• il y a 2 ans
Avec Valérie Mairesse, Danièle Evenou, Jean Benguigui, AZ, Eric Laugérias et Steevy

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😹
Amusant
Transcription
00:00:00 De Laurent Ruquier, c'est de 15h30 à 18h sur RTL.
00:00:08 Bonjour, heureux de vous retrouver avec pour vous aujourd'hui une grosse tête bombe anatomique
00:00:16 à la Seine comme à la Rochelle, Valérie Mérense.
00:00:23 Une grosse tête pervanche qui perd parfois les pétales, Daniel Evenou.
00:00:31 Une grosse tête qui a réussi à joindre les deux bouts de l'alphabet A.
00:00:40 Une grosse tête qui s'arrache les cheveux qui lui restent pour trouver les bonnes réponses,
00:00:48 Jean Bendigui.
00:00:54 Une grosse tête qui file des boutons à Google Traduction, Eric Legérias.
00:01:02 Et une grosse tête qui aime tellement le Mans qu'il croit que le lac de Genève rend hommage à sa ville,
00:01:11 Stevie Boulay.
00:01:16 Et nous on va évidemment commencer à rendre hommage à Guillaume Batz, ce jeune humoriste.
00:01:22 Il avait seulement 36 ans, on a appris aujourd'hui qu'il nous avait quitté.
00:01:25 On est particulièrement triste, on a une pensée pour lui et pour Jérémy Ferrari, notre ami et sa famille.
00:01:31 Parce que Jérémy Ferrari n'était pas que le producteur de Guillaume Batz, il était avant tout son ami.
00:01:36 Et je sais combien il est triste aujourd'hui, Jérémy.
00:01:38 Donc on a une pensée pour Jérémy Ferrari et évidemment pour Guillaume Batz qui nous a quitté si jeune.
00:01:44 Il aura connu les joies de la scène pendant ces dernières années grâce à Jérémy Ferrari.
00:01:48 Et donc on ne remerciera jamais assez Jérémy de s'être occupé aussi bien.
00:01:52 Bravo à lui, bravo.
00:01:54 Et des pensées pour Guillaume Batz.
00:01:58 "The show must go on", comme disent les Américains dans ce cas-là.
00:02:03 Et voici une première citation, tiens, qui fait référence à Dieu, justement pour Cyril Jouvet,
00:02:08 qui habite Saint-Georges-sur-Layon, qui a dit "Si Dieu avait eu un frère, ce serait l'oncle de Jésus".
00:02:14 - Ça ne serait pas Woody Allen ? - Non, ce n'est pas Woody Allen.
00:02:18 - C'est un Français ? - Mais il sera très content qu'on le compare à Woody Allen.
00:02:21 - C'est un Français ? - Un Français, non, mais pas les Rois.
00:02:24 - Belge ? - Philippe Gelluck, évidemment.
00:02:28 C'est du Gelluck.
00:02:30 Pour Raymond Talut, qui habite Nersac en Charente, qui a dit "C'est toujours les cons qui l'emportent".
00:02:37 Question de surnombre.
00:02:39 - Jean-Yann ? - Non, Jean-Yann Coluche, non.
00:02:43 - Wolinski ? - Quelqu'un qu'on cite moins régulièrement, mais quand même de temps en temps.
00:02:46 - Wolinski, non. - D'Haricault ?
00:02:48 - D'Haricault, non. - Vous ne me parlez que de mort.
00:02:51 - Il est vivant ? - Il est mort, alors ça convient.
00:02:54 - Les gens qui disaient des choses intéressantes sont morts. - Beaucoup.
00:02:57 - Mais je suis encore là. - Alors écoutez, vous nous faites signe quand vous dites un truc intéressant, Daniel.
00:03:04 - Donc il est français ? - Il est français d'adoption.
00:03:08 Il est né en France, mais on va dire plutôt Suisse d'adoption.
00:03:13 - Stern ? - Qui c'est ça, Stern ?
00:03:15 - Je ne sais pas, quand je pense à la Suisse, je pense souvent à Stern.
00:03:18 - Mais on peut peut-être dire... - C'est pas Stern !
00:03:20 - Je ne sais pas pourquoi. - C'est qui Stern ?
00:03:22 - Je ne sais pas. - Non, mais des fois tu dis au pif, ça tombe.
00:03:25 - Oui, oui, oui. - Mais c'était pas le banquier Stern ?
00:03:29 - Ah oui, c'était le banquier Stern. - Qui est mort !
00:03:31 - Qui est mort en combinaison de la texte ? - Ah oui, mais j'ai rien à voir dans l'histoire.
00:03:36 - C'est quand même ce qu'il dit à tout de suite. - Alors c'est pas Frédéric Dard ?
00:03:40 - Bien sûr Valérie, c'est Frédéric Dard. Bonne réponse de Valérie Mérest.
00:03:45 - Pour François Zucco, qui habite Crozet en Nain, qui a dit "il ne peut pas y avoir de crise, la semaine prochaine, mon agenda est déjà plein".
00:03:56 - Francis Blanche ? - Non.
00:03:58 - C'est un politique. - C'est un politique qui a eu 100 ans samedi dernier.
00:04:03 - Il a été président. - Ah non, il n'a pas été président.
00:04:05 - L'adulte est très âgé, mais il n'est pas centenaire. - Ministre ?
00:04:07 - Vous posez les mauvaises questions. - Est-ce que c'est une femme ?
00:04:10 - Et surtout vous n'en posez pas d'ailleurs. - Ah oui, alors est-ce que c'est une femme ?
00:04:14 - Non. - Il a été ministre de quoi ?
00:04:16 - Un ministre de pas français. - Un ministre de pas françois.
00:04:19 - Un ministre de pas français. - Un ministre de pas français.
00:04:21 - Il a été ministre de... - C'est un ministre de l'Angleterre.
00:04:24 - Et bien comme vous dites de pas français, mais pas de l'Angleterre.
00:04:27 - Il a été ministre des affaires étrangères. - Oui.
00:04:29 - Il est Suisse ? - Non, non, non.
00:04:31 - Enfin, il est à côté de l'Allemagne.
00:04:33 - Ça va bien se passer.
00:04:42 - Il a même été prix Nobel de la paix en 1973.
00:04:45 - Kissinger. - Ah !
00:04:47 - Henry Kissinger, bonne réponse de Jean-Benjamin.
00:04:52 - Une autre citation pour Michel Barry, qui habite l'Eclesse, sous bois, dans les Yvelines, qui a dit
00:04:57 "l'intérêt essentiel pour un homme politique de voyager"
00:05:00 - Vous voyez, il y a un enchaînement avec la citation précédente,
00:05:04 parce que Kissinger étant effectivement pendant longtemps diplomate et spécialiste des affaires étrangères,
00:05:09 il a beaucoup voyagé de par le monde.
00:05:11 Et cette citation-là parle justement de politique et de voyage.
00:05:14 Je vous la termine, qui a dit "l'intérêt essentiel pour un homme politique de voyager incognito, c'est de le faire savoir".
00:05:21 - Proscan. - Non.
00:05:22 - C'est un français ? - C'est une citation pour M. Barry d'Eclesse, sous bois.
00:05:25 Un français, oui. - Pierre Dacques.
00:05:28 - Pierre Dacques, non. - Mitterrand.
00:05:29 - Un français vivant encore. - Jacques Langue.
00:05:31 - Non. - Ah ! Un français qui est un homme politique.
00:05:33 - Non mais là c'était un humoriste. - Ah !
00:05:36 - Levrette ? - Quoi ?
00:05:37 - Levrette ? - Tu fais ce que tu veux de ta vie, enfin !
00:05:40 - Marc-Antoine Levrette. - Levrette ?
00:05:43 - Marc-Antoine Levrette. - Levrette, j'ai dit.
00:05:46 - Oh non, non, non. - Marc-Antoine Levrette.
00:05:48 - Il est beau. - C'est un imitateur.
00:05:51 - J'ai vu l'autre jour dans la rue. - Yvan.
00:05:53 - C'est un humoriste d'une certaine génération. - Oui, effectivement.
00:05:56 - Jérémy Ferrari. - Et d'ailleurs qui était avec nous au tout début des Grosses Têtes
00:06:00 et qui est né en 49 pour tout vous dire.
00:06:03 - Ah ouais, donc là je connaîtrais mon... - Montagnier ?
00:06:05 - Popek, Popek ? - Mais non, pas Popek.
00:06:07 - Maillot. - Jacques Maillot.
00:06:08 - Jacques Maillot, bonne réponse.
00:06:11 - Jacques Maillot ? - Oui, vous ne connaissez pas Jacques Maillot ?
00:06:17 - J'ai jamais entendu parler de ma vie.
00:06:20 - Moi ce que j'aime bien avec les jeunes générations... - Il est méchant.
00:06:23 - Les jeunes générations ce qu'il y a de bien c'est qu'ils mettent les choses au point.
00:06:26 - Je te jure que je n'ai jamais... - Ça nous rappelle à l'ordre.
00:06:29 T'as intérêt à être présent. Faut être au taquet dans les médias jusqu'au bout.
00:06:33 - Non mais Jacques Maillot, je vous jure, j'ai jamais entendu...
00:06:36 - Et son neveu, Régis Maillot, ça vous dit quelque chose ?
00:06:40 - Non, par contre je connais sa sœur, Francis Ketchup.
00:06:46 - Ah mais je viens de comprendre !
00:06:49 - Maillot et Ketchup, oui, oui.
00:06:52 Une première question pour Sylviane Cardozo qui habite Loser en Charente-Maritime.
00:06:57 Qui a-t-on vu promener mabrooke sur la plage toute la semaine dernière ?
00:07:01 - Pascal Obispo ! - Michel Drucker !
00:07:03 - Pardon ? - Michel Drucker !
00:07:05 - Pourquoi Michel Drucker ? - Parce qu'il va mieux ! C'est le retour !
00:07:08 - Et alors ? - Et bien pour dire qu'il allait bien,
00:07:11 il a voulu dire qu'il allait bien, donc il a promené son chien sur une plage
00:07:15 où il y avait des fleurs. - Alors, mabrooke n'est pas un chien, allez-y Jean !
00:07:18 - C'est Pascal Obispo ! - C'est Pascal Obispo, effectivement, qui faisait la...
00:07:21 - Alors, il était aussi en convalescence ! - La une de Paris Match avec Sonia Mabrooke,
00:07:26 c'est pas un chien, vous voyez !
00:07:28 - C'est là que c'était la question ! - Bonne réponse de Jean-Benjigui !
00:07:33 - Mais, moi je trouve... - Je suis désolé, je suis désolé Madame Mabrooke !
00:07:39 - La réponse de Stylie était fausse, mais elle était drôle !
00:07:43 - Surtout, c'est vrai qu'il y a un chien qui s'appelait Mabrooke !
00:07:46 - Oui, mais elle est morte, la pauvre chienne ! - Oui, mais Aze ne la connaît pas !
00:07:49 - De la mer Utin ! - Sonia Mabrooke, vous connaissez Sonia ?
00:07:52 - Sonia Mabrooke, non ! - Non ? Ah ben, écoutez...
00:07:54 - Mabrooke ! - Elle faisait la une de match toute la semaine dernière
00:07:58 avec Pascal Obispo, Cap Ferré... Franchement, Jean-Benjigui, bravo,
00:08:02 ça prouve que vous avez lu le match toute la semaine dernière !
00:08:05 - Je l'ai regardé ! - Ben, il a que ça à faire !
00:08:08 - Vous aimez bien l'actualité people ! - J'aime tout !
00:08:11 - Qu'est-ce qu'elle fait, Sonia Mabrooke ? - Les journalistes sur Europe 1 et sur CNews !
00:08:16 - Ah, c'est pour ça qu'on la connaît pas !
00:08:18 - Elle est très jolie ! - Très jolie !
00:08:22 - Mathias, c'est quelqu'un que vous connaissez, dont on va parler, cher Daniel,
00:08:28 mais pourrez-vous répondre à cette question ?
00:08:31 Mme Clairaut habite Tessancourt-sur-Aubette, dans les Yvelines,
00:08:34 et la question concerne Sylviane Agazinsky, qui vient d'être élue à l'Académie française !
00:08:39 - Ah, Sylviane ! - Oui, pas Sophie Agazinsky !
00:08:42 - Non, la femme de Jospin ! - Exactement !
00:08:45 Vous avez raison de rappeler, Sylviane Agazinsky, qui vient d'être élue à l'Académie française,
00:08:49 est la femme de Lionel Jospin, mais elle a eu un enfant !
00:08:53 Un enfant avec un grand philosophe, lequel ?
00:08:55 - Jacques Derrida ! - Jacques Derrida !
00:08:58 Bonne réponse de Jean Bendigui !
00:09:01 - Franchement, Jospin Derrida, c'est une femme qui aime les rigolos, quand même !
00:09:07 - Mais elle a écrit des grandes oeuvres, cette femme ! - Oh oui !
00:09:10 - Sylviane Agazinsky, c'est une philosophe !
00:09:13 - Mais elle a eu son enfant avec un autre, avant Jospin !
00:09:16 - Vous avez dû rencontrer, vous, des chirurgiens qui s'appelaient Derrida ?
00:09:19 - Moi, oui !
00:09:21 - C'était un gynécologue !
00:09:27 - Non mais franchement, Daniel !
00:09:30 - Oui !
00:09:31 - Il faut la ramener, je crois, il faut la ramener !
00:09:35 - Elle est assez sortie, il faut la ramener, maintenant !
00:09:38 - Quand elle prend trop l'air, la tête lui tourne, après !
00:09:41 - Ben oui !
00:09:42 - Non, elle a toujours été comme ça !
00:09:44 C'est ça qui est formidable avec Daniel Evenou, c'est que, aujourd'hui, quand même,
00:09:47 il faut l'dire, il faut applaudir, l'âge de Daniel !
00:09:49 Octogénaire, tout de même !
00:09:51 - Octogénaire ? - Oui, oui, octogénaire !
00:09:54 - 60 ans ! - Combien ?
00:09:56 - 60 ans ! - Non, pas 60 ans !
00:09:58 - Octogénaire ! - Qu'as-tu l'dit ? Qu'as-tu l'dit ?
00:10:01 - Octogénaire, c'est 80, vous voyez !
00:10:04 - Elle a eu 80 printemps cette année, notre chère Daniel !
00:10:07 - Et elle est vivante, tu vois, c'est la différence vivante-morte !
00:10:09 Là, Daniel, c'est vivante !
00:10:11 - Et surtout, on peut pas dire que c'est l'âge qui la rend comme ça,
00:10:14 parce que à 40, elle était déjà comme ça, hein, Daniel ?
00:10:17 - J'étais déjà vivante !
00:10:19 - Voilà, c'est ce que je disais !
00:10:21 - Et voilà ! Et je parlais déjà ! J'ai parlé très tard, à 40 !
00:10:25 - Non, parce que ce qu'il veut dire, c'est qu'on peut pas t'accuser de sénilité !
00:10:28 T'as toujours été... à 20 ans, tu étais pareil !
00:10:30 - Elle était déjà gâteuse à 30 !
00:10:32 - Mais dis-moi, tu fumes pas, tu bois pas, tu...
00:10:35 - Ah, je me souviens qu'à 30 ans, j'ai fêté mes 30 ans !
00:10:40 Et t'as quand même remarqué qu'un, je lui ai demandé si elle picolait pas !
00:10:45 - Tu fumes pas, tu bois pas ?
00:10:46 - Mais elle boit comme un trou !
00:10:47 - Su... non, pu ! Ah non ! Ah non !
00:10:49 - Elle a arrêté !
00:10:50 - Arrêté, je suis au gingembre !
00:10:52 - Ah !
00:10:53 - C'est très excitant !
00:10:54 - Ah oui ! C'est ça !
00:10:55 - Mais tu le bois ou tu le manges ?
00:10:57 - Non, je le su... je le...
00:11:01 - On le suce, on le suce, on le suce du gingembre !
00:11:03 - Ah bon ?
00:11:04 - Oh non, c'est trop fort à sucer !
00:11:05 - Ah mais alors !
00:11:06 - Tu bois du gingembre, à mon avis !
00:11:09 Tu sais autre chose !
00:11:11 - Si t'es spécialisé, plante !
00:11:12 - Ah bah, du gingembre, ça t'arrache la tronche !
00:11:14 - Mais ça dépend...
00:11:15 - Mais ça dépend d'un or qu'on m'arrache la tronche !
00:11:17 - Mais là, c'est pas possible !
00:11:18 - Ça dépend avec quoi tu le mets, Stevie !
00:11:20 - Mais non, elle aurait la langue en feu et tout, c'est pas possible !
00:11:22 - Mais regarde !
00:11:23 - Donc le secret de ta longévité, c'est que tu suces du gingembre ?
00:11:25 - Oui !
00:11:26 - C'est pas possible !
00:11:27 - Mais si !
00:11:28 J'ai bu un verre entier de...
00:11:31 - Gingembre !
00:11:32 - Voilà, infusé !
00:11:33 - Mais oui, mais tu fais infuser le gingembre !
00:11:34 Tu mets pas du gingembre directement dans ta bouche, c'est ce que je suis en train de te dire !
00:11:38 - Mais il y a une machine qui infuse pour moi !
00:11:40 Moi, je regarde, je réfléchis, je dis, c'est ça qui va me donner la pêche pour aller faire les Grosses Têtes !
00:11:45 - La machine infuse et Daniel Evenou confuse !
00:11:48 RTS
00:11:51 Les Grosses Têtes répondent aux auditeurs
00:11:54 - Gabriel, maintenant, est au téléphone !
00:11:57 - Bonjour, bonjour Laurent, bonjour les Grosses Têtes !
00:11:59 - Bonjour Gabriel !
00:12:00 - Bonjour !
00:12:01 - Alors, c'est la fête des mères, ce week-end, c'est ça ?
00:12:04 - Oh merde, faut que je l'éteigne !
00:12:05 - Ah ouais, mais alors, je comprends pas bien parce que vous dites "je vous ai écrit parce que c'est la fête des mères"
00:12:09 mais ma mère est décédée il y a 15 ans, alors je comprends rien !
00:12:12 - Ouais, en fait, je vous appelle juste pour vous expliquer qu'elle était fan de vous !
00:12:18 - Ah !
