Film de Jean Girault (1967). Dialogues : Jacques Vilfrid. Musique : Raymond Lefebvre.
Charles Bosquier (Louis de Funès) dirige un internat de luxe des Yvelines avec sa femme (Claude Gensac), servi par une bonne qui doit passer son temps à « aller se coucher » (Christiane Muller). Le fils cadet (Olivier de Funès), fayot et faux derche, profite des vacances pour faire la fête avec une séduisante pensionnaire britannique (Martine Kelly, qui a connu son heure de notoriété dans la chanson yéyé). Mais c’est l’aîné qui enlèvera la belle, et l’équipée se terminera en Ecosse, où les deux pères tenteront – sans succès – d’empêcher le mariage.
L’un des meilleurs Funès. L’équipe de la série des « Gendarme » présente une comédie enlevée. C’’était pourtant l’époque où « Télé 7 Jours » fustigeait « la pauvreté des gags » et ce «scénario sans surprise, qui emprunte ses recettes au vaudeville le plus archaïque ». Rappelons-nous qu’Audiard était pareillement traité. Le « vrai cinéma », n'est-ce pas, était celui d’Agnès Varda… Le temps s’est chargé de rétablir le sens des réalités.
Quelques très bonnes séquences de ce film (mais y en a-t-il de mauvaises ?) ont déjà été mises en ligne. Voir ici :
http://www.dailymotion.com/relevance/search/les%2Bgrandes%2Bvacances/1
Trois scènes du début, non contiguës mais qui s’enchaînent. Avec Mario David (le conducteur de la Mini).
Charles Bosquier (Louis de Funès) dirige un internat de luxe des Yvelines avec sa femme (Claude Gensac), servi par une bonne qui doit passer son temps à « aller se coucher » (Christiane Muller). Le fils cadet (Olivier de Funès), fayot et faux derche, profite des vacances pour faire la fête avec une séduisante pensionnaire britannique (Martine Kelly, qui a connu son heure de notoriété dans la chanson yéyé). Mais c’est l’aîné qui enlèvera la belle, et l’équipée se terminera en Ecosse, où les deux pères tenteront – sans succès – d’empêcher le mariage.
L’un des meilleurs Funès. L’équipe de la série des « Gendarme » présente une comédie enlevée. C’’était pourtant l’époque où « Télé 7 Jours » fustigeait « la pauvreté des gags » et ce «scénario sans surprise, qui emprunte ses recettes au vaudeville le plus archaïque ». Rappelons-nous qu’Audiard était pareillement traité. Le « vrai cinéma », n'est-ce pas, était celui d’Agnès Varda… Le temps s’est chargé de rétablir le sens des réalités.
Quelques très bonnes séquences de ce film (mais y en a-t-il de mauvaises ?) ont déjà été mises en ligne. Voir ici :
http://www.dailymotion.com/relevance/search/les%2Bgrandes%2Bvacances/1
Trois scènes du début, non contiguës mais qui s’enchaînent. Avec Mario David (le conducteur de la Mini).
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Court métrage