En marge du sommet des pays du sud de l’Europe, qui se tenait samedi à Lisbonne, François Hollande a renouvelé ses critiques à l’endroit de Donald Trump.
Comme il l’avait fait la veille à Berlin aux côtés d’Angela Merkel, il a invité l’Europe à faire bloc contre la nouvelle administration américaine à quelques heures d’un entretien téléphonique avec Donald Trump.
“Lorsqu’il y a des déclarations qui viennent du président des Etats-Unis sur l’Europe et lorsqu’il parle du modèle du Brexit pour d’autres pays, je crois que nous devons lui répondre”, a notamment souligné le président français.
Les pays du sud de l’UE réunis à Lisbonne pour relancer l’Europe https://t.co/R8huXHuq1p pic.twitter.com/NiHMLZWRRO— Courrier inter (@courrierinter) 28 janvier 2017
C’est la seconde fois que les sept chefs d’Etat et de gouvernement du sud de l’Europe (France, Italie, Espagne, Grèce, Portugal, Malte et Chypre) se retrouvaient en petit comité.
Au-delà d‘être des pays du pourtour méditerranéen, leur deuxième point commun est surtout leur appartenance à la zone euro. Une zone qu’ils souhaitent voir plus axée sur la croissance et l’investissement. Tout le contraire des politiques d’austérité menées ces dernières années sous l’impulsion de l’Allemagne et de ses alliés européens.
Avec Agences
Comme il l’avait fait la veille à Berlin aux côtés d’Angela Merkel, il a invité l’Europe à faire bloc contre la nouvelle administration américaine à quelques heures d’un entretien téléphonique avec Donald Trump.
“Lorsqu’il y a des déclarations qui viennent du président des Etats-Unis sur l’Europe et lorsqu’il parle du modèle du Brexit pour d’autres pays, je crois que nous devons lui répondre”, a notamment souligné le président français.
Les pays du sud de l’UE réunis à Lisbonne pour relancer l’Europe https://t.co/R8huXHuq1p pic.twitter.com/NiHMLZWRRO— Courrier inter (@courrierinter) 28 janvier 2017
C’est la seconde fois que les sept chefs d’Etat et de gouvernement du sud de l’Europe (France, Italie, Espagne, Grèce, Portugal, Malte et Chypre) se retrouvaient en petit comité.
Au-delà d‘être des pays du pourtour méditerranéen, leur deuxième point commun est surtout leur appartenance à la zone euro. Une zone qu’ils souhaitent voir plus axée sur la croissance et l’investissement. Tout le contraire des politiques d’austérité menées ces dernières années sous l’impulsion de l’Allemagne et de ses alliés européens.
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