00:12:19 - Et moi, quand elle est décédée, j'avais 10 ans, maintenant, j'ai 25, du coup !
00:12:23 Et je vous écoute depuis très longtemps, bon, avant c'était pas vous, mais les Grosses Têtes et moi, c'est une longue histoire !
00:12:30 - Et donc, c'est toujours en ayant une pensée pour votre maman que vous nous écoutez ?
00:12:33 - C'est ça, voilà !
00:12:34 - Oh bon, c'est mignon !
00:12:35 - C'est gentil !
00:12:36 - Ça casse l'ambiance une fois de plus, mais c'est mignon !
00:12:37 - Oui, ça casse l'ambiance !
00:12:39 Mais on passe un bon moment !
00:12:41 - Mais vous parlez, vous pensez tous les jours à Laurent Ruquier ?
00:12:44 - Mais non, elle a rien compris !
00:12:45 - Tous les jours à sa mère !
00:12:46 - La fête des...
00:12:47 - Oui, mais en écoutant Laurent Ruquier et les Grosses Têtes !
00:12:50 - Les grands-mères, c'est plus tard, Daniel !
00:12:52 Mais en tout cas, c'est effectivement ce week-end, la fête des mamans, et même si elles ne sont plus là, vous avez raison, on peut penser à elles !
00:12:59 Bravo, Gabrielle !
00:13:00 Ensuite...
00:13:01 Alors Frédéric, voulez-vous réconcilier avec moi ? Qu'est-ce que j'ai fait de pas bien encore ?
00:13:08 - J'ai un petit comptant suivre avec vous qui dure depuis maintenant plus de 30 ans, Laurent !
00:13:12 - Ah oui, quand même !
00:13:13 - Il vaut mieux avoir un grand comptant suisse qu'un petit comptant suivre !
00:13:16 - Oh !
00:13:17 Je la connaissais pas !
00:13:19 - L'histoire remonte, il y a plus de 30 ans, vous étiez sur une autre radio et vous présentez une émission qui s'appelait "Rien à cirer"
00:13:25 - "Rien à cirer", exact !
00:13:26 - Et dans cette émission, vous arrivez à faire des délocalisations et de venir faire l'émission en région.
00:13:31 Et il y a déjà une trentaine d'années, vous étiez venu faire l'émission en direct de l'Opéra du Rhin à Strasbourg.
00:13:36 - Oui !
00:13:37 - Moi, j'étais jeune collégien, je devais avoir 13-14 ans, pas plus, et j'étais venu à la fin de l'émission, à la sortie des artistes, dans l'espoir de recueillir des autographes.
00:13:45 Parce qu'à l'époque, il n'y avait pas de selfies, etc. Donc on demandait des autographes bien à l'ancienne.
00:13:49 - Une belle époque !
00:13:50 - Une très belle époque !
00:13:52 Alors j'avais réussi à avoir des autographes de Laurence Boccolini, de Christophe Halévec, de Patrick Adler, également peut-être.
00:13:58 Et il n'y en a qu'un qui n'a pas voulu me signer un autographe.
00:14:01 - C'est moi !
00:14:02 - Mais il était...
00:14:03 - Eh ben, vous voulez que je vous dise ? Ça prouve que je n'ai pas changé !
00:14:07 - Il aime pas signer !
00:14:09 - Non, mais vous étiez un petit peu agacé, il était là "Non, fini des autographes, on a un avion à prendre !"
00:14:14 Alors le problème qu'il y a, c'est que du haut de mes 13-14 ans, j'ai voulu faire un trait d'humour.
00:14:19 Donc je vous ai dit, les yeux dans les yeux, mais vous n'en avez rien à tirer de l'avion !
00:14:23 - Ah oui ?
00:14:24 - Par rapport au nom de l'émission. Ce à quoi vous m'avez répondu du tac au tac, et vous, vous n'avez rien à tirer de ma signature.
00:14:29 - Mais oui ! J'ai toujours détesté les autographes, parce que je trouve ça bête, un autographe, pardon de vous dire.
00:14:34 Et donc je ne vais pas changer d'avis maintenant, 30 ans après.
00:14:37 Un autographe, les gens demandent un autographe, ils foutent ça dans un tiroir.
00:14:40 Et tiens, ils sont où d'ailleurs vos autographes de Christophe Halévec et Laurence Boccolini ?
00:14:44 - Ils sont dans une petite boîte où j'ai tout plein d'autographes que j'ai recueillies pendant des années.
00:14:49 - Ah, on a affaire à un maniaque alors !
00:14:51 - Le souci, c'est que vous m'avez tellement séché que je n'ai plus osé parler à personne pendant une semaine après.
00:14:57 - Oh bah c'est déjà ça !
00:14:58 - Oh, vous avez traumatisé un jeune !
00:15:01 - Mais complètement traumatisé, mais je vous en tiens par rigueur parce que je suis devenu animateur radio moi-même.
00:15:06 - Oh ! Est-ce que je peux venir vous emmerder en vous demandant un autographe à la sortie de la radio ?
00:15:12 - On fait un selfie !
00:15:14 - Non, je crois que le problème en fait, vous savez, c'est que Laurent avait déjà la grosse tête.
00:15:19 - Mais non, c'est pas la grosse tête, je suis fidèle à mes idées, je trouve ça...
00:15:24 Moi j'aime bien qu'on m'aime pour mon travail, pour mes émissions, mais je déteste les autographes et les photos.
00:15:30 Sauf si on me prouve qu'effectivement, on m'aime bien pour ce que je fais et pour mon travail.
00:15:36 Mais la plupart des gens, pardon de vous dire Frédéric, ils vous demandent un autographe et après...
00:15:41 Mais vous êtes qui déjà ?
00:15:43 - Non mais...
00:15:45 - C'est terrible !
00:15:46 - Moi je suis comme Laurent.
00:15:47 - Les gens vous demandent une photo et puis...
00:15:49 "Mais rappelez-moi votre nom !"
00:15:51 "Pourquoi vous me demandez une photo ?"
00:15:53 - Parce que vous êtes connu !
00:15:54 - Donc voilà, moi si vous voulez, j'essaie d'éviter tout ça.
00:15:57 Et je n'ai pas changé d'avis et je ne changerai pas d'avis là-dessus.
00:16:00 Et vous savez, dans la vie, il faut être fidèle à ses idées, à ses opinions.
00:16:03 Et puis vous avez déjà eu un autographe de Laurent.
00:16:05 Mais je vais quand même vous envoyer, puisque vous le demandez gentiment, une photo dédicacée, Frédéric.
00:16:09 - Mais de qui ?
00:16:10 - Ah, c'est très gentil.
00:16:11 - Ah bah oui, oui.
00:16:12 - Ça n'efface pas toute la psychanalyse que j'ai dû faire du début.
00:16:15 - C'est bien parce qu'au moins vous avez de l'humour.
00:16:19 Et bien vous voyez, puisque vous avez de l'humour, je regrette finalement de ne pas vouloir faire un autographe il y a 30 ans.
00:16:24 Dites donc, vous avez une mémoire d'éléphant, vous.
00:16:26 - Mais où est votre radio ?
00:16:27 - En fait, je vous en remercie parce que je pense que ma carrière, justement, le fait de devenir animateur radio, je vous le dois un petit peu.
00:16:32 Parce que je me suis dit, comment arrive-t-il à du tac au tac, répondre comme ça ?
00:16:37 Suite à ça, j'ai fait beaucoup de théâtre d'impôts et je me suis dit, moi aussi j'ai envie de faire de la radio.
00:16:41 Et je vous le dois un petit peu, Laurent.
00:16:43 - Et bien alors, c'est ce que je préfère comme compliment.
00:16:45 Ça vaut mieux qu'une demande d'autographe, je vous jure, Frédéric.
00:16:47 - Mais si on l'écoutait dans sa radio ?
00:16:49 - Pardon ?
00:16:50 - Vous pouvez peut-être écouter ?
00:16:51 - En concurrence en plus.
00:16:52 - En concurrence ? Laurent ?
00:16:54 - Oui, j'anime une émission en région, mais qui est l'après-midi en même temps que les Grosse Têtes.
00:16:58 - Vous travaillez sur France Bleu, c'est ça ?
00:17:00 - Non, pas du tout. Sur une radio des Indes radios.
00:17:03 - Pas des Indes, mais comment elle s'appelle ?
00:17:05 - Magnum la radio.
00:17:06 - Allez, on va manger des glaces.
00:17:08 - On peut tous pousser la moustache aussi, on peut tous les faire.
00:17:12 - Quel genre d'émission vous faites sur Magnum radio, Frédéric ?
00:17:15 - Essentiellement musicale, mais on offre beaucoup de cadeaux.
00:17:18 Il y a 2-3 chroniques musicales sur l'histoire de certaines chansons, notamment après...
00:17:23 - Vous m'envoyez un cadeau de Magnum radio, ça me ferait plaisir.
00:17:26 Alors là, ça me ferait plaisir. Qu'est-ce que vous allez commander ?
00:17:28 - Eh bien, si j'ai ma photo dédicacée, je vous envoie la mienne.
00:17:30 - Vous aurez votre photo dédicacée, c'est promis Frédéric.
00:17:35 - Il est drôle !
00:17:43 - Grosse Tête avec Laurent Ruquier, c'est tous les jours de 15h30 à 18h sur RTL.
00:17:48 - Toujours actif et boulet, Ars, Valérie Meyret, Jean-Benguigui, Daniel Hignoux et Eric Laugerrière.
00:17:55 - Pour Claudine Martinez, qui habite Belgique, en Belgique pardon, à Ornue en Belgique précisément,
00:18:02 la première question littéraire est d'actualité puisque c'est sur Arte ce vendredi soir
00:18:08 que sera diffusée cette nouvelle, célèbre nouvelle de Guy de Maupassant.
00:18:13 Quelle nouvelle de Guy de Maupassant est diffusée ce soir sur Arte,
00:18:18 avec d'ailleurs dans le rôle principal un comédien qu'on aime bien, Bastien Bouillon,
00:18:23 qui avait eu un César, César du meilleur espoir masculin pour le film "La nuit du 12".
00:18:30 C'est lui qui joue dans cette nouvelle de Guy de Maupassant diffusée ce soir sur Arte.
00:18:34 - Une vie ?
00:18:35 - Une vie de Maupassant ? Non.
00:18:37 - L'inconnu ?
00:18:38 - L'inconnu, non.
00:18:39 - Le Horla ?
00:18:40 - Comment vous dites ?
00:18:41 - Le Horla.
00:18:42 - Le Horla, bonne réponse de Jean-Benguigui.
00:18:46 Le Horla, ça s'écrit H-O-R-L-A et c'est l'histoire de quelqu'un…
00:18:53 - C'est terrible, c'est une histoire terrible.
00:18:55 - Allez-y alors.
00:18:56 - C'est quelqu'un qui devient fou, c'est le parcours d'une folie de quelqu'un
00:19:00 qui se croit hanté et qui devient complètement dingue.
00:19:02 C'est magnifique, ça a été beaucoup joué seul en scène au théâtre.
00:19:06 - Beaucoup.
00:19:07 - Mais je ne savais pas que ça avait été adapté à la télé.
00:19:10 - C'est un téléfilm ce soir sur Arte à 20h55.
00:19:13 Le Horla avec Bastien Bouillon dans le rôle principal qui évidemment est terrorisé par
00:19:20 une présence dont il n'arrive pas exactement à savoir de quoi il s'agit.
00:19:24 - Si elle est en lui, si elle est en dehors de lui, s'il est hanté, s'il est pas hanté,
00:19:28 s'il devient fou, s'il…
00:19:30 - Regardez Daniel, ça peut vous aider.
00:19:32 - Oui, oui.
00:19:33 - On en parlait.
00:19:34 - Il a une petite voix intérieure.
00:19:35 - Oh, ben une grande voix intérieure.
00:19:37 - Parce que moi, ça m'arrive que quelqu'un me parle pendant que je réfléchis.
00:19:41 - Et t'as pas enlevé ton oreillette peut-être des fois.
00:19:43 - Non, mais j'ai l'impression qu'il y a une petite voix qui me dit "Calme, Dany Biel, calme".
00:19:48 - C'est ça, voilà.
00:19:49 - C'est ce que tu veux dire.
00:19:50 - Pour Jean-Luc Gauzé qui habite en Charente-Maritime, la question suivante est assez, on va dire,
00:19:57 originale dans nos questions littéraires parce que souvent je vous demande le nom d'un
00:20:01 auteur ou le titre d'un roman et là, je vais vous demander le nom d'une maison d'édition
00:20:06 célèbre pour rendre hommage, décidément aujourd'hui, on en rend des hommages, à une
00:20:10 éditrice qui s'appelait Sophie de Sivry et que ce soit Libération ou Le Figaro et dans
00:20:16 ce cas-là, on peut dire que c'est quelqu'un sûrement qui était très bien parce que
00:20:19 c'est rare que ces deux journaux, Libé et Le Figaro, soient d'accord pour rendre hommage
00:20:23 aux mêmes personnes et cette éditrice était une éditrice passionnée qui vient de disparaître
00:20:30 à l'âge de 64 ans d'un cancer, on la voit avec son foulard dans les cheveux en photo
00:20:38 dans Le Figaro, une très jolie photo et elle dirigeait une maison d'édition qui avait
00:20:43 un très joli nom, très bonne maison d'édition d'ailleurs, maison d'édition qui entre
00:20:49 autres avait publié il y a peu un énorme succès avec La vraie vie d'Adeline Diodonné
00:20:55 qui avait été pris du roman Fnac, comment s'appelle cette maison d'édition ?
00:20:59 - Son fils n'a pas pris la relève ? - Non.
00:21:01 - La Font ? - Non.
00:21:04 - Le Divan ? - Non.
00:21:06 - P.O.L ? - Non.
00:21:08 - Le Fleuve ? - Non.
00:21:10 - La Cité ? - Non.
00:21:12 - L'Archipel ? - Non.
00:21:13 - Nathan ? - Non.
00:21:14 - Les Solitaires Intempestifs ? - Non.
00:21:16 - Au Diable vos Verts ? - Non.
00:21:18 - Les Arènes ? - Non.
00:21:20 Alors justement, c'est une succursale des Arènes puisque Sophie de Sivry, fondatrice
00:21:25 de cette maison d'édition avait effectivement comme compagnon Laurent Beccaria fondateur
00:21:32 des éditions des Arènes.
00:21:34 Alors je peux vous dire que c'est d'ailleurs un nom commun, ce qu'on cherche c'est pas
00:21:39 un nom propre cette maison d'édition.
00:21:41 - La Fabrique ? - Non.
00:21:43 - Le Taureau ? - Non, ça désigne une attitude ou un comportement.
00:21:46 - Debout ? - Non.
00:21:48 - Couché ? - Non.
00:21:49 - Archal ? - Encore !
00:21:51 - Faites la terre ! - Toujours !
00:21:53 - Enlève lui son verre de gingembre, c'était une mauvaise idée en fait.
00:21:57 - Non, ça désigne, il faut le dire, quelque chose plutôt qui serait atypique ou contre
00:22:05 les religions si on prend... - L'agnotisme ?
00:22:08 - Oui, alors on se rapproche.
00:22:10 - Athée ? - Pardon ?
00:22:12 - Athée ? - Mais non.
00:22:13 - C'est un joli nom comme le dit les tentes ? - Alors pas le dit les tentes mais c'est bien.
00:22:16 - Le bonheur ! - Pas le dit les tentes parce que c'est une
00:22:18 très bonne maison d'édition aussi le dit les tentes mais c'est du même genre, voyez.
00:22:22 - Les tourdis ? - L'iconoclaste !
00:22:24 - L'iconoclaste ! Bonne réponse d'Éric Le Gériax !
00:22:28 (applaudissements)
00:22:31 Mais la vraie liste à un magnifique livre publié en 2018 qui avait été pris du roman Fnac.
00:22:37 Premier roman d'Adeline Diodonné qui vient d'en sortir un autre d'ailleurs très réussi aussi
00:22:42 et c'est bien aux éditions. L'iconoclaste, ça permettait de rendre hommage à cette éditrice
00:22:47 qui avait lancé cette maison d'édition qu'elle avait fondée en 1997 et elle s'appelait Sophie de Sivry.
00:22:53 (applaudissements)
00:22:57 Une question pour Pierre Durand qui habite Clairau. Peut-être que vous avez lu dans le Figaro aujourd'hui
00:23:02 que l'héritage de Peter Ustinov allait être mis en vente aux enchères après avoir été exposé.
00:23:09 C'est une page entière signée Béatrice de Rochebouët. Alors Peter Ustinov, je vous le dis monsieur
00:23:14 Aze, au cas où vous ne le connaitriez pas, ça a été un grand acteur qui a joué dans des tas de films à Hollywood.
00:23:20 Chuchu de Caroline Diamant. Comment ça chuchu de Caroline Diamant ?
00:23:23 Elle en parle souvent, c'est grâce à Caroline qu'on connaît cet acteur.
00:23:26 (rires)
00:23:29 A toutes les émissions, elle nous sort son nom.
00:23:32 Mais est-ce que quelqu'un va arrêter de dire des conneries dans cette émission ?
00:23:35 Elle nous en parle souvent.
00:23:37 Ce n'est pas grâce à Caroline Diamant qu'on connaît Peter Ustinov.
00:23:40 Vous peut-être pas, mais moi oui !
00:23:42 Ah oui ça d'accord !
00:23:44 (applaudissements)
00:23:47 C'est grâce à beaucoup d'autres qu'on connaît quelque chose.
00:23:50 D'accord, mais enfin, monsieur Ustinov, si vous voulez, n'a pas attendu Caroline Diamant.
00:23:54 Pour exister !
00:23:56 Pour jouer Hercule Poirot !
00:23:58 Pour jouer par exemple Hercule Poirot, effectivement.
00:24:01 Je ne sais plus, je n'ai pas y arrivé.
00:24:04 Je t'aide, il a écrit des pièces de théâtre.
00:24:07 Oui, il a réalisé des films.
00:24:09 Il parlait je ne sais combien de langues.
00:24:11 J'ai eu la chance de le recevoir, moi, Peter Ustinov.
00:24:13 A l'époque à France Inter, dans les années 90, il était très très drôle.
