Brice de Le Vingne
C’est Médecins sans Frontières qui coordonne l’évacuation, ce qu’on a demandé qu’on ne fasse plus, clairement. On a demandé que ce soit centralisé, que ce soit coordonné au niveau international, au niveau de l’union européenne, clairement, mais aussi au niveau de l’OMS. Il y a des discussions qui sont en cours, mais elles n’ont pas encore délivré… Il y a des discussions qui sont déjà en cours, il y a des choses qui sont faites, mais elles n’ont pas encore délivré une solution pratique, immédiate, efficace aujourd’hui. Donc, comme MSF est un responsable de la coordination, on s’est retrouvé devant plusieurs options et on a choisi effectivement la compagnie américaine pour venir. C’est une compagnie privée américaine, c’est pas l’état américain qui a mis un avion, c’est une compagnie privée américaine. Ce qu’il y a, c’est qu’à partir du moment où on se retrouve – je ne vais pas ici énuméré tous les choix, mais plusieurs choix – on a pris le choix le plus rapide. Donc on a pris le choix le plus rapide. Il se trouve que ce choix là est beaucoup trop lent. Cela fait des semaines, cela fait longtemps que Médecins sans frontières demande auprès de l’Union Européenne et d’autres états de mettre en place des moyens d’évacuation médicale conséquents et efficaces. Pour l’instant, c’est trop long. Quand vous voyez 42 heures à partir du moment où un cas est confirmé pour être rapatrié, c’est trop long. Donc ce qu’on demande, aussi, c’est un avion médicalisé capable de prendre un cas en charge ebola qui soit localisé dans la région, en Guinée, Sierra Leone, Liberia, pour pouvoir diminuer ce temps-là.
C’est Médecins sans Frontières qui coordonne l’évacuation, ce qu’on a demandé qu’on ne fasse plus, clairement. On a demandé que ce soit centralisé, que ce soit coordonné au niveau international, au niveau de l’union européenne, clairement, mais aussi au niveau de l’OMS. Il y a des discussions qui sont en cours, mais elles n’ont pas encore délivré… Il y a des discussions qui sont déjà en cours, il y a des choses qui sont faites, mais elles n’ont pas encore délivré une solution pratique, immédiate, efficace aujourd’hui. Donc, comme MSF est un responsable de la coordination, on s’est retrouvé devant plusieurs options et on a choisi effectivement la compagnie américaine pour venir. C’est une compagnie privée américaine, c’est pas l’état américain qui a mis un avion, c’est une compagnie privée américaine. Ce qu’il y a, c’est qu’à partir du moment où on se retrouve – je ne vais pas ici énuméré tous les choix, mais plusieurs choix – on a pris le choix le plus rapide. Donc on a pris le choix le plus rapide. Il se trouve que ce choix là est beaucoup trop lent. Cela fait des semaines, cela fait longtemps que Médecins sans frontières demande auprès de l’Union Européenne et d’autres états de mettre en place des moyens d’évacuation médicale conséquents et efficaces. Pour l’instant, c’est trop long. Quand vous voyez 42 heures à partir du moment où un cas est confirmé pour être rapatrié, c’est trop long. Donc ce qu’on demande, aussi, c’est un avion médicalisé capable de prendre un cas en charge ebola qui soit localisé dans la région, en Guinée, Sierra Leone, Liberia, pour pouvoir diminuer ce temps-là.
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