Boris Faure s’est confié pour la première fois sur France inter après son agression par M’jid El Guerrab.
«[px_nbsp:nbsp]Je prends la parole car mon état de santé commence tout juste à le permettre. Dans une rue du 5e arrondissement de Paris, c’est une rencontre entre deux personnes qui se connaissent. Je connais M’jid El Guerrab depuis trois ans. Nous avions eu des relations de bonne camaraderie et il y a eu des tensions pendant la campagne. Je l’aborde et je me retrouve à terre, en sang[px_nbsp:nbsp]» a-t-il dit avant de se lancer dans le récit de son agression.
Puis il a nié avoir insulté le député. «[px_nbsp:nbsp]Je vous le dis très nettement, il n’y a eu dans ma bouche aucune insulte raciste , aucune insulte tout court. Je suis un militant anti-raciste. C’est une mensonge éhonté. C’est du roman de gare. C’est la 2e agression. encore plus violente, c’est l’agression de la diffamation. Quand il commence à parler dans la presse je suis à l’hôpital dans l’impossibilité de me défendre. Il aurait pu s’abstenir[px_nbsp:nbsp]» a-t-il indiqué.
«[px_nbsp:nbsp]Je prends la parole car mon état de santé commence tout juste à le permettre. Dans une rue du 5e arrondissement de Paris, c’est une rencontre entre deux personnes qui se connaissent. Je connais M’jid El Guerrab depuis trois ans. Nous avions eu des relations de bonne camaraderie et il y a eu des tensions pendant la campagne. Je l’aborde et je me retrouve à terre, en sang[px_nbsp:nbsp]» a-t-il dit avant de se lancer dans le récit de son agression.
Puis il a nié avoir insulté le député. «[px_nbsp:nbsp]Je vous le dis très nettement, il n’y a eu dans ma bouche aucune insulte raciste , aucune insulte tout court. Je suis un militant anti-raciste. C’est une mensonge éhonté. C’est du roman de gare. C’est la 2e agression. encore plus violente, c’est l’agression de la diffamation. Quand il commence à parler dans la presse je suis à l’hôpital dans l’impossibilité de me défendre. Il aurait pu s’abstenir[px_nbsp:nbsp]» a-t-il indiqué.
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