00:24:17 Il faisait même des imitations.
00:24:19 Il avait aussi ce talent d'être imitateur, polyglotte, effectivement.
00:24:23 Et Peter Ustinov avait une maison ici à Neuilly-sur-Seine.
00:24:26 Et voilà pourquoi on disperse aujourd'hui son héritage.
00:24:29 Parce que je crois, et c'est souvent comme ça, hélas, quand quelqu'un s'en va.
00:24:32 Il est mort pourtant, il y a déjà un petit moment.
00:24:34 Mais c'est long à essayer de faire s'entendre les différentes familles, les héritages.
00:24:39 Parce qu'il a eu forcément plusieurs enfants de plusieurs lits différents.
00:24:44 Et près de 20 ans après son décès, Sotheby's met donc en vente, le 6 juillet prochain à Paris,
00:24:50 l'héritage de ses quatre enfants, tous les souvenirs de Peter Ustinov.
00:24:54 Alors, ça va évidemment des scripts de ses films,
00:24:58 enfin des scénar qui sont à noter, signés.
00:25:01 Ça va, tiens, l'auditeur de tout à l'heure pourra peut-être compléter sa collection d'autographes.
00:25:07 Ça va aussi avec les récompenses.
00:25:09 Il y a un Emmy Award qu'il a reçu, qui sera vendu aux enchères.
00:25:14 En revanche, nous dit le Figaro, les deux Oscars,
00:25:17 puisqu'il a reçu deux Oscars dans sa carrière, vous voyez, il n'a pas attendu Caroline Diamant.
00:25:21 Les deux Oscars qu'a reçus Peter Ustinov ne seront pas à vendre.
00:25:27 - Ils ont déjà été vendus.
00:25:29 - Non, je pense que la famille a réussi à s'entendre pour savoir qui conserverait les deux Oscars.
00:25:36 Mais ma question est toute simple, pour quel film Peter Ustinov a-t-il reçu ces deux Oscars ?
00:25:43 - Il a reçu deux Oscars pour le même film ?
00:25:45 - Ah ben non !
00:25:46 - Ils étaient en noir et blanc les films ?
00:25:48 - Alors, je pense que le premier en 1951, non, ça devait être en couleur déjà.
00:25:54 Et le deuxième sûr était en couleur.
00:25:56 - C'était des peplums ?
00:25:57 - Alors, il y en a un, c'était un peplum, absolument.
00:25:59 - Ah, j'adore les peplums !
00:26:00 - La Reine de Saba ?
00:26:01 - Non, non, non.
00:26:02 - Avec Elisabeth Taylor ?
00:26:04 - Non, il n'y a pas Elisabeth Taylor.
00:26:06 - Le Bon, la Bête et le Truand ?
00:26:07 - Ah non, non, non.
00:26:08 - Marc-Antoine et Cléopâtre ?
00:26:09 - Non, non, non.
00:26:10 Non, il y avait Kirk Douglas dans ce film.
00:26:12 - Ah, Ulysse ?
00:26:13 - Non, non, non.
00:26:15 Oh, Stevie, vous connaissez le nom de ce film, parce que ça a été longtemps le nom d'un guide gay.
00:26:22 - Un gué-pied ?
00:26:23 - Mais non !
00:26:24 - Oui !
00:26:25 - Gué-pied-tusse, gué-pied-tusse !
00:26:27 - Non, c'est même pas un guide.
00:26:29 - Neptune ?
00:26:30 - Non, non, non.
00:26:31 - Gué-pied-tusse.
00:26:32 - Ah oui, Kirk Douglas !
00:26:33 - Le Chef des Esclaves.
00:26:34 - Spartacus !
00:26:35 - Oui, Spartacus !
00:26:36 - Ah, il adore !
00:26:37 - Vous avez compris, le début.
00:26:40 - Alors, le film de Stanley Kubrick, Spartacus, c'est pour ce film-là que Peter Ustinov a eu
00:26:46 un Oscar du meilleur second rôle masculin.
00:26:49 Et le deuxième film qu'il faut trouver, c'est un film de Jules Dassin, je vous aide un peu.
00:26:53 - Avec Mélina Mercouri ?
00:26:55 - Jamais le dimanche ?
00:26:56 - Jamais le dimanche, non.
00:26:57 - Est-ce qu'il y avait Mélina Mercouri ?
00:26:59 - Oui, avec Mélina Mercouri.
00:27:01 Bravo Daniel !
00:27:02 - Alors Daniel, à toi.
00:27:03 - Attendez, je suis sur le coup.
00:27:05 - C'est qui ?
00:27:06 - C'est quoi l'enfant du purée ?
00:27:07 - Jules Dassin.
00:27:08 - Deux Jules Dassin.
00:27:09 - Et Champs-Elysées ?
00:27:10 - Ça c'est Joe, mais c'est la même famille.
00:27:15 - C'est le père.
00:27:16 - Vous avez raison, c'est le père.
00:27:17 - Voilà, c'est pas totalement con ce que je dis.
00:27:19 - Non, non, non, Jules Dassin c'est le père de Joe Dassin.
00:27:22 - Les fourbans de la nuit ?
00:27:23 - Non, non, non, non.
00:27:24 - Il y a un nom grec ?
00:27:26 - Alors c'est un seul mot, effectivement,
00:27:29 et c'est le nom d'un palais à Istanbul, je vous aide.
00:27:33 - Topkapi.
00:27:34 - Topkapi !
00:27:35 - Bravo !
00:27:36 - Bravo la réponse !
00:27:37 - Topkapi et Spartacus sont les deux films
00:27:41 pour lesquels Peter Hustinov a effectivement obtenu un Oscar,
00:27:46 mais ces deux Oscars ne seront pas mis en vente.
00:27:48 En revanche, il y a des toiles qui seront, elles, mises en vente aux enchères,
00:27:53 des toiles signées Valoton, Bénieur Zadier,
00:27:57 puis il aimait la France !
00:27:58 - C'était un personnage hallucinant, il a fait quand même une carrière complètement exceptionnelle
00:28:02 puisqu'il a été à la fois une énorme star de théâtre en France,
00:28:04 une énorme star de théâtre en Angleterre,
00:28:07 un acteur très important aux Etats-Unis,
00:28:10 et un auteur, L'amour des quatre colonels,
00:28:12 enfin il a écrit des pièces magnifiques.
00:28:13 - C'est lui qui a écrit L'amour des quatre colonels ?
00:28:15 - Oui, il était hallucinant.
00:28:16 Il avait une culture cinématographique, littéraire et musicale,
00:28:21 c'est quand même le seul type qui pouvait imiter un oratorio de Bach.
00:28:25 Il se mettait à chanter, il faisait…
00:28:27 - Explique ce que c'est qu'un oratorio, moi je sais ce que c'est.
00:28:29 - Il se mettait à chanter, il imitait, il disait…
00:28:31 - Une question pour Véronique Saran…
00:28:34 - Il était incroyable !
00:28:35 - Non, non, mais c'était un personnage formidable.
00:28:37 - Qui habite Carcassonne, parce que je vois que notre ami Aze est en train de s'endormir.
00:28:41 J'ai choisi une question pour vous, Aze.
00:28:43 - Ah, laissons-le.
00:28:44 - Mme Saran, j'habite Carcassonne, elle espère 300 euros, ma question va être toute bête.
00:28:49 Quel est le fromage le plus vendu dans le monde ?
00:28:53 - La vache qui rit ?
00:28:54 - Non.
00:28:55 - Le camembert ?
00:28:56 - Non plus.
00:28:57 - Saint-Moré ?
00:28:58 - Non plus.
00:28:59 - Le comté ?
00:29:00 - Non.
00:29:01 - Le gouda ?
00:29:02 - Non.
00:29:03 - Caprice des dieux ?
00:29:04 - Le bleu d'Auvergne ?
00:29:05 - Non.
00:29:06 - Est-ce qu'on parle d'une marque de fromage, comme Caprice des dieux,
00:29:07 ou est-ce qu'on parle d'un fromage avec une AOP ou une AOC ?
00:29:10 - C'est effectivement une marque reconnue.
00:29:13 - La mozzarella.
00:29:14 - La mozzarella.
00:29:15 - Parce que c'est un fromage français.
00:29:16 - Ce n'est pas un fromage français.
00:29:17 - La mozzarella.
00:29:18 - Les dames.
00:29:19 - Les dames, non, la mozzarella, non.
00:29:20 - Il est suisse.
00:29:21 - Il n'est pas suisse.
00:29:22 - Il est anglais, le cheddar.
00:29:23 - Le cheddar !
00:29:24 - Bravo.
00:29:25 - Bonne réponse de Valérie Méret.
00:29:26 - C'est tellement logique en plus, on en retrouve dans tous les sandwichs.
00:29:32 Comment je pense pas au cheddar ?
00:29:33 - Eh oui, le cheddar, c'est le fromage le plus vendu dans le monde.
00:29:36 - Ah, je m'en veux, je m'en veux sur celle-là.
00:29:37 - Et ça se trouve partout, ça ?
00:29:38 - Le cheddar, c'est très bon, avec un peu de gingembre, quand tu rentres.
00:29:42 - Le cheddar, en tout cas, est effectivement un fromage jaune, jaune pâle.
00:29:47 Et d'ailleurs, parfois, on y rajoute des colorants pour qu'il soit un peu plus orange.
00:29:52 Mais attention, l'AOP, l'appellation d'origine contrôlée, le vrai cheddar, interdit ce genre de colorant.
00:29:59 Pour vous le rendre plus orange, on fait ça parfois dans les commerces.
00:30:02 Mais normalement, c'est jaune pâle, en fait, le vrai cheddar,
00:30:05 qui vient de la région du Somerset, en Grande-Bretagne.
00:30:08 C'était une bonne réponse de Valérie Méretz.
00:30:11 Une question pour Marie-Hélène, qui habite Broyer, dans l'Essonne.
00:30:16 J'ai décidé un peu de diversifier, à la demande des jeunes recrues, des grosses têtes,
00:30:21 diversifier le style des questions de l'émission.
00:30:23 Et c'est tant mieux, parce que voilà, par exemple, une question à la portée de tout le monde.
00:30:27 Mais encore faut-il s'y connaître en menuiserie.
00:30:31 - Ah, bah oui.
00:30:32 - Ah oui.
00:30:33 - Chacun sait, les jeunes s'y connaissent en menuiserie.
00:30:35 - Je suis parti deux, trois fois à l'Euromerlin, mais je ne suis pas non plus calé calé.
00:30:40 - Ah bah c'est du vocabulaire français.
00:30:43 Peut-être connaissez-vous le tenon qui est la partie mâle d'une pièce de construction,
00:30:48 destinée à être enfoncée dans la partie femelle d'une autre pièce ?
00:30:52 - Non, arrête, arrête.
00:30:53 - Une clé !
00:30:54 - La mortaise !
00:30:55 - Oui, c'est la mortaise.
00:30:57 Bonne réponse, Deripierre Zéliab.
00:31:02 - Bravo.
00:31:03 - Oui.
00:31:04 - Et d'ailleurs, il y a même un verbe, "mortaiser", qui signifie, effectivement,
00:31:09 enfoncer, entailler le bois de façon à créer un logement qui va recevoir le tenon,
00:31:15 une pièce de bois amincie qui va rentrer dans l'autre partie.
00:31:19 - C'est sexuel, ce que vous dites.
00:31:21 - Ça me passe partout.
00:31:22 - C'est comme une prise mâle et une prise femelle.
00:31:24 - Ça s'enclenche.
00:31:25 - Sauf qu'on est effectivement en menuiserie, une mortaise, c'est souvent un trou rectangulaire,
00:31:31 pratiqué ou aménagé dans une partie, de manière à recevoir un élément saillant
00:31:37 d'une autre pièce.
00:31:38 - C'est vrai que c'est complètement con.
00:31:39 - C'est sexuel.
00:31:40 - C'est grave, c'est une sexiste affaire.
00:31:41 - La mortaise et le tenon, je dois vous dire que, exceptionnellement, j'ai posé une question
00:31:45 parce que je suis vraiment nul en menuiserie.
00:31:47 Alors là, je tiens à le dire, dont je ne connaissais absolument pas la réponse,
00:31:51 parce que je n'avais jamais entendu ni un mot ni l'autre, d'ailleurs,
00:31:55 que ce soit le tenon ou la mortaise.
00:31:57 Alors, bravo, Logérias.
00:31:58 Une question d'histoire.
00:32:01 Histoire de France pour Annie Jacot qui habite Paris 19ème.
00:32:07 C'est Napoléon qui interrogea son médecin ce jour-là et il lui demanda, alors qu'il pensait
00:32:14 se séparer de Joséphine, est-ce qu'un homme de 60 ans qui épouse une jeune femme,
00:32:19 peut-il avoir encore des enfants ? Son médecin lui a répondu « Quelques fois » et à 70.
00:32:25 Et là, le médecin lui a répondu « Alors là, toujours sûr. »
00:32:29 Mais quel était le nom de ce médecin de Napoléon qui lui a fait ses réponses ?
00:32:35 « Nélaton » ? Non.
00:32:36 Est-ce que ce médecin aurait une rue à Paris par exemple ?
00:32:39 Ah, mieux que ça, rue Métro La Totale.
00:32:41 Ah ! Copaincourt.
00:32:43 Rue, lycée, station de métro.
00:32:45 Charles de Gaulle-Etoile ?
00:32:47 Alors, sur quelle ligne ?
00:32:50 Ah bah, puis quoi encore ?
00:32:51 Avron ! Avron !
00:32:53 Je pensais à la Ceped.
00:32:55 Il y a A. Laurent de Chelton.
00:32:57 Réaumur.
00:32:58 Monsieur L'Hôpital.
00:32:59 Non, non, non.
00:33:00 Alors, il est connu vraiment pour avoir été le médecin personnel de l'empereur Napoléon Ier.
00:33:04 Il n'a pas été un savant qui a inventé des choses à côté ?
00:33:07 Non, non, il était anatomiste, professeur, chirurgien.
00:33:10 Il s'est intéressé surtout à la cardiologie.
00:33:13 La Inec ?
00:33:14 Il a, c'est vrai, rendu le diagnostic de cardiologie plus précis, par exemple, grâce à la percussion
00:33:19 de la paroi thoracique.
00:33:20 Ah oui, quand même.
00:33:21 Et pas porte de la muette ?
00:33:24 Non, et il a gagné la confiance de Napoléon Bonaparte et de Joséphine de Beauharnais
00:33:29 en devenant leur médecin personnel.
00:33:32 Et c'est vrai que quand Napoléon a eu envie de quitter Joséphine pour avoir un descendant,
00:33:37 évidemment, il a dit "est-ce que vous croyez que je peux encore avoir des enfants avec une
00:33:41 femme plus jeune ?"
00:33:42 Et il a répondu "quelquefois, ça peut arriver, à 70 ans, alors là, toujours, si..."
00:33:46 Ce qu'il voulait sûrement dire, disons, que l'enfant ne serait plus de lui à ce moment-là.
00:33:50 Charles Trocadéro ?
00:33:52 Trocadéro, non.
00:33:53 Edgar Kiné ?
00:33:54 Non, non, non.
00:33:55 Une rue, un lycée, un métro.
00:33:56 Est-ce que le lycée il s'appelle "Docteur Nanana" ou il s'appelle juste...
00:33:59 Ah non, non, pas docteur.
00:34:00 Buffon ?
00:34:01 Buffon, non.
00:34:02 Lavoisier ?
00:34:03 Non, non, non.
00:34:04 Ça c'est pour vous, hein, l'Augériaté.
00:34:05 Oui, oui, oui.
00:34:06 Et Ben Guigui, normalement.
00:34:07 Oui, et bien on cherche, on cherche.
00:34:08 Pas le vaillant couturier.
00:34:09 Est-ce que c'est son nom et son prénom, le nom de la station ?
00:34:12 Ah, Lamotte ! Ou Piquet-Lamotte, ou Lamotte-Grenelle.
00:34:17 C'est pas Corvizart.
00:34:18 Corvizart ! Bonne réponse de Jean-Ben Guigui !
00:34:23 Ah, on a des vraies grosses têtes ici, quand même, heureusement.
00:34:29 Ah, ben c'est sur la 6 !
00:34:31 Jean-Nicolas Corvizart, effectivement, voilà le nom est Corvizart, c'est bien une station.
00:34:37 C'est dans le 13ème, ça.
00:34:38 Il y a plein de tags là-bas, c'est là aussi qu'il y a le tag de la Marianne, c'est trop beau.
00:34:42 Qu'est-ce que vous dites, Stéphie ?
00:34:44 Il y a Obé qui a fait…
00:34:45 Attendez, chacun, écoutez, chacun son tour dans l'asile, hein !
00:34:49 Les médecins ne savent plus où acheter une laquette !
00:34:53 Laurent, il faudrait savoir si vous prenez les gens en consultation individuelle ou en groupe.
00:34:58 Non, mais j'arrive quand même à obtenir des réponses excellentes, parce que c'était pas si évident de trouver Corvizart.
00:35:04 Bravo Jean-Benguiguier, j'ai une autre question pour Jeanne Pascal, qui habite Rennes, assez difficile celle-là aussi.
00:35:12 Même Pascal a une chance, il faut le dire, de toucher un chèque de 300 euros.
00:35:17 On reparle beaucoup de Marcel Bernard ces temps-ci dans les journaux.
00:35:21 Pour quelle raison parle-t-on de Marcel Bernard, dont on n'allait pas parler depuis au moins… au moins 40 ans ?
00:35:30 C'est une prénom féminin, le Marcel, ou le prénom masculin ?
00:35:33 Non, c'est un homme, Marcel Bernard.
00:35:35 C'est l'anniversaire de quelque chose qu'il a fait, c'est un tennisman, Marcel Bernard.
00:35:39 Oui, c'est un tennisman, bravo Jean !
00:35:41 Et alors ?
00:35:42 Il a gagné Roland-Garros.
00:35:43 Et c'est le seul…
00:35:44 C'est le seul Français avant Noah.
00:35:46 Avant Noah, et après guerre, à avoir gagné Roland-Garros.
00:35:49 Excellente réponse de Jean-Benguiguier.
00:35:54 Et oui, cette année on célèbre les 40 ans de la victoire à Roland-Garros de Yannick Noah.
