Le débat des Primaires Parodie Gad Elmaleh et Jamel Debbouze
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00:00 C'est une heure décisive pour la France, puisque dans quelques instants, Amit Bergeron et Jean-Michel Benabdella vont s'affronter dans ce dernier débat des primaires.
00:16 C'est maintenant, et c'est dans le SNL.
00:20 [Musique]
00:33 Mesdames, Messieurs, bienvenue.
00:36 [Applaudissements]
00:38 Bienvenue dans ce dernier débat des primaires.
00:41 Ce soir, face à face, nos deux candidats, Amit Bergeron et Jean-Michel Benabdella vont confronter leurs idées pour la France.
00:51 Je ne suis pas d'accord déjà, de base.
00:53 A la base, je m'oppose...
00:55 Mais ce n'est même pas vrai ça, monsieur.
00:57 Ce n'est même pas la peine.
00:58 Vous n'avez même pas une once.
01:00 Attendez, un peu de patience.
01:01 Mais non, je ne suis pas d'accord avec ça.
01:03 Un peu de patience, vous allez pouvoir vous expliquer.
01:05 Oui, j'essaie, mais c'est pour l'ambiance Ludiball à la Polymé.
01:08 On s'y chauffe.
01:10 [Rires]
01:11 Et croyez-ci-t-il...
01:13 Mais le débat va commencer, ne vous inquiétez pas, et notamment avec un sujet très important, un sujet sur lequel vous vous êtes beaucoup exprimé, et l'un et l'autre.
01:21 Je veux parler de l'immigration.
01:22 Ah oui, ça, oui, alors là...
01:23 Alors, monsieur Benabdella...
01:25 [Bafouillage]
01:26 Monsieur Benabdella, pour commencer, c'est le tirage au sort qui a décidé.
01:29 Monsieur Benabdella, quelle est votre position sur l'immigration ?
01:32 Alors, pour l'immigration, si simple, je suis favorable pour l'ouverture totale des frontières.
01:39 [Rires]
01:40 Mais que le dimanche.
01:42 [Rires]
01:43 Le reste, tu dis la semaine, je suis pour une immigration alternée.
01:46 C'est-à-dire ?
01:47 C'est-à-dire, si tu n'y es un jour père, tu rentres.
01:50 [Rires]
01:51 Si tu n'y es un jour pas père, tu dégages chez ta mère, voilà.
01:54 [Rires]
01:56 [Applaudissements]
01:57 C'est simple.
01:58 [Applaudissements]
01:59 C'est fait, hein.
02:00 Alors là...
02:01 [Applaudissements]
02:02 Alors là, c'est...
02:03 C'est bien, ça.
02:04 Ah oui, non.
02:05 [Applaudissements]
02:06 Monsieur Bergeron, c'est...
02:07 Non, ça, ça, quand j'entends des choses comme ça, ça me met hors la loi.
02:10 C'est-à-dire que ça me...
02:11 Moi, je me suis exprimé à plusieurs reprises.
02:14 Je veux une immigration choisie.
02:16 Choisie comment ?
02:17 Avec la plouf.
02:18 La plouf ?
02:19 [Rires]
02:20 On ramasse des immigrés dans une salle et c'est parti.
02:23 Ça va être toi qui vas avoir un quartier, genre.
02:29 Mais n'importe quoi, mais n'importe quoi.
02:32 Mais c'est quoi, c'est merde.
02:33 [Applaudissements]
02:34 Aux Etats-Unis, pour la noterie, pour la carte verte, non ?
02:36 Mais c'est n'importe quoi, c'est n'importe quoi.
02:38 Ça va.
02:39 Autre thématique, autre thématique qui a agité la campagne, c'est l'emploi.
02:43 Alors, monsieur Bergeron, quelle est votre position sur l'emploi ?
02:46 Alors là, moi, je vais vous étonner.
02:49 Vous êtes prêt ?
02:50 Je suis prêt.
02:51 Figurez-vous...
02:53 Figurez-vous, déjà.
02:54 [Rires]
02:56 Voilà.
02:57 Je vais supprimer 3 millions de postes de fonctionnaire.
03:01 Je dis...
03:02 [Rires]
03:03 S'il vous plaît, laissez-moi...
03:04 [Rires]
03:07 C'est incongru, c'est incongru.
03:08 Je veux 5 fonctionnaires seulement en France.
03:11 Un dans le nord, un dans le sud.
03:13 [Rires]
03:14 Un à l'est, un à l'ouest, un au centre.
03:16 Et je veux que les gens, ils dépannent, ils organisent.
