La victoire de Donald Trump a pris de court beaucoup de monde y compris la sphère culturelle américaine qui était majoritairement pour Hillary Clinton.
Voici quelques réactions, on commence avec Francis Ford Coppola qui était au festival du film de Stockolm :
“Je suis quelqu’un d’optimiste et je préfère penser aux bons côtés des gens. Je crois aussi que la fonction de président est une entité. J’accorde à tout le monde le bénéfice du doute. Donald Trump, pour dire de bonnes choses sur lui, et c’est la seule chose que je dirais, à de l’imagination, il pense aux résultats, et il n’est pas entièrement à droite, au sujet de la religion ou de la politique.”
La réaction de l’actrice Kyra Sedgwick a été recueillie lors de la première du film “The Edge of Seventeen” à Los Angeles : “Je me sens triste pour l‘état de séparation, de clivage, de ce pays. Et j’ai plutôt envie de prendre le bus avec des gens de gauche comme moi qui vivent à New York ou à L.A. et d’aller dans le centre du pays pour parler aux gens et voir ce qui nous unit plutôt que ce qui nous divise.”
Et voici celle du producteur James L.Brooks : “Je ne sais pas. C’est quelque chose que les gens n’avaient pas vu venir, et quelque chose qui me fait peur, qui m’inquiète. Je crois que les manifestations pacifiques à New York ce soir et ailleurs sont éloquentes. Les gens ne sont pas en colère, ils sont inquiets pour le pays.”
Voici quelques réactions, on commence avec Francis Ford Coppola qui était au festival du film de Stockolm :
“Je suis quelqu’un d’optimiste et je préfère penser aux bons côtés des gens. Je crois aussi que la fonction de président est une entité. J’accorde à tout le monde le bénéfice du doute. Donald Trump, pour dire de bonnes choses sur lui, et c’est la seule chose que je dirais, à de l’imagination, il pense aux résultats, et il n’est pas entièrement à droite, au sujet de la religion ou de la politique.”
La réaction de l’actrice Kyra Sedgwick a été recueillie lors de la première du film “The Edge of Seventeen” à Los Angeles : “Je me sens triste pour l‘état de séparation, de clivage, de ce pays. Et j’ai plutôt envie de prendre le bus avec des gens de gauche comme moi qui vivent à New York ou à L.A. et d’aller dans le centre du pays pour parler aux gens et voir ce qui nous unit plutôt que ce qui nous divise.”
Et voici celle du producteur James L.Brooks : “Je ne sais pas. C’est quelque chose que les gens n’avaient pas vu venir, et quelque chose qui me fait peur, qui m’inquiète. Je crois que les manifestations pacifiques à New York ce soir et ailleurs sont éloquentes. Les gens ne sont pas en colère, ils sont inquiets pour le pays.”
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