L'Agence régionale de Santé a listé dans un communiqué les mesures de sécurisation et d'évaluation des patients mises en place en réponse à la multiplication de fugues survenues...
#Patientfuite #lhôpitalMarchant #Toulouse #lARSprend #mesuresfortes #arrêterlhémorragie
l'essentiel L'Agence régionale de Santé a listé dans un communiqué les mesures de sécurisation et d'évaluation des patients mises en place en réponse à la multiplication de fugues survenues ces dernières semaines depuis l'hôpital psychiatrique Marchant mais également des urgences psychiatriques de Toulouse Purpan.
Ces dernières semaines, des fugues successives ont été recensées à Toulouse. Des patients soignés soit à l'hôpital Marchant soit pris en charge aux urgences psychiatriques du CHU Purpan parfois dangereux ont réussi à tromper la vigilance des personnels soignants. Le premier en date, Jérémie Rimbaud, le 19 janvier, a réussi à quitter l'hôpital Marchant. Dans sa fugue, il a violemment agressé une personne âgée dans le quartier des Chalets à Toulouse.
L'Agence régionale de Santé (ARS), alertée du phénomène, a décidé de mener des investigations dès le 24 janvier. En attendant, les résultats de cette inspection, l'Agence de santé a ordonné un renforcement des mesures au sein de ces établissements. Dans un communiqué, l'autorité sanitaire a détaillé les mesures de sécurité instaurées au sein de l'hôpital de Marchant.
La première concerne la sécurisation de l'établissement. Cela s'est traduit par la fermeture "du portail côté sortie et réduction de l’amplitude d’ouverture du portail du côté entrée,
pour mieux contrôler les entrées et sorties de l’établissement, la mise en place d’un poste avancé du bureau des admissions pour le contrôle des justificatifs de sorties des patients, le renfort via une société externe en matière de sécurité (4 agents 24h/24 et 7J/7)", précise l'Agence régionale de Santé.
Dans un second temps, une "réévaluation de l’état clinique des patients admis sur décision du représentant de l’État au Centre hospitalier G. Marchant".
"Cette démarche de réévaluation, menée sur la base des critères cliniques reconnus, avec une vigilance particulière pour les situations cliniques à risque de rupture du parcours de soins, indique encore l'ARS. Dans le cas échéant des mesures ont été prises pour certains patients pour réadapter le cadre de soins et des autorisations de sorties des patients avec/sans accompagnement et des autorisations d’accès aux différentes zones de prise en charge : zones fermées, zones ouvertes des unités de soins, promenade dans le parc.
Dès le 1er février, une réouverture des unités a été actée le tout accompagné de nouvelles règles de sortie. Concrètement, cela s'est traduit par un renforcement des gardes des cadres de santé, une garde de direction renforcée le samedi matin et une hausse des effectifs le we
#Patientfuite #lhôpitalMarchant #Toulouse #lARSprend #mesuresfortes #arrêterlhémorragie
l'essentiel L'Agence régionale de Santé a listé dans un communiqué les mesures de sécurisation et d'évaluation des patients mises en place en réponse à la multiplication de fugues survenues ces dernières semaines depuis l'hôpital psychiatrique Marchant mais également des urgences psychiatriques de Toulouse Purpan.
Ces dernières semaines, des fugues successives ont été recensées à Toulouse. Des patients soignés soit à l'hôpital Marchant soit pris en charge aux urgences psychiatriques du CHU Purpan parfois dangereux ont réussi à tromper la vigilance des personnels soignants. Le premier en date, Jérémie Rimbaud, le 19 janvier, a réussi à quitter l'hôpital Marchant. Dans sa fugue, il a violemment agressé une personne âgée dans le quartier des Chalets à Toulouse.
L'Agence régionale de Santé (ARS), alertée du phénomène, a décidé de mener des investigations dès le 24 janvier. En attendant, les résultats de cette inspection, l'Agence de santé a ordonné un renforcement des mesures au sein de ces établissements. Dans un communiqué, l'autorité sanitaire a détaillé les mesures de sécurité instaurées au sein de l'hôpital de Marchant.
La première concerne la sécurisation de l'établissement. Cela s'est traduit par la fermeture "du portail côté sortie et réduction de l’amplitude d’ouverture du portail du côté entrée,
pour mieux contrôler les entrées et sorties de l’établissement, la mise en place d’un poste avancé du bureau des admissions pour le contrôle des justificatifs de sorties des patients, le renfort via une société externe en matière de sécurité (4 agents 24h/24 et 7J/7)", précise l'Agence régionale de Santé.
Dans un second temps, une "réévaluation de l’état clinique des patients admis sur décision du représentant de l’État au Centre hospitalier G. Marchant".
"Cette démarche de réévaluation, menée sur la base des critères cliniques reconnus, avec une vigilance particulière pour les situations cliniques à risque de rupture du parcours de soins, indique encore l'ARS. Dans le cas échéant des mesures ont été prises pour certains patients pour réadapter le cadre de soins et des autorisations de sorties des patients avec/sans accompagnement et des autorisations d’accès aux différentes zones de prise en charge : zones fermées, zones ouvertes des unités de soins, promenade dans le parc.
Dès le 1er février, une réouverture des unités a été actée le tout accompagné de nouvelles règles de sortie. Concrètement, cela s'est traduit par un renforcement des gardes des cadres de santé, une garde de direction renforcée le samedi matin et une hausse des effectifs le we
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