• l’année dernière
L'ancienne candidate du PS a travaillé avec Elisabeth Borne. Une période pas si évidente visiblement.

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Transcription
00:00 Vous l'avez entendu, il y a une petite musique ces derniers jours, celle du remaniement.
00:03 Si Elisabeth Borne venait à partir maintenant, elle aurait fait à peine plus long qu'Edith Cresson,
00:07 dix mois et quelques jours.
00:08 Est-ce que ça veut dire qu'en fait les femmes sont toujours les premières sacrifiées ?
00:11 Non, il ne faudra pas mettre ça sur la responsabilité ou essayer de trouver une excuse.
00:16 Et c'est vous qui nous le dites.
00:18 Et c'est moi qui vous le dis.
00:19 Vous voyez, parce que je ne veux pas que l'instrumentalisation du fait d'être femme
00:23 serve à excuser une mauvaise gouvernance.
00:27 Ça, ce n'est pas juste parce que ce n'est pas bien pour les autres femmes,
00:30 d'une certaine façon, de laisser penser ça.
00:32 Elisabeth Borne, comme on dit, vous ne partirez pas en vacances ensemble.
00:36 Quelle est l'échante, avez-vous déclaré dans le monde ?
00:38 À ce point-là ?
00:40 Non, mais je ne vais pas dire du mal à la chef du gouvernement.
00:45 Non, mais c'est fait, je discute à ma tombe rompue, ça a été repris.
00:49 Il faut interroger ses équipes.
00:51 Qu'est-ce qui s'est passé entre vous deux parce que vous avez travaillé pendant des années ensemble ?
00:55 Oui, figurez-vous, parce que je l'ai rencontrée quand elle était préfète de Poitou-Charentes.
01:00 Travailleuse, etc.
01:02 Je suis dans mes ministres, elle m'appelle,
01:04 me fait passer un message disant qu'elle va être ma directrice de cabinet.
01:07 Et donc, je la prends comme directrice de cabinet.
01:09 Et c'est vrai qu'elle est quand même très dure en relation.
01:12 Pour les équipes, ce n'était pas facile.
01:14 J'ai retrouvé plusieurs fois des conseillers pleurer.
01:18 Donc, ce n'était pas facile.
01:19 Elle a d'autres qualités, cela dit, mais ce n'était pas simple.

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