00:36:00 Comme on le sait, ça n'arrivera pas à nouveau cette année, puisqu'ils sont déjà tous éliminés.
00:36:06 Il y a 40 ans, Noah remportait Roland-Garros face à Mats Wilander.
00:36:10 Et on oublie trop souvent qu'il y a quand même un autre Français qui, après guerre, avait gagné Roland-Garros.
00:36:16 Ce sont les deux seuls, Noah et Marcel Bernard, en 1946.
00:36:21 Il y en avait eu d'autres, évidemment, avant guerre.
00:36:23 Je trouve ça bien qu'on se rappelle de son nom à lui aussi.
00:36:26 C'est comme l'Eurovision Roland-Garros, on n'a pas de chance.
00:36:28 Ah oui, c'est vrai que Marie Myriam a gagné en simple l'Eurovision la dernière fois.
00:36:33 C'est vrai que c'est terrible, ce qui s'est passé hier.
00:36:38 Et en plus, l'attitude du public de Roland-Garros, il faut dire qu'on peut comprendre les gens.
00:36:44 Il ne restait qu'un pauvre malheureux Français, face à un Américain qui a gagné contre lui.
00:36:50 Et l'Américain, comme il s'est fait siffler pendant tout le match, il a eu un petit geste contre le public.
00:36:55 Si bien que le public a continué à le siffler jusqu'au bout.
00:36:58 C'était terrible en plus.
00:37:01 Quel geste ? Il a fait un geste avec un doigt ?
00:37:04 Ah non, là vous confondez avec l'Eurovision, justement.
00:37:07 Le livre du jour s'appelle "Viens et suis-moi".
00:37:15 C'est signé Thierry Bizeau.
00:37:18 Décidément, c'est une journée où on va hélas beaucoup parler de la mort.
00:37:22 Mais attention, le livre est joyeux, celui de Thierry Bizeau.
00:37:27 Il nous raconte quelqu'un qui est étonné de trouver à son domicile la femme à laquelle il était fiancé,
00:37:35 mais aussi ses proches, son successeur, puisqu'en fait il est en train de voir son propre cadavre et d'assister à ses obsèques.
00:37:42 C'est assez intéressant d'ailleurs ce que raconte Thierry Bizeau dans ce roman.
00:37:47 On va en parler avec lui dans un instant.
00:37:49 Celui qui est mort, c'est un prêtre, un curé. Le curé de Meudon.
00:37:53 Mais justement, il y a eu un autre curé de Meudon célèbre.
00:37:58 Qui fut le célèbre curé de Meudon ?
00:38:01 L'abbé Pierre ?
00:38:02 L'abbé Pierre, non, non, c'est plus ancien que ça.
00:38:04 Il a fini en prison ?
00:38:05 L'abbé Jouvence ? Non, non, non.
00:38:07 Il a fini en prison ?
00:38:09 C'est pas l'abbé Jouvence, c'est l'abbé Souris, monsieur.
00:38:11 Ah oui, oui.
00:38:12 Et c'est la Jouvence de l'abbé Souris, vous voyez.
00:38:15 La bêtise ?
00:38:16 Ah non, pas, non.
00:38:18 La bébête qui monte.
00:38:19 Là, dans le roman, le curé de Meudon, dans le roman de Thierry Bizeau.
00:38:23 Le curé s'appelle Joseph Lepic, mais c'est un roman contemporain.
00:38:27 Moi, je vous parle d'un célèbre curé de Meudon dans l'histoire de France.
00:38:32 Ah, l'abbé Faria ?
00:38:33 Non, non, non, non.
00:38:34 Bossuet ?
00:38:35 Bossuet, non.
00:38:36 Un prêtre qui vivait au 18e siècle, par exemple ?
00:38:39 Avant même.
00:38:40 Est-ce que c'est l'abbé quelque chose ?
00:38:42 Non, on est au 16e siècle.
00:38:43 Clovis ?
00:38:44 C'est Richelieu ?
00:38:45 Richelieu, non.
00:38:46 Il s'est marié ?
00:38:47 Alors, pour un curé, c'était rare à l'époque.
00:38:50 Non, mais est-ce qu'il a eu une histoire d'amour ?
00:38:52 Non, non, non, pas spécial.
00:38:53 Il a inventé un vaccin ?
00:38:54 Non, non.
00:38:55 Il est très connu ?
00:38:56 Rabelais ?
00:38:57 Pardon ?
00:38:58 Rabelais.
00:38:59 Rabelais !
00:39:00 Excellente réponse d'Eric Clauserias !
00:39:01 Mais il était curé Rabelais ?
00:39:03 Oui, François Rabelais, on ne le sait pas toujours, mais Rabelais était curé de Meudon.
00:39:09 Vous me confirmez, Thierry Bizeau, bonjour !
00:39:11 Bonjour Laurent, oui, il y a même un lycée Rabelais à Meudon, en son honneur.
00:39:15 Et j'imagine que ce n'est pas par hasard que votre héros à vous, votre personnage,
00:39:20 ce fameux Joseph Lepic, vous l'avez fait curé de Meudon ?
00:39:24 Alors, en fait, il se trouve que j'habite à Meudon.
00:39:27 Et au début, j'avais inventé un nom de ville, mais il n'y a rien de plus difficile
00:39:31 que d'inventer des noms propres quand on écrit des bouquins.
00:39:34 Et donc, le nom de ville que j'avais trouvé, ce n'est faux.
00:39:36 Et donc, finalement, je me suis dit, allez hop, je vais le mettre à Meudon, et c'est plus simple.
00:39:39 C'est amusant que vous disiez ça, parce que j'ai remarqué que vous étiez servi aussi
00:39:43 de différents directeurs de théâtre pour d'autres personnages dans le livre.
00:39:47 - Ah ça, c'est possible, oui.
00:39:49 - Bah oui, parce que Monseigneur Dumonté, en plus le RIGI de Monseigneur Dumonté…
00:39:55 - J'ai pensé à vous, Laurent, j'ai pensé à vous.
00:39:58 - Ah !
00:39:59 - Monseigneur Dumonté, c'est celui qui nomme le successeur de votre personnage principal,
00:40:05 celui qui vient de mourir, celui qui assiste à ses obsèques, à son entourage, sa famille, ses amis.
00:40:10 Il voit son successeur dans son propre presbytère, lui succéder sur ordre de Monseigneur Dumonté.
00:40:18 Alors un autre personnage qui est médecin, lui, qui s'appelle Kayat, comme un autre directeur de théâtre.
00:40:23 - Beaucoup plus sexy.
00:40:25 - Vous l'avez fait exprès ?
00:40:26 - Dumonté, je l'ai fait un peu exprès. Kayat, non, Kayat, j'ai un copain qui s'appelle Kayat.
00:40:31 - Ah bon, très bien.
00:40:32 - Et mon imam Smaïne, vous l'avez fait exprès ou pas ?
00:40:34 - Alors, il faut dire, Thierry, disons que vous êtes croyant catholique,
00:40:38 et que ce n'est pas le premier ouvrage que vous consacrez à la foi et à la religion.
00:40:43 Mais là, c'est très intéressant parce que c'est à la mort, plus particulièrement, que vous vous intéressez,
00:40:47 et à ce qui peut se passer à ce moment-là, à cet autre qui disparaît, alors que vous voyez cet autre mort, au fond.
00:40:55 C'est ce moment où l'âme se sépare du corps, en quelque sorte.
00:40:59 - Voilà, en gros, je me suis dit, j'avais une idée qui était de dire, je veux faire un roman
00:41:03 dont le héros s'aperçoit au tout début qu'en fait, il est mort.
00:41:06 Je ne m'étais pas rendu compte, mais il se voit sur son lit de mort.
00:41:09 Il est là, il assiste à tout, il peut tout voir, tout entendre, mais personne ne le voit, personne ne l'entend.
00:41:13 Et je me suis dit, ça c'est un fantasme, quand même, on a tous envie d'assister à nos obsèques.
00:41:16 Qu'est-ce qu'on va dire de nous ? Qui va venir ? Qui va pleurer ? Qui ne va pas pleurer ?
00:41:20 Et donc ça, c'était le point de départ.
00:41:21 Et puis après, je me suis dit, c'est pas mal que ce soit un prêtre qui soit le héros,
00:41:25 parce que finalement, c'est un peu des spécialistes de la mort, ces gars-là.
00:41:29 Donc, c'est intéressant de voir comment un prêtre accepterait sa mort.
00:41:32 Parce qu'en fait, finalement, ce prêtre-là, c'est un bon prêtre de quartier, tout simple,
00:41:37 il se rappelle de tous les gens qu'il a vus, les confessions qu'il a eues, etc.
00:41:40 Mais il pensait avoir compris le sens de sa vie, qui était d'aimer et d'être aimé.
00:41:44 Il pensait qu'on est tous sur Terre que pour ça.
00:41:46 Mais alors, par contre, il ne comprend pas du tout le sens de sa mort.
00:41:49 Il en veut énormément à Jésus, son boss, à qui il apostroque tout le temps.
00:41:53 Il dit, je ne comprends pas, comment tu m'éteins du jour au lendemain, tout ce que j'ai fait est anéanti.
00:41:58 Et donc, il a du mal à avaler sa mort, on va dire ça comme ça.
00:42:01 - Vous pensez que la vie est belle, vous commencez comme ça d'ailleurs, votre roman.
00:42:06 Mais la mort peut être belle, elle aussi, dites-vous.
00:42:09 - Oui, de toute façon, en faisant un roman où j'essaie d'explorer qu'est-ce qui peut se passer après la mort
00:42:14 et comment ça se passe, finalement, quand on parle de la mort, on parle de la vie, forcément.
00:42:19 Et quand on parle de la vie, on parle de la mort.
00:42:21 - Vous dites d'ailleurs même, et je trouve cette formule très jolie,
00:42:24 on ne vit qu'une fois, mais au fond, on ne mort qu'une fois aussi.
00:42:28 - Oui, on est très intimement liés.
00:42:32 Les deux sont intimement liés.
00:42:34 C'est un livre sur la mort, mais c'est aussi un livre sur la vie.
00:42:36 Et c'est aussi un livre sur l'amour.
00:42:38 Parce qu'en fait, lui, sa grande découverte dans la vie, c'est que Dieu, c'est l'amour.
00:42:42 L'amour, c'est Dieu.
00:42:43 Même ceux qui ne croient pas, finalement, ils savent ce que c'est que Dieu,
00:42:45 puis ce qu'ils aiment, même quand ils ne sont pas croyants.
00:42:47 Et donc, lui, il s'est dit, bon, il essaie de comprendre, est-ce qu'il a suffisamment aimé ?
00:42:52 Il se dit, on est tous d'accord pour dire qu'il faut aimer, qu'aimer, c'est bien.
00:42:56 On voit toutes les chansons, les films, les livres qui sont faits sur ce sujet.
00:42:59 Mais quand même, si on est tous là pour aimer, si on est faits pour aimer et être aimés,
00:43:04 sur les 24 heures quotidiennes qu'on passe chaque jour,
00:43:06 combien on en dépense à vraiment aimer ?
00:43:08 Et il se dit, finalement, toute la question, c'est est-ce que j'ai suffisamment aimé ?
00:43:12 - Au troisième jour de sa mort, voilà ce que vous écrivez.
00:43:16 "Voilà trois jours que je suis mort de façon inexpliquée et que je ne sais toujours pas ce qui m'attend.
00:43:21 Mon cadavre est toujours solennellement exposé entre ses quatre cierges, gardien silencieuse et fidèle,
00:43:27 et je suppose que tôt ou tard, je devrais aussi quitter cette chambre rassurante.
00:43:31 Mais quelle formalité devrais-je alors accomplir pour accéder à ma nouvelle citoyenneté dans l'au-delà ?
00:43:37 Et à quelle éternité aurais-je droit ?
00:43:39 C'est terrible, je résonne comme un futur retraité occupé à calculer ses trimestres."
00:43:45 Voilà qui est d'actualité.
00:43:47 - Ah ben oui, c'est tout à fait d'actualité, Marie.
00:43:49 La mort ne vous fait donc pas peur, Thierry Bizeau ?
00:43:52 - Oh si, la mort me fait peur, je l'imagine comme à tout le monde, parce qu'on ne sait pas ce que c'est.
00:43:58 Mais j'y pense beaucoup, et j'y pense pas par contre avec angoisse.
00:44:03 Je m'intéresse beaucoup à ce sujet et ça me passionne en fait.
00:44:07 Mais ce qui me passionne quand même beaucoup, c'est quel est le sens de la vie finalement.
00:44:10 Et moi je crois l'avoir trouvé en me disant, le sens de la vie c'est qu'on est tous sur Terre pour aimer et être aimés,
00:44:14 mais c'est pas pour autant qu'on a trouvé le sens de la vie qu'on l'applique dans la vie de tous les jours.
00:44:18 - Ou que ça rassure sur la fin.
00:44:20 - Ah oui, ça rassure sur la fin, oui.
00:44:22 - Viens et suis-moi, vous pensez que ça se passe vraiment comme ça, qu'on voit son enveloppe charnelle, vue de haut ?
00:44:28 Vous pensez vraiment que c'est comme ça que ça se passe ?
00:44:30 - Oui, moi je crois vraiment qu'on peut parler avec nos morts.
00:44:33 Ah oui, je crois pas du tout aux voyants, aux gens qui nous prédisent l'avenir, etc.
00:44:36 Mais je crois assez aux médiums, parce que je pense qu'on peut effectivement,
00:44:40 que les morts peuvent communiquer avec eux, leur esprit est encore là.
00:44:44 Donc là je me suis dit, l'esprit de ce type va rester là quelques jours,
00:44:49 bon il est un peu curieux au départ, mais il doit faire lui-même le deuil de son deuil.
00:44:54 - Ça s'appelle donc "Viens et suis-moi", c'est publié au Seuil,
00:44:59 l'éditeur aime à rappeler que vous êtes l'auteur de "Catholique Anonyme" qui avait très très bien marché.
00:45:04 - Ah oui, "Catholique Anonyme", c'est un parcours de converti formidable, la vie de Thierry Bizeau.
00:45:10 - Ah oui, absolument. "Viens et suis-moi", c'est le nouveau roman de Thierry Bizeau au Seuil,
00:45:15 et c'était le livre du jour. Merci Thierry Bizeau. - Bravo !
00:45:18 - On parlait de Roland-Garros tout à l'heure, j'y reviens.
00:45:23 Puis il y a un autre anniversaire à Roland-Garros, il n'y a pas que les 40 ans de Yannick Noé,
00:45:29 il y a 50 ans aussi, 50ème anniversaire. Ça fait 50 ans qu'on voit ça à Roland-Garros, mais quoi d'autre ?
00:45:35 - La Terre battue. - La Terre battue, non.
00:45:37 - Le sponsoring de la BNP. - Excellente réponse de Jean-Benjigui !
00:45:42 - Parce que personne ne met plus d'argent qu'eux, c'est pour ça.
00:45:46 - Les fameuses 3 lettres BNP qu'on voit sur les bâches derrière les tennismen,
00:45:51 ça fait 50 ans déjà qu'on les voit. La banque est partenaire de Roland-Garros depuis 5 décennies.
00:45:59 Ça faisait déjà 10 ans que la BNP était là quand Yannick Noé a gagné Roland-Garros.
00:46:04 Ils ont même fait un petit calcul à la BNP, il paraît que sur 1h de retransmission de match,
00:46:10 on voit les lettres BNP pendant 31 minutes. La moitié du temps on voit les lettres BNP.
00:46:17 - Ce qu'il faudrait savoir c'est est-ce que vraiment quand tu regardes un match de tennis à Roland-Garros
00:46:21 et qu'il y a écrit BNP derrière pendant 30 minutes, est-ce que tu te dis "je vais aller à la BNP" ?
00:46:25 - Bah sûrement ! - C'est inconscient, c'est inconscient.
00:46:29 - Mais déjà je pense que si tu regardes Roland-Garros, t'as déjà un compte en banque.
00:46:33 - Des images subliminales. - Subliminales.
00:46:37 - Que d'a dire ? - Minal.
00:46:39 - Attendez, c'est intéressant ce qu'a dit Aze. Il dit "si tu regardes Roland-Garros, t'as déjà un compte en banque".
00:46:45 C'est pas faux ! - C'est vrai.
00:46:47 - C'est pas faux ! - Bah oui.
00:46:49 - Mais en même temps on peut changer de banque, vous n'en avez jamais changé de banque ?
00:46:52 - Bah si mais pas... - A quelle banque vous êtes ?
00:46:55 - Là je suis à la Société Générale. - Pourquoi vous êtes allé à la Société Générale ?
00:46:59 - Parce que c'était rouge et blanc, ça me rappelait les grosses têtes.
00:47:02 - Ah bravo !
00:47:05 - Tout est raconté dans le Figaro. Il y a donc un demi-siècle que la BNP est partenaire de Roland-Garros.
00:47:15 Alors à l'époque le contrat entre les deux parties s'élevait à quelques centaines de milliers de francs,
00:47:20 ce qui déjà était pas mal. Mais dans les années 90, on est passé à plusieurs dizaines de millions d'euros.
00:47:27 - Non. - Ah bah oui.
00:47:29 - De quoi ? Qui paye ? - Bah BNP paye...
00:47:32 - Donc ils payent une partie des primes des joueurs ?
00:47:35 - Non mais tu te rends compte, c'est vu dans le monde entier.
00:47:37 - BNP il paye des millions d'euros pour être sur le stade de Roland-Garros ?
00:47:40 - Alors aujourd'hui c'est quelques centaines de milliers d'euros pour accompagner le tennis, oui bien sûr.
00:47:46 - Mais alors qui paye les joueurs de foot ? - Pardon ?
00:47:49 - Qui paye les joueurs qui ont gagné ? Qui ?
00:47:53 - Les sponsors, les prix des places, les retransmissions...
00:47:56 - Mais Ertel, nous on a décidé, on paye les vainqueurs français.
00:48:01 - Ah ah ah ! - Oui !
00:48:03 - On est tranquille, hein ! - On sponsorise les vainqueurs français !
00:48:07 - Alors une autre question pour Alain Crépin qui habite Savoyeux, c'est en Haute-Saône.
00:48:16 Un anniversaire, une commémoration, c'est le jour, hein, aujourd'hui.
