Maximilien Desmarets de la Rochebruyère, “MDR” pour les intimes, est un aristocrate quadragénaire qui se prépare à prendre sa douche. Le poste radio diffuse de la musique classique qui rythme parfaitement le rituel chorégraphique de sons qui lui permet de commander le mobilier de sa salle de bains High-Tech. Un clappement de mains et la lumière s'allume, un claquement de langue et les écrans affichent de fausses vues panoramiques, un claquement de doigts et son tapis rouge se met en marche.
Soudain, les ondes de la radio diffusant la musique commencent à se brouiller alors qu’il est sous la douche. Contrarié, il sort précipitamment en oubliant de bien se sécher. Il tente de régler le poste grâce au sifflement censé le commander mais rien à faire, la réception reste brouillée. Il tente alors de régler manuellement la fréquence et s’électrocute.
Le poste se met à grésiller et change de station de manière complètement aléatoire. Son corps obéissant à la musique suite au choc électrique, il exécute des chorégraphies pop, langoureuses, électroniques… Peu enclin à ce genre d’exercice physique, il tente par tous les moyens d’éteindre l’engin démoniaque pour mettre fin à son marathon musical qui se transforme vite en un supplice hilarant.
Les musiques diffusées se mettent progressivement à utiliser des sons similaires à ceux qui font s’activer le mobilier de la salle de bains et celui-ci se retourne progressivement contre son propriétaire. La musique s'emballe, le mobilier aussi, et démarre alors une séquence onirique et délirante dans laquelle les éléments prennent vie dans des proportions démesurées, transformant le supplice de Maximilien en un enfer désopilant. Une comédie hilarante qui revisite sous un nouvel angle l'adage qui dit que les choses qu'on possède finissent par nous posséder.
Soudain, les ondes de la radio diffusant la musique commencent à se brouiller alors qu’il est sous la douche. Contrarié, il sort précipitamment en oubliant de bien se sécher. Il tente de régler le poste grâce au sifflement censé le commander mais rien à faire, la réception reste brouillée. Il tente alors de régler manuellement la fréquence et s’électrocute.
Le poste se met à grésiller et change de station de manière complètement aléatoire. Son corps obéissant à la musique suite au choc électrique, il exécute des chorégraphies pop, langoureuses, électroniques… Peu enclin à ce genre d’exercice physique, il tente par tous les moyens d’éteindre l’engin démoniaque pour mettre fin à son marathon musical qui se transforme vite en un supplice hilarant.
Les musiques diffusées se mettent progressivement à utiliser des sons similaires à ceux qui font s’activer le mobilier de la salle de bains et celui-ci se retourne progressivement contre son propriétaire. La musique s'emballe, le mobilier aussi, et démarre alors une séquence onirique et délirante dans laquelle les éléments prennent vie dans des proportions démesurées, transformant le supplice de Maximilien en un enfer désopilant. Une comédie hilarante qui revisite sous un nouvel angle l'adage qui dit que les choses qu'on possède finissent par nous posséder.
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Court métrage