03:18 Je veux que les gens, ils commencent à faire le multicasquette en France,
03:21 qu'ils apprennent plusieurs métiers.
03:22 Je veux que, par exemple, un juge d'instruction, il peut conduire l'ambulance.
03:25 [Rires]
03:27 Un policier, il peut servir des enfants à la comptaine, les arrêts couverts.
03:31 L'assistante sociale, il fait la circulation.
03:33 Et là, il y a du boulot, là, il y a de l'ambiance.
03:35 Merde !
03:36 [Rires]
03:37 [Applaudissements]
03:42 Ça va, on est pas...
03:44 [Applaudissements]
03:45 Monsieur Benabdella, quelles sont vos propositions pour combattre le chômage ?
03:49 Ah, pour ça, je vois qu'un sub-solution.
03:52 Pour combattre le chômage, j'envoie l'armée.
03:54 [Rires]
03:55 Les tontes, les chars, les fantassins, les baïonnettes et du zespigic.
03:59 [Rires]
04:00 Mais toujours dans la politesse et le respect, toujours.
04:04 Alors, autre sujet plus que sensible, monsieur Jean-Michel Benabdella, êtes-vous favorable au mariage pour tous ?
04:10 Ah, allez !
04:12 [Rires]
04:13 Ah, monsieur qui fait des déclarations à droite à gauche !
04:16 Ah, t'inquiète pas, t'inquiète pas, laisse-moi faire, t'inquiète pas.
04:19 Allez, monsieur !
04:20 Ah, je suis courant !
04:22 Laisse-moi tranquille, s'il vous plaît.
04:24 Allez, oui, vas-y, déclare, là !
04:26 Alors, j'ai souhaité qu'on te... écoutez bien la réponse.
04:29 Ah, oui, écoute bien, ça je la connais, je l'ai lu dans les magazines, tu m'as choqué depuis longtemps.
04:33 Écoute-moi.
04:34 Oui, écoute-moi, toi !
04:35 Non, s'il vous plaît !
04:36 Monsieur Benabdella...
04:37 Mais, comment ça vient de...
04:38 Monsieur Benabdella, répondez-moi !
04:40 Répondez-moi, monsieur Benabdella !
04:41 Monsieur... monsieur le cabache...
04:43 Euh... euh... comment tu... euh... euh...
04:46 Piladasse, monsieur Piladasse.
04:47 Monsieur Piladasse, c'est... ça y est, merde !
04:49 [Rires]
04:50 C'est bon ?
04:51 Oui.
04:52 Merci.
04:53 Monsieur Benabdella, s'il vous plaît, le mariage pour tous.
04:55 Allez, prépare.
04:56 Alors, je l'ai déjà dit, mais je suis contre toute forme de discrimination.
04:59 Oui.
05:00 Que ce soit un homme, une femme, un blanc, un noir, un maigre, un pédé...
05:04 [Rires]
05:05 Pour moi, c'est tous la même chose. Mais toujours dans le respi et la politesse.
05:09 Très bien.
05:10 Ami de Bergeron...
05:11 [Applaudissements]
05:13 Ça, c'est... alors là...
05:14 [Applaudissements]
05:15 Il recueille des... il recueille des applaudissements sur des propos scandaleux.
05:20 Moi, je vais vous étonner. Est-ce que vous êtes prêt à être étonné ?
05:23 Je suis prêt, monsieur Bergeron.
05:24 Euh... je suis pour le grand retour de la religion catholique à tous les niveaux.
05:30 Car la parole de Jésus, elle est belle merde.
05:33 [Rires]
05:34 Bien. Maintenant, monsieur Benabdella, j'aimerais revenir avec vous sur les 5 points phares de votre programme.
05:40 5 ?
05:42 [Rires]
05:45 J'avais dit "du". J'avais dit "du".
05:47 [Rires]
05:48 5, quand même... j'ai pas fait politique, les gars.
05:51 [Rires]
05:53 Hein ?
05:54 Ouais, c'est beaucoup, ça.
05:56 On vous écoute.
05:57 [Rires]
05:58 [Applaudissements]
06:01 On vous écoute.
06:02 Non, tu copies pas. Ça, c'est mon programme. Laisse-moi tranquille.
06:05 Déjà, en proposition, je suis favorable au droit de vote des femmes.
06:10 [Rires]
06:11 Ça existe déjà ?
06:12 Eh oui, hein.
06:13 Ah bon ?
06:14 Oui, eh oui.
06:15 Pour toutes les femmes ?
06:16 Ah oui.
