Texte et Musique de Annémeraude!
Bonne fête à toutes les mamans du Monde♥
Poème à Maman:
Pour la fête des mères, je t'envoie ce poème
Même si tu es partie, tu es là dans mon cœur
Les beaux souvenirs, tout comme les pleurs
Je ne les oublie pas, petite maman que j''aime!
Te souviens-tu, de ce matin d'été?
Moi, assise sur tes genoux, à la fenêtre au soleil,
Tu me chantais alors un de tes airs préférés:
"Il fait beau, le ciel est rose, l'horizon vermeil,
quand la lune se repose , lève-toi soleil,
On entend sous la feuillée, les oiseaux siffleurs,
et l'abeille réveillée dit bonjour aux fleurs''
Et ces après-midi où nous allions en ville,
Toi, mes sœurs et moi, prises des mêmes fous-rires,
Nous moquant gentiment de tout et de rien,
Terminant notre périple chez le pâtissier du coin,
Tout au long de ma vie, tu as été là,
Silencieuse, et le regard soucieux
Lorsque le chagrin envahissait mon âme,
Et que mes illusions fondaient comme neige près du feu.
J'admirais ta force, ta fierté rassurante,
Faisant confiance au ciel pour toute éternité.
Je prenais cela, parfois, pour de l'indifférence,
Alors que ce n'était que pudeur et dignité.
J'aurais voulu te dire combien je t'aime,
Mais ta réserve et ma timidité m'en ont empêché,
Aujourd'hui, petite maman, je te le dis sans peine,
je t'aime!
Anne
Bonne fête à toutes les mamans du Monde♥
Poème à Maman:
Pour la fête des mères, je t'envoie ce poème
Même si tu es partie, tu es là dans mon cœur
Les beaux souvenirs, tout comme les pleurs
Je ne les oublie pas, petite maman que j''aime!
Te souviens-tu, de ce matin d'été?
Moi, assise sur tes genoux, à la fenêtre au soleil,
Tu me chantais alors un de tes airs préférés:
"Il fait beau, le ciel est rose, l'horizon vermeil,
quand la lune se repose , lève-toi soleil,
On entend sous la feuillée, les oiseaux siffleurs,
et l'abeille réveillée dit bonjour aux fleurs''
Et ces après-midi où nous allions en ville,
Toi, mes sœurs et moi, prises des mêmes fous-rires,
Nous moquant gentiment de tout et de rien,
Terminant notre périple chez le pâtissier du coin,
Tout au long de ma vie, tu as été là,
Silencieuse, et le regard soucieux
Lorsque le chagrin envahissait mon âme,
Et que mes illusions fondaient comme neige près du feu.
J'admirais ta force, ta fierté rassurante,
Faisant confiance au ciel pour toute éternité.
Je prenais cela, parfois, pour de l'indifférence,
Alors que ce n'était que pudeur et dignité.
J'aurais voulu te dire combien je t'aime,
Mais ta réserve et ma timidité m'en ont empêché,
Aujourd'hui, petite maman, je te le dis sans peine,
je t'aime!
Anne
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