Stéphane Witkowski, président du Conseil de gestion de l'Institut des Hautes Etudes de l'Amérique Latine, nous livre son éclairage sur le vote historique du Parlement brésilien. Les élus ont voté, dimanche soir, pour la destitution de la présidente Dilma Roussef. Pour Stéphane Witkowski, la situation est assez paradoxale car si le peuple se dit lassé de la corruption, la présidente n'en a jamais été accusée. Les raisons de ce départ précipité sont multiples. Parmi elles: crise de confiance politique, crise économique, erreurs de gestion.
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