06:17 Même les petites ?
06:18 [Rires]
06:20 Alors, dans ce cas, je suis pour le droit de vote pour tous les gétans.
06:24 [Rires]
06:26 Parce que je les adore, les gétans.
06:28 Mais même si ils font la bagarre pour s'unir...
06:31 Oui, c'est vrai.
06:32 Même s'ils vous le disent "pour les joumala la guetar", c'est un peuple que j'affectionne.
06:37 Et d'ailleurs, je vais déjà le dire ici, je vais construire un gros parking à la place de la ville de Toulouse...
06:42 [Rires]
06:43 ...que j'appellerai "la gétane".
06:45 [Rires]
06:47 La gétane.
06:48 Eh oui.
06:49 Ça, ça tape bouche à coin, ça.
06:51 Non, c'est... Oui, bon.
06:52 Vas-y.
06:53 À votre tour.
06:54 Je pense que la France, aujourd'hui, est préoccupée par un problème majeur.
06:58 Vous êtes prêts à écouter ce problème majeur ?
06:59 Je suis toujours prêt.
07:00 La sécurité.
07:01 [Rires]
07:05 S'il vous plaît, c'est pas de la rigolade.
07:06 La sécurité, le Français, il a peur.
07:07 Il dort pas, il est mal à l'aise.
07:09 Il est mal à l'aise.
07:10 Le Français, il est mal à l'aise.
07:12 Vous comprenez ça ?
07:13 Je comprends.
07:14 Il sait pas.
07:15 Quand il sort dans la rue, il esquive la...
07:17 Il est fripé.
07:18 Le copain, il est fripé.
07:19 Il sait pas, merde.
07:20 Ouais, ouais.
07:21 Il faut arrêter la...
07:22 Ouais.
07:23 Il faut dire les choses.
07:24 Voilà.
07:25 Un Français, il sent pire.
07:26 Il sort en ce moment, il est...
07:27 Il est à gare.
07:28 Il est à gare.
07:29 À gare.
07:30 À gare.
07:31 Il cherche.
07:32 Il sait pas.
07:33 Il sait même pas ce qu'il cherche.
07:34 Non, c'est vrai, lui, bon.
07:35 Il a peur.
07:36 Il sait pas de quoi il a peur.
07:37 Il sait pas.
07:38 Et ça, pourquoi ? Merde.
07:39 On va où, là ?
07:40 Alors, là...
07:41 Attends, je...
07:42 Je vous aime pas.
07:43 Moi, je suis d'accord avec moi aussi.
07:44 Ça fait plaisir.
07:45 C'est vrai.
07:46 Mais c'est un problème, la sécurité, que je vais soulever ce soir.
07:55 Je sais que ça va faire un couac, ça va faire un buzz.
07:57 Ça va soulever beaucoup d'associations de Chinois.
08:00 Mais je veux dire, par exemple, sur les fichiers S, quand même, les fichiers S, le nombre
08:09 de lettres de l'alphabet qu'il y a avant S, on peut pas s'organiser avant d'arriver au
08:14 S ?
08:15 C'est vrai.
08:16 C'est vrai.
08:17 Non, mais c'est vrai, ça.
08:18 Non, mais ça, ça me révolte.
08:19 C'est vrai, ça.
08:20 Ça me révolte.
08:21 J'ai suivi ma cour avec vous.
08:22 Les Français, ils s'organisent toujours à la dernière minute.
08:23 Voilà.
08:24 C'est comme pour les cadeaux de Noël.
08:25 Non, mais ça, tu veux pas comparer la menace terroriste avec les cadeaux de Noël, quand
08:26 même, tu vas pas commencer.
08:27 Alors, là, ça, c'est n'importe quoi.
08:28, il y a des limites, tu vois ce que je veux dire ? Je vois très bien, mais il faut
08:47 parler dans la limite.
08:48 Justement, en parlant de Père Noël, Monsieur Belgeron, s'il vous plaît.
08:49 Vous n'êtes pas à l'auteur du sujet.
08:50 Désolé de vous dissavoir avec cet antique du chauffeur, là.
08:51 Et l'attaque sur le physique, si je peux vous dire, c'est que c'est un peu comme pour
08:52 les cadeaux de Noël.
08:53 Vous n'êtes pas à l'auteur du sujet.
08:54 Désolé de vous dissavoir avec cet antique du chauffeur, là.
08:55 Et l'attaque sur le physique, si je peux vous dire, c'est que c'est un peu comme pour
08:56 les cadeaux de Noël.
08:57 Alors, là, je vais pas y aller parce qu'il y a à boire et à manger.
