Aux confins des Côtes de Toul, là où il fait bon se balader en pleine nature et parmi les vignes AOC, se trouve un lieu qui fleure bon la gomme arabique, la gomme sandaraque, l'eau de miel, l'encre de seiche…
L'Atelier Chélidoines, du nom d'une plante commune de nos contrées aux vertus magiques capable, selon les anciens, de transformer les métaux en or, propose de découvrir et d'initier aux techniques traditionnelles de l'enluminure médiévale.
Céline Courtois-Lamarque, passionnée depuis toujours par la peinture et le Moyen-Age, a appris à force de patience et d'opiniâtreté les techniques et surtout l'esprit de cet art graphique exigeant. Si elle défend une approche traditionnelle de l'enluminure, Céline n'en fait pas moins des rapprochements avec des arts plus modernes et très à la mode comme le tatouage, les mandalas et autre Doodling Art. Le tatouage pour l'utilisation du même support – la peau – et des pigments similaires , les mandalas pour leur exigence de concentration et leur vertu déstressante.
C'est en partie ce que viennent chercher les participants à l'Atelier Chélidoines, au-delà du travail graphique particulier de l'enluminure, partager un moment de déconnexion d'avec le monde moderne, sa vitesse, son rythme anxiogène, et se retrouver à quelques-uns pour se concentrer sur son travail, se vider la tête, être au calme, échanger sur ses sensations autour d'un repas partagé, à l'heure de la pause.. Comme le dit Céline : « au-delà du savoir-faire qu'il est nécessaire de transmettre pour ne pas oublier, j'envisage surtout le métier par son côté émotionnel, spirituel proche de la méditation, c'est un métier "de cœur" que j'ai à cœur de partager... »
Parmi ses pigments, ses détrempes médiévales, son blanc de Meudon, ses feuilles d'or, Céline – qui se considère elle-même comme une sorte de druide – tient avant tout à transmettre au travers de son Atelier Chélidoine, cette notion de l'Art chère à John Ruskin et qui sert d'épigraphe à son tout nouveau site internet : « L'art est beau quand la main, la tête et le cœur travaillent ensemble ». Et rassurez-vous, l'ambiance n'aura rien à voir avec l'austérité du scriptorium du « Nom de la Rose » !
L'Atelier Chélidoines, du nom d'une plante commune de nos contrées aux vertus magiques capable, selon les anciens, de transformer les métaux en or, propose de découvrir et d'initier aux techniques traditionnelles de l'enluminure médiévale.
Céline Courtois-Lamarque, passionnée depuis toujours par la peinture et le Moyen-Age, a appris à force de patience et d'opiniâtreté les techniques et surtout l'esprit de cet art graphique exigeant. Si elle défend une approche traditionnelle de l'enluminure, Céline n'en fait pas moins des rapprochements avec des arts plus modernes et très à la mode comme le tatouage, les mandalas et autre Doodling Art. Le tatouage pour l'utilisation du même support – la peau – et des pigments similaires , les mandalas pour leur exigence de concentration et leur vertu déstressante.
C'est en partie ce que viennent chercher les participants à l'Atelier Chélidoines, au-delà du travail graphique particulier de l'enluminure, partager un moment de déconnexion d'avec le monde moderne, sa vitesse, son rythme anxiogène, et se retrouver à quelques-uns pour se concentrer sur son travail, se vider la tête, être au calme, échanger sur ses sensations autour d'un repas partagé, à l'heure de la pause.. Comme le dit Céline : « au-delà du savoir-faire qu'il est nécessaire de transmettre pour ne pas oublier, j'envisage surtout le métier par son côté émotionnel, spirituel proche de la méditation, c'est un métier "de cœur" que j'ai à cœur de partager... »
Parmi ses pigments, ses détrempes médiévales, son blanc de Meudon, ses feuilles d'or, Céline – qui se considère elle-même comme une sorte de druide – tient avant tout à transmettre au travers de son Atelier Chélidoine, cette notion de l'Art chère à John Ruskin et qui sert d'épigraphe à son tout nouveau site internet : « L'art est beau quand la main, la tête et le cœur travaillent ensemble ». Et rassurez-vous, l'ambiance n'aura rien à voir avec l'austérité du scriptorium du « Nom de la Rose » !
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Art et design