Au sommaire de cette nouvelle édition de l’émission hebdomadaire de Digital Business News, « Le Grand Débat du Web » : Le travail revient en Europe… pour les robots ! Que manque-t-il encore aux startups en France ? Avec Fabrice Epelboin, Jérémy Benmoussa, Fred Haffner.
Le travail revient en Europe… pour les robots !
Foxconn, sous-traitant d’Apple en Chine, a récemment annoncé la suppression de 60 000 emplois sur 110 000. Adidas rapatrie en Allemagne la production d’une partie de ses chaussures dans la Speedfactory. Fin 2015, Samsung annonçait qu'il voulait développer des usines robotisées en Corée du Sud pour remplacer la main-d’œuvre chinoise. Un sondage Randstad réalisé en avril sur la peur de la robotisation donnait des résultats qui pouvaient faire frémir sur le niveau de conscience des Français. 27% des personnes interrogées reconnaissaient une crainte alors que les Chinois sont 58% et les Indiens 69%.
A la question : "En 2050, que fera-t-on des gens avec moins de 150 de QI ?", Laurent Alexandre, chirurgien, auteur et transhumaniste répondait récemment dans une interview : "rien! ». « Le robot, lui, sera l’employé parfait. Il sera plus intelligent, travaillera 125 heures par semaine sans se fatiguer, sans salaire, etc. Donc fatalement, si 99% de la population se retrouve sans emploi, les puissants seront bien obligés d’augmenter tout le monde s’ils ne veulent pas subir la Révolution ».
Que manque-t-il encore aux startups en France ?
Elles sont accompagnées, incubées, accélérées, mentorées, financées, chouchoutées… On les voit dans tous les évenements, elles pitchent à tour de bras, on leur offre des stands, on fait des reportages sur elles au JT, leurs créateurs sont les nouveaux héros… Et pourtant, leur développement, leur croissance restent compliqués. Pourquoi ?
Le travail revient en Europe… pour les robots !
Foxconn, sous-traitant d’Apple en Chine, a récemment annoncé la suppression de 60 000 emplois sur 110 000. Adidas rapatrie en Allemagne la production d’une partie de ses chaussures dans la Speedfactory. Fin 2015, Samsung annonçait qu'il voulait développer des usines robotisées en Corée du Sud pour remplacer la main-d’œuvre chinoise. Un sondage Randstad réalisé en avril sur la peur de la robotisation donnait des résultats qui pouvaient faire frémir sur le niveau de conscience des Français. 27% des personnes interrogées reconnaissaient une crainte alors que les Chinois sont 58% et les Indiens 69%.
A la question : "En 2050, que fera-t-on des gens avec moins de 150 de QI ?", Laurent Alexandre, chirurgien, auteur et transhumaniste répondait récemment dans une interview : "rien! ». « Le robot, lui, sera l’employé parfait. Il sera plus intelligent, travaillera 125 heures par semaine sans se fatiguer, sans salaire, etc. Donc fatalement, si 99% de la population se retrouve sans emploi, les puissants seront bien obligés d’augmenter tout le monde s’ils ne veulent pas subir la Révolution ».
Que manque-t-il encore aux startups en France ?
Elles sont accompagnées, incubées, accélérées, mentorées, financées, chouchoutées… On les voit dans tous les évenements, elles pitchent à tour de bras, on leur offre des stands, on fait des reportages sur elles au JT, leurs créateurs sont les nouveaux héros… Et pourtant, leur développement, leur croissance restent compliqués. Pourquoi ?
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