Il est le deuxième danois après Rolf Sorensen en 1993 à remporter la Doyenne des classiques. Après sa 3e place sur l'Amstel Gold Race et sa 2e place sur la Flèche Wallonne, Jakob Fuglsang (Astana) s'est imposé ce dimanche sur Liège-Bastogne-Liège. Parti dans la Roche-aux-Faucons, le grimpeur de 34 ans a montré sa supérioté pour enlever la plus grande victoire de sa carrière. "C’est une sensation incroyable, après cette série sur les classiques. Terminer par une victoire ici, c’est exceptionnel, il ne peut pas y avoir mieux", a-t-il déclaré après l'arrivée.
"Je ne sais pas pourquoi ça a pris autant de temps, peut-être qu’il fallait que je grandisse. En tout cas sur cette course je me suis retrouvé dans une situation idéale dans la côte de la Roche-aux-Faucons, j’ai été amené parfaitement par mes coéquipiers et tous les ingrédients étaient simplement réunis pour que ça puisse se faire", poursuit-il, avant de confier avoir discuter avec Julian Alaphilippe : "Un peu avant la Redoute, j’observais Julian pour voir si je pouvais percevoir chez lui des signes. Et là il m’a dit «j’espère que tu vas gagner». Il devait se douter qu’il n’était pas exactement à son meilleur niveau. Je sais que quand j’ai vu attaquer Andy (Schleck) en 2009, ça a été une source d’inspiration pour moi parce qu’il était un peu le même genre de coureur que moi. Alors je savais que c’était là qu’il fallait que je passe à l’attaque. Je savais que je n’avais aucune chance de gagner si je restais dans ce petit groupe. C’était là ou jamais, il fallait tout donner", a-t-il conclu.
"Je ne sais pas pourquoi ça a pris autant de temps, peut-être qu’il fallait que je grandisse. En tout cas sur cette course je me suis retrouvé dans une situation idéale dans la côte de la Roche-aux-Faucons, j’ai été amené parfaitement par mes coéquipiers et tous les ingrédients étaient simplement réunis pour que ça puisse se faire", poursuit-il, avant de confier avoir discuter avec Julian Alaphilippe : "Un peu avant la Redoute, j’observais Julian pour voir si je pouvais percevoir chez lui des signes. Et là il m’a dit «j’espère que tu vas gagner». Il devait se douter qu’il n’était pas exactement à son meilleur niveau. Je sais que quand j’ai vu attaquer Andy (Schleck) en 2009, ça a été une source d’inspiration pour moi parce qu’il était un peu le même genre de coureur que moi. Alors je savais que c’était là qu’il fallait que je passe à l’attaque. Je savais que je n’avais aucune chance de gagner si je restais dans ce petit groupe. C’était là ou jamais, il fallait tout donner", a-t-il conclu.
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