[Le Ballet hors les murs]
Conservatoire à Rayonnement Régional de Nice
Le pas de deux ! Depuis le 18e siècle, voilà, au milieu du spectacle de ballet, un moment fort attendu. il symbolise l’amour du couple et se déroule souvent dans une ambiance poétique. Marius Petipa en a fixé sa structure, faite d’un adage, d’une variation masculine, d’une variation féminine et d’une coda. A l’époque, cela a permis au danseur homme, jusque là confiné dans un rôle de faire-valoir de la danseuse soliste, de donner une juste place à sa propre expression et virtuosité. Le 20e siècle a perpétué la tradition du pas de deux, en la faisant évoluer dans un langage moderne.
Cette évolution du pas de deux, vous pourrez l’apprécier à l’occasion de cette représentation sur la grande scène du Conservatoire de Nice, à travers plusieurs extraits de chorégraphies parfaitement maîtrisées par les danseuses et danseurs de la compagnie.
Extraits des ballets :
L’Arlésienne, Roland Petit
Musique : Georges Bizet
Trois Préludes, Ben Stevenson
Musique : Sergueï Rachmaninov
Quatre derniers lieder, Rudi Van Dantzig
Musique : Richard Strauss
Coppelia, Éric Vu-An d’après Arthur Saint Leon et Albert Aveline
Musique : Léo Delibes
Petrouchka, Oscar Araiz
Musique : Igor Stravinsky
Viva Verdi, Luciano Cannito
Musique : Giuseppe Verdi
Les deux pigeons, Éric Vu-An d’après Albert Aveline
Musique : André Messager
Faust, Éric Vu-An
Musique : Charles Gounod
Oktett, Uwe Scholz
Musique : Félix Mendelssohn
Don Quichotte, Éric Vu-An d’après Marius Petipa
Musique : Ludwig Minkus
Troy Game, Robert North
Musique : Bob Downes, Batucada
Conservatoire à Rayonnement Régional de Nice
Le pas de deux ! Depuis le 18e siècle, voilà, au milieu du spectacle de ballet, un moment fort attendu. il symbolise l’amour du couple et se déroule souvent dans une ambiance poétique. Marius Petipa en a fixé sa structure, faite d’un adage, d’une variation masculine, d’une variation féminine et d’une coda. A l’époque, cela a permis au danseur homme, jusque là confiné dans un rôle de faire-valoir de la danseuse soliste, de donner une juste place à sa propre expression et virtuosité. Le 20e siècle a perpétué la tradition du pas de deux, en la faisant évoluer dans un langage moderne.
Cette évolution du pas de deux, vous pourrez l’apprécier à l’occasion de cette représentation sur la grande scène du Conservatoire de Nice, à travers plusieurs extraits de chorégraphies parfaitement maîtrisées par les danseuses et danseurs de la compagnie.
Extraits des ballets :
L’Arlésienne, Roland Petit
Musique : Georges Bizet
Trois Préludes, Ben Stevenson
Musique : Sergueï Rachmaninov
Quatre derniers lieder, Rudi Van Dantzig
Musique : Richard Strauss
Coppelia, Éric Vu-An d’après Arthur Saint Leon et Albert Aveline
Musique : Léo Delibes
Petrouchka, Oscar Araiz
Musique : Igor Stravinsky
Viva Verdi, Luciano Cannito
Musique : Giuseppe Verdi
Les deux pigeons, Éric Vu-An d’après Albert Aveline
Musique : André Messager
Faust, Éric Vu-An
Musique : Charles Gounod
Oktett, Uwe Scholz
Musique : Félix Mendelssohn
Don Quichotte, Éric Vu-An d’après Marius Petipa
Musique : Ludwig Minkus
Troy Game, Robert North
Musique : Bob Downes, Batucada
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