TABLE RONDE N°2
QUELLES RÉGULATIONS, AUJOURD’HUI ET DEMAIN ?
Depuis 10 ans, différents groupes de pression et d’opinion publique ont mené des actions pour enrayer le fléau de la production excessive d’huile de palme. Ces initiatives existent et se succèdent à diverses échelles. Malheureusement leur multiplication rend la situation confuse et tend à favoriser des positions disparates, à savoir promouvoir l’huile de palme durable ou, a contrario, interdire les soutiens publics à cette culture.
Pour l’instant, les systèmes d’évaluation privés ne prennent en
considération les aspects environnementaux que partiellement ; le label le plus connu n’interdit pas la déforestation, ni l’utilisation du paraquat ou la technique de brulis, forte émettrice de gaz à effet de serre.
En attendant un modèle plus soutenable, tentons de savoir si
les trois composantes du développement durable (responsabilité sociale des entreprises, développement économique des communautés locales et aspect environnemental) peuvent être intégrées dans les labels.
Quelles sont les actions menées par les différentes ONG ? Quelles sont les réactions des principaux pays producteurs ? Quels sont les cadres de régulation aujourd’hui (certification, « due diligence », responsabilité sociétale des entreprises, accords-cadres internationaux…) ? Quels effets produisent-ils ?
Sont-ils satisfaisants ?
Intervenants :
Julie Marsaud, coordinatrice du Réseau Forêt à France nature
environnement (FNE)
Sabine Gagnier, chargée de plaidoyer Entreprises et droits humains à Amnesty International France
Arnaud Gauffier, chargé de programme Agriculture durable -
politiques agricoles à World wide fund for nature France (WWF)
QUELLES RÉGULATIONS, AUJOURD’HUI ET DEMAIN ?
Depuis 10 ans, différents groupes de pression et d’opinion publique ont mené des actions pour enrayer le fléau de la production excessive d’huile de palme. Ces initiatives existent et se succèdent à diverses échelles. Malheureusement leur multiplication rend la situation confuse et tend à favoriser des positions disparates, à savoir promouvoir l’huile de palme durable ou, a contrario, interdire les soutiens publics à cette culture.
Pour l’instant, les systèmes d’évaluation privés ne prennent en
considération les aspects environnementaux que partiellement ; le label le plus connu n’interdit pas la déforestation, ni l’utilisation du paraquat ou la technique de brulis, forte émettrice de gaz à effet de serre.
En attendant un modèle plus soutenable, tentons de savoir si
les trois composantes du développement durable (responsabilité sociale des entreprises, développement économique des communautés locales et aspect environnemental) peuvent être intégrées dans les labels.
Quelles sont les actions menées par les différentes ONG ? Quelles sont les réactions des principaux pays producteurs ? Quels sont les cadres de régulation aujourd’hui (certification, « due diligence », responsabilité sociétale des entreprises, accords-cadres internationaux…) ? Quels effets produisent-ils ?
Sont-ils satisfaisants ?
Intervenants :
Julie Marsaud, coordinatrice du Réseau Forêt à France nature
environnement (FNE)
Sabine Gagnier, chargée de plaidoyer Entreprises et droits humains à Amnesty International France
Arnaud Gauffier, chargé de programme Agriculture durable -
politiques agricoles à World wide fund for nature France (WWF)
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