Avoir un accident de voiture et y perdre son fils, c’est franchement pas très cool. Mais provoquer son retour d’entre les morts et celui de plein de vilains esprits parce qu’on ne comprend rien aux traditions indiennes, c’est encore pire.
Voilà en gros, quel pourrait être le pitch de The Other side of the Door (« L’autre côté de la porte », pour ceux qui ne lisent pas Justin Bieber dans le texte). En effet, on y retrouve la comédienne Sarah Wayne Callies, dont la carrière semble avoir été passablement pulvérisée par Walking Dead, qui ne se remet pas de la perte de son jeune fils au cours d’un terrible accident de voiture.
Exilée en Inde, il lui est proposé de se rendre dans un mystérieux temple où elle pourra communiquer avec l’esprit de son enfant défunt, à condition qu’elle ne tente pas d’ouvrir la porte derrière laquelle son fantôme s’exprime. Maman aimant bien sortir de ses gonds, elle n’en fait qu’à sa tête et provoque ainsi le débarquement de tout un tas de trucs surnaturels franchement déplaisants.
On a l’air de se moquer comme ça, mais côté de son scénar vu 1 000 fois, le film dégage une ambiance bien particulière, et surtout, a la bonne idée de ne pas ressembler au tout venant de la production horrifique, sans doute grâce à son contexte indien.
Voilà en gros, quel pourrait être le pitch de The Other side of the Door (« L’autre côté de la porte », pour ceux qui ne lisent pas Justin Bieber dans le texte). En effet, on y retrouve la comédienne Sarah Wayne Callies, dont la carrière semble avoir été passablement pulvérisée par Walking Dead, qui ne se remet pas de la perte de son jeune fils au cours d’un terrible accident de voiture.
Exilée en Inde, il lui est proposé de se rendre dans un mystérieux temple où elle pourra communiquer avec l’esprit de son enfant défunt, à condition qu’elle ne tente pas d’ouvrir la porte derrière laquelle son fantôme s’exprime. Maman aimant bien sortir de ses gonds, elle n’en fait qu’à sa tête et provoque ainsi le débarquement de tout un tas de trucs surnaturels franchement déplaisants.
On a l’air de se moquer comme ça, mais côté de son scénar vu 1 000 fois, le film dégage une ambiance bien particulière, et surtout, a la bonne idée de ne pas ressembler au tout venant de la production horrifique, sans doute grâce à son contexte indien.
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Court métrage