08:58 J'ai fait une parenthèse.
08:59 Monsieur, je vais vous dire, j'ai un enfant, moi.
09:00 J'ai un enfant, moi.
09:01 J'ai un enfant, moi.
09:02 Il a trois ans.
09:03 Il vous a vu à la télé le jour.
09:04 Disez ce qu'il a dit.
09:05 Qu'est-ce qu'il a dit ?
09:06 Il a dit que je suis un enfant.
09:07 Il a dit que je suis un enfant.
09:08 Il a dit que je suis un enfant.
09:09 Il a dit ça.
09:30 Il a fait "Aaah".
09:41 Votre enfant, il m'a regardé, il a fait "Aaah".
09:42 Les enfants...
09:43 A mon avis, c'est un animal, celui-là.
09:44 Non, non, non, non, non.
09:45 Ils ont peur du vent.
09:46 C'est pas un enfant.
09:47 Vérifiez.
09:48 Vérifiez bien.
09:49 Peut-être, peut-être, c'est un chien.
09:50 S'il vous plaît.
09:51 Monsieur, madame, s'il vous plaît.
09:52 Monsieur Bergeron.
09:53 Claire Chazard.
09:54 S'il vous plaît, vous, déjà.
09:55 Oui.
09:56 Monsieur, je vous rappelle que les Français vous regardent un peu de tenue, s'il vous
09:57 plaît.
09:58 Oui, mais ils ont peur.
09:59 Non, non, non, non.
10:00 Vous l'avez...
10:01 Les Français s'excusent trop.
10:02 Hein ?
10:03 Oui, non, non, non.
10:04 Les Français, justement, ont une question à vous poser parce que j'aimerais qu'on revienne
10:10 sur un sujet qui a fait couler beaucoup d'encre.
10:13 Oui, oui, oui.
10:14 Vous vous êtes engagé...
10:15 Oui.
10:16 ...à verser 1 000 euros.
10:17 Oui.
10:18 Combien ?
10:19 1 000 euros.
10:20 Oui, oui.
10:21 En espèces...
10:22 Oui.
10:23 ...à chaque électeur, si vous êtes élu.
10:24 Oui.
10:25 Alors, ça soulève...
10:32 Ça soulève, évidemment, une question.
10:39 Mais soulève.
10:40 Soulève ce que je vais soulever.
10:41 Je n'ai rien à foutre.
10:42 Soulève.
10:43 Avec quel argent ?
10:44 Alors là, tu crois...
10:45 Alors là, voilà.
10:46 ...que va pliger, là.
10:47 Alors, je vais te dire, d'abord, c'est avec mon argent personnel, entre parenthèses,
10:53 que j'ai économisé à ma manière.
10:56 Oui, très bien.
10:57 Mais vous êtes jaloux...
10:58 Non, non, non.
10:59 Est-ce qu'on doit y voir un lien avec le fait que vous n'ayez pas payé vos impôts depuis
11:02 23 ans ?
11:03 Ah !
11:04 Alors, depuis combien, pardon ?
11:05 S'il vous plaît.
11:07 Depuis combien, pardon, M. El-Khabach ?
11:10 Depuis 23 ans.
11:11 23 ans.
11:12 Est-ce que vous avez quelque chose à nous dire là-dessus ?
11:14 Oui.
11:15 Je vous écoute.
11:16 Que le temps passe vite.
11:18 C'est tout ?
11:19 C'est tout ?
11:20 Alors là, alors là...
11:21 Et croyez-que...
11:22 Alors là, et puis tu vois...
11:23 Et croyez-que il va me pliger ?
11:24 Mais là, je suis abasourdi, là.
11:25 Là, il fait...
11:26 Ça, c'est de Hamid Birjour en tout craché, ça.
11:27 Tout le...
11:28 Ça me met une air...
11:29 Il fait toujours la faute.
11:30 Il a du vous disorganiser, M. Périnade.
11:31 Il pratique la langue du chat, là.
11:32 Et vous, vous dites rien.
11:33 Vous êtes son copain.
11:34 Non, non, non.
11:35 Vous êtes son copain.
11:36 Non, non, non.
11:37 Vous êtes son copain.
11:38 Non, non, non.
11:39 Vous êtes son copain.
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11:43 Vous êtes son copain.
11:44 Non, non, non.
11:45 Vous êtes son copain.
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12:00 Non, non, non.
12:01 Vous êtes son copain.
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12:03 Vous êtes son copain.
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13:00 Non, non, non.
13:01 Vous êtes son copain.
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