Créé par Antoine Ferrier-Battner, spécialiste des statistiques et de l'économétrie venu des régies publicitaires et Maxime Valette, créateur du célèbre VDM, AdBack se positionne en dehors du "pour ou contre les adblockers". Son crédo : en analysant le comportement, donc les motivations, du quart des internautes qui utilisent des adblocks, on peut leur proposer des solutions alternatives à la publicité traditionnelle qui soient de nouvelles sources de revenus pour les éditeurs ou agences.
Face à l'explosion des adblocks, motivée en grande partie par une rejet de la très forte pression publicitaire à laquelle nous sommes soumis en ligne, un certain nombre d'éditeurs ont eu la tentation première de couper les ponts avec les utilisateurs qui ne voulaient plus jouer le jeu de l'échange pub-contenus et leur interdisant parfois l'accès à l'intégralité de leurs publications. Chez AdBack, on pense que les éditeurs sont les perdants à coup sûr de ce type de guerre et qu'il convient de conserver un dialogue avec les récalcitrants. La startup propose donc, via une ligne de script sur les sites d'analyser le comportement des utilisateurs d'adblockers afin de leur proposer un deal ou une alternative acceptables. Cela peut aller de pure pédagogie pour faire comprendre à un internaute que la publicité qu'il refuse est le seul mode de financement des contenus qu'il apprécie à toute une gamme de propositions comme le visionnage d'une courte vidéo, le paiement d'une micro-cotisation ou la réponse à un questionnaire, l'alternative qui recueille le plus de suffrages à ce jour.
AdBack s'adresse aussi bien aux éditeurs, agences, blogueurs qu'aux e-commerçants. La société, membre de l'IAB, aime se définir comme le google analytics des adblockers. Son objectif à terme : développer des "outils de monitoring renforcé pour donner un vrai sens à la publicité et répondre à la question du pourquoi une hostilité à la publicité".
Rencontre avec son CEO, Antoine Ferrier-Battner. @adback_co
Face à l'explosion des adblocks, motivée en grande partie par une rejet de la très forte pression publicitaire à laquelle nous sommes soumis en ligne, un certain nombre d'éditeurs ont eu la tentation première de couper les ponts avec les utilisateurs qui ne voulaient plus jouer le jeu de l'échange pub-contenus et leur interdisant parfois l'accès à l'intégralité de leurs publications. Chez AdBack, on pense que les éditeurs sont les perdants à coup sûr de ce type de guerre et qu'il convient de conserver un dialogue avec les récalcitrants. La startup propose donc, via une ligne de script sur les sites d'analyser le comportement des utilisateurs d'adblockers afin de leur proposer un deal ou une alternative acceptables. Cela peut aller de pure pédagogie pour faire comprendre à un internaute que la publicité qu'il refuse est le seul mode de financement des contenus qu'il apprécie à toute une gamme de propositions comme le visionnage d'une courte vidéo, le paiement d'une micro-cotisation ou la réponse à un questionnaire, l'alternative qui recueille le plus de suffrages à ce jour.
AdBack s'adresse aussi bien aux éditeurs, agences, blogueurs qu'aux e-commerçants. La société, membre de l'IAB, aime se définir comme le google analytics des adblockers. Son objectif à terme : développer des "outils de monitoring renforcé pour donner un vrai sens à la publicité et répondre à la question du pourquoi une hostilité à la publicité".
Rencontre avec son CEO, Antoine Ferrier-Battner. @adback_co
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