00:48:20 En 98, y'a pas eu que la Coupe du monde de football qu'on a gagnée, hein.
00:48:25 Et oui c'est vrai qu'on sera pas là cet été pour en parler,
00:48:28 mais on va quand même célébrer les 25 ans de notre première Coupe du monde de football gagnée.
00:48:33 - Et pourquoi on sera pas là ? Oh là là ! Et on était en Italie, nous !
00:48:37 - Parce que ce sera... on sera en vacances ! - Ah oui, mais on sera quand même vivants, y'a pas rien !
00:48:42 - A priori, oui ! - Mais en tout cas, effectivement, comptez, 1998-2023...
00:48:48 - Il a mis 18 ans ! J'en ai 43 ! - 25 ans qu'on ait gagné la première Coupe du monde de football !
00:48:53 - J'avais 3 ans ! - Vous aviez 3 ans ! - Et alors ?
00:48:55 - En tout cas, y'a pas que des souvenirs heureux en 98, parce qu'en juin 98,
00:49:00 on retrouvait aussi quelqu'un avec ses célèbres bottes bleues, son pantalon de coton rouge,
00:49:06 et on était sûr que c'était lui. - Cousteau !
00:49:08 - Non, pas Cousteau ! - Francis Lalanne !
00:49:10 - Oh putain ! Non, non... - Un Tabarly ?
00:49:14 - Eric Tabarly était tombé en mer ! - Ah oui !
00:49:17 - Effectivement, Eric Tabarly était tombé de son bateau.
00:49:21 - Aucune nouvelle depuis, David ? - Jamais !
00:49:23 - Comment ça, aucune nouvelle ? - On a rien retrouvé de lui !
00:49:25 - Mais si, puisque je viens de vous le dire ! - On est en train de dire qu'on a retrouvé ses bottes !
00:49:29 - Mais vous savez, on a retrouvé son corps, t'as pas dit !
00:49:31 - Mais bien sûr qu'on a retrouvé son corps, puisque je suis en train de vous le dire !
00:49:34 - Mais dans les bottes ! - Mais fou !
00:49:36 - Ha ha ha ! Mais dans les bottes !
00:49:40 - Non, y'a des disparus en mer qui sont disparus en mer et qu'on a jamais retrouvés.
00:49:44 - Ah ben, bien sûr ! - Comme Alain Collat, par exemple.
00:49:46 - Mais Eric Tabarly, pardon de vous dire, on a effectivement retrouvé son corps en mer.
00:49:54 Il avait été projeté par le pic de la voile de son bateau au cours d'une manœuvre de réduction de voilure.
00:50:00 Et en juillet 1998, son corps a été repêché à 80 km au sud des côtes irlandaises par les marins d'un chalutier breton.
00:50:11 Le corps a été transporté à l'hôpital de Waterford en Irlande.
00:50:15 Il a été autopsié.
00:50:17 Alors, le corps était devenu méconnaissable, parce qu'effectivement, il avait séjourné de façon prolongée dans l'eau.
00:50:23 Mais il y avait quand même de fortes présomptions quant à son identité à l'époque.
00:50:27 Parce qu'il portait, c'était l'objet de ma question, des bottes bleues, un pantalon de coton rouge
00:50:32 et même un pull marin, bleu marine, avec l'inscription "Eric Tabarly".
00:50:36 Alors, vous voyez, il y avait quand même de fortes chances que ce soit lui.
00:50:41 Et après, il y a eu une autopsie qui a confirmé, évidemment, les résultats annoncés.
00:50:45 C'était bien le corps d'Eric Tabarly qu'on a retrouvé en juillet 1998.
00:50:51 C'était il y a 25 ans.
00:50:53 (Applaudissements)
00:50:54 Qui, qui fait quoi parier sur votre grosse tête ?
00:50:58 C'est Sébastien qui va parier sur la grosse tête, la mieux renseignée sur l'actualité.
00:51:03 Le choix va être assez simple, je pense, aujourd'hui, Sébastien, vu le casting des grosses têtes.
00:51:08 Vous avez, je crois, deux possibilités. Je vous le dis d'avance.
00:51:11 Ah, c'est ce que Stevie voulait !
00:51:13 (Rires)
00:51:14 Sébastien, vous avez 42 ans, vous êtes un con carnaud dans le Finistère.
00:51:17 C'est ça.
00:51:18 Qu'est-ce que vous faites dans la vie ?
00:51:20 Mon ami a un concept store à Melun qui s'appelle Poulettes.
00:51:24 Et moi, je m'occupe de la partie e-commerce pour l'ex-shop.fr.
00:51:27 Vous occupez de Poulettes ?
00:51:29 C'est un concept store. On vend des vêtements, des objets de décoration, principalement du métier.
00:51:34 Très bien. Écoutez, longue vie à Poulettes, Sébastien.
00:51:37 Et je vous propose, en tout cas, de gagner un magnifique séjour à l'hôtel Relais et Château.
00:51:42 Vous pourrez partir avec votre ami dans ce centre thalasso de l'île La Lagune Saint-Cyprien.
00:51:48 Tapez un sur un ordinateur ou sur votre smartphone hôtele-île-lagune.com
00:51:53 et vous en saurez un peu plus encore sur ce petit coin de paradis, sur une île privée,
00:51:58 entourée par la verdure, avec un jardin luxuriant, donc un bistrot chic, un restaurant gastronomique.
00:52:04 Vous avez une table réservée déjà pour deux là-bas.
00:52:07 Le temps d'un week-end dans ce Relais et Château, ça fait rêver, Sébastien.
00:52:11 Mais sur qui misez-vous donc, parmi les grosses têtes,
00:52:14 pour être la dernière ou le dernier qui connaîtra les noms qui font l'actualité ?
00:52:19 J'adore Daniel Evenou, mais je vais quand même me laisser une petite chance de gagner.
00:52:23 Donc je vais parier sur Jean Benguigui.
00:52:25 Ça, ça me paraît sale.
00:52:27 Mais non, je suis perdu. Je vous préviens, je ne gagne pas tout le temps.
00:52:29 En tout cas, merci pour ce que vous avez dit.
00:52:31 Jean Benguigui, il lit tous les journaux tous les matins, donc c'est un bon choix.
00:52:36 On va commencer de l'autre côté, si vous voulez bien.
00:52:38 On va commencer par Éric Logérias.
00:52:40 Éric Logérias, pouvez-vous me dire qui est Pedro Sánchez ?
00:52:43 Pedro Sánchez est le président de la République mexicaine.
00:52:46 C'est le Premier ministre espagnol. Au revoir, Éric Logérias.
00:52:50 C'est triste, Éric, quand même. Vous ne le saviez pas ?
00:52:54 Non, j'étais à l'étranger longtemps.
00:52:56 Enfin, il y a un moment où il est Premier ministre espagnol.
00:52:59 Ça me revient, bien sûr.
00:53:01 Il a perdu les élections il y a une semaine.
00:53:03 Pourquoi vous ne le dites pas, alors ?
00:53:05 Parce que ça n'est pas venu tout d'un coup. C'était trop rapide. On m'avait stressé.
00:53:08 En tout cas, on a déjà éliminé Monsieur Logérias.
00:53:11 Valérie Méres, pouvez-vous me dire qui est Caroline Garcia ?
00:53:14 Oui, Caroline Garcia, c'est une de nos joueuses de tennis française qui a été éliminée.
00:53:21 Bravo, ça c'est une bonne réponse.
00:53:23 Moi, j'ai toutes les réponses des autres.
00:53:26 À chaque fois, je suis sûr que quand ça va tomber sur moi, je ne vais pas l'avoir.
00:53:28 Attention, Monsieur Asse, pouvez-vous me dire qui est Lucas Elsner ?
00:53:33 Lucas Elsner, c'est un joueur de tennis français qui a été éliminé ?
00:53:36 Non, c'est l'entraîneur du HAC en football.
00:53:39 Ce soir, il y a un match important pour le Havre.
00:53:42 Ah oui, pour la montée en Ligue 1.
00:53:43 Exactement. Lucas Elsner a même reçu un trophée cette semaine.
00:53:48 L'entraîneur du Havre a reçu la palme du meilleur entraîneur.
00:53:53 Tout va se jouer sur le match de ce soir.
00:53:56 Pour savoir si on va monter en Ligue 1.
00:54:03 Alors que c'était gagné il y a encore 4 semaines, on était persuadés.
00:54:06 Ça y est, d'un seul coup, on flanche.
00:54:08 Et alors, c'est assez drôle, parce que dans l'équipe, ils font un résumé.
00:54:12 Le Havre montera en Ligue 1 si il ne perd pas contre Dijon.
00:54:17 Bon, ça, c'est la meilleure des hypothèses.
00:54:19 Il perd avec un but d'écart et Bordeaux ne gagne que d'un but d'écart.
00:54:24 Si on perd, on peut quand même monter, à condition que Metz ne batte pas Bastia.
00:54:31 Et si on perd et que Bordeaux ne bat pas Rodez.
00:54:35 Je n'ai rien compris.
00:54:37 Donc je le dis aux joueurs Havre, le mieux, c'est de gagner.
00:54:41 Si il gagne, c'est bon.
00:54:45 Monsieur Stevie Boulay, qui est Athanase Périfant.
00:54:49 C'est une femme ? C'est le nom d'une femme ?
00:54:50 Ah non.
00:54:51 C'est le nom d'un homme ?
00:54:52 C'est un homme politicien.
00:54:53 Il fait un peu de politique, mais c'est pas pour ça qu'on le connaît.
00:54:57 Athanase Périfant, on en parle une fois par an.
00:54:59 Ah, c'est celui qui annonce les résultats d'Émisses France ?
00:55:02 Pas du tout.
00:55:03 C'est celui qui a lancé la fête des voisins.
00:55:06 On en est à la 24e édition de la fête des voisins.
00:55:09 On en parle tous les ans à cette époque de l'année d'Athanase Périfant.
00:55:13 Donc c'était pas si difficile, mais vous êtes éliminé, Stevie.
00:55:17 J'ai le cœur qui bat.
00:55:18 Est-ce que je sauterais pas Daniel Evnou ?
00:55:20 Ah, enfin !
00:55:23 C'est un week-end qui débute.
00:55:26 Ah !
00:55:27 Encore, j'ai...
00:55:30 Je voulais dire est-ce que j'échapperais pas à Daniel Evnou.
00:55:33 Après ce que vous venez de dire, non, elle échapperait plus.
00:55:36 Daniel, si je vous demande qui est Justine Trier ?
00:55:40 Bien sûr, c'est elle qui a eu la palme de Cannes.
00:55:45 La palme de quoi ?
00:55:46 La palme du meilleur film, La palme d'or.
00:55:49 La palme de réponse de Daniel Evnou.
00:55:52 Ouais !
00:55:53 Jean Benguigui, pouvez-vous me dire qui est Maki Sal ?
00:56:00 Oui.
00:56:01 Ça me donne faim.
00:56:02 Maki Sal est un poète africain dont l'anthologie vient de paraître dans la Pléiade.
00:56:08 Enfin, M. Benguigui, vous n'allez pas faire perdre Sébastien, quand même.
00:56:15 Maki Sal.
00:56:16 Maki Sal.
00:56:17 Un livreur de plats et de sushis, non ?
00:56:18 Non.
00:56:19 C'est le président du Sénégal depuis 2012.
00:56:25 Il avait dit « africain ».
00:56:27 Ça fait donc plus de dix ans qu'il est président.
00:56:29 Vous allez commencer par moi avec ça.
00:56:31 Ça s'est mal distribué.
00:56:32 Là, il y a maintenant deux femmes face à face.
00:56:34 Et oui.
00:56:35 Mais lesquelles ?
00:56:36 Sauf que Sébastien a perdu son séjour à l'hôtel Rolais-les-Châteaux.
00:56:40 Il peut encore gagner 100 euros, Sébastien.
00:56:43 Ça lui permettra au moins de faire un dîner.
00:56:47 Ça va être l'inflation, c'est juste.
00:56:49 Pas n'importe où non plus.
00:56:51 Pour 100 euros, t'as un bon restaurant, quand même.
00:56:54 Faut pas prendre trois bouteilles non plus.
00:56:56 Un dîner seul.
00:56:57 En tout cas, pour 100 euros, il va falloir choisir entre deux bouchons,
00:57:01 celui de Daniel Eveneau ou celui de Valérie Méres.
00:57:06 Allez, je suis Valérie Méres.
00:57:08 Valérie Méres.
00:57:09 Pouvez-vous me dire Valérie, qui est Robin Campillo.
00:57:12 C'est un réalisateur et là il vient de réaliser L'île Rouge qui est sorti.
00:57:17 Excellent réponse de Valérie.
00:57:20 Daniel, qui est Amélie ou Déa Castera ?
00:57:26 Trou de mémoire.
00:57:27 Amélie ou Déa Castera ?
00:57:31 Mais c'est une écrivaine.
00:57:33 C'est la ministre des Sports.
00:57:35 Vous venez de gagner 100 euros, Sébastien.
00:57:37 On se retrouve après les infos de 17h.
00:57:40 (Applaudissements)
00:57:42 (Musique)
00:57:48 Les Grosses Têtes de Laurent Ruquier, c'est de 15h30 à 18h sur RTL.
00:57:52 Toujours avec Jean-Bendit Guy, Daniel Eveneau, Stéphane Boulin, Eric Legérias, Valérie Méres et A.G.
00:57:59 Une question à la portée de tout le monde.
00:58:03 Et pour nos amis belges qui nous écoutent, ça les amusera
00:58:07 parce qu'eux, évidemment, connaissent ce verbe "tchouler"
00:58:11 qui est dans le dictionnaire français.
00:58:13 Mais ça nous vient de Belgique.
00:58:14 Qu'est-ce qu'on fait quand on tchoule ?
00:58:16 Quand on tchoule ?
00:58:17 On se repose.
00:58:18 Non, non.
00:58:19 On est en position.
00:58:20 Ça c'est "tchiller", évidemment.
00:58:22 Et je peux même vous dire comment ça s'écrit.
00:58:24 Ça s'écrit T-C-H-O-U-L-E-R.
00:58:27 C'est quand même une création contemporaine ce mot.
00:58:29 C'est pas très ancien.
00:58:30 C'est pas dans le dictionnaire, j'imagine.
00:58:32 C'est dans le petit Robert.
00:58:34 C'est quand on est air nu ?
00:58:35 Ah non, non.
00:58:36 C'est quand on dit du mal de quelqu'un ?
00:58:38 Ah non, non plus.
00:58:39 Ça vient du wallon, tchouler.
00:58:41 Manger, manger.
00:58:43 Ah non, on ne tchoule pas quand on mange.
00:58:45 Dormir, dormir.
00:58:46 Non plus.
00:58:47 Est-ce que ça se passe dans la chambre ?
00:58:49 Alors écoutez, on peut tchouler dans sa chambre.
00:58:51 C'est une action.
00:58:52 Mais on peut tchouler n'importe où.
00:58:53 Est-ce qu'il faut être deux pour tchouler ?
00:58:55 Non, on peut tchouler tout seul.
00:58:57 Même devant vous ?
00:58:58 On peut tchouler chacun devant soi ?
00:59:01 Moi, je vous ai déjà vu tchouler devant moi en tout cas.
00:59:03 Micheline Dax a tchoulé ?
00:59:05 Elle sifflait.
00:59:07 Ah, siffler ? Non, non.
00:59:09 Dormir ?
00:59:10 Est-ce que c'est danser ?
00:59:11 Ah, ce n'est pas danser, non.
00:59:12 C'est un verbe d'action ?
00:59:14 Comment c'est un verbe d'action ?
00:59:15 C'est un truc positif ?
00:59:17 Que ça se fait avec les mains ?
00:59:19 Oh, c'est pas positif.
00:59:20 Quand on tchoule, c'est pas positif.
00:59:21 C'est qu'on a la gueule de bois ?
00:59:22 Ah non, non.
00:59:23 On a la diarrhée ?
00:59:24 Pardon ?
00:59:25 On a la diarrhée ?
00:59:26 Ah non, non, la diarrhée.
00:59:27 C'est qu'on n'arrive pas à dormir ?
00:59:28 Ah non, non, non.
00:59:29 Vous m'avez vu plusieurs fois tchouler ?
00:59:30 Ah, plusieurs fois, oui.
00:59:31 Je vous tchoule déjà tellement ?
00:59:33 Vous êtes même, je pense, ici la…
00:59:36 La seule ?
00:59:37 Ah, Basbour et la Gueule ?
00:59:39 Oh.
00:59:40 La meilleure tchouleuse.
00:59:42 Ah, parler tout seul ?
00:59:43 Ah non, non, non.
00:59:44 Entendre des voix ?
00:59:45 Ah, aimer faire l'amour ?
00:59:46 Non, non, non.
00:59:47 Danser sur la table ?
00:59:48 Non, non, non.
00:59:49 Se répéter.
00:59:50 J'en ai des défauts.
00:59:52 Être accroché de ses pompes ?
00:59:54 Peut-être j'ai vu Stevie tchouler une fois, mais j'en suis même pas sûr.
00:59:57 Oui, une fois j'ai dû le voir tchouler.
00:59:58 Valérie aussi j'ai dû le voir tchouler une fois.
01:00:01 Et moi plusieurs.
01:00:02 Jean-Benigui, je crois que je ne l'ai jamais vu tchouler.
01:00:05 Quand on vomit ?
01:00:06 Non, non, non.
01:00:07 C'est un truc de humain ?
01:00:08 Pleurer ?
01:00:09 Pleurer ?
01:00:10 C'est pleurer, chialer ?
01:00:12 Bonne réponse !
01:00:15 Ah ouais, c'est pas loin de chouiner en fait.
01:00:18 Ah ouais, on chouine.
01:00:19 Bonne réponse de Valérie Meyres.
01:00:21 C'est vrai que vous pleurez plutôt facilement, Daniel.
01:00:25 Valérie aussi d'ailleurs.
01:00:27 On a du chagrin.
01:00:29 Les pleurs sur nos lunettes.
01:00:31 J'ai souvent vu Daniel tchouler, peut-être Valérie une fois, Stevie aussi.
01:00:36 Moi en regardant les téléfilms d'M6, ça m'arrive.
01:00:40 Bravo Valérie.
