• il y a 7 ans
Rahab Wanjau est née avec une déformation du tibia. Après avoir passé une bonne partie de sa vie avec des béquilles, les médecins décident de l'amputer. Et à la sortie de l'hôpital, lui proposent une prothèse. Ou plutôt deux: une de couleur claire, l'autre beaucoup plus sombre. Sauf que la couleur de peau de Rahab est à mi-chemin entre les deux. 

La jeune femme de 30 ans repeint donc la prothèse la plus claire, mais cela ne suffit pas. Résultat: des amis, des membres de sa famille et même des étrangers dans la rue lui posent des questions sur sa prothèse, l'empêchant "d'adopter ce nouveau moi", explique-t-elle à nos confrères du HuffPost américain. 

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