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Fabrice Luchini complimente Laurent Delahousse : "Il est très mignon, les homos ont la gaule"
Transcription
00:00 Bonjour à tous ! Les habités de ces manchois vous font souvent hurler de rire, ils vous
00:10 révoltent ou ils vous touchent. Vous avez tout particulièrement aimé les naturistes,
00:17 les roux, les tatoués ou encore les cougars. On a pu également découvrir que tu étais
00:22 une bombe et que tu ne t'en cachais pas aussi sur une vidéo ultra hot pour une chaîne
00:26 de rap américaine. On regarde un extrait et on en parle tout de suite. Désolée, on
00:30 a été obligé de tout flouter sauf le visage parce que c'était très compliqué pour
00:33 nous. On a des jeunes qui nous regardent. On regarde.
00:35 Ça aurait été avec grand plaisir, vous le savez, je vous adore.
00:50 Et si vous veniez quand même par la magie de la télévision ?
00:56 Comment ça va ? Elle est bien la baignoire.
01:04 Il t'a embrassé que la bouche ? Ou que les autres endroits aussi ?
01:07 Mais oui, c'est grave. Mais quel horaire !
01:11 Ou une partie un peu plus au sud. Genre, tu vois ?
01:19 Ou un peu plus bas. Elles sont douées pour la vie, les femmes.
01:24 Les hommes sont lourds, assez solennels, très vaniteux, préoccupés par leurs zizis.
01:29 J'ai ce qu'on appelle la maladie du boulanger. C'est-à-dire que j'ai la brioche qui tombe
01:33 sur la baguette. Ça ne me dérange pas.
01:35 Je vous explique ce qui s'est passé. Aux Etats-Unis, ça fait très cher.
01:38 Il n'y a personne. C'est le désert. C'était le matin.
01:41 C'était le matin. En fait, je suis sorti de ma chambre. Je voulais aller chercher à
01:45 boire dans la chambre à côté, où il y avait Camille.
01:49 Mais ta chambre, c'est quoi ? Tu dors dans une machine à saut ?
01:50 Non, je sors de ma chambre et là, la porte se ferme. Je n'avais pas mon portable. La
01:53 porte se ferme. Je me retrouve comme un con à taper à la porte de Camille. Camille dort.
01:58 Et je suis obligé de descendre chercher une carte.
02:00 Et donc, je suis en slip. Et là, je rencontre une jeune fille qui travaille avec nous qui
02:03 fait "Ah, c'est Ré !"
02:06 C'est bon, c'est bon. Allez, allez-y.
02:09 Je trouve que le journal de Pujadas est remarquable. Et j'en parle dans le livre sur ce moment
02:15 merveilleux sur la France.
02:17 De La House, il doit se méfier de ses vertus. C'est-à-dire, il est très mignon physiquement.
02:25 Les homos ont la gaule. Et il faut qu'il écoute un peu plus les réponses.
02:30 Ah, ok, ok.
02:31 Tu n'as pas de respect. T'as-tu vu ce que tu as fait dans le dos d'Aurélie comme ça,
02:36 comme un enfant de deux ans ? T'es juste une... C'est tout ce que t'es. Arrête. Ferme ta
02:41 gueule et arrête de faire tout ce que tu veux.
02:42 C'est pas le fun, gueule !
02:43 L'important, c'est la mise en scène de la soupe.
02:46 Ne mettez pas la pression, Stéphane.
02:48 Non, non. Mais il ne faut pas tarder.
02:50 15 secondes.
02:51 Ah, c'est ce que ça fait.
02:52 Tu viens de te dresser, il faut mettre quelque chose dans l'assiette.
02:55 10 secondes.
02:56 Non, putain, arrêtez Stéphane.
02:57 Et là, j'ai qu'une envie, mais c'est de m'effondrer en larmes. Mais c'est le ciel
03:02 qui me tombe sur la tête.
03:03 ♪ ♪ ♪

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