01:00:41 Voici une autre question pour Emmanuel Dupré qui habite Vendôme dans le Loire-et-Cher.
01:00:45 Où se trouve le hiatus poplite ?
01:00:48 Ah c'est un muscle.
01:00:49 Oui, bravo.
01:00:50 Ah c'est un muscle et il me semble que c'est dans le tronc.
01:00:53 Pas du tout, c'est derrière le genou.
01:00:55 Derrière le genou.
01:00:57 Bonne réponse, Céline Clouzière.
01:01:00 Dans le creux poplité.
01:01:02 Quelqu'un a peut-être mis son genou dans votre dos, monsieur Stevie.
01:01:07 Mais en tout cas, c'est pas dans le torse.
01:01:09 Ou c'était pas un genou.
01:01:11 Le muscle poplité.
01:01:13 Hiatus.
01:01:14 Et le hiatus poplité, c'est derrière le genou.
01:01:19 C'est effectivement un muscle triangulaire en arrière du genou.
01:01:24 Et j'ai maintenant une question à la portée de tous.
01:01:26 Je dois reconnaître que j'ai appris quelque chose ce matin en préparant cette question.
01:01:31 C'est une page que j'ai trouvée, je crois que c'est dans le Parisien magazine aujourd'hui.
01:01:35 Non, le Figaro magazine, que je cite bien mes sources.
01:01:39 Une page de publicité pour le Big Green Egg.
01:01:43 Et j'ignorais ce que c'était que le Big Green Egg.
01:01:47 Voilà pourquoi je vous pose la question à l'attention de monsieur Piau qui habite Pluvaux en Côte d'Or.
01:01:52 Le gros zèbre.
01:01:54 C'est un barbecue en forme d'œuf rond.
01:01:59 Excellente réponse de Jean-Ben Guigui.
01:02:02 Oui parce que…
01:02:04 T'en as un ?
01:02:05 Non mais j'ai beaucoup travaillé sur les barbecues derrière moi.
01:02:09 Oui, il a un intérêt, c'est qu'il est transportable et qu'on peut le balader.
01:02:14 Quand j'ai vu cette page de publicité dans le Figaro, j'ai cru que c'était une urne funéraire pour mettre les sangs.
01:02:21 Et en fait c'est un barbecue.
01:02:24 Rien n'interdit de mettre les sangs de quelqu'un dedans d'ailleurs.
01:02:28 Si on veut les garder dans son jardin.
01:02:31 Ça peut servir au moins à ça.
01:02:33 On peut mettre les sangs et faire cuire la viande par-dessus.
01:02:36 Oui, on a fait cuire des ribs avec les sangs de mémé.
01:02:39 Ça peut être très sympathique.
01:02:41 Quel horreur.
01:02:42 On met les sangs de Stevie, on fait griller sa saucisse.
01:02:46 Oh !
01:02:49 Faire griller la saucisse de Stevie, il y en a pour plusieurs.
01:02:53 Vous le savez ?
01:02:55 Moi on m'a dit ça.
01:02:56 Il s'en vante en tout cas.
01:02:58 C'est le bruit qui court.
01:03:00 Bienvenue au banquet.
01:03:02 Oh le malaise.
01:03:03 C'est un peu comment il s'appelait ce dandy très très connu à une certaine époque ?
01:03:07 Il s'appelait Jacques Chazot ?
01:03:10 Mais non.
01:03:11 C'est celui qui disait…
01:03:12 Rosa, Rosa ?
01:03:14 Oui, le moulin à poivre.
01:03:16 Ruby Rosa.
01:03:17 Ruby Rosa.
01:03:18 Il a donné son nom à un poivrier dans les restaurants italiens.
01:03:22 L'immense…
01:03:23 Monsieur la Nouvelle Ruby ?
01:03:24 Mais est-ce que t'arrives à percer un mur avec ?
01:03:27 Parce qu'elle a des travaux à faire à la maison.
01:03:29 C'est pas pour elle personnellement, mais c'est parce qu'elle a des travaux.
01:03:32 Ah oui, alors percer un mur…
01:03:34 Regardez, Aza semble jalouse d'un seul coup.
01:03:36 Il regarde Stevie différemment.
01:03:38 Non, non, pas du tout, je pensais aux gingembres.
01:03:41 Non mais avoir quand même un poivrier à son nom, t'as réussi ta vie.
01:03:45 C'est la gloire.
01:03:46 Mais bien sûr.
01:03:47 C'est mieux que la Rolex.
01:03:48 Ça n'empêche pas l'autre, mais enfin bon.
01:03:51 Écoutez, on peut avoir effectivement un membre avantageux sans savoir où se trouve le muscle poplité.
01:03:58 Et c'est une bien appropriée.
01:04:00 RTL, Six Grosses Têtes, Cinq Techniques.
01:04:03 Pascal est au téléphone à Rousier de Touraine, c'est dans l'Indre-et-Loire.
01:04:07 Bonjour Pascal.
01:04:08 Bonjour Laurent.
01:04:09 Ah, vous n'avez pas encore atteint l'âge de la retraite.
01:04:12 Est-ce que je peux vous demander ce que vous faites comme métier ?
01:04:14 Pour l'instant, je suis actif encore.
01:04:17 C'est ce que je disais.
01:04:19 Je viens d'en reprendre pour quatre ans, mais bon.
01:04:21 Je suis chargé d'affaires dans une société dans le bâtiment.
01:04:26 Actif dans le bâtiment, effectivement, ça nous fait des points communs, Pascal.
01:04:30 Et c'est beau Rousier de Touraine, dites-moi ?
01:04:34 Ben non.
01:04:37 C'est un petit village très très sympa au nord de Tours.
01:04:41 Je vous propose quand même d'en sortir pendant une semaine,
01:04:44 puisque c'est une semaine de vacances en famille que je vous propose,
01:04:47 pour quatre personnes.
01:04:49 Alors vous aurez à choisir la destination, mais quand même dans une région,
01:04:52 puisque c'est le Sud-Ouest que vous propose VVF.
01:04:56 VVF, c'est partout en France, vous pouvez le constater sur leur site internet, vvf.fr.
01:05:01 Mais nous, on a choisi pour vous le Sud-Ouest.
01:05:03 Vous choisirez le Pays Basque, Anglette, ou encore Saint-Jean-de-Luz,
01:05:07 ou même Saint-Jean-Pied-de-Port, ou encore Soulac en Gironde,
01:05:10 ou même la baie d'Arcachon.
01:05:12 Un VVF pour faire du sport, des sorties culturelles, des randonnées, du VTT.
01:05:18 Quatre personnes en une semaine en pension complète.
01:05:22 C'est pour vous, Pascal, à condition évidemment de dénicher la vraie info
01:05:26 parmi les fake news du jour.
01:05:28 Vous êtes prêt ?
01:05:29 Allez, je suis prêt, on va essayer.
01:05:30 On commence par A.A.Z.
01:05:31 « Violence conjugale, la compagne de Michel Houellebecq témoigne,
01:05:35 c'est pas moi qui lui ai pété les dents, il était déjà comme ça. »
01:05:38 Va y, Rimerès.
01:05:40 « La compagne de 29 ans d'Al Pacino, 83 ans, qui est enceinte,
01:05:45 a déclaré dans une interview au Time Magazine
01:05:48 qu'elle souhaite que l'acteur américain assiste à l'accouchement,
01:05:51 vu qu'il n'était pas là pour la conception. »
01:05:54 Jean-Ben Guigui.
01:05:56 « Suite aux violences du rugbyman Mohamed Hawass sur son épouse,
01:06:00 Adèle Haenel a annoncé qu'elle ne jouerait pas la prochaine coupe du monde de rugby
01:06:05 avec le 15 de France. »
01:06:07 Éric Légerias.
01:06:08 « Yesterday, it's a chance to fight in the academy of the army,
01:06:12 it's a chance of what in America that Joe Biden fight in the world contest. »
01:06:16 C'est-à-dire ?
01:06:17 « Hier, lors d'une cérémonie de remise des diplômes de l'académie de l'armée de l'air américaine,
01:06:22 Joe Biden a fait un vol plané. »
01:06:24 Stevie Boulay.
01:06:26 « Plainte contre Renault pour moteur défaillant.
01:06:28 Le manager du chanteur aurait oublié de remettre du Ricard dans le réservoir. »
01:06:32 Daniel Evnou.
01:06:35 « Pour terminer, si on y arrive. »
01:06:37 Céliane Agazinsky.
01:06:39 « Belle-sœur de Jean-Marc Thibault ayant été élue à l'académie française. »
01:06:44 Afida Turner.
01:06:45 « Belle-fille de Tina Turner, espère occuper les 4 derniers fauteuils vacants
01:06:50 grâce à sa propre académie. »
01:06:53 Et il est arrivé !
01:06:55 Pascal.
01:06:57 « À votre avis, qui a dit la vérité ? »
01:06:59 Ben Guigui.
01:07:00 « Oui. »
01:07:01 C'est ce que j'aurais dit non.
01:07:02 Alors Ben Guigui, Adèle Hanel qui annonce qu'elle ne jouera pas la prochaine coupe du monde de rugby.
01:07:07 Effectivement, vous faites bien d'éliminer Jean.
01:07:09 Ensuite ?
01:07:10 J'aurais dit Stevie aussi.
01:07:13 Alors Stevie, c'était quoi ?
01:07:14 « Plainte contre Renault pour moteur défaillant. »
01:07:16 Voilà, avec le Ricard dans le moteur.
01:07:18 « D'accord. »
01:07:19 Dans le réservoir.
01:07:20 « Très bien. »
01:07:21 Donc j'aurais dit que Michel Wollbeck c'était faux.
01:07:23 « Oui, d'accord. »
01:07:24 Daniel Evnou aussi c'était faux.
01:07:26 « D'accord. »
01:07:27 Sur les 4 derniers sièges c'était...
01:07:29 « Il lui en faut plus, sa fille d'Athorne. »
01:07:32 Valérie Mérisse, alors est-ce que éventuellement vous pouvez me redonner un petit indice sur Valérie Mérisse ?
01:07:39 « C'est Al Pacino qui n'était pas à la conception de son enfant. »
01:07:42 Ah oui, donc ça serait faux et donc je garderai le dernier.
01:07:46 « Thank you, thank you Pascal. Thank you very much. »
01:07:48 Voilà, c'est lui !
01:07:51 Joe Biden s'est bien cassé la gueule, il a fait un vol plané hier lors d'une cérémonie des remises des diplômes de l'Académie de l'Armée de l'Air américaine.
01:08:00 C'est bien l'Augéria qui avait donné la vraie info.
01:08:06 J'ai regardé les images.
01:08:09 Le pauvre vieux il a juste raté une marche quoi.
01:08:12 « Mais non, il a mis son pied dans un sac de sable. »
01:08:15 « C'est ce qu'il a dit. »
01:08:17 « Je l'ai regardé de près. »
01:08:18 « Il y avait quand même un petit dénivelé. »
01:08:21 « Ça commence à faire beaucoup à chaque fois. »
01:08:23 « Ça arrive à tout âge, vous savez. »
01:08:25 « Là, il devait être tout seul au monde. »
01:08:27 « Moi je pense qu'il est trop vieux pour être président et il y a des personnes qui sont beaucoup trop vieilles pour être ici aussi. »
01:08:31 « J'ai le droit de quitter cette pièce ? »
01:08:40 « Mais tu as quel âge pour parler ? »
01:08:42 « D'ailleurs vous connaissiez ou pas Daniel Evnou ? »
01:08:44 « Bien sûr, je rencontrais à votre anniversaire. »
01:08:46 « Ah ! »
01:08:47 « Et avant vous ne la connaissiez pas ? »
01:08:54 « Avant, si, de nom, bien sûr. »
01:08:56 « Ah oui ? T'es sûr ? »
01:08:57 « Oui ! »
01:08:58 « Non, je connaissais Daniel Evnou de nom. »
01:09:00 « Sexuellement. »
01:09:02 « Je ne connais pas sa bibliographie. »
01:09:06 « Ah, j'en ai une pourtant de bibliographie. »
01:09:09 « J'ai écrit un livre. »
01:09:11 « Un livre ? Qu'est-ce que vous avez écrit ? »
01:09:13 « J'en ai fait un autre. »
01:09:14 « Rire pour ne pas pleurer. »
01:09:16 « Rire pour ne pas pleurer. »
01:09:17 « Oui, c'est Calman Levy. J'adore dire Calman Levy, ça fait chic. »
01:09:20 « Et quand est-ce que vous avez écrit ça ? »
01:09:21 « Il y a 12 ans. »
01:09:22 « 15 ans. »
01:09:23 « Et là je vais en faire un autre. »
01:09:25 « Pleurer. »
01:09:26 « 80 ans et alors ? »
01:09:28 « C'est pas vrai. »
01:09:29 « Oui. »
01:09:30 « Vous êtes en train d'écrire un livre, Daniel. »
01:09:32 « Oui, et comme j'ai 80 ans, je peux le dire. »
01:09:34 « Comment faire pour avoir 80 ans sans roncher ? »
01:09:37 « Et l'espoir de donner aux autres. »
01:09:39 « Alors j'ai un secret, faut jamais être seul. »
01:09:41 « Le gingembre. »
01:09:43 « Faut jamais être seul. »
01:09:45 « Mais la pire des ennemis, c'est la solitude, mon cher. »
01:09:48 « Ça dépend des moments, tu sais. »
01:09:50 « Rire. »
01:09:51 « L'autre qui est au bout. »
01:09:52 « En même temps, en même temps, euh... »
01:09:54 « Rire. »
01:09:56 « Daniel. »
01:09:57 « Oui. »
01:09:58 « Je parle à un connaisseur. »
01:09:59 « Parce que franchement, la solitude pour vous, c'est vrai que c'est terrible. »
01:10:02 « Mais pour les autres, c'est pas mal. »
01:10:04 « C'est du calme. »
01:10:05 « Applaudissements. »
01:10:07 « OK, un anniversaire. Marie-Thérèse Ordonez a 85 ans aujourd'hui. »
01:10:12 « Alors on lui souhaite un bon anniversaire. »
01:10:14 « D'ailleurs, les auditeurs des Grosses Têtes, je parle pas des Grosses Têtes depuis que je suis ici, mais à l'époque de Philippe Bouvard, ils l'ont entendu assez régulièrement pendant un ou deux ans, deux ou trois ans. »
01:10:24 « Elle était une sociétaire des Grosses Têtes. »
01:10:27 « On l'a un peu oubliée depuis, mais voilà quelqu'un qui a 85 ans aujourd'hui et on se doit de lui souhaiter un bon anniversaire. »
01:10:35 « Et qui est Marie-Thérèse Ordonez ? »
01:10:37 « Elle s'appelle Sophie. »
01:10:39 « Elle est comédienne et drôle ? »
01:10:41 « Comédienne, elle a fait un peu de cinéma, mais très franchement, elle était pas comédienne. »
01:10:47 « Elle était chanteuse ? »
01:10:49 « On l'a vu dans un film de Camille de Casablanca, mais vraiment, c'était exceptionnel. »
01:10:55 « Elle a fait les Grosses Têtes, Philippe Bouvard ? »
01:10:57 « Oui, elle a fait les Grosses Têtes pendant deux ou trois ans. »
01:10:59 « Marie Laforêt ? »
01:11:01 « C'est pas bête d'ailleurs, parce que Marie Laforêt était de la même région que Marie-Thérèse Ordonez. »
01:11:07 « C'est pas Françoise Fabian ? »
01:11:09 « Non, non, non. »
01:11:11 « Elle est pas vraiment comédienne, elle est plutôt chanteuse ? »
01:11:15 « Non, non plus. »
01:11:16 « Son nom de scène, c'était Marie quelque chose ? »
01:11:17 « Elle avait pas de nom de scène, parce qu'elle a, à ma connaissance, en tout cas jamais fait de scène. »
01:11:23 « C'était journaliste ? »
01:11:25 « Journaliste, c'est pas le mot, mais en tout cas… »
01:11:28 « Chroniqueuse ? »
01:11:29 « Non, ce qu'on appelle aujourd'hui une chroniqueuse ? »
01:11:31 « Non, non, non, ce que je comprends pas… »
01:11:33 « Elle a fait des pubs ? »
01:11:34 « On la connaît sous un pseudonyme quand même. »
01:11:35 « Marie-France Cazet ? »
01:11:37 « Elle a fait des pubs, vous dites ? »
01:11:39 « Marie-France Cazet ? »
01:11:40 « Marie-Pierre Cazet. »
01:11:41 « Marie-Pierre Cazet. »
01:11:42 « Mais ce n'est pas Marie-Pierre Cazet. »
01:11:43 « Non, mais on la connaît sous un pseudonyme, nous. »
01:11:45 « Non, parce que Marie-Pierre Cazet, vous voyez, je vois pas pourquoi vous prendriez un pseudonyme pour vous appeler Marie-Pierre Cazet. »
01:11:51 « Ça serait très drôle. »
01:11:52 « Si elle s'appelait Marie-Thérèse Ordonez, pourquoi elle changerait de nom pour s'appeler Marie-Pierre Cazet ? »
01:11:59 « Ah, y'a des gens tellement tordus ! »
01:12:01 « Ah, c'est la mère Denis ? »
01:12:03 « Non, mais si vous… »
01:12:04 « Denise, elle s'appelle. »
01:12:05 « Ah, les Tapriches ? »
01:12:06 « Non. »
01:12:07 « Elle est morte. »
01:12:08 « Ah, bah non, c'était sa bonne nom. »
01:12:09 « Si vous décortiquiez son nom Marie-Thérèse Ordonez, vous retrouveriez… »
01:12:13 « Mato ! »
01:12:14 « Mais Maïté, c'est Maïté, là ! »
01:12:15 « Maïté ! »
01:12:16 « Maïté de la cuisine des Mousquetaires ! »
01:12:19 « Maïté ! »
01:12:21 « J'étais pas là, j'ai dit Mato ! »
01:12:23 « Eh oui, Maïté a 85 ans aujourd'hui. »
01:12:26 « C'est très jeune. »
01:12:27 « Vous connaissez Maïté ? »
01:12:28 « Maïté, bien sûr, elle faisait la cuisine. »
01:12:30 « Et elle a fait des grosses têtes pendant deux ou trois saisons à l'époque de Philippe Bouvard. »
01:12:35 « Maïté, parce qu'elle était marrante avec son accent du Sud-Ouest. »
01:12:38 « Oui, elle a été rigolo. »
