17 Et demain, l'arbre sera le plus grand de la forêt.
38:23 Et ce sera notre victoire. Et ce sera notre victoire de France.
38:29 Vive la liberté, vive la résistance, et vive le patriote, et vive la France libre !
38:36 Liberté, liberté, liberté, liberté !
38:54 Allons les enfants de la patrie, le jour de gloire est arrivé.
39:03 Et fêtent-ils nos fiches et nos combats, le roi du citoyen !
39:12 L'Estade reste ouvert pendant encore quelques temps.
39:20 Il me serait donc possible de donner pour permettre aux gens de vous direr à vous.
39:27 Il y a également un centre de service à l'histoire et de charlotte.
39:33 Le jardin des filles sous la liste.
39:36 À la note votre loi n'a pas de conditions concrètes.
39:39 Il faut que vous ayez une relation avec la création du pays.
39:42 Que vous soyez un cousin pour marcher.
39:44 C'est pas grave, c'est de la famille.
39:47 On a plein de matos à porter.
39:50 Je suis mort quelque part.
39:52 C'est bien de pas se... savoir quand on va se...
39:56 Tout ce que je raconte...
39:58 Alors à nous !
39:59 Vous avez pris avec intérêt chez les Hauts-de-Lune pour faire un concert.
40:01 Ah bah c'est sympa !
40:02 Je mets quel prénom ?
40:03 Nathalie.
40:04 Nathalie ?
40:05 Oui.
40:06 Merci pour ce bon gré, franchement j'ai vécu une journée incroyable.
40:11 Je suis ravi.
40:13 Vous allez faire du scotch.
40:15 Merci.
40:16 Ah bah super.
40:17 On était ici pour le premier congrès des Patriotes, on était à Arras, on était 400.
40:21 Là on était 1600, 4 fois plus.
40:24 Du monde, des invités hyper variés, des invités qu'on avait pour l'instant pour beaucoup jamais vus dans nos événements.
40:30 Qui ont pris la parole.
40:32 De la ferveur, d'énergie, une envie folle des gens de se battre sur le terrain.
40:35 Une annonce pour les européennes.
40:37 Que me manquent nos peuples quoi.
40:39 Non on est ravis, c'est très bien.
40:40 Je félicite tous les bénévoles, tous les organisateurs.
40:42 Parce que ça a été un sacré boulot, c'est un gros boulot.
40:44 Et ça nous permet d'avoir un très très bien événement.
40:46 Il fait une dédicace, il a pas.
40:50 Bonjour.
40:51 En fait il est sorti dans le courrier.
40:53 Je voulais vous dire que j'allais venir.
40:54 Le journaliste.
40:55 Vous me rappelez, vous m'avez répondu.
40:57 Oui, oui.
40:58 Le Musque City.
40:59 Je voulais venir.
41:00 Je sais pas pourquoi d'ailleurs.
41:02 Moi très très bien.
41:07 Je peux vous dire quelque chose, c'est que tout simplement, je savais pas comment je pourrais dire, on m'a poussé à venir.
41:13 Donc je suis venu, mais je savais pas pourquoi.
41:17 Je trouve qu'il y avait une raison.
41:19 Donc la raison, c'est ce que j'ai entendu.
41:21 Voilà.
41:23 Merci.
41:24 [Musique]
41:28 [Musique]
41:29 Merci à tous !
41:31 [SILENCE]