Cette exposition interroge la perception que nous avons de notre dos et de celui des autres à partir d'une large sélection de silhouettes de haute couture et de prêt-a-porter issues des collections du Palais Galliera.
Dans nos sociétés obsédées par le visage et l’identité, le dos demeure une partie du vêtement particulièrement exploitée : traînes, décolletés et motifs ont pour vocation d’attirer le regard de l’autre.
L’homme entretient avec son dos des rapports équivoques. Le dos se dérobe à sa vue, le rendant plus vulnérable ; et pourtant, la mode ne cesse de l’orner, de le charger ou de le dénuder. Zone la plus plane de notre corps, messages et motifs s’y déploient en toute lisibilité.
Du 5 juillet au 17 novembre au musée Bourdelle
Dans nos sociétés obsédées par le visage et l’identité, le dos demeure une partie du vêtement particulièrement exploitée : traînes, décolletés et motifs ont pour vocation d’attirer le regard de l’autre.
L’homme entretient avec son dos des rapports équivoques. Le dos se dérobe à sa vue, le rendant plus vulnérable ; et pourtant, la mode ne cesse de l’orner, de le charger ou de le dénuder. Zone la plus plane de notre corps, messages et motifs s’y déploient en toute lisibilité.
Du 5 juillet au 17 novembre au musée Bourdelle
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Art et design