01:12:39 « Elle a 85 ans aujourd'hui, une ancienne garde-barrière. »
01:12:42 « C'est la grande de la gare, oui. »
01:12:43 « Et d'ailleurs, ça me permet d'enchaîner avec la question suivante pour Gilles Chiche, qui habite Mons-en-Barreuil. »
01:12:50 « Parce que là, je vais vous parler de quelqu'un qui a été percuté par un train au passage à niveau. »
01:12:55 « Ça se passe en 1985. »
01:12:58 « Il en est mort, d'ailleurs. »
01:13:00 « Et on n'est pas loin du Mans, Monsieur Stéphane. »
01:13:04 « On en a fait des rillettes, d'ailleurs. »
01:13:05 « Ah non, non, écoutez... »
01:13:06 « Non, non, c'est moche. »
01:13:07 « Et c'est quelqu'un qui, en plus, était pilote et constructeur automobile. »
01:13:12 « Vainqueur au 24 Hors du Mans. De qui s'agit-il ? »
01:13:15 « Léon... Non, c'est pas... »
01:13:17 « C'est pas Ligier ? »
01:13:18 « Ligier, non. »
01:13:19 « Oh là là... »
01:13:20 « Vainqueur, pilote et constructeur automobile au Mans. »
01:13:24 « Oui, il a un nom britannique ? »
01:13:26 « Non, pas du tout. »
01:13:27 « Corsard ? »
01:13:28 « J'ignorais, je connaissais son nom, évidemment, mais j'ignorais qu'il était mort, percuté par un train, dans un passage à niveau. »
01:13:36 « Mais c'est un nom composé ? »
01:13:38 « Non, non. »
01:13:39 « René Kangoo ? »
01:13:40 « Ah non, pas. »
01:13:41 « Il est de la famille d'un acteur ? »
01:13:44 « Ah non, non, c'est pas... Pensez à l'oncle de Jean-Louis Trintignant. »
01:13:48 « Est-ce qu'on connaît son nom comme nom d'une marque automobile ? »
01:13:52 « Alors oui, bien sûr, ça a été une marque automobile à l'époque, en tout cas dans les voitures sportives. »
01:13:57 « Le McLaren ? »
01:13:58 « Le Boehr ? »
01:13:59 « Non, non, non. »
01:14:00 « Ah, ah... »
01:14:01 « Ah oui, comme vous dites. Ah, ah... »
01:14:03 « Ah, quand on dit on a le bout. »
01:14:05 « On n'a pas encore donné 300 euros aujourd'hui. »
01:14:07 « C'est pas l'hygiène, l'hygiène. »
01:14:08 « Franchement, je ne sais même pas comment on a fait. »
01:14:10 « C'est un miracle. »
01:14:11 « Ah, l'héluia ! »
01:14:13 « L'hygiène... »
01:14:15 « On va le trouver. »
01:14:16 « En tout cas, là, ça va être le centenaire des 24 Heures du Mans. »
01:14:19 « Et la ville se prépare, parce que ça va être quand même quelque chose. »
01:14:22 « C'est pas Michel Sénic. »
01:14:23 « Non, et voilà pourquoi je vous pose la question, évidemment, à l'occasion des centenaires... centenaires des 24 Heures du Mans. »
01:14:32 « Fangio ! »
01:14:33 « Non, non, non. »
01:14:34 « C'est un virage au Mans qui porte son nom. »
01:14:36 « Non, mais le magazine Le Point, par exemple, consacre quelques pages cette semaine au fait que Le Point a sponsorisé la voiture pilotée, conçue et fabriquée par ce monsieur... »
01:14:48 « Ah ! La Rousse, Gérard La Rousse ? »
01:14:50 « Non, Gérard La Rousse, non. »
01:14:52 « C'est celui des Dicots. »
01:14:53 « C'est un exploit qui a construit, évidemment, la légende de cette course d'endurance. Un Français qui gagne ses 24 Heures du Mans avec une voiture... »
01:15:01 « Faut penser à la marque. »
01:15:03 « Pescarolo... »
01:15:04 « ...qui porte son nom. Non, Pescarolo, non. »
01:15:06 « Oui, faut penser aux marques de voitures, les gars. »
01:15:09 « En fait, en 1980, il est devenu le premier et seul constructeur-pilote, encore à ce jour, vainqueur au volant de sa propre voiture au Mans. »
01:15:21 « Et vous vous rendez compte, c'est terrible de mourir percuté par un train au passage à niveau près du Mans, quand on a été un champion automobile. »
01:15:29 « Remarquez même quand on n'a pas été un champion automobile. »
01:15:31 « C'est de toute façon... »
01:15:33 « C'est de toute façon une mort triste, vous voyez. »
01:15:36 « Il était né en 1946, donc je suis en train de faire le calcul. »
01:15:40 « Ça fait 39 ans, il est mort à 39 ans. C'est jeune, tout de même. »
01:15:43 « Et d'ailleurs, tous les ans, il y a un prix qui porte son nom, qui est remis à un jeune pilote français, afin de perpétuer la mémoire de ce personnage exceptionnel auprès des jeunes générations. »
01:15:55 « Ah... On peut le lécher ? »
01:15:57 « Ah oui, c'est dommage. »
01:15:58 « C'est le prix du... »
01:15:59 « La pépé-colaro ? »
01:16:01 « La fitte ? »
01:16:02 « 300 euros. La fitte, non. Dans 30 secondes, on va envoyer le premier chèque RTL de l'après-midi. »
01:16:08 « J'espère que dans le public, quelqu'un aura le nom de ce pilote-constructeur... »
01:16:13 « Gordini ! Gordini ! »
01:16:14 « Gordini, non. Non, non. »
01:16:15 « Je ne peux pas te le penser en même temps. »
01:16:17 « Vous voyez comme finement, je suis passé de l'ex-garde-barrière Maïté... »
01:16:20 « Oui, oui, oui. »
01:16:21 « ... à quelqu'un qui hélas... »
01:16:23 « La transition est géniale. »
01:16:24 « Formidable, formidable. Un métier ! »
01:16:26 « Quelqu'un qui hélas nous a quitté un passage à niveau. »
01:16:29 « Passage à niveau près du Mans, Monsieur Stivy, quand même... »
01:16:32 « À Champéry. »
01:16:33 « Vous pourriez faire honneur à quelqu'un qui en plus doit avoir forcément... »
01:16:37 « Le prix du four. »
01:16:38 « ... un monument, une rue, un truc au Mans. »
01:16:40 « On a les ombolés, on a... »
01:16:41 « We'll be alright. »
01:16:42 « C'est pas possible autrement. »
01:16:43 « C'est pas ça. On a plein de choses. »
01:16:45 (sonnerie de cloche)
01:16:46 « 300 euros pour Monsieur Chiche de Mont-Saint-Barreuil dans le Nord. »
01:16:50 « Est-ce qu'on a un spécialiste de la course automobile ? »
01:16:52 « Ah oui, on a un ! »
01:16:53 « On a deux là-bas. »
01:16:54 « 2, 3, 4, 5. »
01:16:56 « Monsieur As, vous allez aller dans le public, vous jetez... »
01:16:59 « Le premier, c'était au fond là-bas. Je l'ai vu là-bas. »
01:17:01 « Bonjour Monsieur, comment vous vous appelez ? »
01:17:03 « Loïc Florence. »
01:17:04 « Loïc Florence, vous pensez à qui ? »
01:17:05 « Rondo. »
01:17:06 « Jean Rondo ! »
01:17:07 « Rondo ! »
01:17:08 « Bonne réponse ! Hommage à Jean Rondo. »
01:17:12 « Bravo Loïc ! »
01:17:13 « Pour le centenaire des 24 heures du Mans. Bravo Monsieur, vous gagnez 100 euros. »
01:17:17 RTL.
01:17:18 La Valise.
01:17:20 162 euros dans la Valise RTL.
01:17:23 Le livre de Sam Bernat.
01:17:25 Le séjour d'une semaine dans la résidence Lou Castel.
01:17:28 Vacances bleues.
01:17:29 Et un abonnement de 2 ans à VSD.
01:17:31 Voilà tout le contenu de la Valise que nous allons confier, si vous le voulez bien cher Valérie, à Daniel et à nous.
01:17:38 C'est quelque chose qu'on ne refera jamais.
01:17:42 « Mais j'ai pas de téléphone ! »
01:17:44 « Mais elle a pas de téléphone ! »
01:17:47 « Tu sais ce qu'on va faire Daniel ? C'est que c'est la radio qui va appeler, ça va être plus simple. »
01:17:52 « Comme ça si t'as pas ton téléphone... »
01:17:54 « Quand le monsieur décroche, vous ne dites pas qui vous êtes. Vous dites voilà, est-ce que vous reconnaissez ma voix ? Est-ce que vous avez idée de qui je suis ? »
01:18:01 « Est-ce que vous allez bien ? »
01:18:03 « Et puis une fois qu'il vous aura reconnu, par miracle, voyez, Daniel... »
01:18:09 « Et là je lui demande combien il y a dans la Valise. »
01:18:11 « Voilà, vous voyez quand vous voulez. Alors allons-y, c'est parti.
01:18:15 Valérie, donnez un numéro. »
01:18:17 « Le 8 ! »
01:18:19 « Le 8 ! Nous allons appeler François Chapeau. Déjà, il faut noter le nom Daniel. »
01:18:23 « François Chapeau, Daniel. »
01:18:24 « Comment vous n'allez pas vous en souvenir ? »
01:18:26 « Ça c'est vrai. »
01:18:27 « Vous lui demandez si vous êtes bien monsieur François Chapeau. »
01:18:29 « Chapeau ou Chapro ? »
01:18:30 « Chapeau. »
01:18:31 « Est-ce que vous habitez à Mien ? Et voilà, ça sonne déjà. Et le reste, vous savez ce qu'il faut faire. C'est parti. »
01:18:37 « Allô ? »
01:18:39 « Dis allô. »
01:18:40 « On vous entend pas bien. »
01:18:41 « Vous êtes bien François ? »
01:18:42 « Euh non. »
01:18:43 « Vous n'êtes pas François Chapeau. »
01:18:46 « Ils vont jamais se comprendre les deux. »
01:18:48 « Attends, mais c'est qui ? »
01:18:50 « C'est un des mecs le plus sourd. »
01:18:51 « Est-ce que vous êtes bien monsieur François Chapeau ? »
01:18:54 « C'est qui ? Sur les grosses têtes ? »
01:18:56 « Oui ! »
01:18:57 « Ah, il a du mérite. »
01:18:59 « Fermez les fenêtres de la voiture, monsieur. »
01:19:01 « Vous êtes en voiture, en train, monsieur Chapeau ? »
01:19:04 « Je roule à la camion. »
01:19:06 « Oui, ça vous roulez, j'imagine bien. »
01:19:08 « Peut-être, garez-vous. »
01:19:10 « Il peut pas se garer s'il est dans le train. »
01:19:13 « Ah, vous garez. »
01:19:14 « Je me gare. »
01:19:15 « Vous vous garez, c'est bien monsieur Chapeau. »
01:19:17 « Pas d'accident à cause de nous, surtout. »
01:19:19 « Garez-vous et sortez les papiers du véhicule, s'il vous plaît. »
01:19:22 « Attention au passage... »
01:19:25 « On vous entend très très mal, monsieur Chapeau. Allô ? »
01:19:28 « Oui, je vous écoute. »
01:19:29 « Ah, si, là vous avez une voix d'homme. »
01:19:31 « On vous appelle pour la valise RTL, monsieur Chapeau. »
01:19:34 « Bon, heureusement, je ne l'ai pas. »
01:19:35 « Je vous écoute tous les jours. »
01:19:37 « C'est vrai. »
01:19:38 « Mais je ne vous prends. »
01:19:39 « Qu'est-ce que vous faites comme métier, François ? »
01:19:42 « Je suis préventeur sécurité chez les femmes. »
01:19:45 « On va vous envoyer une montre RTL, ça vous ferait plaisir. »
01:19:48 « Ah, c'est super. »
01:19:50 « Est-ce que vous voulez autre chose ? »
01:19:52 (Rires)
01:19:54 « Je ne sais pas si vous avez reconnu qui vous appelez, »
01:19:57 « mais c'était Daniel Eveneau qui tentait de communiquer avec vous. »
01:20:02 « Et alors, ça vous fait quoi ? »
01:20:04 « Ah, c'est super. »
01:20:05 « Mais du coup, vous êtes François Chapeau ou pas ? »
01:20:08 « Oui, oui. »
01:20:09 « Et il a dit Damien. »
01:20:10 « Il y a tellement de pubs, les pires mois, avec les publicités. »
01:20:15 « Ah ouais, au départ, vous avez eu peur. »
01:20:17 « En fait, ce n'est pas un problème de téléphone, c'est un problème de français. »
01:20:19 (Rires)
01:20:21 « Au revoir, monsieur Chapeau. »
01:20:22 « En tout cas, on vous entend très très mal. »
01:20:24 « Mais on vous envoie tous les cadeaux. »
01:20:26 « Et j'ajoute dans la valise... »
01:20:28 « Qu'est-ce que j'ajoute dans la valise, RTL ? »
01:20:30 « Ah, j'ajoute une valise dans la valise. »
01:20:32 « Une valise d'une marque que je ne connais pas bien, »
01:20:35 « mais je vais vous en vanter les mérites tout de même, car vous connaissez mon talent d'improvisation. »
01:20:39 (Rires)
01:20:40 « Une marque Tucano. »
01:20:42 « Vous connaissez les valises Tucano ? »
01:20:44 « C'est une marque milanaise. »
01:20:46 « Oui, de couleurs très vives, elles sont très belles. »
01:20:48 « Oui, il y en a des rouges, il y en a des jaunes. »
01:20:50 « La marque Tucano, c'est une marque de valise qui associe le design à l'aspect pratique. »
01:20:56 « Il y a des roulettes. »
01:20:57 « Elles sont chères. »
01:20:58 « Elles sont rigides, solides, mais avec des roues silencieuses. »
01:21:01 « Ah ! »
01:21:02 « Et elles sont légères. »
01:21:03 « La valise Tucano saura vous accompagner dans tous vos voyages. »
01:21:07 « Et d'ailleurs, non seulement on offrira une valise, mais aussi un sac à dos Gomo. »
01:21:12 « Les sacs à dos Gomo, qui sont fabriqués aussi par Tucano, ont un design minimaliste. »
01:21:18 « Attention, quand on a un Gomo dans le dos, il faut faire attention. »
01:21:21 « Ils sont en matière caoutchoutée pour pouvoir transporter votre ordinateur portable. »
01:21:25 « Bien. »
01:21:26 « Et le préserver des chocs, voyez-vous. »
01:21:28 « C'est-à-dire que dans la valise RTL, il va y avoir une valise Tucano. »
01:21:32 « Et dans la valise Tucano, il y aura un sac à dos Gomo. »
01:21:36 « Est-ce qu'il faut que l'auditeur réponde qu'il y a le sac à dos dans la valise pour gagner ? »
01:21:39 « Non, la valise Tucano ça suffira. »
01:21:41 « La valise Tucano est désormais dans la valise RTL. »
01:21:45 « Si vous voulez en savoir plus sur ces valises-là, il faut aller sur Tucano.com. »
01:21:49 « Dans un instant, l'invité mystère. »
01:21:52 Mais qui est l'invité mystère ?
01:21:56 « Recherche sur RTL. »
01:21:58 Bienvenue aux Grosses Têtes, invité mystère.
01:22:01 Je sais pas si vous vous déplacez avec votre valise.
01:22:04 Vous avez une valise avec vous aujourd'hui, invité mystère. Bonjour.
01:22:06 « Bonjour. Ouh là, la voix est aiguë, hein. »
01:22:09 La voix est bien déformée en tout cas.
01:22:11 Autant que celle du monsieur qu'on avait sur l'autoroute tout à l'heure.
01:22:15 On va vous poser toutes sortes de questions.
01:22:17 Attendez-vous au pire de la part de mes grosses têtes. C'est parti.
01:22:19 « Invité mystère, bonjour. Vous êtes une femme, j'ai l'impression. »
01:22:23 « Bonjour. Oui, je suis une femme. »
01:22:25 « Est-ce que vous avez souvent l'usage de valise ? »
01:22:28 « Oui, très souvent. Souvent en tournée. »
01:22:32 « En tournée. »
01:22:33 « Est-ce que vous êtes parisienne sinon ? »
01:22:35 « Pas de douille. »
01:22:37 « Alors quand vous êtes en tournée, c'est parce que vous êtes en tournée de chansons par exemple. »
01:22:40 « C'est possible. »
01:22:41 « Voici un premier indice musical. »
01:22:43 Pampampamp, fille est là, c'est la petite Charlotte.
01:22:47 Pampampamp, fille est là, c'est la petite Charlotte.
01:22:51 J'aurais besoin d'un rouleau pour faire mon gâteau.
01:22:54 J'en ai pas, j'en ai pas, des bruits comme ça.
01:22:58 J'aurais besoin d'un rouleau pour faire mon gâteau.
01:23:02 J'en ai pas, j'en ai pas, des bruits comme ça.
01:23:05 Pampampamp, fille est là, c'est la petite Charlotte.
01:23:09 Pampampamp, fille est là, c'est la petite Charlotte.
01:23:11 « Vous connaissiez cette chanson, « Invité mystère » ? »
01:23:13 « Pas du tout. »
01:23:14 « Ah ben on va vous l'offrir alors. »
01:23:16 « C'est Henri Dès. »
01:23:17 « Oui. »
01:23:18 « Ah oui. »
01:23:19 « Qui chante la petite Charlotte. »
01:23:20 J'ai hésité entre Charlotte Gainsbourg et Serge Gainsbourg avec Charlotte Forever.
01:23:25 Mais je me suis dit que c'était plus amusant Henri Dès.
01:23:27 Qu'est-ce que vous en pensez ?
01:23:28 « Ça me rappelle mon enfance. »
01:23:29 « Eh ben voilà. »
01:23:30 « C'est votre prénom Charlotte ? »
01:23:32 « Oui. »
01:23:33 Valérie Méresse, qui semble vous connaître, a déjà identifié qui vous étiez.
