Le vent et des chaleurs élevées rendent difficile le travail des pompiers au Portugal.
Un incendie a atteint la nuit dernière la ville de Sao Pedro do Sul, dans le sud de Porto.
Les pompiers sont appuyés par des bombardiers d’eau, mais pour l’instant, les feux de forêts ne sont pas contrôlés.
“C’est un combat inégal” explique Elisio Oliveira, le commandant qui supervise les opérations. Un combat inégal “parce que cela ne dépend pas seulement de nous, mais la météo est aussi un facteur important, alors nous faisons de notre mieux… Plus de 800 pompiers sont sur le terrain avec l’objectif d‘éteindre ce feu.”
L‘Île de Madère a été particulièrement touchée : selon les derniers bilans, les incendies ont réduit en cendres plus de 160 maisons.
Les victimes qui ont pour certaines tout perdues ont été évacuées vers des abris à Funchal, le chef-lieu de l‘île portugaise.
Les autorités régionales estiment que le nombre des déplacés pourrait dépasser les deux cents personnes.
“Nous avons perdu notre maison mardi soir” raconte un homme. “Maintenant, nous attendons ici de savoir si l’on sera relogé ou non.”
Les villageois aident comme il le peuvent les pompiers qui ont également reçu l’aide de bombardiers d’eau de Russie, du Maroc et d’Espagne.
Un incendie a atteint la nuit dernière la ville de Sao Pedro do Sul, dans le sud de Porto.
Les pompiers sont appuyés par des bombardiers d’eau, mais pour l’instant, les feux de forêts ne sont pas contrôlés.
“C’est un combat inégal” explique Elisio Oliveira, le commandant qui supervise les opérations. Un combat inégal “parce que cela ne dépend pas seulement de nous, mais la météo est aussi un facteur important, alors nous faisons de notre mieux… Plus de 800 pompiers sont sur le terrain avec l’objectif d‘éteindre ce feu.”
L‘Île de Madère a été particulièrement touchée : selon les derniers bilans, les incendies ont réduit en cendres plus de 160 maisons.
Les victimes qui ont pour certaines tout perdues ont été évacuées vers des abris à Funchal, le chef-lieu de l‘île portugaise.
Les autorités régionales estiment que le nombre des déplacés pourrait dépasser les deux cents personnes.
“Nous avons perdu notre maison mardi soir” raconte un homme. “Maintenant, nous attendons ici de savoir si l’on sera relogé ou non.”
Les villageois aident comme il le peuvent les pompiers qui ont également reçu l’aide de bombardiers d’eau de Russie, du Maroc et d’Espagne.
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