Symbole des Miss France depuis 50 ans, Geneviève de Fontenay, qui a déclaré la guerre à Endemol, est l’invitée, de la web-émission “Le Café”, animée par Mazarine Pingeot, en partenariat avec Lesinfos, Starbucks France et Dailymotion.
A 78 ans, la Dame au chapeau nous confie les raisons de sa colère et ce qu’elle a dit à Virginie Calmels, la patronne d’Endemol France à qui elle avait vendu le concours Miss France en 2002. Elle se lance dans une nouvelle aventure, avec son propre concours de beauté qui promet, dit-elle, de faire du “buzz”.
Geneviève de Fontenay raconte d’où elle vient, la famille nombreuse dont elle est issue, son caractère rebelle durant son adolescence, et révèle qu’elle ne croit pas en Dieu, tout en redoutant la mort.
Elle revient sur sa rencontre avec l’homme de sa vie, Louis de Fontenay, avec qui elle a développé le concours Miss France, avant de le vendre à Endemol “très cher”. “Mais ils se sont engagés à respecter l’ethique et les valeurs” affirme-t-elle. Après plusieurs années de friction et polémiques, elle a décidé de rompre car elle ne pouvait “plus continuer”.
Pour elle, il faut respecter l’image de Miss France et de la femme, qui est “tout le contraire de l’exhibitionnisme et d’une image dégradante”. Elle va organiser son concours qui aura lieu début décembre 2010. “Il y aura d’un côté la miss Endemol avec celles qui n’ont pas de problème à se déshabiller et de l’autre celles qui m’ont suivi”, renchérit-elle.
La Dame au chapeau confie également quelques-uns de ses secrets : elle dit être une “ménagère quelconque”, avec des “charentaises”, fan de Ségolène de Royal et d’Olivier Besancenot (”mais il a fait des erreurs de parcours”) avec un brin de nostalgie à l’égard d’Arlette Laguiller: “Travailleurs, travailleuses, c”était sympa !”
A 78 ans, la Dame au chapeau nous confie les raisons de sa colère et ce qu’elle a dit à Virginie Calmels, la patronne d’Endemol France à qui elle avait vendu le concours Miss France en 2002. Elle se lance dans une nouvelle aventure, avec son propre concours de beauté qui promet, dit-elle, de faire du “buzz”.
Geneviève de Fontenay raconte d’où elle vient, la famille nombreuse dont elle est issue, son caractère rebelle durant son adolescence, et révèle qu’elle ne croit pas en Dieu, tout en redoutant la mort.
Elle revient sur sa rencontre avec l’homme de sa vie, Louis de Fontenay, avec qui elle a développé le concours Miss France, avant de le vendre à Endemol “très cher”. “Mais ils se sont engagés à respecter l’ethique et les valeurs” affirme-t-elle. Après plusieurs années de friction et polémiques, elle a décidé de rompre car elle ne pouvait “plus continuer”.
Pour elle, il faut respecter l’image de Miss France et de la femme, qui est “tout le contraire de l’exhibitionnisme et d’une image dégradante”. Elle va organiser son concours qui aura lieu début décembre 2010. “Il y aura d’un côté la miss Endemol avec celles qui n’ont pas de problème à se déshabiller et de l’autre celles qui m’ont suivi”, renchérit-elle.
La Dame au chapeau confie également quelques-uns de ses secrets : elle dit être une “ménagère quelconque”, avec des “charentaises”, fan de Ségolène de Royal et d’Olivier Besancenot (”mais il a fait des erreurs de parcours”) avec un brin de nostalgie à l’égard d’Arlette Laguiller: “Travailleurs, travailleuses, c”était sympa !”
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