01:23:38 Bravo Valérie.
01:23:39 Et monsieur Aze aussi.
01:23:41 Bravo Aze.
01:23:42 « Les jeunes. »
01:23:43 Eh oui.
01:23:44 Les autres gros stat-chefs encore.
01:23:50 « Donc vous portez un pseudo ? »
01:23:52 « Oui. »
01:23:53 « Est-ce que vous avez déjà chanté à plusieurs ? »
01:23:55 « Oui. »
01:23:56 « Ah c'est vrai. »
01:23:57 « C'est une bonne question. »
01:23:58 « Alors est-ce que vous avez chanté avec un monsieur ? »
01:24:01 « Ça tombe à la suite. Oui, oui. »
01:24:04 « Avec un monsieur. Oui. »
01:24:05 « Voici un deuxième. »
01:24:06 « Le deuxième. »
01:24:34 « La chanson de Clara Luciani qu'on était en train d'entendre s'appelle « Ma sœur ». »
01:24:38 « Ça a dû être compliqué à l'Assasem, invité Mystère. »
01:24:42 « Pourquoi ? »
01:24:43 « Vous avez eu aussi une chanson qui s'appelait « Ma sœur ». »
01:24:46 « Ah oui. Il y en a plusieurs. C'est vrai. »
01:24:47 « D'ailleurs, il y a eu une confusion. »
01:24:49 « Voici un troisième indice musical. »
01:24:51 * Extrait musical *
01:25:13 « Ah vous avez repris cette chanson avec des camarades à vous, invité Mystère. »
01:25:17 « Tout à fait. »
01:25:18 « Ça c'est un bon indice aussi. »
01:25:19 « Le nom sous lequel on vous connaît, votre pseudonyme, c'est un seul nom ou prénom ? »
01:25:23 « Oui, un seul. »
01:25:25 « Ça, ça permet d'avancer. Voici encore un indice. »
01:25:28 * Extrait musical *
01:25:45 « Ah, where are you ? C'est le générique de Mask Singer. »
01:25:49 « J'aurais aimé que vous soyez dans le jury quand j'ai fait le homard. »
01:25:52 * Rires *
01:25:54 « Jean-Benguigui propose la chanteuse Pomme. Êtes-vous Pomme ? »
01:25:57 « Non, du tout. »
01:25:58 « Du tout, du tout, du tout. »
01:26:00 « Ah, M. Benguigui, M. Logérias, ben, moi, je vais les venir. »
01:26:04 « Faites-moi les malins quand c'est déjeuner. »
01:26:06 « Surtout M. Boulet. Alors là, vous me décevez, Stevie. Écoutez cet indice. »
01:26:11 * Extrait musical *
01:26:31 « Ah, ça, c'était Gims. Évidemment, on était un duo célèbre avec Gims, « Invité Mystère ».
01:26:37 « Eric Logérias et même plusieurs Logérias, il était d'ailleurs avec vous aussi sur Bella Ciao. »
01:26:42 « Et Eric Logérias propose Angèle. Vous n'êtes pas Angèle. »
01:26:46 « Oh, Logérias. Mais Logérias, c'est un vieux, d'accord ? Benguigui aussi. »
01:26:50 « Oui, mais moi, je connais aussi des jeunes. »
01:26:52 « Je suis plein. »
01:26:53 « Mais Boulet, Boulet quand même, Stevie. »
01:26:55 « Mais Boulet n'est pas si jeune. »
01:26:56 « Oh, ça va, toi ? Et oh ! »
01:26:58 « Mais Boulet, il vit au monde. Donc, vous connaissez. »
01:27:00 « Ah, ça y est, ça y est, Stevie. »
01:27:02 « Stevie et moi, on est de la même génération. »
01:27:04 « Eh ben oui. En plus, je vous adore. »
01:27:06 « Stevie, vous avez... »
01:27:07 « Mais c'est mon coulant ! »
01:27:08 « Eh oui, ça y est. Stevie, vous a identifié. Bravo à Stevie. »
01:27:13 « Ah tiens, on va donner un autre indice quand même pour Logérias. Le prochain, je pense qu'il peut trouver. »
01:27:18 « Avant toi, c'était rien. Aussi peu que mon corps. »
01:27:23 « Avant toi, ce souvenir. »
01:27:29 « De s'être senti mort. »
01:27:35 « Ah, ne me dites pas que là aussi, il y a eu un problème à la SACEM. Parce que vous aussi, vous avez une chanson plus trop belle. »
01:27:39 « Avant toi, comme Calogéro. »
01:27:41 « Là, ça aurait été emmerdant parce qu'elle a vraiment marché. »
01:27:45 « Ah oui, c'est vrai. Alors, Monsieur Logérias, toujours rien. »
01:27:48 « Nul, là. »
01:27:49 « Ils n'ont plus Daniel et Vinou. »
01:27:50 « Ça va m'énerver. »
01:27:51 « Bon, alors, j'ai vraiment le gros, gros indice qui tue derrière. Allons-y. »
01:27:54 « Mais j'aime. »
01:27:55 Elle devient sa vie, toutes les nuits. Elle me fait suivre par son frère Denis.
01:27:59 Qui a même prévu de me casser la gueule mardi.
01:28:02 « Ça tient l'angoisse. Un vrai cauchemar. J'ai tellement peur d'elle. Le soir, je dors à l'hôtel. »
01:28:07 « Elle est à tous les heures à flotte. Tu kiffes de qu'elle, des autres nanas à toi. »
01:28:10 « Tous les trucs bizarres, les plans à trois. Il est pétasse, quoi. »
01:28:13 « Tous tes bobards, pour tes 5 à 7 pénards. Toi, un putain dans le slip, un vido. Tu es un piège d'art. »
01:28:19 « J'aime moi. »
01:28:20 « Ben, voilà, dis-lui ça. »
01:28:21 « Excuse-moi. »
01:28:23 « Ça, c'est bien, ça. »
01:28:24 Une parodie qui a presque autant marché que l'original.
01:28:27 C'est rare, quand même.
01:28:29 Obispo et Michael Younes, on s'en souvient.
01:28:32 Ça, ça aurait dû aider tout de même M. Ben Guigui et M. Logérias.
01:28:37 Allez, je tente quand même un tout dernier, mais vraiment tout dernier indice.
01:28:42 J'essaie de t'oublier avec une ouvre
01:28:47 Qui tente en vain de racheter tes fautes
01:28:52 J'essaie mais rien n'y fait
01:28:55 Je ne peux pas, je ne veux pas, je n'y arrive pas
01:28:59 Je ne l'aime pas comme toi. »
01:29:02 Vous faites plaisir d'entendre Slimane chanter votre chanson.
01:29:07 Et oui, c'est une des chansons les plus connues de notre invité mystère.
01:29:12 Je me tourne vers les 4 grosses têtes qui vous ont reconnu.
01:29:15 C'est déjà pas mal.
01:29:17 Non, 3 ou 4 ?
01:29:18 3 !
01:29:19 3 sur 6.
01:29:20 Les 3 autres sont virés, autant vous dire.
01:29:23 Notre invité mystère, c'est Vita !
01:29:27 Comme un morceau de verre que le temps a pourri
01:29:38 On traverse les épreuves que le ciel nous choisit
01:29:46 Sur les bords de l'école, les souvenirs restent
01:29:52 Un sourire, une odeur, une cicatrice, un geste
01:29:58 J'hésite, je doute, je tombe, j'apprends
01:30:02 Mais rien n'est pas jamais vraiment
01:30:05 Les choses qu'on fait depuis trop longtemps
01:30:10 C'est la vie qui veut ça
01:30:14 On sera jamais d'accord, comment ça finira
01:30:17 Pourquoi tu m'as fait ça
01:30:20 On se déchire un peu, je sais même plus pourquoi
01:30:24 Dis-moi c'est fou ce qu'on fait
01:30:27 Tu vois les choses qu'on fait
01:30:30 Dis-moi c'est fou ce qu'on fait
01:30:33 Tu vois les choses qu'on fait
01:30:36 Dis-moi c'est fou ce qu'on fait
01:30:39 Tu vois les choses qu'on fait
01:30:43 Dis-moi c'est fou ce qu'on fait
01:30:46 Tu vois les choses qu'on fait
01:30:50 C'était pas près de ça, tout le mal qu'on s'est fait
01:30:56 Si tout commençait là, on n'est pas sans refait
01:31:01 C'est la vie qui veut ça
01:31:04 On sera jamais d'accord, comment ça finira
01:31:08 Pourquoi tu m'as fait ça
01:31:11 On se déchire encore, je sais même plus pourquoi
01:31:15 Dis-moi c'est fou ce qu'on fait
01:31:18 Tu vois les choses qu'on fait
01:31:21 Dis-moi c'est fou ce qu'on fait
01:31:24 Tu vois les choses qu'on fait
01:31:27 Dis-moi c'est fou ce qu'on fait
01:31:30 Tu vois les choses qu'on fait
01:31:33 Dis-moi c'est fou ce qu'on fait
01:31:36 Tu vois les choses qu'on fait
01:31:39 Tu vois les choses qu'on fait
01:31:44 Vita, c'est bien notre invité mystère
01:31:47 On vient d'écouter les choses qu'on fait
01:31:50 Une nouvelle chanson, on a déjà deux chansons
01:31:53 Un avant-goût de l'album qu'on attend pour la rentrée
01:31:56 Si j'ai bien compris
01:31:57 C'est ça, le 6 octobre
01:31:58 Le premier titre c'était Charlotte
01:32:00 Et là c'est maintenant les choses qu'on fait
01:32:02 Qu'on vient d'écouter sur RTL
01:32:04 Et ça nous fait plaisir d'écouter Vita
01:32:06 Vous avez vu que Az là d'un seul coup s'est réveillé
01:32:09 C'est enfin une invité mystère
01:32:11 Mais j'y croyais pas en plus, mais pour une fois qu'il y a des jeunes
01:32:14 Et c'est vrai que c'est une énorme vedette Vita
01:32:19 Je sais pas combien de millions d'albums vous avez vendus
01:32:21 3 millions d'albums vendus dans le monde
01:32:24 Vous serez en tournée des Zénith à travers toute la France
01:32:27 En Belgique et en Suisse en 2024
01:32:29 Il faudra encore attendre un peu
01:32:31 Mais il y aura un concert-événement le 4 décembre 2024
01:32:34 On a déjà la date, vous vous rendez compte, plus d'un an
01:32:37 Le 4 décembre 2024, on peut déjà louer pour l'accord Arena Paris
01:32:42 Toute seule cette fois
01:32:44 Toute seule ça y est, sans musicien
01:32:46 Ah si !
01:32:48 C'est vrai, il y a eu beaucoup de collaborations
01:32:51 Et puis voilà, je repars en tournée fin octobre 2024
01:32:54 Oui parce que ça a été aussi un énorme succès
01:32:56 Évidemment que votre tournée avec Slimane
01:32:58 C'est lui qu'on vient d'entendre chanter à Fleur de Toit
01:33:01 Votre titre, il s'est fait connaître aussi
01:33:04 Grâce à cette reprise
01:33:07 Et puis après il y a eu ces duos
01:33:09 Bien après ces duos que vous avez faits ensemble
01:33:11 Cette tournée magistrale, ce succès inattendu d'ailleurs
01:33:13 Parce que ça a démarré par une chanson
01:33:15 Et puis finalement un album
01:33:16 Ça a duré trois ans et demi, une tournée qui ne s'arrêtait plus
01:33:18 Et c'est vrai que c'est magnifique
01:33:20 Parce que les gens étaient au rendez-vous
01:33:21 Mais on ne pensait pas que ça durait autant
01:33:23 La petite Charlotte, c'était le premier indice
01:33:25 Ça vous a rappelé votre enfance
01:33:27 Henri Dès chantant cette petite Charlotte
01:33:29 Et vous avez effectivement repris votre identité
01:33:33 Pour une chanson, pour un titre qui s'appelle "Charlotte"
01:33:36 15 ans que je vis pour ça
01:33:37 Toi tu te demandes si je le mérite
01:33:39 J'avais 15 puis je rêvais déjà
01:33:41 Qui va me biser sur la petite
01:33:42 Vendu 1 million, 2 millions
01:33:44 Bientôt 3 millions, j'ai passé 38
01:33:46 Je suis comme un son qui ne s'arrête pas
01:33:47 Moi je construis ma vie comme un huc
01:33:49 Non il n'y a plus rien qui me surprend
01:33:51 Autour de moi c'est l'Amérique
01:33:53 Mal au cœur quand je pense aux enfants
01:33:54 Seigneur, fais qu'ils aient le déclic
01:33:56 On reste fort quand ça complique
01:33:58 On lâche rien, c'est le lexique
01:33:59 Je suis torturée, faut que je t'explique
01:34:01 Moi je veux vieillir comme un classique
01:34:02 Cette chanson c'est la fusion de la carte d'identité avec la carte Vita
01:34:06 T'as un peu ça ouais, on l'a déjà faite hein Laurent
01:34:09 C'est vrai ? Merde alors ! Je pensais être le premier vous voyez
01:34:12 Non mais alors rassurez-vous
01:34:13 On a annoncé ça
01:34:14 Alors c'est vrai que la carte Vita va effectivement fusionner avec la carte d'identité
01:34:19 Vous le faites sur cette chanson "Charlotte"
01:34:21 Nouvelle chanson avec les choses qu'on fait en attendant l'album
01:34:25 Je reviens sur les différents indices
01:34:27 On a entendu ma soeur chanter par Clara Luciani
01:34:30 C'est un de ses succès mais votre succès à vous était tout aussi sinon plus grand encore avec ma soeur aussi
01:34:37 2007, ça remonte
01:34:41 2009
01:34:44 2007 ouais
01:34:45 C'est long
01:34:46 C'est où le premier album ?
01:34:58 2008, on a entendu comme indice Bella Ciao
01:35:00 Bah vous écoutez vous dans Bella Ciao
01:35:02 C'est plus récent ouais
01:35:07 Avec Gims, il y a eu aussi Game Over
01:35:22 On a entendu lui, voici vous
01:35:24 Tu reviendras plus de mecs comme moi
01:35:26 Toi tu m'as pris pour une oublie du loi
01:35:28 Je t'avais prévenu, je ne reste pas
01:35:30 Je t'en prie, je te retiens pas
01:35:32 Je vais finir par me sauver, sauver, sauver
01:35:35 Les gars comme toi
01:35:36 Je ne suis pas un lover, lover, lover
01:35:39 Je me comporte comme un loser, loser, loser
01:35:43 Donc je vais finir par me sauver, sauver, sauver
01:35:47 Ah ça en fait des succès tout ça
01:35:49 On a entendu aussi comme indice "Avant toi" de Calo Jiro
01:35:52 Pour évoquer votre "Avant toi"
01:35:54 "Avant toi" avec Slimane
01:35:56 Avant toi, je n'avais rien
01:36:01 Ça l'avait connu
01:36:02 Avant toi, on ne m'a pas montré le chemin
01:36:08 Je sais le ciel ne m'en veut pas
01:36:11 D'avoir posé les yeux sur toi
01:36:15 Avant toi, on ne m'a pas montré le chemin
01:36:23 Ça c'est un énorme tune là aussi quand même
01:36:26 C'est un peu notre petit bébé, c'est notre préféré Slimane et moi
01:36:28 C'est votre préféré ?
01:36:29 Et aussi "Ça va, ça vient" évidemment
01:36:31 Qui était un gros succès sur cet album Wiz TV
01:36:34 Mais sur scène quand vous chantez cette chanson-là
01:36:36 Parce que j'ai pu voir un extra à la télévision
01:36:38 Où vous interprétez tous les deux sur scène cette chanson
01:36:41 Il y a quand même une émotion incroyable
01:36:43 On a tous la chair de poule
01:36:45 Mais ce n'est pas tout le monde qui vous lève les poils en vérité
01:36:51 Alors on a entendu "Avant toi"
01:36:53 Je vais au fil des indices
01:36:55 Jusqu'à évidemment les mauvaises fois nocturnes
01:36:58 Fatal Bazooka et Vito alias Michael Youn
01:37:01 Et Pascal Obispo
01:37:03 C'était la parodie de la chanson avec Diam's bien sûr
01:37:06 Ça s'appelle Andy, fille de la nuit
01:37:08 Elle a un mec qui vit sur sa nie
01:37:10 J'ai pas fini, je les ai vus ensemble mardi
01:37:13 Et je suis sûre que là tout de suite il est avec
01:37:16 Et j'ai même l'adresse de l'hôtel
01:37:18 J'ai le capoté de la plaque
01:37:19 Je croyais que ton mec était intact moi
01:37:21 Pas de trucs bizarres, pas de plans drags, pas de bêtasses
01:37:23 Je croyais que ton mec était à part
01:37:25 Qu'il parlait mariage et appart
01:37:26 Je te prends ton sac, la dresse de l'encart
01:37:28 Et puis, puisqu'on a entendu Slimane chanter "A fleur de toi"
01:37:31 On a envie de vous entendre vous aussi dans votre chanson
01:37:34 J'essaie de t'oublier avec un amour
01:37:37 Le temps ne semble pas gommer tes fleurs
01:37:41 J'essaie mais je n'y fais
01:37:43 Je ne peux pas, je ne peux pas, je n'y arrive pas
01:37:46 Je ne l'aime pas comme toi
01:37:49 J'essaie de me soigner avec un ombre
01:37:52 Mais là on l'a compris, vous revenez avec un album encore plus personnel
01:37:56 Un peu plus intime encore
01:37:58 On aura l'intégralité de cet album à la rentrée prochaine
01:38:01 Pour l'instant, deux chansons pour patienter
01:38:04 On a écouté "Les choses qu'on fait"
01:38:06 Un extrait de Charlotte
01:38:08 Vita sera en tournée dans les Zéniths à travers toute la France
01:38:11 La Belgique et la Suisse en 2024
01:38:14 Qui sera de passage à Paris à l'Accor Arena le 4 décembre
01:38:17 Retenez la date
01:38:19 Merci Vita d'être venue voir les grosses têtes
01:38:22 Merci à tous
01:38:24 Merci à Vita pour son interview
01:38:26 (Applaudissements)

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