• l’année dernière
Gérald Darmanin, ministre de l'Intérieur, s'exprime deux jours après la mort de Nahel, tué lors d'un contrôle policier à Nanterre.

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Transcription
00:00 Alors je veux dire que les policiers ont payé un lourd tribut, les policiers et les gendarmes,
00:04 puisqu'il y a eu 170 blessés chez les policiers et chez les gendarmes.
00:08 Fort heureusement aucun de la pronostics vitale n'est engagé.
00:11 Il y a eu également une réponse de la part de l'Etat, puisqu'il y a eu plus de 180 interpellations
00:15 et sans doute qu'on en aura davantage aujourd'hui.
00:18 Moi je voudrais surtout dire que nous avons aujourd'hui à nous mobiliser extrêmement fortement,
00:25 au ministère de l'Intérieur, pour que la réponse de l'Etat soit ferme
00:28 et que si la justice doit passer dans le calme,
00:31 et le procureur de la République s'est exprimé ce matin,
00:33 bien évidemment sur la terrible affaire de Nanterre,
00:36 je veux redire que les émeutes que nous avons connue cette nuit n'ont rien à voir avec cette histoire
00:40 et qu'attaquer une école, incendier un centre social, incendier une mairie,
00:43 n'a rien à voir avec cette histoire de Nanterre.
00:46 Donc les professionnels du désordre doivent rentrer chez eux.

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